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 I'd like to be proud, but somehow I'm ashamed [terminée]

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Personnel
Caelum D. Bones


Messages : 100

Date d'inscription : 27/10/2016

Feat : Xanxus - KHR

Crédits : Othello t fab

Double Compte : Winnie//Oscar//Honey

Caelum D. Bones





I'd like to be proud, but somehow I'm ashamed [terminée]
28.10.16 3:09

CAELUM DICK BONES

FEAT Xanxus • Katekyo hitman no reborn


JE SUIS Caelum Dick Bones, mes amis m’appellent Dick J'AI Vingt-huit longues années au compteur JE SUIS né du ventre de ma mère quelque part en Angleterre ce qui fait de moi un… ?  ET MES PARENTS SONT Mes deux parents sont sorciers JE SUIS passé du côté obscur de Poudlard J'ENSEIGNE l’Occultisme, spécialisé dans les informulés et la magie en milieu hostile (vu ma tronche, on peut sacrément dire que je sais survivre, ouais) et j’assure l’intérim en divination en attendant qu’un professeur digne de ce nom pointe le bout d’une fesse dans ce vieux château. DEPUIS La rentrée 2016, bon j’ai loupé la première semaine de cours, mais les circonstances sont ce qu’elles sont. MA MAISON ÉTAIT à toi de me choixpeauter, J'AIMERAIS RAJOUTER QUE Le ministère peut bien aller se faire prendre par une tripotée de troll eux et leur solde de misère, un elfe de maison n’en voudrait pas. J’ai passé 19 mois en rééducation à Sainte-Mangouste pour avoir été « blessé » malencontreusement dans l’exercice de mes foutues fonctions. Y semblerait que je vais pas non plus gagner le prix de Mister Sorcier de l’année du sorcière hebdo. Un peu trop de brûlures et de cicatrices sur la tronche et le corps. Mais bon, paraîtrait que ça plaît à certains types de personnes. Qui ont probablement de l’herpès magique. Ma vie craint. J’ai perdu l’usage de mon bras droit et je ne pratique que des informulés, mais ça m’empêchera pas de t’expedimenta si ta tronche me revient pas. Si t’as des blagues sur les manchots à faire, je suis preneur, j’ai pleins de blagues sur les ados en réserve : Tu sais ce que ton putain de bouton d’acné dit à ta tronche ? « Splatch » parce que ça vient d’éclater salement.  

❝ Je fais pas la queue au supermarché, je double même les mémés, mais je m’en fous j’ai ma carte handicapé.  ❞

MON ÉPOUVANTARDest un brasier perpétuel en train de me dévorer la chair. Classique.
L'ODEUR DE L'AMORTENCIA putain les gars, vous voulez me foutre en fauteuil roulant? Cette information n’existe pas. Surtout si c’est Atlas qui demande. (Café & paprika)
MA BAGUETTE EST FAITE DE Bois d’aulne, 30 cm, coeur d’oiseau-tonnerre et crin de sombral, plutôt rigide et épaisse (ris stp parce que moi je suis déjà mort).
MON PATRONUS est un lion.
JE SUIS DOTÉ D'un don prophétique
ET J'AI Le bras droit complètement hors service & donc il pendouille tout le temps dans le vide. Mais je peux bouger les doigts, encore.  Des brûlures un peu partout sur le corps. Un caractère de merde. été immunisé contre beaucoup de poisons.
MON MEILLEUR AMI EST Une vielle chouette qui s’appelle Holly


Caractère.

Contrarié ou contrariant, Caelum est et restera un emmerdeur de première. Ce n’est pas comme s’il faisait des efforts pour paraître particulièrement agréable, particulièrement gentil, particulièrement compréhensif. Non. Caelum n’aime pas faire d’efforts, surtout quand il s’agit d’une requête ou d’un ordre. Ne vous y trompez pas, il prend un malin plaisir à être particulièrement casse-pied et n’a pas particulièrement envie de se fatiguer à faire semblant d’apprécier quelqu’un ou de camoufler ses vices.

Vicieux et particulièrement quand il s’agit de rendre la vie franchement horrible à quelqu’un, les coups de putes et lui c’est une grande histoire d’amour. Par devant, par derrière, il en a rien à cirer, tout ce qui importe c’est la satisfaction qu’il pourra en retirer. Parce que ça le fait marrer. Car, oui, Cae n’a même pas besoin d’autre motif valable à ses filsdeputeries, il lui suffit de s’ennuyer un peu. Juste un peu. Ou alors c’est simplement parce qu’il est sadique.

Sadisme qui suinte de ses lèvres, quand il sourit c’est qu’il prépare quelque chose de mauvais. Cae n’est pas particulièrement satisfait de son travail et de toute façon il n’est pas franchement pédagogue. Aussi ses cours ont au moins le mérite d’être « différents» de ceux de ses autres « collègues ». Il préfère la pratique à la théorie et n’hésite pas, par exemple, à lancer des sortilèges à ses élèves. Aux lèches-bottes, aux bavards, aux mauvaises têtes, à ceux qui n’ont rien fait. C’est pour qu’ils se tiennent prêt, dit-il, qu’ils sachent que dehors c’est ce qui les attend aux tournants et est particulièrement intraitables avec les futurs aurors. Les retardataires ont le privilège eux de servir de cibles d’entraînements volontaires à ceux qui ont eu au moins le mérite d’être là à l’heure. Sa salle de classe est une zone hostile et de non-droits, il ne le cache pas et d’ailleurs s’il ressemble à un dictateur c’est peut-être parce qu’il estime qu’il est important que les élèves apprennent la révolte qui née du sentiment d’injustice.

