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 Tu m'appris que rien n'était à moi hormis ma vie. Que rien ne sera à moi hormis ma mort.

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Anonymous





Tu m'appris que rien n'était à moi hormis ma vie. Que rien ne sera à moi hormis ma mort.
11.10.16 17:51






Grant Suileabhan Meven


Tu m'appris que rien n'était à moi hormis ma vie. Que rien ne sera à moi hormis ma mort. Tumblr_m3qjdlSikC1qezvoz
❝ Le monde est vaste, mais les humains s'entêtent à aller là où leur âme se déchire.❞








A l'attention de Invité,

Si vous voulez avant tout poser un nom sur cette encre noire aspirée par la fabuleuse - si ce n’est calomnieuse - matière qu’est le papier, sachez que cela ne sera pas nécessaire. Je préfère que celui-ci reste secret, dissimulé dans le plus profond de mes labyrinthes personnels. Contentez-vous d’admirer cet espace blanc qui vous perturbe. Contentez-vous de croire en la magie et c’est à ce moment précis que le mot de sorcier vous posera soucis. Qu’allez-vous faire ? Continuez de lire et vous ébranlé d’une telle information ou simplement, oui simplement, faire demi-tour ? Sachez seulement que les choses ne sont pas si simples : si rien n’est écrit, cela ne signifie pas que l’emplacement est vierge. L’inverse va de soi. Certes, cela demande courage et concentration. Abstraction et compréhension. Cependant réjouissez-vous, appréciez l’envers du décor. Je vais vous raconter, comme la banalité de ce monde que cette année j’ai célébré mon dix-septième anniversaire, que je suis un anglais pur et dur et que malgré cette nationalité mes origines sont plus vastes encore, s’étendant du Moyen-Orient aux contrées nippones, cela va sans dire que mes rivaux sont nombreux et arpentent des chemins effondrés jusqu’aux montagnes enneigés pour se venger. Encore ? Voraces que vous êtes, le paraître vous amuse plus qu’il ne vous informe. Une façade qu’on se construit pour se protéger des autres. Soit, je vais vous dire, vous dire que j’étudie dans cette école méprisable qu’est Poudlard en vue d’obtenir mes BUSE. Si vous réfléchissez assez, si vous êtes dignes de ce nom, alors vous l’aurez compris : j’entre en troisième année. Pour ce qui est de toutes les formalités barbantes, je me souviens avoir demandé l’arithmancie en option pour une raison plus que sombre - autant que celle qui m'a fait atterrir ici à vrai dire - en plus de m’être abstenu de choisir de groupe pittoresque, je n’ai qu’une seule volonté. La volonté de ne pas être comme mon père.
La volonté de ne pas finir chez les Serpents.












J’ai toujours cru que les épouvantards et autres monstres n’étaient que des stratagèmes pour nous faire céder, à tel point que le simple fait d’en posséder un me paraissait absurde. Evidemment, je me trompais. Seulement, le mien est différent des autres, le mien ne représente rien, il est informe et blanc, il glisse sur les murs et se solidifie au contact d’un object pour en prendre sa forme. On ne distingue aucun rebord, aucun contour, son tout étant composé d’une couleur unie et peureuse. J’en suis venu à penser que tout cela n’était qu’une manière pour moi de haïr mon esprit, que cette chose n’était en fait que son allégorie.
Il en allait de même pour les amortencias, au fond à quoi bon donner un nom à une odeur que l’on aime, si ce n’est une odeur aimée ? Encore une des choses dont je n’ai jamais pu cerner l’utilité, et en dépit de mon rejet contre cette « chose », le temps m’a fait comprendre que mon odorat s’associait à mon goût : curry, soja et peut-être une subtile brise d’alysses.
Le monde sorcier possède ses mystères, nombreux sont-ils et parmi lesquels la baguette est sûrement le plus emblématique. Mon père m’avait emmené à cette boutique sur le Chemin de Traverse, j’étais jeune et insouciant, mais déjà le simple agissement de choisir la baguette me faisait mal au coeur. Il m’y a traîné. J’hurlais et les passants ne comprenaient pas, ingrats qu’ils sont. Malgré tout, elle atterrit dans mes mains comme un cadeau empoisonné, mon géniteur ne cessait de l’admirer, à croire qu’elle valait plus à ses yeux qu’aux miens. Un simple bout de bois - du Cyprès plus exactement - d’environ vingt-cinq centimètres, rigide et paraissant fragile, un foutu baton. Après de longues minutes de silence, celui-ci m’avoua - sûr et certain - qu’un Crin de Licorne s’était niché à l’intérieur.
Finalement, je peux peut-être te révéler la plus précieuse des confidences. Je peux te révéler celui qui se cache sous l’Expecto Patronum. Un lièvre. Un rongeur des plus habiles et rapides. Ne vas pas croire que celui-ci à une quelconque signification, je reste persuadé qu’il n’est pas à mon image, mais qu’importe.
Je me fiche bien de savoir ce qui me représente.

