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 I will learn, I will learn to love the skies I'm under.

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Duelliste illégal
Siobhan MacLochlainn


Messages : 124

Date d'inscription : 17/10/2016

Feat : Red - Transistor. Irl: Dakota Blue Richards

Siobhan MacLochlainn





I will learn, I will learn to love the skies I'm under.
08.01.17 1:51

Siobhan MacLochlainn

FEAT Red - Transistor


JE SUIS Siobhan MacLochlainn, J'AI 19 ans. JE SUIS irlandaise ET MES PARENTS SONT des moldus. JE SUIS EN 4ème année ET J'ÉTUDIE double cursus médicomagie/SSAF OPTION vol sur balai appliqué, techniques et stratégies de vol, vol sur dragons . JE FAIS PARTIE DES duellistes illégaux ET MA MAISON EST attendre la répartition. J'AIMERAIS RAJOUTER QUE Siobhan est une passionnée de sport de toutes sortes et ne rechignera jamais à participer à une compétition. Elle est également assez grande, faisant un peu plus d'un mètre quatre-vingt et paraît plus âgée que ses dix-neuf ans.

❝ Il se rit des plaies celui qui n'a jamais été blessé. ❞

MON ÉPOUVANTARD ce sont mes parents qui me tournent le dos et s’éloignent sans même un dernier coup d’oeil.
L'ODEUR DE L'AMORTENCIA  est l’odeur de la rosée matinale qui se dégage des plaines qui entourent la maison familiale ainsi que du jasmin et des mandarines.
MA BAGUETTE EST FAITE DE Bois de frêne, cheveu de Vélane, 27,5cm, largeur commune, assez flexible.
MON PATRONUS est un niffleur.
MA MATIÈRE FAVORITE EST le vol sur dragon, mais toutes les matières générant un tant soit peu d’adrénaline me plaisent forcément
JE SUIS DOTÉ d’aucun don
ET J'AI souvent des marques de coups ou des griffures ça et là. Et je porte toujours mes pendentifs en double et j’ai notamment deux croix en permanence autour du cou.
MES MEILLEURS AMIS SONT deux rats dumbo, Dumb et Dumber.




Caractère.

Une jeune fille souriante, pleine de vie, qui n’hésite jamais à participer à une activité pour peu qu’elle soit dangereuse ou qu’il y ait une première place à décrocher. C’est ça que l’on voit de Siobhan au premier coup d’oeil. Puis, lorsqu’on creuse un peu, on voit surtout qu’elle fuit quelque chose. Quelqu’un. Quelqu’un qui n’est plus là pourtant ou… Peut-être elle-même aussi. Elle tente de paraître forte, de montrer qu’elle est à toute épreuve, que rien ne peut la laisser sur le carreau et pourtant, elle a ses moments de faiblesse aussi. Ces moments où elle veut juste ressentir autre chose que la solitude qui la ronge et l’accompagne comme une amie fidèle. Parfois, elle viendra se coller à une personne qu’elle affectionne, réclamant son attention, sa tendresse, son amour peut-être. Cet amour qui lui manque maintenant que sa seule famille lui reproche leur malheur. Et puis à d’autre moment, elle pourra être comme un animal blessé qui montre les crocs plus pour se protéger que pour réellement attaquer (même si se battre n’a jamais été un problème pour elle). Elle vous hurlera qu’elle veut rester seule quand son coeur, lui, n’attendra que ce moment où vous la serrerez dans vos bras. Cette agressivité se présente souvent lorsqu’on lui parle de sa soeur. Jamais. Il ne faut pas, il ne faut plus. Pas qu’elle veuille l’oublier, ça non, ça n’arrivera jamais. Mais elle veut pouvoir la garder pour elle seule. Elle protège chaque souvenir de Madailéin comme des pierres précieuses que rien ni personne ne doit altérer. L’adrénaline est devenue sa seule alliée dans cette lutte contre la déprime qui la guette depuis. La recherche de cette force est la seule chose qui la rattache au présent et la pousse à aller de l’avant, quitte à se mettre en danger parfois, voire même souvent.