Injuste, il peut le sembler et finalement c’est une chose qu’il assume et proclame à qui veut bien l’entendre. Il retire des points à tous ceux qui ont le malheur de ne pas lui revenir. Ou simplement parce qu’il est de mauvaise humeur. En réalité, il retire les points que certains professeurs trop laxistes redonnent aux élèves qui viennent chouiner. (Oui, tu as raison de te sentir concerné.) Parfois il n’y a juste pas de raison, parfois tout est une question de circonstance. Parfois il en a juste assez de sa vie et a besoin de détester.

Détestable, c’est vrai. Il l’est. Caelum est juste un type ambitieux qu’on a rangé dans un placard trop tôt. Un pauvre con d’handicapé frustré de la vie et des gens. C’est un fait, vous êtes tous responsable indirectement de ses sautes d’humeurs. Ce que vous avez fait ? Vous existez et en plus votre bras droit à l’air parfaitement fonctionnel. C’est l’amertume d’être relégué à un rang d’instructeur. De ne plus pouvoir être une partie intégrante de l’action. Il se sait diminué. Aussi bien  physiquement que mentalement. Et non, il n’a pas besoin de votre aide, merci de ne pas demander, ça heurte beaucoup sa fierté et ça risque de vous faire heurter à tout hasard le plafond. Alors il assume son petit côté misanthrope, il n’aime pas les gens, encore moins les ados et faut dire qu’ici y’en a un sacré petit paquet. Si c’est pas malheureux.

Malheur éternel. Il regrette. Ronchonne. Sans doute est-il insatisfait. Frustré. En colère aussi. Parce que ça fait toujours parti du lot. Colère qu’il camoufle dans un dédain mordant, qui ne fait pas illusion deux minutes. C’est difficile à dire, mais ça commence à lui passer. À faire moins chier. C’est comme si la potion sordide qu’on lui faisait avaler à Sainte-Mangouste était passée, finalement. Dans son gosier. Avait fait le tour de son estomac. Son système digestif complet et qu’il a fini par l’éjecter aux wc. Alors il relative maintenant. Il relativise et fait preuve d’un peu de maturité quant à son propre état. Et ça le fait se sentir vieux. Alors à la place il fait des blagues sur lui-même. Se prend souvent en exemple de ce qu’il ne faut pas faire et devenir dans la vie. Ce qui le sauve c’est l’humour et ses mauvais coups. Ses blagues un peu trop noires qui vous font hésiter un instant : Si je ne ris pas je vais mourir, mais si je ris je vais probablement mourir aussi. Ce n’est jamais très clair avec Cae et il en joue un peu. Il aime faire faire sursauter et effrayer.

Effrayant. Un peu, c’est qu’il tire un peu la tronche et qu’il a sur le visage des brûlures qui font sourciller. Grimacer.  Rend mal à l’aise. Et le pire c’est que parfois on peut le trouver en train de tripoter sa propre peau et s’adresser des remarques du genre : Tu parles d’une trogne de tombeur. Il a un rapport particulier avec son corps et toutes les cicatrices qui le parcheminent. C’est qu’il est encore en train de se demande ce qui a bien pu arriver à son corps fabuleux. Il n’a pas honte de lui-même, ou du moins semble à l’aise à l’idée d’avoir une brûlure en forme de cœur sur la fesse gauche. Vous y croyez ? Lui-même a du mal. Il n’est rare non plus de le voir essayer, quand personne ne le regarde, de faire bouger son bras rien qu’avec la force de son esprit. Ce qui pour l’instant se solde toujours par un échec cuisant.

Cuite. Sa peau l’a été. Oui, parfois il aime raconter comment il s’est retrouvé coincé dans un espace rongé par des flammes de sempremais. Comment il a réussi à survivre alors, en tuant le mage noir. Mais ça ne l’a pas empêché à vrai dire de bousiller son bras et sa vie. Ironique quand on pense que lui il est décédé. Mais sa peau à lui a continué de brûler. Perpétuellement. Pendant six mois. Il a passé six long moins à ressentir perpétuellement le feu lui ronger la peau. Les médicomages ont bien travaillé, vaillamment même, combien même Caelum les insultait quand il lui arrivait de ne pas hurler. Potions, enchantements, cataplasmes magiques. Pour régénérer sa peau. Ignifuger certaines parties, éteindre d’autres. Lentement. Très lentement. Il a tout enduré. Ils ont tout tenté. Et puis finalement ça c’est arrêté. Ils ont trouvé le moyen de l’arrêter. Et même après dix jours d’une fièvre magique où il était toujours persuadé de brûler, il a survécu. Il a survécu, combien même on lui avait arraché des lambeaux de peaux. Son bras n’avait pu être sauvé, parce qu’ils avaient du choisir pour lui entre la vie et son adresse légendaire. Son rapport à la douleur et à la vie a profondément changé. Et il n’a pas honte de raconter comme il a même galéré pour réapprendre à vivre. Que ce soit pour manger, s’habiller, aller aux wc, en passant par la magie. Peut-être que même avec sa propre vie il n’est pas assez pudique.

