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 Nobody said it was easy (LIBRE PV)

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Militant contre les Dragons à Poudlard & Préfète & Sigma
Rosabel Northrop


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Rosabel Northrop





Nobody said it was easy (LIBRE PV)
17.07.16 12:29



Nobody said it was easy
Libre
Elle voulait se jeter, se jeter comme une pierre dans l’eau, et couler. Elle voulait la sensation de perdre pied dans l’étendue bleue, elle voulait sentir la lourdeur de l’eau se refermer sur son corps et l’engloutir. Pour la première fois de sa vie, elle avait envie de disparaître, disparaître sous la surface. Elle voulait être le Titanic ; était bien en passe de le devenir. L’iceberg s’appelait Anton. Elle ne pouvait s’empêcher de croire que c’était trop tard, et elle s’était sentie impuissante, et démunie, comme elle l’avait peut-être toujours été comme elle l’avait peut-être toujours si bien refoulé.
Et elle aurait détesté le silence des vagues, l’air marin, et cette sensation d’apaisement que quiconque aurait pu ressentir en observant la ligne parfaite de la nuit dans l’horizon lointain, qui semblait se fondre sur la mer, s’étaler dessus, semblable au recto et au verso d’une feuille. Elle aurait dû se sentir mieux dans cette solitude, devant la beauté, la beauté étrange d’une scène nocturne ; mais il n’en fut rien. Elle ne ressentait pas la poésie, le charme, se surprit au contraire à détester le léger fond, l’ondulation de la surface, presque lisse. Rosabel aurait voulu une mer déchaînée pour s’y retrouver, pour se comprendre. Rosabel aurait voulu un paysage à son image, de son envergure, de sa complexité, rien qui ne lui renvoi ce reflet si parfait, si lisse, de ses angoisses, de ses déceptions, de ses vices, de ces questionnements sans réponses, de cette incertitude.

Elle sentait à peine encore l’écume, comme une piqure froide et mordante qui venait lécher ses pieds, et au bord de l’eau elle ressentait au contraire cette immensité ; et le large la faisait se sentir vide. Elle n’aurait trop su de quel côté poser son regard, comme elle ignorait vraiment ce qu’elle était sensée faire. Elle ne savait pas ce qui lui avait pris, elle ne comprenait pas pourquoi Anton ; de quelle façon on pouvait avoir de l’influence sur ses émotions, sur ses ressentis. Une longue cigarette en bouche, elle préféra se convaincre que cela n’avait rien à voir avec lui, mais tout avec elle ; ce qui était peut-être bien le cas.

Elle aurait voulu réagir, mais elle n’y parvenait pas. Elle aurait voulu hurler, mais elle n’avait pas de colère en elle. Elle aurait voulu pleurer, mais elle n’avait plus de larmes en elle. Elle voulait, voulait, mais elle ne possédait plus rien, sinon cet espèce d’écœurement qu’elle éprouvait pour tout le reste, contre le monde, contre l’injustice dont soudain elle se sentait victime. Elle détesta encore se sentir victime, car cela lui ressemblait peu, car elle se croyait forte, car elle se croyait de ces esprits que rien ne vacille, mais elle découvrait cette nuit-là, un peu amère, que cela n’irait pas, que plus rien n’irait à partir de maintenant. Et la Terre pouvait bien tourner sans elle, Rosabel n’avait plus envie de suivre le mouvement, Rosabel s’était mise en pause sur le bord de mer.

Et de quoi avait-elle l’air alors, couverte de peinture au sortir d’une boîte de nuit, le regard oublié et incolore, le sable qui lui collait jusqu’aux genoux, oubliée dans la nuit avec pour seule consolation un peu de tabac. Rosabel ne voulait plus faire l’effort. Rosabel désirait se laisser couler, et ce soir elle n’existait plus vraiment, plus tout à fait, ou pas comme elle le devrait dans cette longue veille, dans le refus obstiné du sommeil. Elle préférait la tiédeur de la nuit, se rouler dans sa propre amertume, s'y complaire ; elle n'avait pas même l'envie d'aller bien, d'aller mieux, de se relever, de donner l'air.

Il n'y avait plus rien d'important. Il n'y avait plus rien qui valait la peine.


