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 si j’avais un pistolet et deux balles dedans, avec toi, hitler et ben laden dans une pièce, je te tirerais deux fois dessus. (pv: vega)

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Valentin Millard


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Valentin Millard





si j’avais un pistolet et deux balles dedans, avec toi, hitler et ben laden dans une pièce, je te tirerais deux fois dessus. (pv: vega)
09.02.17 1:07


&

« Un endroit isolé, s'il-te-plait. »

comme une plainte silencieuse
des mots aux doubles sens
comme une douleur vicieuse
des mots lâchés avec véhémence


- s'il-te-plaît -

Une légère inspiration, l'impression de bloquer ses poumons et de n'avaler que du plomb. J'observais de mes deux orbes bleu les gestes lascifs que j'effectuais avec flegme d'un mouvement adroit du poignet ; faisant virevolter du bout de ma baguette, une volute de fumée grisâtre qui n'était autre que de la poussière avoisinante.

Expiration. Doucement, je me laissais bercer par l'automatisme de l'action et, les prunelles voilées par des cils légèrement trop longs, j'essayais de dégager de mon esprit toute pensée négative ; en vain.

idiot. soufflais-je dans un murmure presque inaudible.

Je me trouvais actuellement dans ce qui semblait être la réplique exacte de la salle commune des Serpentard, à un détail près : il n'y avait personne. Pas un bruit. Pas un regard. Pas une âme. Seul, sur le canapé trop grand en face de l'âtre, les jambes croisées à la manière des tailleurs, le bras levé et bougeant de façon répétitive pour effectuer un tour de magie des plus basique ; il n'y avait que moi. Simplement moi.

un instant de sérénité volé
un isolement prémédité
l'envie de s'évanouir
de tout simplement partir


idiot. répétais-je, une nouvelle fois, presque imperceptiblement.

Ah. Quel idiot. Quel crétin. Bon qu'à ouvrir sa gueule, à pleurer sur le poids du monde, embourbé et seul, aveuglé par cette hargne immonde.

Ah. Quel idiot. Quel crétin. Pas foutu d'être un gamin à peu près normal, simplement légèrement bancale, horriblement instable.

((jolie poupée de porcelaine))
((dictée par sa propre haine))

Il y avait de ces moments. Ces moments où je n'avais plus envie de me battre contre l'extérieur. Ces moments où je voulais échapper à cette réalité démesurée. Ces moments où je ne voulais plus tenir ce rôle d'objet brisé, mais seulement d'un enfant légèrement angoissé.

alors une nouvelle fois, il s'était lâché.
sauf que cette fois-ci, il l'avait dévoilé.
cette légère lueur, cet air lassé.
cette envie de tout stopper, de tout arrêter.


J'avais gardé la tête haute, balançant d'un regard tout le mépris dont je possédais avant de m'échapper - de m'enfuir - pour, ainsi dire, me retrouver. La salle sur demande avait été une évidence mais ma propre maison fut une surprise et, légèrement souriant, je m'étais très vite rendu compte qu'en l'absence de nuisible, tout semblait plus agréable ; familier.

Et je soupirais.
(délicatement)

Une demi-seconde s'écoula avant d'entendre le grincement d'une porte que l'ont pousse, brisant le silence presque assourdissant de la pièce et, surpris, j'ouvrais brusquement les yeux, délaissant le sort, laissant la poussière s'évaporer et s'accrocher au tapis, plongeant mes onyx dans un regard que je connaissais bien ; légèrement trop bien.

Abasourdit, mes sourcils se haussèrent alors que mes lèvres s'ouvrirent, surement dans l'intention d'émettre un son ; sans résultat. Me reprenant rapidement, je fronçais les sourcils dans une attitude qui me caractérisait avant de le détailler avec circonspection.

...qu'est-ce que tu fous-là ? demandais-je avec la plus grande amabilité.

laisse-moi tranquille, laisse-moi tranquille
ne vient pas, ne regarde pas
laisse-moi tranquille, laisse-moi tranquille
ne me regarde pas comme ça

&
(html) osbwrn;

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Duelliste illégal
Vega A. Hingsley


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Vega A. Hingsley





Re: si j’avais un pistolet et deux balles dedans, avec toi, hitler et ben laden dans une pièce, je te tirerais deux fois dessus. (pv: vega)
09.02.17 23:34