Histoire.

Madailéin inanimée, ses grands yeux bleu clair ouverts et à l’arrière de son crâne meurtrie son sang s’écoulant, celui-ci recouvrant le tapis de roches sur lequel elle reposait maintenant. Une chute. Une seule chute. Et cette image, l’image de sa main frôlant de peu la sienne, défilait au ralenti. Et sa voix, prononçant le prénom de sa soeur. Le dernier mot qu’elle prononça.

Siobhan s’éveillait en hurlant, comme souvent depuis la disparition de sa soeur. La sueur perlait sur son front, ses mains tremblaient, sa respiration se faisait forte alors même qu’elle commençait à comprendre qu’il ne s’agissait qu’un énième cauchemar.

Une fois de plus, le souvenir de sa soeur la hantait, la rongeant un peu plus chaque fois. C’est une simple chute qui lui aura coûté la vie. Comment ? Pourquoi ? Ce n’était pas logique. Ce n’était pas possible. Il n’avait fallu que d’une erreur, un instant d’inattention, une corde mal clippée dans la dégaine. Un geste pourtant si souvent répété au fil des années d’expérience qu’elles avaient accumulé toutes les deux dans ce sport qu’elles affectionnaient tant.
Mais ce jour-là, Madailéin était distraite et Siobhan, qui habituellement vérifiait exagérément l’équipement de sa soeur, ne l’avait pas fait. Non pas qu’elle ne le souhaitait pas, mais sa soeur était tellement pressée de grimper les falaises de granite de Glendalough afin de battre le record de leur père que cette dernière étape lui échappa.

Comme souvent, les vacances d’été de la famille MacLochlainn étaient rythmées d’activités physiques en tout genre. De l’escalade, évidemment, et puis bien d’autres sports de moldus, les parents des jumelles étant bien loin du monde des sorciers auquel appartenait maintenant les rouquines. Ils avaient été surpris, évidemment, lorsque les lettres pour Poudlard étaient parvenues jusque dans leur demeure d’Irlande, mais ils comprenaient aussi qu’elles étaient spéciales et admiraient cette particularité, les rendant d’autant plus fiers de leurs enfants.

Mais voilà, la magie ne fait pas tout, malheureusement.

Siobhan tentait de trouver à nouveau le sommeil, mais ses doutes et ses questions ne la quittaient jamais vraiment.

Pourquoi n’avait-elle pas trouvé de sort pour ralentir la chute de sa soeur ? Pourquoi n’avait-elle pas en tête un moyen de la soigner avant qu’elle ne pousse son dernier soupir ? Comment une sorcière pouvait-elle décéder d’une façon si… commune ?

A travers ces interrogations, c’était la voix de leurs parents qui résonnait dans la tête de la jeune fille. Ils n’avaient pas compris pourquoi Siobhan n’avait rien fait et pourquoi leur fille, de quelques minutes son aînée, venait de mourir sous leurs yeux.

La main de la rouquine se porta à son cou et vient saisir les deux croix qu’elle portait, venant les empoigner tout en fermant les yeux, laissant alors s’éloigner ses nombreuses interrogations, les remplaçant par des prières destinées à sa soeur et au Dieu auprès duquel, elle reposait dorénavant.
____________________________

Le moteur de la monture mécanique vrombissait à des kilomètres à la ronde alors que Siobhan ne cessait d’accélérer encore et encore sur la ligne droite qui s’offrait à elle. Le soleil était à son zénith et voilà plus d’une heure maintenant que la jeune femme parcourait des kilomètres à travers les vertes plaines irlandaises. Là où habituellement, on dévore les kilomètres qui nous séparent d’un point de chute, Siobhan cherchait plutôt à s’éloigner le plus possible de celui d’où elle était partie. La maison familiale. Celle qui l’avait vu grandir. Celle qu’elle ne supportait plus aujourd’hui. Toutes les excuses étaient bonnes pour s’en éloigner.