Tu étais tellement occupé à lire entre les lignes que tu n’as même pas remarqué le changement. Vraiment ? Oui, maintenant tu es une personne intime et j’ai laissé la politesse de côté. Tu es. Entends-tu ? Cela te paraîtra sans doute étrange voire irrespectueux mais que veux-tu ? Ce n’est pas comme si l’intimité était de nos jours quelque chose de précieux. Non, à notre époque les gens jouent de nos sentiments, ils jouent de l’amour-propre et, pour l’humiliation ou l’adoration, se prêtent à des activités néfastes. Oubliez votre bien-être et votre intimité, la pudeur n’est plus de mise et dans le cas où celle-ci serait toujours en vous, on vous traitera sûrement de faible, de fragile. Pitoyable n’est-ce pas ? J’ai toujours été de cet avis, pourtant nous devons nous adapter à ces pauvres cons, nous devons comprendre ce qu’il veulent pour plus tard, si le temps est en notre faveur, pouvoir venger ses actes inconscients.
Et que penses-tu de l’amitié ? C’est un vaste mot qui ne signifie rien, c’est vrai. L’amitié c’est la famille qu’on choisit, pour le pire bien souvent. Combien as-tu d’amis ? Une dizaine ? Plus. Alors, pose-toi un instant et réfléchis. Vois-tu ? Ils se comptent sur les doigts d’une main, certains sont des connaissances, d’autres des bouche-trou et quelques uns seulement demeurent dans ton coeur. Cependant, et tu as déjà dû t’en rendre compte, il y aura toujours celui ou celle qui prime sur les autres, malgré ce que l’on peut dire. Cet ami qui vaut de l’or, à qui l’on confie nos peines et nos délits, à qui l’on avoue notre détresse et nos phobies. Or, je ne m’arrête pas aux Hommes, car ceux-ci sont les seuls à penser, il faut aussi viser plus loin, dans ces êtres vivants et objets qui sont des souvenirs, des oreilles attentives et dont aucune représailles n’est à venir. Comme Duke, mon colvert qui sans cesse couine au coin de la chambre pour s’envoler. Réfléchis bien, c’est sûrement l’une des questions les plus importantes, les plus incompréhensibles, mais elle vaut la peine d’être entendue.
Encore plus fort que ces amitiés obsolètes, il y a depuis quelques décennies une mode de l’amour. Loin de l’amour avec un grand A comme auparavant, maintenant l’amour s’arrête au sexe. Certains romantiques jureront devant mes propos, je m’en désole d’avance, toutefois il faut se rendre à l’évidence que, passé un certain âge les excès de désir se font ressentir. Les hommes sont vus comme des pervers se masturbant le soir, les femmes comme des saintes-nitouches qui ne le sont en réalité pas. Ironique non ? J’ai toujours été attiré par les femmes, ces belles demoiselles aux formes arrondies et aux doux visage, seulement aucune ne m’a jamais attirée jusque dans son lit. Ou c’est peut-être un choix de ma part. Renverser les règles, montrer que la honte n’est pas de mon vocabulaire et que l’homophobie serait la plus apte à être condamnée que l’homosexualité. Une décision radicale que je continuerai d’appliquer jusqu’à mon décès.
Quoi qu’il en soit, tu seras certainement troublé par ma manière de pensée, elle aussi est brutale. Tu auras beau juger une thèse en arguments divers et variés, en mal et en bien, pour la plupart, tous se contrebalanceront, et alors tu pourras te dire que cette thèse n’a aucune sortie. Ni bonne ni mauvaise. Foutaises. En tous cas, aucune exception possible, ces thèses répondent à l’échelle manichéenne. Ils sont classés selon le bénéfice ou la perte, la blessure ou la guérison, à des degrés différents. Ton avis importait peu jusqu’à maintenant, chacun vivait pour soi, or toi, aujourd’hui, peut changer les choses.

