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 bittersweet — ft. winnifried

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Olympe H. Crawford


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Olympe H. Crawford





Re: bittersweet — ft. winnifried
26.10.16 22:52

((bittersweet)) ft. winnifred // 785 mots
lasse lasse lasse olympe de tout ce qu'elle baragouine. il n'y a rien de beau dans ses mots - c'est si subjectif, la beauté, elle n'a rien à te reprocher si elle n'est pas à tes goûts. ses remarques ne te tiquent même plus - tu en soupirerais presque, il n'y a rien à tirer de cet échange. peut-être fais-tu la sourde oreille, peut-être ne veux-tu rien voir de tout ce qu'elle te dépeint, il est vrai.
peut-être fais-tu preuve de mauvaise foi.
mais entre nous, olympe, faire preuve de bonne foi au milieu de la nuit pour écouter les railleries et bienséances d'une damoiselle à la voix trop fluette qui veut dicter ta vie tout en l'écoutant quand tu te déplaçais juste en quête d'un casse-dalle, c'est au dessus de tes compétences. et puis elle mange
ton
macaron.
tu n'hausses pas même un sourcil - à vrai dire, tu n'es pas plus surprise que ça de ce manque de politesse évident - à tout mauvais roi l'impertinence de se servir chez autrui sans demander avant, puisque tout leur appartient. et rien n'aurait agité ton être de glace si elle n'avait pas placé un fer rouge sur ta peau qui n'est autre que ses
sales
doigts
tu te raidis - long frisson de dégoût qui dégouline et repeint ton échine. tu n'obéis guère, ne montre point tes faiblesses malgré le regret omniprésent de ne pas manger le macaron qu'elle t'a volé - tu lui aurais volontiers recraché ou vomi au visage. quand elle décide enfin de te lâcher la voilà qui viole ton espace d'aise sans la moindre merci pour t'acculer contre le plan de travail. ton souffle manque de se couper tant tout est nauséabond à tes yeux - son être ton entier, l'odeur sucrée qui s'en dégage férocement et sa proximité toxique qui te débecte et te donne une furieuse envie d'aller gratter ta peau sous la douche jusqu'à peut-être l'arracher un peu pour être sûre que le sentiment de saleté parte avec la mousse. tu as du mal à entendre ce qu'elle te dit tant les battements de ton coeur son lent - le noeud se gonfle, s'enroule et se tord au creux de ton ventre ((haut-le-coeur)) tu devrais vraiment partir.
enfin
s'éloigne-t-elle
tu lâches un soupire de soulagement
que tu arrêtes bien vite sous la nausée qui te prend. tu la regardes s'éloigner malgré tout toujours imperturbable physiquement alors que ses mots t'écorchent un peu brutes et surtout terriblement ingrats - tu t'approches et dans un soupçon de morale et de justice pour tous ceux passés dans cette conversation avant toi satisfais l'impact
du revers de ta main
contre sa joue droite.
tu regrettes aussi tôt - non pas pour la donzelle en face de toi mais pour la sensation désagréable dans tes doigts d'avoir été confrontés à une ordure. tu les désinfecteras peut-être après. et si tu redescendais un peu sur terre à défaut de faire preuve d'intelligence ? je ne doute pas que ça soit à ta portée mais tu sembles bien décidée à contourner cette délicate science. ta voix est aussi glaciale que tes yeux - si elle est reine, alors tu es impératrice en cet instant. tu as tout de même une certaine distance avec elle - le dégoût dans tes yeux de sa proximité. ce n'est pas un peu de rhétorique qui te permettra de monter sur le trône, vois-tu. le seul règne que tu pourrais offrir, ce serait une dictature - et tous les souverains de la peur finissent assassinés. je serais la première à vouloir te faire tomber. tu ne craches rien ni te caches de ton air aussi sympathique que la sibérie - c'est calme et posé, dit avec sérénité. je n'ai pas besoin de plus de quelques échanges avec toi ni de ton nom ou même de  savoir qui a mis entre tes mains des envies déplacées pour savoir que tu n'es qu'une sale gosse convaincue de sa suprématie illégitime. mais tu sais quoi ? info flash : le monde ne gravite pas autour de toi et les gens ne sont ni tes jouets, ni tes esclaves, ni tes servants. tu n'aurais pas le temps de vouloir lancer ton règne que quelqu'un aura soufflé ton château de cartes. oh olympe, toi qui es pourtant si passive peut-être qu'il est temps pour le monde de comprendre que tu es loin
loin
loin
si loin
de n'avoir aucune
((répartie))
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Duelliste illégal
Winnifred Rosier