Pudibonderies ? Non, ce mot n’existe pas dans la tête de Caelum. Alors il est franc, direct et un peu vulgaire. Il n’aime pas les chemins détournés – quoi que, ça dépend un peu de ce qu’il est en train de faire, et n’hésite pas à signifier son « mécontentement » ou son « agacement » par de simples interjections qui font toujours l’unanimité. Comme Cae est très créatif, mais qu’il utilise toujours cela de manière déplacé, il a réinventé le terme « juron » lui-même et a même publié un livre d’expressions argotiques qui vous insulte vous et votre généalogie entière avant de daigner même s’ouvrir. Autant dire que ce n’est pas un livre de chevet très apprécié. Rien ne vaut une conversation parsemé de mots fantasques dénudé.


Nu. C’est un détail. Minuscule. Qui a pourtant son importance. Il pourrait se balader nu sans se soucier même de la population ou non présente dans son bureau et ou sa chambre. Il est donc préférable de lui demander, « Est-ce que tu es habillé, Cae ? » avant d’entrer. De la même façon qu’il a un rapport très particulier avec son corps, son rapport avec les autres l’est également. Si maintenant il est établi qu’il n’est plus le romantique qu’il a pu être quand il était jeune et encore fringuant, il n’en est pas moins direct. Et Cae est un homme qui a des besoins. Aussi il n’hésite pas être très tactile avec ses collègues. Et contrairement à ce que l’on pourrait penser de prime abord, ce n’est pas sa libido qui a des besoins, mais son estime de lui-même. Son estime physique. Il a besoin de vérifier qu’il est désirable. Qu’il a toujours du succès, malgré le déni de Sorcière Hebdo quant à son apparence physique actuelle. Alors il est le roi des allusions et des propositions lourdes. C’est devenu plus une sorte de jeu qu’une tentative désespéré de s’inviter dans le plumard des autres. D’ailleurs il est préférable que ses tentatives ne restent que des tentatives. Peut-être parce qu’il n’est pas si à l’aise que ça à l’idée de se dévoiler réellement. Mais il faut quand même savoir qu’il ne quitte jamais sa baguette. Qu’on ne sait jamais quand un obscuro, un incarcerem et diffindo peuvent malencontreusement vous atteindre. Oui. Il ne manque vraiment pas de créativité.

Créatif, oui  et ses idées sont toutes tordues, oui, véritablement tordues. Il ne faut pas s’attendre à trouver quelqu’un qui pense et fait comme tout le monde. Il est beaucoup moins inconscient qu’il en à l’air et peut-être que son propre comportement n’est qu’une attitude. Il ne mettrait jamais volontairement quelqu’un en danger et même si ses actions peuvent sembler incroyablement … Risquées. Stupides. Folles. Choisissez, les qualificatifs ne manquent pas et lui ça le fait toujours incroyablement marrer. Il joue à l’imbécile et il préfère qu’on ne lui accorde pas trop de crédit. On ne sait jamais, si vous vous mettiez à lui faire confiance et à lui confier d’autres responsabilités. Brrrr. Il ne préfère pas y penser. Il est particulièrement doué pour esquiver. Esquiver les élèves qui semblent vouloir se confier à lui et n’hésite pas à les déposer dans le bureau de certains de ses collègues pour qu’ils se débrouillent avec eux. Malgré tout il sait tendre une oreille attentive aux autres. Et se révèle pourtant être un bon confident, même s’il râle et qu’il jure sur le slip de Merlin qu’il répétera tout secret imprudent qui sortirait de votre bouche. Peut-être même qu’il ne déteste pas totalement les gens et la vie. Peut-être qu’il prétend beaucoup plus qu’il n’est. Même quand il est en cours, qu’il a les pieds en éventails sur son bureau et qu’il raconte combien il déteste sa vie et qu’il déteste personnellement tous les étudiants en Occultisme.

S’il n’aimait pas malgré tout ce qu’il faisait, pourquoi resterait-il à Poudlard, au lieu de claquer sa solde misérable en magasines pornos, whisky pur feu et crackers salés moldus importés illégalement pour se poser dans son jardin et traiter le monde avec mépris ?

Parce que, peut-être, oui, peut-être qu’il y a une chance. Même infime. Qu’un jour un de ses élèves se souvienne de ce qu’il leur aura enseigné et que ce jour-là, oui, il ressortira vivant. En bonne santé. Heureux et fier.


Fierté. « Si ça peut leur éviter de devenirs vieux, cons, moches et handicapés, je crois bien que j’aurai au moins réussi quelque chose de bien dans ma foutue vie.  »

Ou alors c’est peut-être parce simplement qu’il a pas envie de les revoir tous, ces petits gobelins, fréquenter les mêmes centres de sorciers vétérans.


Allez savoir.