Puis une courbe soudaine, un freinage trop tardif, un coup de guidon qui vrilla la roue, fit basculer la moto. Son coeur battait à toute allure sous sa carapace de cuir et de plastique, seule protection qui la séparait de l’asphalte. Et la voilà qui se retrouvait à glisser sur le bitume, suivant la trajectoire de la machine qui ne tarda pas à terminer sa course contre une glissière de sécurité.

Finalement, ce fut le silence. L’absence de mouvement. De longues minutes sans trace de vie.

Puis, un tressaillement, brusque, mais rassurant.

Siobhan se dégagea de la moto en gémissant quelque peu puis se releva miraculeusement indemne, ou presque. Elle boitait légèrement, mais au vu de la chute qu’elle venait de faire, on pouvait clairement voir cela comme un signe que la jeune fille était protégée par une bonne étoile.

Cela faisait un an maintenant depuis la mort de sa soeur et Siobhan, qui jusque-là était la plus tempérée des deux, avait fini par brûler la chandelle par les deux bouts, ne se fixant plus aucune limite, de la même façon que sa jumelle pouvait le faire lorsqu’elle était présente à ses côtés.

Peut-être le faisait-elle afin de vivre la vie qu'aurait souhaité avoir Madailéin, peut être pour que leurs parents cessent enfin de la blâmer de cette disparition en la retrouvant partiellement à travers elle ou simplement pour se sentir en vie alors qu’elle n’en avait plus le goût depuis qu’une partie d’elle-même s’était éloignée.

Une chose était certaine, Siobhan n’agissait plus que pour son plaisir et suivait uniquement le fil de ses désirs. Rien ni personne ne comptait à ses yeux, seul le souvenir la faisait tenir.

L’adrénaline et la compétition. C’était sa seule obsession maintenant. Elle ne vivait que pour ressentir ces émotions qui lui rappelaient les compétitions qu’elle et Madailéin se fixaient jour après jour. La première qui arriverait à l’arrêt de bus. La première à faire trois tours de quartier à vélos. La première à grimper au sommet de la falaise…

Un soupir lui échappa une seconde avant de retirer son casque, comme regrettant un instant de ne pas avoir rejoint celle qui lui manque tant.
____________________________

Juillet 2014 - Comté de Dublin

“Allez dépêche toi Banana, j’ai envie de profiter du beau temps pour m’entraîner !”

Madailéin sortait de la maison en courant, un balai à la main, se tournant parfois pour vérifier que sa soeur la suivait toujours.

“J’ai bien l’intention de faire partie de l’équipe de Quidditch cette année et pour ça, faut qu’on s’entraîne.”
“C’était pas du vol sur dragon que tu voulais faire ? Mad’, tu changes d’avis comme de chemise, tu le sais ça ?”
Siobhan se mit à rire mais suivait sa soeur malgré tout.
“Et puis, pourquoi tu veux que j’en fasse partie aussi ? J’en ai pas plus envie que ça moi. Je veux dire, toi comme moi, on a jamais été faites pour les jeux d’équipes.”

Madailéin lâcha son balai et sauta sur sa soeur, l’enlaçant un peu brutalement.

“Mais Bananaaaaa ! Si t’es pas là, c’est moins drôle enfin ! On sera pas juste dans une équipe, on va représenter nos couleurs, on va se faire encourager par nos camarades et on va se défoncer pour battre les autres, ensemble, toutes les deux ensembles, c’est pas rien quand même, de pouvoir faire la fierté de notre maison. Et puis oui, je veux aussi faire du vol sur dragon, il faut bien que j’apprenne à les connaître si je veux devenir traqueuse de dragons, pas vrai ?” Elle déposa un baiser sur la joue de sa jumelle et lui secoua la tignasse en la relâchant. “Après... si t’as peur de pas être à la hauteur de ta grande soeur, je peux comprendre…” Elle récupéra son balai et le chevauchait en décollant presque aussitôt, se mettant à rire de tout son coeur.

