Hear me roar !

MON ÉPOUVANTARD ϟ  C'est la peur en elle même. Il m'a fallu un moment pour le comprendre. Instable est le mot juste pour le décrire, il prend plusieurs formes, s’accommodant de la peur qui est la plus présente dans mon esprit dans l'instant. Cela fait bien longtemps que je n'en ai pas croisé un... mais quoi qu'il en soit, je ne sais jamais à quoi m'attendre avec un épouvantard, à par flipper ma race.

L'ODEUR DE L'AMORTENCIA ϟ  Est pour moi celle du cuir neuf, de l’encens dans les temples, des épices sur un marché et de l’herbe coupée dans un champ en Été.

MA BAGUETTE EST FAITE EN ϟ  Bois de frêne, le cœur est une plume d’oiseau-tonnerre, elle mesure environ 38 cm tout en restant relativement fine et elle est flexible, légèrement élastique. Plutôt caractérielle, elle m'en a fait baver dans ma jeunesse, mais aujourd'hui nous sommes de bons complices.

MON PATRONUS ϟ Un majestueux hippogriffre.

JE SUIS DOTÉ ϟ  De tellement de trucs badass, qu'en faire la liste ici serait bien trop long.

ET J'AI ϟ  Beaucoup de cicatrices, des plus importantes que d’autres, mais j’en ai plus ou moins partout. J’ai aussi des runes tatouées sur l’avant bras gauche, étant un tatouage magique, elles changent selon mon humeur en général.

MES MEILLEURS AMIS SONT ϟ  Un couple de chats norvégiens répondant aux noms de Piti et Ponk. Mon courrier est assuré par une petite chouette hulotte s'appelant Vina. J’évite plus original, vue que j’ai failli me faire virer en cinquième année à cause de l’animalerie que je me trimbalais à l’époque.

Benny… Ô Benny !
Tu n’as pas vraiment grandis ou changé depuis l’adolescence. En fait, ça remonte à encore plus loin quand on y réfléchi bien…

Le temps a fait son œuvre, pourtant tu fouette toujours autant le charisme à plein nez ; tu n’en reste pas moins quelqu’un de brave et de courageux, prêt à sauter dans la gueule du loup pour venir en aide au plus défavorisé. Tu as toujours un peu de mal à la boucler quand il faut la fermer, mais tu travaille dessus… oui parce que tu n’es pas de ceux qui s’écrasent en ne disant rien, tu n’aimes pas que l’on vienne te dicter ta conduite, et cela ne date pas d’hier, mais tu as appris à prendre les conseils et a tout mettre en œuvre pour les appliquer.  C’est ce que tu essayes vainement de faire comprendre à tes écervelés d’élèves.
Prométhée, tu es toujours aussi déterminé, engagé et fier, tu t’es un peu calmé avec ton côté cru et ta grande-gueule, faut pas donner le mauvais exemple aux enfants, mais tu sais que ce jeune garçon insolant et farceur traine quelque part, dans les méandres de ton passé et que de temps en temps, l’instant d’une blague, il refait surface dans le présent.

Passionné, tu es souvent fasciné par un rien, par la simple beauté de la vie qui suit son cours et s’écoule. Tu n’as jamais étais très doué dans les matières qui demande une certaine part artistique, t’as juste un bon sens du rythme. Tu es resté curieux et réfléchie un minimum, tout en essayant de remballer ton orgueil naturel et ton impatience.
Tu es loyal Prométhée et tu crois, tu crois de tout ton cœur. On peut te faire confiance pour garder un secret, tu es un homme de parole. Tu es gentil et drôle, jovial à souhait.

T’es colère sont comme un orange d’été : violentes et dévastatrices, mais de courte durée. T’es un peu brute Benedict des fois, mais toujours attentionné. En vrai, même si tu penses clairement que les gamins ont besoin de se casser la gueule pour mieux comprendre, tu te sens toujours mal quand un môme se fait mal dans ton cours… surtout que généralement ils ne font pas semblant de crier les pauvres.
Tu veux aussi te montrer impartial avec tes élèves, même s’il faut avouer qu’avec certains des fois t’as du mal à garder ton calme, mais bon, les railleries tout le monde y a droit, comme aux surnoms de merde. Tu reste quand même un minimum professionnel… ou pas.
Une tête de mule. Oh oui Benny, t’es inarrêtable quand t’as une idée en tête, même quand tu sais que cela va mal finir. Trop tard, tu fonces dans le tas… parce que t’es une pile électrique.