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Winnifred Rosier





Re: bittersweet — ft. winnifried
27.10.16 0:46

Bouuuuh !
Ta main contre ma joue. Paume. Un, deux, trois, quatre, cinq doigts contre ma pommette. Douloureuse. Si douloureuse. Palpitation désagréable. Je compte jusqu’à trois. Un, deux, trois. Trois secondes éternelles où la stupéfaction se transforme en autre chose. Quelque chose de plus noir et tu ne devrais pas, non. Tu ne devrais pas parce que tu ne sais pas ce que tu provoques. Sourde. Aveugle. Diminuée. Hâtive. Tu ne sais pas qui je suis derrière tes prétentions impériales. Tu. Ne. Sais. Rien. Mais tu t’en fiche. Tu t’en fiche parce que rien de tout ceci ne t’importe. Tu ne veux pas de ma comédie et pourtant elle est belle si belle.


Trois. Deux. Un. Impact. Encore. Mais ce n’est pas la réalité, mais une réminiscence, une image fantomatique dans l’air qui se répercute une seconde fois sur ma joue. Mais pas trop, je puis l’assurer. Pas trois fois.

Je n’ai pas bronché, je n’ai même pas cillé, si ce n’est mes cils qui ont battu l’air. Étonnés, mais pas innocent. C’est que tu ignores c’est que ma joue en a vu d’autres. Que je suis exercée à ce difficile art qu’est le paraître. Ma lèvre tremble un peu et je dois l’avouer, c’est de la colère qui suinte à présent depuis les coins de ma bouche et mes prunelles. Tu me proposes de redescendre sur terre, mais tu ne sais ce qu’il risque de t’arriver si je le faisais à présent. Je me tais et j’encaisse, je sers les dents et j’esquisse quand même un maigre sourire. Maigre parce que je ne peux rien offre de plus. Rien. Mais je ne peux pas non plus me permettre d’offrir moins que cela. De toute évidence tu en retirerai trop de satisfaction. Il y a trop de froideur dans tes yeux et rien, non vraiment rien de bon n’en ressortira, mais je subis tes paroles, parce que je le daigne et ensuite parce qu’il serait trop facile de t’interrompre toi et ta jolie petite bouche qui parle, paaarle, mais dans le vide.

Le vide. Ou ce qu’il y a dans ton esprit. Ce qui s’apparente même à la fin du monde et la régression.  La rhétorique ? Que sais-tu réellement de la rhétorique ? Toi qui est fille de silence, fille de l’ombre tu ne sais pas. Tu n’as jamais affronté des foules, des bals assommants remplis de personnes plus hautaine encore que toi. Tu dis que je suis un tyran ? Ah ! C’est vil et mesquin surtout quand je daigné accorder du temps et de l’attention à la vulgaire et insignifiante petite chose que tu es. Ce n’est pas comme si tu me l’avais demandé c’est vrai, mais après tout l’ombre appelle la lumière et la lumière, l’ombre et n’ai-je pas été la plus parfaite des interlocutrices ?

Mais tu n’as pas fini de parler non. C’est comme si tu avais retenu tes ennuyeuses paroles longuement pour pouvoir profité de ton heure ! Non… De ta seconde… Je sers le poing, mais ne souffre aucune disgracieuse expression. J’ai déjà entendu pire. Tellement pire. Que tu ne sais pas ce qui t’attend, je ne le sais pas moi-même, à vrai dire. Je pose la main sur ma propre joue tapotant de l’index ce que je supposais être l’épicentre de la douleur… Même si elle se trouve ailleurs. Je m’assure que tu aies terminé, j’attends quelques secondes infinies. Je lève la main et je fais mine de vouloir frapper quand je vais me perdre dans ses cheveux ébènes encore. Mon sourire éclate encore, mais cette fois il est féroce et je ne le cache même pas.