Infos randoms :

Est accroc au café x Dort tout nu x Ne supporte pas du tout l’alcool, même la bièrebeurre le rend soûle x Finit toujours en dessous de la table après un seul verre x Fait semblant de savoir tenir l’alcool et invite régulièrement ses collègues au chaudron baveur du Pré-Au-Lard x Pose à ces même collègues toujours des lapins x Trouve toujours de bonnes raisons et de mauvaises pour esquiver tout et n’importe quoi x Parfois il a la flemme d’aller en cours x Mais il y va quand même et reste d’une humeur massacrante toute la journée x Fume la pipe x Même en cours x Refile ses colles aux autres x Enfin essaie x Vaut mieux éviter de vous retrouver en colle avec lui x Reluque les gens sans même s’en cacher x Déteste qu’on lui parle de sa mère x Est en train de rédiger un manuel de sortilèges applicables et appliqués aux relations sexuels x Teste beaucoup ses sorts sur ses collègues au détour d’un couloir et oublie d’annuler ces sortilèges x Non, il n’oublie pas le faire, ça le fait juste marrer x Utilise des sortilèges pour combler son handicap x N’utilise pratiquement que des informulés x N’arrive pas encore à lacer ses chaussures seul x Et à faire d’autres trucs aussi, mais il préfère crever plutôt que de le dire x Non, il n’a pas besoin de votre aide x Même quand il en a vraiment besoin x A placé des magasines pornos en évidence sur son bureau simplement pour mettre mal à l’aise ses élèves et certaines personnes dont il ne citera pas le nom x Aime la cuisine ultra épicée x Ne sait pas cuisiner x Déteste les chats x En a réellement très peur x Avant le brasier perpétuel son épouvantard prenait la forme d’un chat x Trouve que ce sont les créatures les plus horribles de l’univers x Oui, même avant les harpies x S’est déjà fait draguer par une harpie qui a pris une potion à apparence humaine x S’en est rendu compte avant de passer à l’acte x Déteste les harpies x Est très chatouilleux x Fait souvent des blagues sur les handicapés x les manchots x les élèves x les adolescents x N’a pas de honte à sortir en plein cours une blague pédo x Essaie de se faire virer x Abandonne souvent l’idée parce qu’il a la flemme d’être vraiment odieux x Fan inconditionnel de films d’action x Partiellement taré x Partiellement sain d’esprit x Aime bien prétendre qu’il est adepte du BDSM x Ou alors ce n’est pas une rumeur x Préfère draguer qu’être draguer x Est mal à l’aise quand on le drague x Aime comparer ses brûlures et ses cicatrices à des dessins x Se traite souvent de con x Virtuose du balai x Était capitaine de son équipe de quidditch x Ancien duelliste illégal x Se sent en compétition permanence avec McFayden x Est allergique à la niaiserie x Se détend en allant fracasser quelques tasses de thé dans le bureau d’Atlas x Retient ses posters et ses assiettes en otage quand il lui tape réellement sur le système x grand amateur de dragon & de dragonrun x Les plumes de ses cheveux sont magiques et changent de couleur/de volatil en fonction de son humeur x a une relation conflictuelle avec le Sorcière Hebdo x a une relation conflictuelle avec le monde lui-même x A encore une fois perdu foi en l’humanité hier soir x La cherchera un autre jour x Ne la trouvera pas x Et se rappeler qu’il ne l’a jamais eu x Cette liste est beaucoup trop longue.
Histoire.

Mère. Oui, c’était parce que sa mère aimait les constellations. C’était son truc à elle la divination. Elle est partie étudier longtemps avec les centaures. N’a même pas fini sa scolarité. Un jour elle est partie dans la forêt interdite et elle n’est jamais ressortie. Pendant dix ans. Et puis. Elle est revenue. Elle prétendait avoir réussi à se lier avec ce peuple si particulier. Qu’elle avait renoncé à 10 ans d’existence humaine pour pouvoir apprendre à voir. À voir véritablement et deviner. Personne ne sait si c’est la vérité. Aucun centaure ne viendra témoigner pour corroborer.

Père. Ils se sont rencontrés quand elle avait 29 ans. Lui il était plus plus jeune. Un gars un peu timoré qui aimait beaucoup trop les étoiles. Qui aimait beaucoup trop qu’on ait besoin de lui. Qui avait le cerveau un peu trop perché. Des idées un peu folles. Il avait de la fantaisie. Il avait l’art d’offrir des univers et des cœurs entier avec ses yeux. Donnait l’impression qu’il n’y a rien de plus important sur terre que la personne qu’il contemplait. C’était gentil. Mignon. Il admirait la jeune fille qui avait dédié une partie de sa vie à la divination. Oui. Même si parfois il perdait la tête. Il aimait oublier en s’envoyant des substances magiques. Capable de le faire planer très haut. Très haut. Pour oublier.

Don. Oui le don. Celui qui lui torture l’esprit. Un peu trop. Peut-être qu’il espérait comprendre, en s’intéressant aux étoiles. Il était jeune, mais après-tout quand il prophétisait, sa voix prenait des accents millénaires. Ça dérangeait les autres, quand ils comprenaient qu’il n’était pas juste fantasque. Que parfois il perdait pied avec la réalité et qu’il ne savait comme s’y ancrer.

Mère. Oui, c’est peut-être grâce à elle qu’il a réussi à trouver un équilibre. Elle lui donnait une place centrale dans sa vie. Il était devenu son étoile. Elle ne le jugeait pas. Après-tout elle était fantasque elle aussi. C’était beau. Elle était devenue son besoin, son unique, la seule. Et de même. Il était son besoin, son étoile, le seul et l’unique.

Conte de fée. Véritable histoire d’amour qui réunit deux êtres rejetés. Incompris. Il y avait de la passion. De l’affection. Tout allait bien. C’est comme s’ils étaient capables de chasser les trolls et les gobelins de leur vie. S’ils restaient à deux. Juste à deux.