S
a maison était un nid de vipères. L'adage se vérifiait de jour en jour, et curieusement Vega s'y épanouissait raisonnablement. Pas si surprenant, il était lui-même un des plus gros spécimens. À peu près à neuf sur l'échelle des enfoirés (et pas à dix, simplement parce qu'il n'avait pas encore l'ancienneté suffisante pour avoir en plus de l'autorité). Bref. Comme la nature faisait bien les choses, tous les connards égocentriques à grande gueule ne marchaient pas main dans la main en chantant du Madonna. La preuve avec Valentin.
Millard, c'était un de ces rares spécimens qu'on appelait « mademoiselle » par erreur. Comme lui. Si le monde était bien fait, ils auraient fondé un club (« malgré mon charadesign, je suis bel et bien un homme »), partagé des shampoings et tressé la crinière des licornes à la pleine lune.
En vrai, Vega ne pouvait pas le sentir. Il y avait peut-être eu une raison un jour, peut-être qu'il était juste trop déviant pour que son intérêt pour quelqu'un ne se transforme pas systématiquement en envie de lui éclater la bouche, mais les faits étaient là. Millard l'irritait. Et il avait du répondant, ce qui le sauvait de la catégorie des insipides, des inexistants, de ceux que Vega ne calculait même pas. Ils avaient leur routine à eux, leurs rituels quand ils se croisaient dans la salle commune, leurs surnoms affectueux (pour Valentin, c'était connasse, à ne pas confondre avec Bae qui était plutôt salope) (quand les échanges se prolongeaient, il avait le droit à quelques variantes en -asse, comme le très classique blondasse, un indémodable qui marchait toujours).

Bref, croiser Millard, c'était l'assurance de ne pas s'ennuyer. Après, le problème des couloirs, c'est que rien n'empêchait l'autre de se casser comme un prince quand ça le prenait. Et Dieu qu'il haïssait les sorties dramatiques quand ce n'était pas lui qui les faisait. Bref, il avait manqué perdre l'autre Serpentard, mais avait pu l'entrevoir devant la porte de la salle sur demande.
C'était con, il n'y était jamais allé.
Et là, devant la porte, il hésitait. Qu'est-ce que Millard avait pu demander au château ? Est-ce qu'il fallait deviner pour le rejoindre ?
La pulpe de ses doigts effleura la poignée.
Amène moi à Millard.
Est-ce que la porte saurait si ses intentions étaient pures ? Est-ce qu'elle jugerait ? Et surtout, est-ce que Millard avait souhaité qu'on ne puisse pas le retrouver ?
Il tourna la poignée, entendit un déclic, et poussa le battant de la porte.

Pierre nues et fauteuil de cuir. La lumière si caractéristique, filtrée par le lac, vert tamisé, et les reflets aqueux qui dansaient sur le sol, sinuaient comme leur emblème. La salle des Serpentards, telle qu'elle était avant l'attentat. Et une seconde l'environnement familier lui fit tout oublier. Il avançait entre les sièges vides, caressait les revêtements de cuir au contact presque intime. Et sourit délicatement en observant l'expression de Millard, décomposée par la surprise.

« Une étude scientifique. » Et il passa ses ongles peints dans ses cheveux blancs et roses, « Alors c'est là que tu cours chialer, princesse ? »

En vérité, la banalité du lieu ne lui indiquait pas grand chose sur son collègue. Tout au plus qu'il avait souhaité un lieu familier mais vide -à moins qu'il n'ait une passion inavouée pour les lumières style ''marécage'' une hypothèse à ne pas écarter. Il s'approcha, colonisant son espace vital comme l'infâme connard qu'il était, allant même jusqu'à s'asseoir sur l'accoudoir le plus proche, un sourire sucré aux lèvres.

« Tu vas t'casser en courant, encore ? »
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Valentin Millard


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Valentin Millard





Re: si j’avais un pistolet et deux balles dedans, avec toi, hitler et ben laden dans une pièce, je te tirerais deux fois dessus. (pv: vega)
10.02.17 0:30


&

alors c'est là que tu cours chialer, princesse ?
... putain, t'es tellement obsédé par moi que t'es obligé de me suivre jusqu'ici, hingsley ?

Je levais les yeux au ciel de façon appuyé alors même qu'un soupire à fendre l'âme s'échappait de mes lèvres pour ponctuer mon agacement avant de vriller son regard de mes deux prunelles ennuyées. Qu'il était chiant.

Je l'observais s'avancer vicieusement, les sourcils si froncés que je jurerais qu'elles se touchaient actuellement et, avec une certaine nonchalance, il vint s'asseoir à mes côtés avant d'esquisser un de ces sourires qui me donnait envie de le lui arracher minutieusement avec les ongles avant de le lui faire manger.

tu vas t'casser en courant, encore ?

peut-être, je sais pas si je supporterais l'odeur assez longtemps. claquais-je agacé, d'une voix atone, comme si je me faisais une réflexion intérieur.