 « Mh… Mh… Est-ce tout ? Tout ce que tu as à me dire ? » Je te cajole, comme tu sembles détester qu’on le fasse puisque tu as toujours cette lueur dans l’oeil qui dit tu n’es pas digne. Mais tu ne sais rien. Non absolument rien.  « Qu’est-ce que tu essaie de me dire, à la fin ? Que je ne suis qu’une enfant… Une enfant qui rêve desespérément de voir les choses en grand ? Je n’ai jamais voulu au grand jamais distillé de la peur. Je prends toujours très à coeur les opinions des autres et la tienne ne fait donc pas exception. » Je marque une pause et j’enroule mes doigts dans tes cheveux.  « J’ai été gentille avec toi… Patiente et douce. Délicate. Et crois moi je n’ai pas de raison particulière de l’être comme tu n’es rien.» Mais cette fois je perds mon sourire et je plante un regard assassin dans tes iris pour m’enrouler plus violemment dans tes cheveux. Je tire, avec mes deux mains et je m’abaisse lentement, très lentement, de sorte que la gravité t’attire sur le sol et à moi.  « Par ennuie je l’avoue, mais j’ai sincèrement voulu savoir ce qui te tourmentait ainsi pour venir te réfugier aussi. Et tu te comportes comme la plus pitoyable des ingrates. Pire. Tu oses lever la main sur moi ? Mais qui es-tu pour penser un seul ridicule instant que tu peux comprendre. Te permettre de me dénigrer de la sorte ? » Je reste fermement accrochés à toi et tes cheveux. Jolis cheveux. Assise sur les genoux, je maintiens la pression. Ta tête entre le sol et moi. À ta place.  « Et qu’est-ce que tu vas faire maintenant… Pauvre… Pauvre trésor. Je voulais faire de toi une reine. Mais regarde toi à présent… Je me suis trompée et je regrette profondément. Tu peux continuer de baigner dans la fange. » Je relâche tes cheveux. Je voulais y accrocher une couronne… Mais regarde ce que tu me fais faire. » Je tremble. Et pas de peur. C’est la sensation de toute puissance qui m’étreint. Mais je n’oublie pas qu’un jour j’ai été à ta place.  « C’est une leçon qu’il te faut apprendre : Ne craque jamais. Même quand c’est difficile et que l’autre t’insupporte. Retiens-toi. Enregistre. Trouve ses faiblesses et attaque quand elle sera à terre et qu’il ne te restera plus qu’à la piétiner. » Mes parents m’ont tellement bien éduqué.


J'ai de l'amertume dans la bouche.
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Olympe H. Crawford


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Olympe H. Crawford





Re: bittersweet — ft. winnifried
27.10.16 17:00

((bittersweet)) ft. winnifred // 493 mots
tu as cassé la machine, olympe, t'as fait dérailler les engrenages - et c'était même pas ton but ; tu fais toujours de travers de toute façon, ce n'est pas nouveau. il n'y a pas de quoi s'étonner au fond - tu as toujours su que tu ferais mieux de te taire ((il vaut mieux le silence)) aux mots haineux qui blessent et qui percent la peau et les carapaces ; la violence physique est si douce et tendre à côté, tu la préfères largement. et tu sens tu sens oui l'huile qui ne coule pas correctement dans ses engrenages, cette lueur dans son regard qui te parait un peu trop familière - ses yeux ressemblent à ceux de maman. ah. elle tire sur ta chevelure et tes genoux rencontrent le sol malgré eux, le regard levé vers elle. certains serreraient les dents et d'autres encore pousseraient un juron toi tu te contentes d'assimiler la douleur et l'adrénaline dans tes veines, le cœur au ralentit ; ses mots qui devraient racler ta peau à en rencontrer tes muscles et ton sang ne t'effleurent qu'à peine ((elle ne sait pas)) comme percer le mur oh elle est si loin oui de tout cela. tes yeux se font peut-être encore moins brillants qu'avant - l'habitude surpassant le dédain et la colère ; lasse lasse lasse olympe de tout ce calvaire bien ennuyeux dont tu n'as pas besoin. elle te relâche, te libère et ce que tu lis dans son regard te met la gerbe - elles sont si semblables ; tu reverrais presque ses lèvres se mouvoir en agitant sa baguette contre toi tu es sûre qu'elle y prenait une sorte de ((plaisir)) ah, c'est si impossible à effacer. tu lâches dans un souffle quelques mots sournois je n'ai rien à apprendre de toi. et quand bien même il y aurait une quelconque leçon, tu n'en as pas envie qu'elle sorte de ton foutu
mutisme
qui ronge tes os et bouffe ta moelle jusqu'à ne plus laisser que ton cadavre ramper sur les sols, c'est ton choix. tu relèves ta silhouette, de retour à cette norme distordue et reculée alors que tu passes quelques doigts dans tes mèches abîmées. tu te retournes vers elle, le ton de nouveau plat et fade. quand bien même tu m'exaspères, je n'aurais pas dû avoir recours à la violence. tu m'en vois navrée. tu es sincère - la violence ne résout rien et quand bien même n'es-tu pas contre, tu sais à quel point c'est déplacé. tu ramasses tes quelques biscuits tombés au sol pour les jeter à la poubelle, partant les mains vides vers la sortie sans lui adresser un dernier regard. j'espère ne pas te revoir - passe une bonne nuit. et tu franchis la porte, repartant dans ton antre.
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Duelliste illégal
Winnifred Rosier


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Winnifred Rosier





Re: bittersweet — ft. winnifried
27.10.16 20:36

Bouuuuh !
Je souffle et je me redresse. Dignement. Je frotte mes mains. Il y a encore des cheveux qui s’emmêlent entre mes doigts. Les tiens. J’affiche une moue dédaigneuse. Je pense :

Ce n’est pas toi. C’est eux. Toujours eux.