Heureusement tu t’es assagis, mais tu restes et demeurera sûrement à jamais un tourbillon. Un grand enfant. En un sens, tu es un homme stable et positif, qui sait ce qu’il veut dans la vie.

Caroline Hécate Fontaine était une jeune sorcière Française issue de deux parents moldus. Enfant acharnée et travailleuse, malgré son statue de sorcière elle avait toujours été la petite prodige de la famille, la fierté de ses géniteurs. Visant avec ambition une carrière en politique, mais ça c’était avant qu’elle ne rencontre Angus Isaac Thestral en stage à la fin de ses études à Poudlard, l’école de magie Britannique.
Angus était un charmant garçon, avec un fort accent gallois et de très beaux yeux verts. Il était aussi blond que Caroline, qui elle avait en contre partie les yeux bleus. Sympathique, agréable et fort charmant, il était un Pouffsoufle. Ce qui était le plus intriguant chez Angus, était bien sa capacité à s’entendre avec un large éventail de créatures magiques. La fois où Caroline lui fit remarquer son don certain, il lui répondit, sourire aux lèvres, aussi simplement que cela :

▬ Il n’y a rien de bien féroce ici, du moins, pas autant qu’un dragon.

A ses mots, il avait désigné la balafre lui barrant la face. Caroline en fut aussi surprise que fascinée. Elle le questionna durant des jours, des semaines mêmes et il ne semblait pas s’en lasser. Lui racontant sa jeune enfance dans l’élevage de Vert Gallois de son père, lui disant que ça serait son aîné qui reprendrait l’affaire, mais qu’il se nourrissait tout de même d’un projet autour de ses créatures aussi dangereuses que magnifique : les dragons.

Une passion enfantine, brève aurait-on pu dire, pourtant elle continua, persistant jusqu’à la fin des études de Caroline, qui était en sixième année à Beauxbâton à l’arrivé du jeune anglais.
Le désir de découverte d’Angus était insatiable, malgré les nombreux voyages qu’ils ont pu faire après leur hâtif et rapide mariage. Il avait prévue de partir pour la Scandinavie, dans un lieu se situant à mi chemin entre la Norvège et la Suède… mais c’était sans compter sur la grossesse de Caroline. Il lui était dangereux de prendre l’avion, donc son époux devrait attendre la naissance de ses deux futurs jumeaux avant de partir faire son élevage de dragon dans une contrée aussi froide.
L’attente fut légèrement plus longue, un nourrisson ne pouvant prendre l’avion trop tôt. Heureusement, Angus se complaisait dans sa toute récente paternité. Deux garçons, blonds comme les blés et aux yeux aussi bleus que les eaux bordant les îles tropicales. Terrence Hélios Thestral et Benedict Prométhée Thestral. Deux petites tornades intrépides et pleines de vies ; Caroline et Angus ne devaient pas s’inquiéter de s’ennuyer, ils seraient pour un long moment occupés, très occupés.

Caroline continuait entre autre une formation toujours dans le droit et la politique, mais à la maison ; alors qu’Angus bossait dehors, dans le jardin avec des dragons. Pas réellement éleveur au bout du compte, il s’occupait des blessés ou dans un sale état pour les remettre sur pieds. Ce qui n’était pas un boulot des plus facile, déjà qu’un dragon en bonne santé n’est pas doux comme un agneau, alors un qui est mal en point n’est que plus hargneux à cause de la douleur. Il prenait beaucoup de risques, ce qui inquiétaient sa femme, surtout que les jumeaux semblaient fortement fascinés par les créatures à l’extérieur. Caroline s’occupait de leur faire l’école à la maison, ils habitaient bien trop loin du monde moldus pour fréquenter une école et puisque aussi bien Terry que Benny, déclenchèrent leur magie relativement tôt, aux alentours de leur six ans.
Dans le cas de Benedict cela se déclencha durant une bataille de polochons. Il y avait des plumes partout, les oreillers ayant presque rendu l’âme et soudain, tout se figea. Les plumes étaient figées en l’air. Benny perplexe avait regardé son frère, lui demandant si c’était lui et Terrence lui fit simplement non de la tête. Prométhée leva alors les mains en l’air et les plumes suivirent le mouvement. Les deux frères se mirent à hurler de joie, appelant leur mère qui s’émerveilla à son tour avec ses fils un instant, avant d’appeler leur père.