Vega. Vega Hingsley. Notre dernière altercation datait d'il y a cinq minutes à peine, mais il semblerait qu'il se fasse assez chier pour venir m'emmerder encore et encore, putain. S'il y a bien une personne sur Terre dont j'aimerais me passer de sa présence, actuellement, c'était bien lui.

t'as pas autre chose à foutre ? comme, je sais pas, aller pourrir dans un coin du château et m'oublier ?

Je m'affalais négligemment contre le dossier du canapé, m'enfonçant un peu plus dans celui-ci avec l'envie fulgurante de ne faire qu'un avec lui et disparaître sur le champ alors même que je me résignais à supporter sa présence encore quelques minutes. Je me mordillais distraitement la lèvre en me fustigeant moi-même de ne pas avoir été plus précis dans mon vœux pour faire barrage aux nuisibles et en termes de nuisibles, Vega était bien haut dans le classement - tout à son honneur.

Bizarrement, un drôle de sourire vint apparaître sur mes lèvres, une sorte de grimace crispée comme si j'essayais de me retenir de paraître trop amusé et, lui jetant un coup d'œil, je lui lançais une nouvelle fois, de ma voix velouté teintée de sarcasmes et d'une hypocrisie sans nom :

alors quoi ? t'as décidé de me suivre pour me taper la discute ou te foutre de ma gueule ? tu peux pas te passer de moi cinq minutes, c'est ça ?

je le dévisageais intrigué
sachant par avance la réponse
et c'est dans une triste dualité
qu'ils cachent les apparences

&
(html) osbwrn;

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Vega A. Hingsley


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Vega A. Hingsley





Re: si j’avais un pistolet et deux balles dedans, avec toi, hitler et ben laden dans une pièce, je te tirerais deux fois dessus. (pv: vega)
10.02.17 1:48

C'
était la première fois, non ? Qu'ils se retrouvaient en tête à tête. Jusqu'ici, ils avaient toujours un public plus ou moins attentif, et toutes les limites tacites qu'impliquent la présence des autres. Mais pas cette fois, et le champs des possibilités était énorme. Pas de témoins au cas où tout dégénérerait, la porte ouverte à tous les dérapages.
Vega s'y connaissait, en dérapages.
Mais Millard, il gérait. À cause ou grâce à leur routine, peut-être. Sur une échelle d'irritation de un à dix, il le situerait à six. Un répondant convenable, un visage de poupée qui le rendait digne d'être regardé... Mais il lui manquait ce je-ne-sais-quoi de toxique qui attirait ses instincts destructeurs, déclenchait l'obsession, la rage, le besoin. Et la perte de contrôle.
Quoiqu'il se passe, au final, ce ne serait qu'un dérapage contrôlé.

En miroir, l'obsession se retrouva sur les lèvres de l'autre Serpentard, accentuant le sourire de Vega. Si tu savais. S'il savait la moitié de ce qu'il était, il ne pourrait juste pas lui adresser cette petite moue de mijaurée.

« Odorat sensible ? Ça y est, t'as fini par te faire pousser un vagin et t'es enceinte ? Félicitation ! » Il fouilla les poches de son jean, en tira une cigarette moldue un peu froissée, de celles qu'il avait taxée à Moira, et se la cala entre les lèvres. « Pourrir dans un coin est nettement moins distrayant, princesse. T'as du feu ? »

Un bref éclat dans le vert d'eau de ses iris. C'était le seul moyen qu'il avait de connaître autrui de jauger un caractère. Provoquer, encore et encore, lentement acculer l'autre pour juger de ses réactions. Et estimer sa valeur à l'aune de sa combativité.
Tout est sous contrôle.
Et, le papier du filtre contre ses lèvres, il détaillait l'autre. C'était aussi la première fois qu'il le voyait d'aussi près. Incroyable, quelque part, à quel point le château accumulait des garçons au visage de filles et des adolescents aux cheveux teints. Ça l'excuserait presque d'être ce qu'il était.

« Alors quoi ? T'as décidé de me suivre pour me taper la discute ou te foutre de ma gueule ? Tu peux pas te passer de moi cinq minutes, c'est ça ? »

De longs cils noircis au mascara voilèrent une partie de son regard. Ciller. En haut, en bas, tenter de retenir un sourire. C'est qu'ils se tendaient des perches trop belles, depuis le temps.