“Eh ! T’as deux minutes de plus que moi, arrête de remettre ça sur le tapis à chaque fois !” Hurla la rouquine en suivant sa soeur, démarrant une course dans les plaines verdoyantes qui devenaient chaque été leur terrain de jeu, bien loin des possibles regards moldus.

Le rire de Madailéin résonnait aux oreilles de Siobhan et lui arrachait un large sourire qui illuminait son visage comme rien d’autre ne pouvait le faire.

Puis un hurlement la ramena à la réalité.

Octobre 2016 - Poudlard, terrain de Quidditch

“Eh MacLochlainn, tu te réveilles ? Va porter à boire aux équipes, plus vite que ça, le match va pas durer longtemps si les joueurs finissent tous déshydratés à l’infirmerie.”

Et oui, le rêve de Mad’ était bien loin maintenant. Après l’accident, Siobhan n’avait pas été en cours durant plusieurs mois, incapable de se remettre de cette perte. Plus que des cours, elle avait raté les premières compositions d’équipes, ne participant d’ailleurs pas à grand chose cette année-là, restant dans son coin, s’isolant du reste du monde. Finalement, elle se rattacha à cette soif de vivre qui caractérisait Madailéin et décida de continuer à avancer malgré tout, reprenant petit à petit un rythme de vie presque normal. Les années suivantes pourtant, c’était son caractère qui avait trop changé et qui l’avait empêché de réussir les essais. Individualiste, difficulté à s’intégrer dans une équipe et surtout, beaucoup trop de mal à ne pas penser à sa soeur lorsqu’elle passait les sélections. Finalement, le seul poste qui restait à sa portée était le rôle de porteur d’eau. Rien de glorieux, bien loin des ambitions de victoires et de gloires de Siobhan et pourtant, elle aimait cette responsabilité qui, malgré tout, la satisfaisait et lui permettait d’avoir un semblant d’importance dans la compétition.
____________________________

Siobhan tournait en rond dans la salle commune qui était rempli d’élèves à cette heure de la journée. Elle observait, restant à l’écart des groupes qui s’étaient naturellement formés dans la pièce. Ce n’est pas qu’elle ne souhaitait pas se mêler aux autres, ça, elle le faisait rarement, mais ça lui arrivait parfois. Non, cette fois, c’était l’une de ces fois où elle se sentait comme prise d’un besoin essentiel qu’elle devait assouvir le plus tôt possible. Son regard passait d’un visage à l’autre, essayant d’analyser qui était présent, ce que chacun faisait, ce qu’ils pouvaient avoir l’intention de faire par la suite. Elle cherchait une opportunité, une brèche à exploiter.
Finalement, elle s’éloigna, grimpant vers les dortoirs des filles. Calmement. Beaucoup trop calmement. Peut-être pour ne pas éveiller les soupçons ? Possible. Ou peut être parce qu’elle savait que sa torture allait prendre fin sous peu.

Elle s’arrêta à un étage. Pas le sien.

Elle regardait les tables de chevet, les lits, les coffres au pied de ses derniers. Puis, elle arrêta son regard sur un morceau d’étoffe qui dépassait d’une des malles. Elle s’approcha et l’attrapa d’une main. C’était un châle simple, sans grande valeur, sans particularité. Mais Siobhan le saisissait pourtant, l’observant un instant, juste avant de le glisser sous sa robe de sorcière, essayant de se faire la plus discrète possible en repartant avec le dit objet.

Son coeur frappait dans sa poitrine, s’accélérant à chaque pas qu’elle faisait, à chaque fois qu’elle croisait une personne.

Est-ce qu’ils allaient s’en rendre compte avant qu’elle ne s’éloigne du lieu de son larcin ? Peut-être quelqu’un l’avait-il déjà vu, peut-être qu’un sort allait la trahir et révéler ce qu’elle avait fait. L’angoisse et l’excitation se mélangeaient dans ses veines, la parcourant de part en part et Siobhan adorait cette sensation d’ivresse qui la traversait.