Tu respires, c’est évident. Cependant, qu’est-ce qui te maintient en vie ? Ton souffle ? Ton coeur ? Tes sentiments à la rigueur. Les espoirs et les pleurs, les buts et les autres, ce que j’ai nommé plus tôt l’amitié. Avec de l’expérience, j’ai pu déduire que la majorité des êtres honnêtes se faisaient rejeter : ils parlent de façon crue, vils être de ce monde néanmoins, ils pointent les choses à leur origine sans tourner autour du pot. Au final, ce sont les moins barbares qui se retrouvent être les moins honnêtes, et si tu fais parti de cette catégorie, je te propose de te laisser aller au jeu de découvrir ton indice d’honnêteté. Tu te trouveras sûrement odieux, mais il n’en sera rien. Franc et loyal. Rejeter toute fière, ne voir que l’essentiel. Tu te retrouveras, pendant cinq minutes s’il le faut, à dire des choses que tu ne voudras pas, pour monter au monde entier la personne formidable que tu es. Pathétique. Cesse de faire le grand, cesse de te terrer dans ton coin et assume. Tout simplement.

Dans ma famille, ça a toujours été une question de loyauté. Je pourrais t’en parler pendant des heures, mais je doute qu’à présent, après tout ce que tu as appris de moi, cela t’intéresse. Et si même, je me dois de te le dire. Nous sommes aisés et méprisés, mon paternel se trouve être un sang-pur des moins connus, qui a décidé après sa scolarité de se cacher des grandes scènes. Je ne pourrais dire s’il a bien fait, je l’ai toujours exécrer, ancien Serpentard qu’il est. Minable et pitoyable, je sais d’histoires qu’il se pavanait fièrement en criant sur tous les toits son nom. Il exposait lui-même son intimité, vois-tu. Aujourd’hui, il est trop strict pour porter cette coupe de cheveux frivole, son travail consiste en la rentabilité des salaires de chacun, pour se rendre compte qu’au final il ferait mieux de se virer. Mes parents sont aux antipodes, des contradictions folles. A croire qu’ils se sont rencontrés par erreur. Ma génitrice est douce et excentrique, une Poufsouffle ratée. Des cheveux teintés en roux dès ses dix-neufs ans pour sa passion agaçante de l’Irlande. Tu le remarqueras peut-être en me voyant, toujours ce bracelet en fil vert émeraude sur le poignet gauche pour l’honorer. J’aime ma mère, c’est un complexe d’Oedipe irrésolu. Des fois elle m’exaspère, depuis la naissance de ma grande soeur ils ont tous su que ses progénitures étaient condamnées. Condamnées à porter des imprononçables noms Irlandais. D’ailleurs, je hais ma grande soeur autant que mon père, ce sont des sosies machiavéliques qui ne méritent pas de vivre, encore une Serpentard dans cette famille horripilante, c’est à ce moment que je doute quant à l’avenir de ma petite soeur, tirée entre deux dogmes familiaux. Son choix sera le bon, vu qu’il sera le sien et j’espère qu’elle en sera heureuse de cette manière. J’espère qu’elle ne regrettera jamais, car il n’y a rien de pire que les regrets. Ils la poursuivront jusqu’à sa mort. Donc, revenons à ma merveilleuse génitrice, elle aussi sang-pur certainement reniée par l’intégralité de sa famille. Les Koga, vous connaissez ? Une pure de dure, de la branche principale qui malheureusement préféra s’adonner à ses passion : couture, cuisine et maintenant elle réussit à tout revendre via Internet m’a-t-elle dit des étoiles dans les yeux. Il parait qu’elle peut ainsi faire du commerce avec des moldus, malgré la désapprobation de mon père, et qu’elle amasse de quoi s’acheter des vivres dans leur monde. Adorable, n’est-il pas ?