Isolés. Du reste du monde. Ils préféraient rester discrets. Mystérieux. Ils vivaient dans une maison remplies de bibelots new-age. Il portait les cheveux longs. Elle aimait les jupes longues. Et l’encens, la musique, ils vivaient lentement. Mais sûrement. C’étaient eux contre le reste du monde. Leur maison était un temple d’amour dédié à eux et eux seuls.

Voyants. C’était leur métier. Ils subvenaient de cette manière à leur besoin. Concurrents et partenaires. Si semblables. Indissociables. Ils consultaient les étoiles ensemble. S’envoyaient en l’air sur le taffetas. De toutes les manières. Physiquement. Spirituellement. Magiquement. Bougies, Miel. Incantations. Fumées qui s’élèvent de narguilés.

Enfant. Caelum est né. Ils en étaient tellement heureux. Tellement. Même si c’était un accident. Qu’ils n’ont jamais pris la peine de se marier. Qu’ils n’avaient jamais rien programmé. Mais ils en étaient heureux. Si heureux.

Prénom. Oui. Il a toujours détesté son prénom. Toujours. Parce qu’il portait celui d’une constellation. Il aurait mille fois préféré qu’on fasse l’effort de lui inventer un nom. Il existait tellement de son sur terre, que s’ils avaient pris la peine d’y réfléchir au lieu de lever le nez au ciel ils auraient pu trouver un ensemble parfait. Nouveau prénom pour une nouvelle existence. C’est qu’il voulait y graver ses propres lettres de noblesse. Exister et être unique plutôt que l’énième Caelum sur terre.

Problèmes. Qui surviennent quand ils ne sont plus uniquement deux. Mais trois. Trois qui brise l’unité. Fait ressurgir les problèmes.

Père qui oublie l’enfant. Sur le ventre, dans le berceau. Qui fait trop brûler d’encens et fait cramer le tapis. Qui ne supporte pas quand ça pleure et que ça hurle. Qui ne comprend pas quand ça a faim alors que lui-même a si faim d’étoiles. Les étoiles. Et son don. Le sien. Qui dévore ses pensées claires.

Mère. Mère qui jalouse et qui voudrait. Posséder le vrai don. Qui a tout sacrifié et qui pourtant ne peut atteindre l’illumination. Mère qui trime. Qui éteint les flammes. Qui hurle quand le père hurle, parce que le bébé hurle. Qui ne peut plus penser suffisamment. Qui se retrouve seule. Seule à assumer. Seule à tout gérer.

Illégalité. Parce que le père n’a jamais voulu déclarer son don. Jamais. Et que la mère l’a déclaré sien. Il lui suffisait de répéter les prédictions. De les faire siennes. D’y croire. Ça faisait plaisir au premier qui ne voulait pas de cette particularité qui lui mangeait le cerveau. Un peu. Beaucoup.

Enfant. Qui grandit.

Père absent, toujours dans les étoiles. Les nuages.

Mère. Mère qui ment et qui fait de son mieux. Qui essaie de maintenir son temple. Le leur. Qui cherche l’amour désespérément.

Père. Père qui trouve. Une autre. Une autre qui l’incite à vivre et essayer. D’être une individualité. À accepter ce qu’il  est. Qui lui fait revivre le frisson.

Mère qui plonge. Qui déprime. Maison qui tombe en ruine. C’est le manque d’amour qui fait craqueler les murs. Trembler les fondations. Elle essaie de tout retenir, même quand ça c’est s’écroule et qu’il faut faire semblant que tout va bien.

Père qui s’en va. Qui disparaît. Qui hurle qu’il n’a jamais été aussi malheureux que depuis qu’il l’a rencontré.

Mère qui se tient droite. Qui affronte. Mais qui s’écroule.  

Enfant qui ne sait pas. Enfin qui s’endort à côté de la mère et qui jure qu’il ne serait jamais comme son père.

Mère qui s’enferme. Ferme les rideaux. S’enferme dans la pénombre. Arrête de voir. De regarder vraiment dans sa boule de cristal. Elle se tait. Essaie de se reconstruire. Mais le secret et le mensonge menace d’exploser. D’être révélé. Elle allait perdre. Tout. Son travail. Sa réputation. Tout ce qui lui reste.

Enfant qui essaie de lui redonner le sourire. Qui essaie de la divertir. De la convaincre sincèrement que tout va bien aller. Que tout finira vraiment par aller mieux. Que papa reviendra peut-être.

Mère qui devient sourde. Des mois et des mois. Elle a du mal à prendre soin d’elle alors c’est l’enfant qui le fait. Et puis finalement, la douleur de l’absence finit part s’estomper. Péricliter. Oublier. Le temps apaise. Le thé au whisky aussi.

Mère qui plonge. Dans le travail. Qui se raccroche très fort. Qui finit par y croire, même quand parfois elle se rappelle qu’il y a un mensonge qui menace de ressurgir. Mais elle a de l’espoir. Elle a un plan. Elle y a réfléchi. L’enfant devait posséder le don aussi. Oui. C’était sûr. Le père l’avait, forcément il lui avait transmis. Alors elle lui a appris ce qu’elle savait. Elle lui a appris à déchiffrer les signes. À lire sur les mains. Dans les cartes. Le nom des constellations. Elle lui demandait de rester. D’écouter. Elle dit que c’est important. Pour elle. Que peut-être qu’elle retrouvera son don à elle. Elle pense sincèrement que l’enfant ne sait pas. Ne comprend pas.