En fin d’année, Caroline donna naissance à un autre enfant, le dernier. Une magnifique petite fille blonde aux yeux verts comme son papa. Queenie Astéria Thestral. Ses deux aînés étaient émerveillés de sa venue au monde et ne pouvaient pas le cacher. Ils allaient la trainer par tout avec eux, sauf près des dragons, qu’ils avaient plus ou moins le droit d’approcher depuis leur magie éveillée.

▬ C’est d’abord beaucoup d’observation, à distance. Leur expliquait Angus avec calme. Même s’il donne l’impression de ne pas faire attention à vous, il sait que vous êtes ici. Demain, on s’approchera un peu plus et la fois d’après encore un peu… il faut y aller progressivement et ne jamais brûler les étapes.

Ce n’était pas réellement dans l’idée d’établir une relation de confiance, mais un peu tout de même, malgré que les dragons ne soient pas des créatures en lesquelles il faille se reposer les yeux fermés. Il voulait leur transmettre tout ce qu’il savait, mais une part de lui craignait le jour où il y aurait un incident… Angus savait mieux que quiconque que pour comprendre réellement le danger qu’ils représentent, il faut se retrouver dans une situation inconvenable, voire, être blessé.

Les garçons grandissaient, Prométhée était plus tête brûlé que Hélios, il était bien souvent celui qui entrainait l’autre dans un tas de bêtises. Pourtant, ce jour là, ce fut une idée de Terrence. L’Été allait commencer bientôt, enfin, tout est relatif au nord de la Norvège et de la Suède quand on parle d’Été.
Enfin, toujours est-il qu’à la rentrée en Septembre les garçons rejoindraient Poudlard. Caroline y tenait, surtout que ça lui permettrait de vraiment se remettre à travailler malgré le jeune âge de Queenie. Seul Angus était un peu réfractaire, mais il restait tout de même de ceux qui disent que  Poudlard est la meilleure école de sorcellerie… même si Dumstrang restait nettement plus près, Caroline y était fermement opposée. Des tensions étaient nés au sein du couples depuis déjà un certain temps, Astéria bien trop jeune n’y faisait pas attention, mais les jumeaux eux le voyaient bien.

Ce jour là, ils voulaient faire une surprise à leur jeune sœur. Leur père soignait principalement des dragons et malgré le froid qu’il faisait ici, il ne récupérait pas que des Suédois à Museau Court ou des Norvégien à Crête. Dernièrement, une Opaloeil des Antipodes avait mis bas. Elle avait été victime d’un trafic et amener chez les Thestral pour être soignée avant d’être renvoyée, avec probablement sa progéniture dans son milieu naturel ; pour l’instant elle bénéficiait d’un enclos spécial, pour ne pas avoir trop froid, malgré que la période estivale se mettait en place.
Terrence avait demandé l’aide de son frère, puisque Benedict était celui des deux qui avait le plus d’affinité avec les dragons et que cela faisait déjà plusieurs mois qu’il venait voir la femelle. Ils espéraient pouvoir montrer les deux petits à leur sœur, sachant que les naissances étaient rares en ce lieu, ainsi que la présence de cette race de dragon. Benny entra le premier, suivi de son frère et de sa sœur. Doucement il s’avança, scrutant… la mère semblait être allée faire un tour, mais il savait qu’il fallait rester prudent ; comme n’importe quel autre animal, une mère n’est jamais bien loin de ses petits. En parlant d’eux, on pouvait les entendre gazouiller dans le nie. Prométhée s’avança le premier, mais pas trop non plus, on ne sait jamais qu’ils éternuent… Terrence et Queenie le rejoignirent et la joie illumina le visage de la petite fille. La voir sourire ainsi et rire légèrement, gonfla le cœur des deux frères. Jusqu’à ce qu’une ombre gigantesque les surplombe.

Prométhée cria à son frère et à sa sœur de courir, de partir le plus vite possible. Il ne pensait pas un instant, ou peut-être que si en fait, réussir à calmer la mère dragon, mais il faut avouer que le plan tourna plus à jouer le rôle de l’appât pour donner une chance a sa sœur et son frère de s’en sortir. L’opération ne fut pas d’un grand succès. Un échec cuisant même.
Angus fut alerté par les cris et les bruits, quand il arriva il réussi à calmer la bête tant bien que mal et a récupérer ses enfants en vies, mais pas spécialement dans un bon état. Tout trois brûlés par endroit et aussi profondément entaillés. Ce fut la goutte de trop pour Caroline, ayant bien conscience que même la magie ne pourrait pas effacer toutes les marques de leurs corps. Les garçons auraient bien pu y rester eux par contre. Des traces de crocs au niveau du flan, du ventre et même dans le dos, ainsi que de multiple contusions pour Benedict… les cheveux avaient cramés, mais la seule trace de brûlure était minime et dans la nuque. Terrence avait de profondes entailles de griffes géantes dans le dos, brûlés après être tombé à plat ventre sous le coup violent de la douleur ; dans l’unique espoir de sauver sa sœur, juste avant que leur paternel n’arrive. Queenie n’était pas la plus amochée des trois, mais bien la seule qui ne pourrait jamais masquer ce terrible accident. L’épaule droite, le haut du bras et le cou de ce même côté porteraient des marques de brûlures ; quant à sa joue droite, une cicatrice partant du fond de la mâchoire inférieure jusqu'au dessous de son œil… elle avait était faite par un coup de queue. La seule chose que trouva à dire Prométhée après fut :