En parlant de moldus, tu sais ce qui s’est passé cet été, n’est-ce pas ? Si tu venais à en pleurer, tu ne ferais qu’être terroriser, leur but donc. Je vais t’avouer qu’ils me fascinent, ils sont différents et semblables pour autant. Ma mère a dû me refiler l’une de ses passions étrange. Moldus. Ça sonne étrangement mal dans la bouche, un peu comme sang de bourbe, mais leurs attitudes générales restent comme les nôtres. Des sosies sans magie. Je ne sais pas si c’est le mieux. La magie mène au mal, comme preuve de ses dernières semaines, toutefois, de leurs côtés ils arrivent à s’entretuer avec de simples procédés chimiques. Comme quoi, la chimie est leur magie. Tout le monde est sorcier en somme. D’ailleurs, je pourrais passer mes journées au cours d’étude des moldus. Professeur décalé, expérience détraquée, en soi c’est un amusement pour l’apprentissage, une culture qui nous cherche et que l’on apprivoise. Tu ne seras pas forcément d’accord, et je t’avais dis que ton avis important, seulement cette thèse n’est pas générale, n’en est même pas une même : tu ne peux classé des gens formés comme nous. Puis, certains arpentent les couloirs de l’école, comme quoi l’impossible reste possible si l’on veut bien y croire.
Hm. J’aimerai te dire que parmi tous les mélanges de sang possible, les sang-mêlés sont ceux que j’admire le moins. Ils sont loyaux à leurs deux mondes, sans se poser les questions de savoir ce qu’un sorcier de sang-pur comme moi pense des petits moldus, et inversement. Ce sont, entre autre, des lâches. Le terme paraîtra barbare mais il est de mise. Ce n’est pas une haine mais une rancoeur.

Malgré cela, tous sommes confrontés aux mêmes galères. Livrés à ceux qui s’adonnent à des guerres individualistes sans penser à leur famille, à ceux qui les aiment. A leurs amis. Ils oublient le mal qu’ils font, persuadés que la guerre vaut mieux que des vies. Stupide de mon point de vue, un vulgaire but où l’égoïsme est au dessus des lois. Les thèses passent après les sentiments, ce ne sont que des conventions que jamais tu ne pourras expliquer. Un peu comme le principe du Temps, nous avons décidé de poser un nom sur quelque chose qui n’existait pas. Le Temps n’est rien, personne n’en as jamais eu la preuve. Qui te dit que le temps te fait prendre des rides ? Quelque chose passe, les choses se transforment, mais personne n’a jamais réellement su ce qu’était le temps qui passe. Pourtant tu as déjà entendu quelqu’un dire qu’il était long, et qu’est-ce que la longueur ? Ça aussi tu n’en as pas la moindre idée sans un point de départ, lui aussi inconnu. Cercle vicieux.

Bien, maintenant que tu me connais un peu mieux, je pense que je peux te dire qui je suis. Néanmoins, c’était sous tes yeux dès le début mais tu n’as rien vu. Soit tu as lâché prise bien avant d’arriver ici et mon identité n’est qu’un vague fantôme, soit tu as tenu jusqu’ici et la curiosité ne cesse de te garder à mes côtés. Ou alors, as-tu déjà trouvé ?

Sache que je n’ai jamais tenu à te mentir.
Un jour seulement tu te rendras compte.
Il était là, gravé d’une encre noire.
Longeant harmonieusement les plis de cette lettre
Et d’un seul coup
Apparaissant comme par magie
Bien formé et lisible.
Hélas, accordons-nous sur le fait que trop peu savent chercher et
Avec lucidité, tu peux te dire que tous sont devenus l’égal du
Néant aux yeux du Temps.