L’Enfant comprend. Il comprend trop bien, mais il fait semblant. Il se dit que c’est peine perdue. Que tant que papa ne rentrera pas rien n’irait. Il gardait l’espoir… L’espoir qu’elle aille le chercher et qu’il revienne. Que tout redevienne comme avant. Et puis ça lui donnait le sourire. Et il détestait quand elle ne souriait pas.

Le don. Il se manifeste. L’enfant comprend qu’il sera le nouveau substitut. Le nouveau mensonge. Il hausse les épaules. Accepte. Surtout que ça ne le dérange pas si elle est heureuse.

Sauf que des années plus tard, il en a marre. Il ne trouve plus ça trop charmant. Même fantasque. Il ne veut plus danser, faire semblant. Il étouffe. Il étouffe dans la mauve et la sauge. Alors il envoie tout promener. Agressif. Vulgaire. Il en a assez.

Poudlard. Poudlard et la rentrée qui arrive. Nouvel environnement. Mais il est toujours en colère contre le monde. D’ailleurs dans le Poudlard express il est obligé de partager son wagon avec deux roux. Un garçon. Une fille. Il les déteste parce que bon, il aime personne. Qu’il est en rébellion contre le monde entier. Alors il répond même pas quand le garçon roux lui dit bonjour. De toute façon les jours de Cae ne sont jamais bon.

Répartition. Le choixpeau n’a pas mis longtemps à se décider. Il ne connaît personne et de toute façon n’a pas envie de connaître les autres. Les cours commencent et l’intéressent. Particulièrement ceux où il peut lancer des sortilèges. Parce qu’il se trouve qu’il est doué et qu’il aime ce qu’il fait. Qu’il n’est plus étouffé. Que là au moins il n’y a pas de lourds rideaux qui barricadent les fenêtres. Plus d’encens, plus de mauve, plus de sauge. Il respire.

Poudlard. Oui c’est là qu’il s’épanouit le plus. Qu’il apprend à moins détester le monde, même s’il s’énerve quand on lui parle de sa mère. Il étudie, se concentre sur ses études. À de grandes ambitions pour l’avenir. Lui il veut devenir un redresseur de tord. Parcourir le pays. Ne jamais s’arrêter. Il voulait prouver qu’il pouvait faire autre chose que deviner. Que de prophétiser. Et il était doué. En potion, en sortilège, en métamorphose, en défense contre les forces de mal.

La mal. Oui. En voilà un ennemi opportun, qui ne faiblit jamais, qu’il faut continuer de traquer. Le mal et sa racine. Combien même lui dit-on que la sélection est rude. Difficile. Il s’en fiche. Il veut choisir et à choisi. Il ne ferait pas comme sa mère. Comme son père. D’ailleurs son don à lui ne le rendrait jamais fou. Jamais.

Jamais il n’a renoncé. BUSEs, ASPICs, il a tout passé, les sélections, les entretiens. Il a choisi. Auror. Il a été sélectionné. Il a choisi son futur. Combien même cela devait l’éloigner de ses amis. Oui, ceux qui lui ont appris que certaines personnes méritaient d’êtres aimés.

Dénoncer. Oui, il a fini par dénoncer sa mère. Mère qui de toute façon avait fini par sombrer. Dans l’absence et l’alcool. Sa quête infinie de la clairvoyance véritable. Celle qu’elle ne pourra jamais atteindre. Parce que ce n’est pas quelque chose qui s’acquière, mais qui est inné.

Déclarer. Sa propre capacité. Le ministère était ravi après-tout qu’il travaille pour eux. On ne sait jamais quand il finirait par voir à nouveau. Par énoncer. Un petit bout du futur.


Liberté. Celle après laquelle il courrait. Il faisait preuve de zèle. On disait qu’il était un élément prometteur. Qu’il finirait par supplanter les plus grandes légendes.

Admiration. Il voulait la susciter. Exister pour de bon. Ne plus être l’ombre de sa mère. De son père. Exister au-delà de son don. Alors il en faisait trop. Toujours trop. Imprudent et charismatique. Il impressionnait. C’est qu’il essayait de combler. Un manque affectif. De noyer. Une relation à sens unique qu’il l’a beaucoup trop rongé.


Relations. Sans importances. Il enchaîne, entre deux missions. Femme, homme. Plus âgés. Un peu moins. Quelle importance. Il cherche un peu d’amour. Il cherche à cramer un peu la solitude. Il cherche une nouvelle façon de respirer, sans plus jamais penser à ce qu’il a laissé derrière lui.

Dernière mission. Celle qu’il n’aurait jamais du accepter. Parce qu’il n’avait pas la tête à ça. Qu’il avait un cœur à rapiécer. Une mère devenue folle qui ne sait même plus qui il est. Une histoire de sortilège de clairvoyance qui a mal tourné. Depuis elle est persuadée qu’il a toujours sept ans et qui ne le reconnaît même plus dans ses traits d’adulte. Elle lui a dit « vous connaissez mon petit garçon ? Caelum ! J’espère qu’il deviendra aussi beau que vous quand il sera plus âgé. » Alors il lui a lancé un sortilège d’expulsion qui l’a balancé contre le mur et il est parti.