[Brr c'est libre venez déprimer, venez tenir compagnie, venez pleurer, venez consoler, venez faire ce que vous voulez on est pas à l'abris non plus d'un bain de minuit :D dans la chronologie ça se tient après le rp boite de nuit de Kieran voilà voilà ♥ Rosabel ne vous enverra probablement pas bouler (justement parce qu'elle est pas dans son assiette d'ailleurs) :D]

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Joyce Fitzgerald


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Joyce Fitzgerald





Re: Nobody said it was easy (LIBRE PV)
17.08.16 20:26

Nobody said it was easy

Rosabel Northrop

Joyce Fitzgerald

Au début, c'était partie pour une simple question. Une question comme elle aurait pu en poser à n'importe quel moment de la période scolaire. Mais cette fois-ci, elle lui était venue à l'esprit en plein milieu des vacances, juste avant la soirée d'anniversaire des jumeaux Nails. Joyce c'était tout de même rendu à l'endroit où le professeur passait ses soirées histoire de le questionner. Évidemment, ça l'avait littéralement emmerdé ce qui était quelque peu étrange étant donné qu'il ne faisait, vraiment rien d'autre.

Mais, au final le professeur avait eu la bonté de lui répondre, sans doute parce qu'il était avant tout directeur de la maison de Joyce. Et ça avait prit une bonne partie de la soirée. Sans doute même beaucoup plus que ce qu'elle ne pensait. La préfète se doutait qu'elle avait raté la fête des deux né-moldus. Un léger sentiment de tristesse, mais au fond elle n'y pouvait rien.

Ainsi, passer faire un tour au niveau de la boîte de nuit pour savoir si la fête était toujours d'actualité lui semblait être une bonne idée. Prendre tout son temps pour s'y rendre, en marchant pied nue sur le sable l'était tout autant. Joyce n'avait passé que très peu de temps au court de sa vie sous un tel paysage et lorsque les cous reprendront, elle ne pourra plus y retourner. Alors, elle ne pouvait qu'en profiter, même si elle se trouvait dans ce petit halot de paradis pour quelques mois.

Sauf qu'elle l’aperçut à la lisière de l'océan. Seule. Cette seconde préfète des Serpentard, cette réelle vipère, sa camarade de chambre. Rosabel. Il n'y avait qu'une seule possibilité, une unique envie. L'ignore, juste passer. Continuer son chemin comme si de rien était. Avec peut-être un peu de chance, il y aurait encore d'autre élèves dans la boîte de nuit. Elle pourrait profiter de cette fin de soirée, s'amuser un peu.

Parce qu'elle n'avait finalement aucune raison de lui tenir compagnie, elle ne l'appréciait pas. C'était aussi simple que ça. Les vacances étaient en soit, une véritable libération parce que Joyce n'avait à supporter ni ses parents, sur l'engueulade de son avenir et elle n'avait surtout, pas la nécessité de partager ses instants de sommeils dans la même pièce que la vipère. Même si elle ne semblait pas dans son assiette.

Elles n'étaient pas amies.
Même si Joyce était préfète, Rosabel l'était maintenant, tout autant. De plus, Rosabel était une grande fille capable de gérer tout ce qui lui arriver n'est-ce-pas ? Et même si pour la Fitzgerald, Rosabel ne semblait pas être dans son état habituel, existait-il vraiment une banalité pour la duchesse ? Il était même fortement probable qu'elle ne faisait qu'observer le paysage dans ce silence obscure.

Alors pourquoi ?

« Je ne suis pas sûr que Kieran apprécie de savoir que quelqu'un broie au noir le soir de sa fête d'anniversaire. Je peux te tenir compagnie ? »

Juste mettre sa fierté de côté. Ne pas oublier qu'il s'agit de Rosabel Northrop. Joyce sait qu'elle sera juste envoyé bouler, mais elle s'y est préparé en s'approchant de sa camarade de maison. Et la préfète ne fait que s'accroupir à une distance raisonnable de sa camarade, être simplement préparé à repartir.

Au pire, si elle c'était trompée elle n'allait pas crier qu'elle avait essayé une fois encore, d'être gentille avec ce serpent.


J'voulais répondre avec le vieux, mais Darwin m'a obligé. Du coup, si tu as à te plaindre c'est à Dada qu'il faut parler wtf
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Militant contre les Dragons à Poudlard & Préfète & Sigma
Rosabel Northrop


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Rosabel Northrop





Re: Nobody said it was easy (LIBRE PV)
19.08.16 16:28



Nobody said it was easy
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Elle reconnut cette voix pour l’avoir entendue trop souvent, trop sans doute pour que cela parvienne à l’animer vraiment, à l’agiter de cette mauvaise humeur si caractéristique ; elle ne la supportait pas, la tolérant tout juste dans son champ de vision pour des raisons pratiques. Son regard s’était fait lourdeur, appesanti Accablement précieux et profond que Rosabel ressentait alors ; n’aurait-on pas dit que le hasard avait un sens de l’humour déplorable ? Que de tous les visages possibles, il avait fallu que ce soit précisément celui-ci, Joyce. Joyce comme un satellite en orbite gravitant visiblement dans la mauvaise galaxie parmi un champ d'astéroïdes, une planète refroidie en ligne de mire.