« C'est ça, » un rire retenu dansait dans sa gorge, du bout des orteils il fit sauter ses Converses l'une après l'autre, « Je ne peux pas vivre sans toi Millard. J'ai besoin de cette aura de virilité qui t'entoure, sans elle, je suis totalement perdu. Tu es mon petit phare d'un mètre cinquante dans la foule, je ne peux pas me passer de toi. »

Ses chaussettes étaient restées dans ses Converses, manifestant avec ses chaussures une solidarité imprévue. Qu'importe. Fort de sa supériorité établie -si ce n'était pas la maturité de son propos- par la hauteur que lui conférait l'accoudoir du canapé, il pivota pour poser un pied nu sur la cuisse de Valentin. Subtil. La prochaine étape serait de lui poker la joue de l'index jusqu'à l'obtention d'une réaction satisfaisante. En l'attendant, il récupéra sa cigarette entre le majeur et l'index pour la présenter au Serpentard.

« Alors ? » relança-t-il, apparemment très confiant dans le fait que non seulement Valentin détenait un briquet, mais qu'il était aussi parfaitement insensible à son geste envahissant et légèrement humiliant.
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Valentin Millard


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Valentin Millard





Re: si j’avais un pistolet et deux balles dedans, avec toi, hitler et ben laden dans une pièce, je te tirerais deux fois dessus. (pv: vega)
12.02.17 15:08


&

Il y avait quelque chose de déconcertant au fait d'être en sa compagnie sans qu'il n'y ai personne aux alentours, sans le moindre témoin, sans la moindre paire d'yeux, sans la moindre présence.

juste nous deux
gamins défectueux


Légèrement déstabilisant, le fait d'être aussi proche de lui physiquement parlant à échanger sur un ton faussement badin ; un aspect assez étrange, instaurant une sensation de malaise que je chassais très vite de mon esprit, sans m'y attarder plus longuement. Il est vrai que cette situation semblait être une première ; habituellement il y avait toujours un périmètre de sécurité entre nous, un espace qui nous permettaient de nous cracher à la gueule les pires insanités et cela, aux yeux de tous, sans la moindre gêne.

on se donne en spectacle
en espérant un miracle


Je le détaillais avec plus d'insistance tout en ayant l'air passablement indifférent : Nettement plus grand que moi, nettement plus maquillé que moi mais tout aussi féminin que je le suis, Vega possédait une apparence qui pouvais laisser douter ; un entre deux incertain entre des traits masculins et une enveloppe féminine. On avait au moins quelque chose en commun. Cependant, est-ce que paraître androgyne avait pour lui une signification ? Cachez-t-il un mal être ? Une indécision ? Je me mordillais l'intérieur de la joue pour éviter que mes pensées m'amènent sur un haut-le-cœur certain.

Sortant de ma transe passagère, je l'entendis dire :
je ne peux pas vivre sans toi millard. J'ai besoin de cette aura de virilité qui t'entoure, sans elle, je suis totalement perdu. tu es mon petit phare d'un mètre cinquante dans la foule, je ne peux pas me passer de toi.

Je reniflais dédaigneusement, faisant claquer ma langue contre mon palais.
j't'en foutrais de la virilité. si t'es en manque d'affection, va faire le tapin dans les couloirs de poudlard, tu trouveras peut-être des phares à te mettre dans le cul. moi je passe, désolé.

Soudainement, sans crier gare, il vint poser son pied nu sur moi, sur ma cuisse, sur ma fucking personne. Je pivotais hargneusement la tête vers lui, mon regard lançant des éclairs, près à lui démembrer la cuisse entière s'il se retirait pas immédiatement.

alors ? fit-il avec sa cigarette en main.

Alors je vais t'éclater la gueule, abruti.

Tenant toujours ma baguette d'une main, j'y posais la pointe sur sa cheville sans détacher mon regard du sien, les sourcils plus froncés que jamais. Je retenais tout au fond de ma gorge cette envie de vomir, ce contact venu de nul part qui me paraissait inapproprié entre nous.

Où était donc ce putain de périmètre de sécurité ?


alors. dégage. de. là. je ne fume même pas, crétin.

si.
des fois.
parfois. n'est-ce pas ?
quand tout ne va pas.
mensonge caché dans ta poche ; allumeuse de bâtons toxique.

et même si c'était le cas, tu pourrais toujours aller te faire voir, on est pas pote, si je me souviens bien.

(justement vous ne vous en souvenez pas)

alors vire de là, maintenant.

laisse-moi seul, ne me regarde pas
oublie-moi, évite-moi
laisse-moi seul, ne me regarde pas
oublie-moi, évite-moi

&
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Re: si j’avais un pistolet et deux balles dedans, avec toi, hitler et ben laden dans une pièce, je te tirerais deux fois dessus. (pv: vega)

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