▬ Il avait raison papa… il faut connaître le danger pour vraiment en prendre conscience.

Caroline n’en voulu à aucun de ses enfants, elle balança toute la faute sur Angus, son irresponsable mari, qui selon elle confondait les animaux de compagnie avec des dragons. Elle ne le supportait plus, et cet accident, car cela en était bien un tout de même, était la goûte d’eau qui fit déborder le vase.
Une fois les enfants remis, du moins physiquement, elle prit la décision de rentrer immédiatement avec eux en Angleterre. En réalité elle partie d’abord chez ses parents en France, au moins jusqu’à la rentrée des garçons à Poudlard en Septembre et aussi jusqu’à ce qu’elle trouve la force d’annoncer à Angus qu’elle souhaiter divorcer. La nouvelle fut aussi dure pour lui que pour les enfants, mais Caroline lui expliqua qu’il était trop dangereux pour des enfants de vivre à côté de dragons et que cet accident aurait pu arriver bien avant et aussi être bien plus dévastateur que ce qu’il le fut. L’Anglais ne pu que le reconnaître et se plia a sa décision, malgré le mal que cela lui faisait et il retourna vivre en Scandinavie, seul. Caroline quant à elle s’installa dans les Cornouailles avec ses trois enfants et prépara comme elle pu la rentrer des deux aînés de la famille à l’école de sorcellerie de Poudlard.

L’achat des fournitures fut déjà un émerveillement, surtout celui de la baguette, mais ce n’était encore rien de vraiment comparable à l’arriver à Poudlard. Les bateaux sur le lac, puis la grande salle et la répartition dans les maisons. Le Choipeaux n’a pas eu d’hésitations quant à envoyer les jumeaux Thestral à Gryffondor. C’était le début des frasques qui allait commencer, souvent imaginées par Terrence et mise en application par Benedict, même si l’inverse avait tout de même lieu.
En seconde année ils entrèrent dans l’équipe de Quidditch de Gryffondor en tant que batteurs. C’était un duo imparable qui permit de faire remporter la coupe plusieurs années de suites, avant de prendre les places de Gardien pour Terrence et d’Attrapeur pour Benedict en dernière année. Ils étaient populaires et rare étaient déjà les personnes dans le château n’ayant pas entendu parler d’eux.
Leur troisième année fut un peu spéciale, Poudlard accueillant le mythique Tournoi des Trois Sorciers. Même s’ils ne pouvaient participer aux jeux, ils apprécièrent avec vigueur les épreuves et furent tout aussi ravis de rencontrer des élèves de d’autres écoles. Ce fut leur école qui remporta le tournoi, cassant l’égalité de victoire qu’il y avait entre les Britanniques et les Français au niveau des victoires. Les jumeaux portèrent un certain intérêt pour Beauxbâtons et décidèrent aux travers de lettres d’en parler avec leur mère qui avait fait ses études là-bas.