La fumée s'élevait doucement dans l'air, comme son souffle restait calme, comme c'était toute sa fine stature qui restait pétrifiée et insolente, l'oeil aigu pourtant ; si elle ne s'était pas donnée la peine de se retourner sur la jeune fille, Rosabel gardait tout de même une attention discrète, en coin. Les mots avaient mis leur temps pour venir, si lentement, soufflés bassement avec malice.

_ Je ne dois rien à Kieran Nails. Et elle avait eu ce timbre un peu aigre qu'on lui connaissait si bien, ce rictus qu'on aurait confondu avec une grimace mauvaise. Me tenir compagnie... Es-tu un chien, Joyce ?

Et aurait-on pu croire qu'elle se serait attendue à ce qu'on la comprenne, avait-elle seulement envie que l'on comprenne ce qui l'animait ? Rosabel aurait dit que non, qu'elle n'avait besoin de personne ; c'était une affaire d'éducation. Elle avait appris à se débrouiller seule, à ne pas si accepter si aisément les mains tendues. Sans doute préférait-elle qu'on lui soit redevable plutôt que de l'être, plutôt que de dépendre émotionnellement d'un autre. Anton exerçait suffisamment cette influence sur elle, assez pour qu'un rejet fasse jaillir en elle cette détresse superflue, une émotion vive, un arrière-goût de déception. Elle n'avait nul envie de se faire plaindre, n'avait nul besoin d'une épaule sur laquelle verser ses larmes, comme elle n'en aurait pas, pas pour ce crétin, pas pour ce si peu. Il n'était rien. Joyce non plus.

Ils ne lui devaient rien, mais elle ne leur devait rien non plus. A choisir, elle préférait l'indifférence totale ; ne se souvenait pas non plus que Joyce lui ait déjà porté un quelconque intérêt comme elle-même ne lui en avait jamais accordé. Et à quoi bon ? Il était à présent bien trop tard pour s'essayer à des tentatives d'approches fantasques.  

_ Je me passerai de ton hypocrisie, Fitzgerald.


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Préfet
Joyce Fitzgerald


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Joyce Fitzgerald





Re: Nobody said it was easy (LIBRE PV)
10.09.16 16:24

Nobody said it was easy

Rosabel Northrop

Joyce Fitzgerald

« C'était une excuse Rosabel. Et Joyce s'était tue. Ne sachant pas exactement ou cela allait la mener, ignorant totalement ce qu'elle voulait dire. Elle cherchait ses mots, mais ce n'était pas suffisant. Je ne pense pas avoir à t'expliquer le principe. »

Et presque inconsciemment, elle avait laissé échapper un court rire. Non pas qu'elle se moquait de Rosabel, parce que c'était quelque chose dont elle ne se permettrait jamais, mais plutôt le fait d'avoir été traité d'hypocrite la faisait bien sourire. Non pas que cela pouvait paraître venant de Rosabel, mais bien parce qu'au court de sa scolarité, Joyce avait fini par comprendre et se rendre à l'évidence que, qu'importe les propos que sortaient cette Serpentard. Il y avait toujours une part de vérité. Même si on voulait se le cacher.

Hypocrite elle l'était. Oui. Sans doute. D'autres personnes l'avaient supposé avant Rosabel, mais jamais personne ne lui avait dit en face qu'elle pouvait réellement l'être. Parce qu'au fond, même si ça l’intéressait d'aller vers les autres, d'être gentille avec les personnes qui avaient un problème. Ce n'était pas Kenji. Alors, bien sûr toute sa présence pouvait n'être qu'une pièce de théâtre. Au fond, elle n'en savait rien vue qu'elle avait toujours été ainsi.

Mais elle s'y refusait pourtant d'y croire. Qu'importe ce qu'elle pouvait en penser.

« Alors je prends ça comme une autorisation à rester. »

Et sans rien attendre de sa camarade de chambre, Joyce relâcha tout son poids afin de se laisser tout simplement tomber sur le sable. Regroupant ses jambes contre sa poitrine pour les entourer de ses bras. Dans un silence, elle observait dans un premier temps la mer avant de finalement trancher sur son hésitation.

« Tu étais au bar ou tu à passé toute ta soirée seule ici ? 