Détruire. Il voulait tout détruire. Tout casser. Encore. Il avait l’impression qu’il avait oublié comment aimer. Il en voulait encore au monde entier. Alors il s’est montré imprudent. Trop imprudent. A merdé complètement. Sérieusement. Un duel au milieu d’un brasier éternel. Ce n’était pas l’idée du siècle. Non vraiment pas. Peut-être qu’il voulait en finir. Sérieusement. Qu’il avait quelque chose à prouver.

Quand on l’a retrouvé il avait tué le mage noir, mais il souffrait de graves blessures. De graves brûlures. Personne ne pensait qu’il y survivrait. La douleur le rendrait fou. Mais il fallait essayer.

Sainte-Mangouste. Et six premiers mois à hurler. Hurler même quand il n’a plus la voix pour le faire. Incapable d’entendre. D’écouter. De dormir, même. Potions, sortilèges, cataplasme. En permanence. Les plaies continuent de brûler. À l’infini. Les médicomages font de leur mieux. Oui. Il y a des choses qu’on ne peut pas réellement décrire. Pas réellement expliquer. Et la douleur de Caelum n’en était pas. C’était au-delà même du terme douleur. Du terme souffrance. Du terme torture. Quand le corps s’arc-boute, pour balancer encore et encore des insultes et des hurlements. Quand la conscience n’est plus qu’un océan de maux. Oui. Ce sont des choses qu’il faut vivre pour comprendre.

Apathique. Il l’est resté. Après les six premiers mois. Quand on lui a dit qu’il ne pourrait plus jamais se servir de son bras droit. Que la peau ne régénérerait plus à certains endroits. Qu’il lui faudrait tout réapprendre. Qu’il finirait sans doute par devoir abandonner son ancien métier. Qu’ils étaient désolés, mais qu’il avait héroïque. Qu’il pouvait être fier de lui.

Fierté. Elle était en miette. Il ne pouvait plus rien faire seul et le fantôme de sa mère planait au-dessus de lui. Constamment. Diminué. Faible. Inutile. Fini. C’est ce qu’il se disait. Il n’arrivait même plus à faire de la magie. C’est comme s’il bloquait. Comme si son bras gauche refusait. Il n’arrivait même plus à lancer de lumos.

Déprimé. Il était déprimé. Il ne lui restait plus rien et finalement il se demandait : Pourquoi n’était-il pas mort dans ce brasier ? Il refuse de coopérer. D’abandonner son bras. Il persévère encore et toujours, se dit qu’il pourra y arriver. À réutiliser son bras. Fidèle bras droit. Mais rien y faisait. Désagréable et vulgaire. Il voulait qu’on le laisse en paix. Envoyer balader ses plateaux repas et les infirmières.

Sursaut pendant le douzième mois. Il finit par accepter. Par coopérer. Parce que quelqu’un de son passé à ressurgit pour le secouer. Il a pris son mépris comme un défi. Il survivrait. Il retrouvait la magie. Il n’était pas fini. Jamais.

Dix-neuf mois. Le temps de rééducation total qu’il a passé. Il a du réapprendre à vivre avec un bras en moins. Et c’était long. Tellement long qu’il a eu le temps d’écrire un livre. De tomber une nouvelle fois amoureux. De rompre. De se mettre tout un magasine à dos après plusieurs lettres assassines adressées à la direction quant il a découvert qu’il ne serait pas élu Mister Sorcier pour la troisième fois d’affilé. Et ça ne semble pas sérieux. Ça ne semble pas important. Mais chaque anecdote est  une petite victoire. Un pas en avant vers un retour à la normal. Il ne se morfondait plus.  

La magie. Oui. Il a finalement retrouvé la magie. Réussi à passer au-dessus du blocage. Un peu. A fini par trouver une réponse dans les informulés. Peut-être parce qu’il avait finalement retrouvé l’envie de vivre et de ses projeter. Et ses informulés, eux ne manquaient pas de puissance, contrairement aux formulés. Il pouvait presque tout faire, sans jamais desserrer les dents. Il lui suffisait de faire le bon geste. D’ailleurs il a gagné en rapidité. En précision. Il s’y raccrochait de toute ses forces. C’était tout ce qu’il lui restait après-tout.

Pas suffisant. Oui ce n’était pas suffisant. Pas suffisant pour réintégrer les aurors. On lui a dit : « Vous avez suffisamment donné. Vous avez bien travaillé. Vous êtes un héros. Au nom du ministère nous tenions à vous remercier.» Seulement il voulait être utile. Il ne voulait pas qu’on le remercie. Il ne voulait pas se contenter d’une solde de misère et de groupe de paroles dans le centre, remplis de vétérans sorciers traumatisés et handicapés. Alors il a protesté. S’est insurgé. À tellement hurlé qu’ils lui ont dit : « Enseignez ! Transmettez votre savoir ! C’est la seule chose qu’il vous reste. Que vous pouvez faire.  »

Il a longtemps médité. Hésité à envoyer son curriculum vitae. Parcouru les petites annonces. Le ministère ne voulait plus de lui, mais peut-être qu’il trouverait ? Autre chose d’aussi risqué. Le frisson lui manquait ! Mais qui voulait d’un sorcier handicapé ? Personne. Personne en vérité. Alors il a bien fallu qu’il décide, après de nombreux examen de conscience il a finalement pris une décision.

