▬ Matière favorite : Langues des créatures et hybrides
▬ Meilleurs amis : Boursouf aux couleurs pastel violet et bleu, sans nom fixe.
1 m 94 | Cheveux brun | Yeux noirs | Peau pâle | Plusieurs tatouages, tous magiques | Porte une chevalière aux armoiries familiales | Charisme indéniable | Aura froide et menaçante| feat - Nico Di Angelos // Kol Mikaelson
Caïn c’est le gouffre.
Caïn c’est le hurlement dans la nuit, le déchaînement d’émotion, l’amertume du citron mélangé à un goût de cendre.
Caïn c’est la méprise. La méprise dure, celle qui frappe, celle qui tire les larmes. Celle qui arrache de gros sanglot alors que le cœur tombe en morceau et que la fierté se déverse par la peau lacérée de ses remarques acerbes
Caïn c’est la menace froide d’un homme en colère. C’est l’ombre qui plane au-dessus comme une épée de Damoclès. C’est les émotions primitives, exacerbés en une pointe de lance parfaitement aiguisée. Il frappe, il assène, il domine. Il manipule
Caïn c’est l’homme du contrôle. L’homme qui anticipe, qui contrôle, qui a toujours trois coup d’avance. C’est celui qui mesure, qui calcule derrière un masque de fausse empathie. C’est l’acteur, le comédien qui se pavane sur la scène une heure durant. C’est celui qui domine. Ses relations, les autres, son monde. C’est une main de fer sans gant de velours. C’est un chat, un félin terrible, qui joue encore et encore avec ses proies, qui en extrait tout ce dont il pourrait avoir besoin.
Caïn c’est l’absence de cœur, l’absence d’amour. C’est la haine en excès et une colère grandissante. C’est le jouer d’échec, le manipulateur de mot.
Caïn c’est le leader par excellence. C’est un charisme suintant par ses pores, lourd, voire presque écrasant. C’est la voix posée, douce, qui rassure. C’est le démagogue.
C’est la froideur logique d’un homme qui sait, qui comprend, qui apprend seulement par profit.
Caïn c’est le travailleur et l’ambitieux réunit en un seul être. Etre le meilleur, partout en tout, en une éreintante course éternelle vers la victoire.
Caïn c’est le désespoir et la solitude, le handicapé social qui ne sait plus vivre en communauté. C’est le gamin perdu au milieu des grands, c’est le petit bout qui pleure dans son coin puis qui se reprend.
Caïn c’est aussi le romantique, qui croit au grand amour, comme si un bout de son enfance perdurait dans l’âme fragilisée du jeune homme.
Caïn c’est l’épuisement, le vieillard arrivé au bout de sa course. C’est l’être faussement lasse qui ne croit plus en rien parce qu’on a jamais su lui apprendre.
Shrewbury. Un nom. Un simple nom qui ne devrait pas sonner aux oreilles des gens. Ne devrait pas. Mais ça, c'était il y a 200 ans.
Shrewbury. C'est le pouvoir. la marque de l'appartenance à deux mondes. Celui des sorciers, abhorrer, haïe jusqu'à la moelle mais pourtant si respecté. Si impressionnant. Celui des Moldus. L'amour. La paix. L'argent. La reconnaissance.
Shrewbury. C'est l'histoire d'une famille à deux facettes, le déchirement entre l'obscurité et la lumière. C'est l'affrontement de deux espèces. C'est la magie face à la technologie. L’anonymat face à la célébrité. Le commerce face à la politique.
Shrewbury. C'était le pouvoir. Un pouvoir qui devait devenir absolu. Pour corrompre absolument.