C'était là une tentative de discussion comme une autre, bien que la Fitzgerald pensait bien que cette approche n'allait pas porter ses fruits. Cinq années qu'elles se connaissaient, cinq années qu'elles partageaient autant leur chambre que leur première année à Poudlard. Aucune des deux n'avaient vraiment fait d'effort pour comprendre l'autre et leur façon de s’accommoder pour vivre ensemble était très certainement la seule bonne d'idée possible entre les deux anglaises. Pourtant, est-ce-que tout cela pouvait vraiment les empêcher de parler un peu ?
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Rosabel Northrop


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Rosabel Northrop





Re: Nobody said it was easy (LIBRE PV)
22.09.16 0:23



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_ Seule ? Je ne sais même plus ce que cela signifie, puisqu’aucun de vous ne consent à me laisser tranquille. Vous vous plaignez d’être méprisé alors que vous êtes proprement incapables de faire comme si je n’existais pas ; des mouches attirées dans la toile de l’araignée, et vous vous étonnez d’être mangé ! Je ne serai pas si médisante si vous ne passiez pas votre temps à m’enquiquiner ! Non, évidemment, où que j’aille vous ne vous lassez pas de m’exposer vos mièvreries, vos sentiments dégoulinants. Mais vous n’êtes que des échecs ambulants, traînant à vos pieds le poids de votre pitoyable et lamentable existence, celle dont je me contrefiche envers et contre tout. Mais tu sais, Joyce, je ne te méprise pas, pas ce soir, alors tu devrais t’estimer heureuse de cette indifférence, la prendre pour ce qu’elle est, et juste, t’en aller. Maintenant que tu te souviens à quel point je peux être détestable.

Elle avait été amère comme elle l'était trop souvent, trop injuste aussi, ne l'avait pas regardée une seule fois, ce rictus désagréable, hautain, et ce refus obstiné, de se livrer. Ou pas tout à fait sur ce qui la dérangeait réellement. Car quel spectacle offrait-elle alors ? Et qui pourrait se vanter d'avoir rencontrer cette Rosabel ? Cette Rosabel si différente de ce qu'elle offrait d'ordinaire. Et pour quoi ? Pour une raison aussi banale et aussi stupide qu'un garçon. Elle détourna le regard, émue, de cette émotion qu'elle connaissait si peu, qui la désorientait, fatalement. Et elle se sentait si ivre, ivre d'intempéries. Il la rendait folle, et toutes choses, démunie, démunie par ce voyou, ce brigand, ce bourreau. Oh il devait bien l'être ; les hommes l'étaient toujours, ils se plaisaient à vous faire tourner en bourrique. Et Rosabel quoiqu'elle en pensait n'était pas tant différente des autres, quoiqu'on se serait étonnée qu'un si quelconque jeune homme soit à l'origine de ses malheurs d'un soir. Anton Lawliet n'était après tout pas l'archétype du garçon le plus en vue, le plus remarquable. Anton Lawliet n'avait pas grand chose pour lui, hormis l'extraordinaire attirance qu'il exerçait sur la jeune femme.

_ Est-ce que par hasard, je t'aurai manqué, Joyce ? Parce que je me dois de te rappeler une autre chose ; je te supporte et te tolère uniquement parce que ton lit est voisin du mien. Et puisque ce mois est l'unique mois dans l'année où je n'ai pas à subir l'affront de ton horripilante présence, j'aimerai enfin oublier le désagréable son de ta voix qui me sature et me fatigue tout le reste de l'année. En d'autres termes, Fitzgerald, je crois que la plage est assez grande pour que je puisse me passer de toi.  

Un sourire enfin, condescendant, une jambe qui se plie sur l'autre pour la forme. Car même ainsi, abandonnée sur une plage, échouée même, Rosabel reste souveraine. Et il lui parut évident que dans son petit royaume solitaire, Joyce ne trouvait nullement sa place.
Elle désirait seulement sa solitude, afin de pouvoir réfléchir exactement à celui qui occupait présentement ses pensées. Mais il lui paraissait certain que Joyce était un parfait obstacle à ce but là. Et quoiqu'elle n'appréciait pas Joyce, force était de reconnaître que cette dernière pâtissait sans doute de son agressivité, puisque la contrariété de se sentir rejetée ne contribuait visiblement pas à rendre Rosabel plus sympathique qu'elle ne l'était habituellement. Pire encore, alcoolisée, déçue, blessée dans son orgueil, la demoiselle se montra plus exécrable encore.

_ L'unique personne que je souhaitais voir à ce moment précis a plus de testostérone que toi. Félicitations, Fitzgerald, je t'annonce officiellement que l'exécrable pompeuse et extravagante Rosabel Northrop vient de se faire jeter comme la dernière des sangs de bourbe, maintenant que je viens de te livrer le scoop du siècle, et que ma vie est aussi fade et triste que les vôtres, j'aimerai pouvoir me complaire dans mon malheur sans avoir à supporter tes regards dont je me passerai bien. Puisque nous n'avons manifestement rien à nous dire puisque je me contrefiche de ta vie comme tu dois te contrefoutre de la mienne.
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