Faire une croix sur le passé. C’est ce qu’il devait faire. Tout recommencer. Il devait commencer à la rentrée, mais un incident l’a tenu éloigné. Son père. Oui. Son père avait fini par passer l’arme à gauche. Lui léguant des affaires et des impayés. Le pire et le meilleur de lui-même. Une semaine, c’est le temps qu’il lui avait fallu pour tout remettre en ordre. Pour régler ce qu’il devait régler.

Poudlard. Il retrouve le vieux château, avec un peu de retard. Un maigre paquetage flottant derrière lui. Oui. C’était la décision qu’il avait pris. Il enseignerait.  

PERPENDICULAIRE

Plus connue sous le nom de Oscar L'Ourson & Winnie Rosier. Pk il est tard?
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Marvel J. Solberg


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Marvel J. Solberg





Re: I'd like to be proud, but somehow I'm ashamed [terminée]
28.10.16 4:06

I'd like to be proud, but somehow I'm ashamed [terminée] 10

Tes blagues sur tes élèves, ton codage trop merveilleux qui me fait penser à un ciel étoilé d'été, ton second nom/surnom, ton titre volé de sorcier de l'année par sorcière Hebdo. JE T'AIME.

Et je sens que tu vas encore nous faire un personnage parfait. I'd like to be proud, but somehow I'm ashamed [terminée] 4131724991 love
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Cyrian Aefferden


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Re: I'd like to be proud, but somehow I'm ashamed [terminée]
28.10.16 10:03

Hello Sweetheart ♥️

Re-Bienvenue !

Caelum et Cyr auront la peur du feu en commun mdr

Je suivrai cette fiche avec attention flower
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Atlas Pendragon


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Re: I'd like to be proud, but somehow I'm ashamed [terminée]
28.10.16 10:17

MAIS.
MOI JE VEUX SAVOIR L'ODEUR DE SON AMORTENCIA DDDDDD:
DDDDDDD:
(rebienvenue t'es fab amour LOVE YOU)
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Shasta Mathesson


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Re: I'd like to be proud, but somehow I'm ashamed [terminée]
28.10.16 10:55

OMD JTM TOI. genre so perfect sans fautes et tout t'abuses. rebienvenue <3
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Sakutarō Koga


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Sakutarō Koga





Re: I'd like to be proud, but somehow I'm ashamed [terminée]
28.10.16 11:03

Que vous êtes laid olalala s'en est presque affligeant.

Mais j'vais suivre cette fiche quand même, parce que même moche t'es swag swag
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Isabeau Leroy


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Re: I'd like to be proud, but somehow I'm ashamed [terminée]
29.10.16 13:11

vu que tout le corps professoral s'est apparemment donné rendez vous sur ta fiche je viens m'y joindre swag
je sais pas si je dois me sentir visée quand tu parles de harpies
mais je sens que Cae et Bo sont un peu trop faits pour s'entendre pour la survie du reste du monde et la santé des élèves
je reste deçue de l'absence de jeu de mot avec ours dans son nom :(
mais jtm quand même ♥️

zoubis sparkle
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Caelum D. Bones


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Re: I'd like to be proud, but somehow I'm ashamed [terminée]
30.10.16 21:33

Vous vous êtes tous donné rendez-vous ici mdr je vous aime ♥♥♥ ! (ekjdednekj je me sens trop aimé par mes collègues, c'est beau) J'ai finalement terminéééé ma fiche & j'espère que ça ira, mon histoire est très survolée, mais je suis nulle pour les histoires ;;;;. J'espère que ça iraaa! Je vous fait des des bisous.
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Marvel J. Solberg


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Marvel J. Solberg





Re: I'd like to be proud, but somehow I'm ashamed [terminée]
30.10.16 23:26

TA FICHE EST MAGNIFIQUE. J'AI DES ETOILES PLEIN LES YEUX, JE NE VOIS PLUS RIEN.  love  love  love

Ton style, c'est du. AHHHHHHHHHH. DU LYRISME, DES IMAGES DE LIVRES D'ENFANTS, DES TRUCS ENCORE PLUS CHOUS ET ÉMOUVANTS QUE DU CARNET DE CERISE. Sérieusement, je veux que tu écrives un livre d'enfants.

Avalon sera l'illustratrice, toi t'écriras et tu liras le truc en audio et moi, je serai votre mac et deviendrai riiiche ♥️
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Demeter H. Green


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Demeter H. Green





Re: I'd like to be proud, but somehow I'm ashamed [terminée]
31.10.16 0:18

Oscar c'est un plaisir de te revoir sous ce troisième toi ♥
Et tu perpétues la vague mauve tu es fantastique. Et bref Marvel est passé par là donc je ne peux plus te couvrir de compliments donc jspr simplement qu'on ne te trouvera pas nu en train de choquer des premières années. Je me contenterai de dire que Monsieur m'a l'air d'un ancien vert, donc SERPENTARD pour lui. Eeeet rebienvenue et bon jeu avec ton tc qui va être trop bien pour toi à exploiter in rp ♥





Professeur !


Félicitations ! Le directeur t'accueille officiellement en tant que professeur d'Occultisme à Poudlard ! Tu peux maintenant finir ta fiche tranquillement. Nous te conseillons de suivre Être un sorcier pour les nuls qui te guidera pour faire des premiers pas sur le forum !
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Re: I'd like to be proud, but somehow I'm ashamed [terminée]

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