Mais ne te décourages pas.
Et j’espère que dans ce message tu as pu comprendre,
Vainement s’il le faut, la réalité des choses.
Encore une fois, tout n’est que perception.
N’est que subjectif.

Grands enfants que nous sommes, car tous ici sommes encore des embryons écervelés
Recevons cette conscience si personnelle,
Ainsi dire, si impersonnelle.
Nous nous copions les uns les autres,
Tout en perdant à jamais notre particularité.

Alors fuis, avant que je ne te rattrape.





A
m
a
l
y
a
Je pense que depuis le temps vous me connaissez hein. J'ai pas trop changé mais tadaaaa, me revoilà encore et encore. Toujours présente. La fiche paraît sûrement très lourde et condensée, mais c'est l'effet voulu et je pense - j'espère du moins- que ça se lit assez bien. Comme demandé à Darwin (même si elle avait pas compris), le pseudo sera changé à la validation. Des bisous !  
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Oscar L'Ourson


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Re: Tu m'appris que rien n'était à moi hormis ma vie. Que rien ne sera à moi hormis ma mort.
11.10.16 21:26

Bienvenue bbphoque, appelle-toi Arti stp. (bientôt je viendrai à bout de cette fiche swag)
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Invité


Anonymous





Re: Tu m'appris que rien n'était à moi hormis ma vie. Que rien ne sera à moi hormis ma mort.
11.10.16 22:06

Merci bbours
Tu me l'aurais dit avant, j'aurai pris Arti en prénom, mais c'est too late krkr.

(Tu y arriveras, courage.) fab
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Neutre & Sigma
Oscar L'Ourson


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Re: Tu m'appris que rien n'était à moi hormis ma vie. Que rien ne sera à moi hormis ma mort.
11.10.16 23:00

JE SAIS QUI TU ES OMD. :(((( Grâce à Nygma. & Dooonc cette fiche m'a trituré le cervelet et c'est insinué un peu partout. C'est très... Intimiste comme façon d'écrire. J'ai aimé le changement de personne. La façon dont ton personnage prend de l'assurance et devient plus intime avec le lecteur aha. J'ai genre trouvé ça un peu hum malsain sur les bord et c'est un compliment je te jure. Si ton perso devient serpy mdr je ris. Dis lui de rester loin de ma tête à ce Monsieur G. Lel. On devrait commencer à bien s'entendre avec Winnie. Tmtc

Adieu.

Ps; Duke le canard. J'ai ris.
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Cecil Manor


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Re: Tu m'appris que rien n'était à moi hormis ma vie. Que rien ne sera à moi hormis ma mort.
12.10.16 12:14

Re-bienvenue avec ce perso ♥

J’espère que tu pourras l’exploiter comme tu le veux en RP !
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Darwin J. Moore


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Darwin J. Moore





Re: Tu m'appris que rien n'était à moi hormis ma vie. Que rien ne sera à moi hormis ma mort.
13.10.16 22:54

♥️♥️ Tralala tsoin tsoin je suis une banane de ne pas avoir compris mais maintenant tout est claiiiir !! Ta fiche était tellement géniale, ça en valait le détour ? J'ai adoré c'était vraiment différent de ce que j'ai l'habitude de lire ou de valider ? J'étais en mode mais ou vais-je le mettre hihi puis sa badassitude a fini par faire pencher la balance en direction des SERDAIGLES MAGGLE !! J'espère que tu continueras à te plaire ici et anyway si tu as besoin de quoique ce soi hésite pas je t'aime d'amour et j'ai super méga ultra hâte que tu rps avec lui et bref I'M GOING TO STALK YOU sparkle AH ET dernier mot promis et après j'arrête de parler mais ce choix de feat par merlin tu vas me tuer !!!! ♥️♥️




serdaigle !


Félicitations ! Le choixpeau a bien lu dans ton esprit et t'as réparti dans la maison des érudits qui veulent tout connaitre. Tu peux maintenant te balader sur le forum comme tu le désires. Nous te conseillons de suivre Être un sorcier pour les nuls qui te guidera pour faire des premiers pas sur le forum !
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Re: Tu m'appris que rien n'était à moi hormis ma vie. Que rien ne sera à moi hormis ma mort.

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