Leur sale influence qui me dévore l’esprit encore et encore. Perpétuellement. Je te regarde. Sur le sol. Tu n’es rien. Tu ne vaux rien. C’est là la place qui te convient le mieux. Mais quelque part je pense :

Peut-être que c’est faux. Que c’est à cause d’eux que tu penses ça.

Je cogne un meuble de ma hanche et je manque de trébucher.

Peut-être que tu joues leur jeu. Que tu es comme eux.

Je secoue la tête et j’esquisse un sourire plus grand encore. Je vaux mieux que cela. Mille fois mieux. J’ai été gentille. Tu pourrais dire que je l’ai été. Un peu au moins ? Mais tu es toujours sur le sol. Silence.

Peut-être que tu l’as brisé.

Mais c’est faux. Parce que tu te relèves. J’attends des remerciements. Oui je les attends et je suis persuadée qu’ils vont venir. Au lieu de cela tu continues de prétendre, dans ta superbe, que tu n’as rien à apprendre de moi. Alors que tu ne sais rien. Visiblement rien.

Ce n’est pas ta leçon. C’est la leur.

C’est faux. Ou peut-être pas. Mais  il fallait que tu comprennes ! Que tu arrêtes. Oui que tu arrêtes d’être passive. De te laisser frapper… Des les couloirs je t’ai déjà observé. Mais tu ne sais pas. Tu ne veux pas savoir. Alors que je ne voulais que t’aider.

Tu voudrais qu’elle ait besoin de toi.

C’est faux. D’ailleurs tu t’excuses et tu me dis que tu n’aurais pas du te laisser aller à la violence. J’entrouvre les lèvres. Ce n’est pas ça… Ce n’est pas… Je me prends la tête entre les mains. Pourquoi tu ne comprends pas quelque  chose d’aussi simple. Ridicule. Petit. Chose.

Elle ne sera jamais comme toi.

Alors que je voulais te donner une couronne. Une très belle. Avec des fleurs. Des joyaux. Personne n’aurait plus jamais tenté de lever la main sur toi.

Elle ne sera jamais comme eux.

Encore heureux. Oui. Personne ne devraient être aussi misérable qu’eux. Aussi… Stupide. Cruel. Dictateur. Manipulateur. Malsain. Meurtrier.

Tu es comme eux.

C’est faux parce que j’aime les autres. Oui. Je les aime. Même toi. Promis. Juré. Tu devrais resté.

Elle ne restera pas.
Et tu ne restes pas. Tu t’en vas. Je me décompose et je balbutie :

 « Ce n’est pas ce que je … Voulais. »

Elle t’as abandonné elle aussi.

Pas une seule fois tu te retournes. Alors que je n’ai pas dit que tu pouvais t’en aller. Partir. M’abandonner. Personne n’abandonne une rosier.

Personne ne t’aime.

C’est faux. C’est faux. Ils m’aiment.

Mais quand j’y pense, sincèrement, je n’arrive plus à me souvenir des noms et des visages. Je m’écroule. Sur les genoux, la tête enfouie dans les mains.


Je suis toute seule.

Mais je souris.
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Personnel
Lux la Chouette


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Lux la Chouette





Re: bittersweet — ft. winnifried
02.01.17 17:32

Lux pas Chouette


Art. II. Le couvre feu fixé à dix heures est à respecter. Tout élève pris dans les couloirs après ce délai sera sanctionné. Ce n'est sans dire que depuis l'attaque des Sigmas lors de la rentrée, il est descendu à neuf heures ! Et Lux ce soir est arrivée trop tard... Mais elle a tout vu, oui ! Elle a vu les silhouettes s'éloigner et retourner à leur dortoir ! Elle les connait ! Aussi sort-elle son calepin et gratte-t-elle furieusement -15 points pour serdaigle et -15 points pour gryffondor !

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Re: bittersweet — ft. winnifried

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