Elle se retrouva finalement dans la salle commune, mais ne s’y arrêta pas, sortant en récupérant son balai au passage, comme si elle voulait simplement aller s'entraîner. Ce n’était évidemment pas pour cette raison qu’elle chevaucha son balai, mais pour rejoindre un recoin sous les toits qu’elle avait repéré avec Madailéin dans les premières années qu’elle et sa soeur avaient passé à Poudlard. C’était une sorte de niche qui avait abrité un nid avant que Siobhan ne le réquisitionne pour y placer son butin. Elle ajouta le châle à une liste de trésors aussi divers que sans valeur pour la plupart : une cuillère, un rapeltout, un dictionnaire de langue des trolls, un marque-page, une pantoufle et bien d’autres choses encore.

Le résultat n’était pas l’important, ce qui l’était, c’était la sensation, le risque, l’adrénaline.

Ce n’est qu’une fois le châle déposé dans sa nouvelle demeure et Siobhan éloignée des toits que son coeur se calma et reprit un rythme normal. Elle n’était pas satisfaite de ce qu’elle venait de faire et pourtant, c’était plus fort qu’elle. Elle ressentait ce besoin de se saisir d’un objet qu’elle ne devait pas prendre et de se l’approprier. Étrangement d’ailleurs, elle n’utilisait pas la magie pour faire cela, comme-ci c’était trop simple d’user d’un sort de dissimulation ou un autre du genre. C’était l’adrénaline de l’interdit qui importait, plus que la réussite de son délit. C’est ce qui la faisait tenir. C’est ce qui la maintenait en vie.


PHOENIX.

Coucou les enfants, je vous présente donc comme prévu la relève après le départ de Luna qui est partie vivre d'autres aventures loin de Poudlard o/. (Dada tu me frappes pas si je devais pas encore poster hein D8)



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Neutre
Zephyrus S. Boswell


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Zephyrus S. Boswell





Re: I will learn, I will learn to love the skies I'm under.
08.01.17 11:19

Blbll. love
Beauté.
Aller c'est la dernière ligne droite ! Il me tarde de te voir la jouer !
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Elenore Gee


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Elenore Gee





Re: I will learn, I will learn to love the skies I'm under.
08.01.17 11:35

Whaaaa j'aime trop pour l'instant *^* On parlera dragons toutes les deux hein? Elenore sera ravie de faire sa connaissance en tout cas hihihi, rebienvenue!
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Duelliste illégal
Siobhan MacLochlainn


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Siobhan MacLochlainn





Re: I will learn, I will learn to love the skies I'm under.
08.01.17 16:51

Love sur vous love Vous êtes chou !
J'ai hâte de commencer à la jouer aussi sparkle
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Devin Travis


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Devin Travis





Re: I will learn, I will learn to love the skies I'm under.
08.01.17 23:46

Lulu jtm - heuuuu Siosoi JTM love love
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Personnel
Finn Andersen


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Finn Andersen





Re: I will learn, I will learn to love the skies I'm under.
09.01.17 0:13

Luluuuuuuuuu love
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Darwin J. Moore


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Crédits : Anton ♥♥

Darwin J. Moore





Re: I will learn, I will learn to love the skies I'm under.
09.01.17 9:29

Hey hey hey ♥️♥️
Ça va être difficile de s'habituer au nouveau pseudo arghh ! Je te souhaite pour la deuxième fois la bienvenue sur le forum ! J'espère que tu continueras de t'y plaire. ♥️ Siobhan est un personnage génial ! J'ai aimé lire ta fiche même si lire l'histoire faisait par moment mal au coeur ! J'ai hâte de voir comment elle va évoluer et comment ses rencontres vont l'influencer arghh je ne tiens plus. Du coup je te valide vite vite en espérant que tout se passe bien, si tu as le moindre problème je suis là et surtout bon jeu sur FW heartheart




gryffondor !


Félicitations ! Le choixpeau a bien lu dans ton esprit et t'as réparti dans la maison des fougueux et courageux. Tu peux maintenant te balader sur le forum comme tu le désires. Nous te conseillons de suivre Être un sorcier pour les nuls qui te guidera pour faire des premiers pas sur le forum !

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