Au cours de la quatrième année des garçons, une mauvaise nouvelle toucha la famille. Ils avaient habitudes de se retrouver pour les fêtes de Noël, même Angus y était invité et ne manquait jamais une occasion de voir ses enfants. Il continuait son travail, alors que Caroline était entrée au Ministère de la Magie. Quennie pensait qu’ils finiraient peut-être un jour par se remettre ensembles… en parlant d’elle, elle était au centre de la mauvaise nouvelle. Enfin, Prométhée pensait qu’il ne fallait pas voir cela comme quelque chose de mauvais, tout simplement parce que ce sont des choses qui arrivent. Caroline n’était pas vraiment plus dérangée que cela, étant issue d’une famille de moldus, elle serait y faire… c’est Astéria qui était la plus déçu. Caroline avait commencé à s’inquiéter de ne pas voir la magie s’éveiller chez sa fille. Elle avait elle-même était plutôt précoce et les jumeaux aussi… ce qu’elle avait surtout voulu faire en faisant ce test, c’était éviter la possibilité d’un obscurial, même s’ils sont très rares. La réponse donnée fut plus rassurante : cracmolle.
L’enfant le vivait mal. C’est ainsi que Benny et Terry se promirent de lui envoyer des lettres toutes les semaines pour lui parler de ce qu’ils faisaient, comme si elle était là… ils lui donnèrent aussi leur livres de magies les plus en états des années précédentes et continuèrent jusqu’au bout cette tradition. Queenie apprendrait à vivre sans cette part de magie en elle et a l’accepter, même s’il lui fallu un moment avant d’intégrer l’école pour moldus.

La cinquième année ne fut pas la meilleure année des garçons, enfin… tout dépends du point de vue. Toujours plus de conneries comprenant le trois quart du temps une infraction au règlement, mais ce qui fut le plus dur a masqué et l’animalerie que se trimbaler Prométhée avec lui, ça et les problèmes qu’ils engendraient. On lui demanda plusieurs fois de s’en débarrasser, mais à chaque fois ce ne fut pas le cas, jusqu’à ce qu’on le menace d’exclusion définitive. Hélios pris sa défense et lui fit entendre raison, même si cela fut compliqué.
Les deux dernières années passèrent à une vitesse alarmante et les deux garçons réussirent comme toujours chacun de leur examens. Partir de l’école ne fut pas simple, c’était avec un petit pincement au cœur qu’après la remise de diplômes ils partirent du cycle scolaire.

Benedict, toujours grand amoureux des créatures fantastiques et surtout des dragons, partis pendant quelque temps chez son oncle et sa tante au Pays de Galles. Le Vert Gallois était absolument remarquable, il en avait peu vue et il apprit tout ce qu’il y avait à savoir dessus, ses caractéristiques. Prométhée se nourrissait d’une grande passion et aussi d’une curiosité à toutes épreuves pour ce genre de choses. Il n’en ressorti pas toujours sans égratignure, les dragons sont plus violents que le Quidditch, malgré que cela soit probablement un des sports les plus dangereux au monde. Il parti par la suite pour la Roumanie, étudier au sein de la plus grande réserve de dragon jamais mise sur pied avant celle là. Il les observa en milieu sauvage aussi bien qu’en captivité et dans pleins d’endroits différents, se plaisant du voyage.

Il retourna chez son père, qui avait acquis une connaissance incroyable dans les dragons. Comment les soigner était réellement ce qu’il savait le mieux faire, ce pourquoi il était qualifié. C’était plaisant d’apprendre au côté d’un parent. Angus était fier, mais après le départ de sa femme et de ses enfants, il n’avait pas cru que l’un d’entre eux resterait proches, Terry aussi c’est beaucoup intéressé, mais pas autant que Benny ; le père avait donc pris un apprenti il y a peu, un jeune ayant étudié à Dumstrang. Ásgeir Jon Einarsson, un jeune Islandais de l’âge de sa sœur, qu’il finira par épouser. Prométhée était heureux pour son père qu’il ait quelqu’un au cas où… versatile comme il est, personne ne sait ce qu’il finira par faire.
Justement. Une reforme passa au niveau des études des sorciers, du moins, aux Royaumes-Unis au début, puis qui c’est étendue un peu plus à l’Europe. Mais ce qui percuta vraiment c’est cette histoire de dragons à Poudlard.
Come back to home.

Retour à l’école pour Prométhée en 2009, mais du côté obscur, où il aida à mettre en place les espaces pour accueillir les dragons, il travailla aussi pour la sensibilisation du public et commença les cours théoriques le plus rapidement possible, suivie du vol et des entraînements avant qu'une autre personne, un professeur prenne cette partie en charge.
Actuellement il anime le cours d'étude des dragons, où il enseigne les caractéristiques de ces créatures avec leurs fonctionnements... entre autre tout ce qui tourne autour d'eux quoi. De temps à autre il participe et aide aux cours de vol, autant sur dragons que sur balais.
Étrangement il se plait dans ce travail et n’aurait jamais cru qu’enseigner lui plairait autant, chose sur quoi son jumeaux le charrie souvent, puisque Benny a toujours était celui avec le plus de bougeotte. Terrence aussi enseigne à Poudlard et cela leur a permis de se retrouver… avec toujours la même complicité !