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 Je ne suis pas un plombier moustachu

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Luigi Tragelstone


Messages : 161

Date d'inscription : 12/08/2016

Feat : Sawada Tsunayoshi (Katekyo Hitman Reborn)

Crédits : Kiki ♥ Ava ♥ et Moi XD

Double Compte : Mikael B. Adams

Luigi Tragelstone





Je ne suis pas un plombier moustachu
12.08.16 12:08

Luigi Tragelstone

FEAT Sawada Tsunayoshi (Katekyo Hitman Reborn!)


JE SUIS Luigi Tragelstone, J'AI quinze ans. JE SUIS un métisse, bien que ça se voit pas. moitié Italien, moitié anglais ET MES PARENTS SONT un sorcier, l'autre moldue JE SUIS EN première année ET J'ÉTUDIE de tout à mon niveau OPTION aucune, je suis nouveau JE FAIS PARTIE DES Neutre pour le moment ET MA MAISON EST attendre la répartition. J'AIMERAIS RAJOUTER QUE mes cheveux sont vraiment indomptables.

❝ Peu de choses ont de limites, c'est juste les êtres humains qui en fixent. ❞

MON ÉPOUVANTARD est un chien énorme aux dents pointues qui grogne et mord si pas débarrassé très vite.
L'ODEUR DE L'AMORTENCIA  est celle de spaguetti à la bolognèse de sa maman et celle du thé Earl Grey
MA BAGUETTE EST FAITE DE bois de Mélèze au cœur possédant un ventricule de dragon.
MON PATRONUS est un fennec, renard du désert.
MA MATIÈRE FAVORITE EST Potion
JE SUIS DOTÉ d'aucun don précis, sauf celui d'attirer les ennuis comme les mouches.
ET J'AIles oreilles percés et c'est tout
MON MEILLEUR AMI EST une petite martre, nommé affectueusement Nuts parce qu'il raffole des noix




Caractère.

Que dire de Luigi ? C'est un jeune homme assez naïf, il sait certaines choses, parce que l'adolescence lui a ouvert les yeux. Mais il reste quelqu'un d'assez prude. Pas qu'il fuit l'amour. C'est qu'il n'est jamais tombé amoureux. Ce genre de choses à fini par le lasser. C'est un jeune homme qui est du genre à être proche de ses amis comme ses ennemis. Ce qui la mené à subir quelques humiliations de la part des seconds. Il est du genre à tout pardonner ou presque. Il a ses limites. Très peu de personnes les ont franchies. Il n'est pas bon d'être en mauvais terme avec ce garçon. Il sait jouer des tours comme personne. Utilisant son côté inventif. Il surprend ses ennemis. Qui pouvait deviner qu'une être aussi gentil pouvait cacher une facette aussi sombre ? Chaque lumière à sa part d'ombre. Et celle de Luigi ne fait pas exception. Malgré son bon caractère, ses vrais amis sont rares et se comptent sur les doigts d'une seule main. Il préfère agir comme quelqu'un d'honnête quitte à se faire des ennemis. Il ne dénigra pas les autres. Il privilégiera ceux qui ont vraiment besoin de lui. Il n'est pas particulièrement stupide, ni intelligent. C'est un jeune homme qui a encore des belles années à vivre. Il veut les vivre à fond. Qu'importe sa maison. Il sait qu'il rendra fier son père. Car il a déjà gagné le statut d'apprenti sorcier. Tant qu'il n'a pas à ensorceler des balais, ça ne se finira pas en inondation. Son éducation à la fois moldue et sorcière a fait accepter pas mal des deux mondes au garçon. Peut-être que ces derniers lui seront des plus utiles. Il a une phobie des gros chiens, les petits, il peut aborder sans soucis, mais dès que l'animal dépasse ses genoux, c'est la panique totale et il fuit.


Histoire.

Tout à commencé bien avant sa naissance, la rencontre de ses parents fait partie intégrante de ce récit. Ce dernier est simple, et pourtant comme toute vie sur cette planète à eu un commencement bien avant sa création. Une rencontre.

Une demoiselle italienne qui avait décidé de refaire sa vie en Angleterre. La pizza avait fini par la lasser. Elle avait étudié l'anglais. Car c'était une langue qui lui permettait de voyager autant qu'elle le voulait. Cette décision l’amenait à rencontrer cet homme. Cette personne qui deviendrait le père de son fils. Bien entendu, ce n'était pas facile pour les deux jeunes adultes. Ils étaient de mondes différents. Ça elle était bien loin de le savoir. Mais le fait était que plus ils se voyaient, plus attirance était voyante. Comme deux aimants, inexorablement attiré l'un vers l'autre. Bien sûr, la jeune femme n'oubliait pas son pays d'origine. Elle était encore fort attaché à sa terre natale, bien qu'elle l'avait quitté pour des raisons personnelle. Son père avait vu d'un mauvais œil sa fugue. Elle n'était pas un objet. Pas un espèce de trophée qu'on exposait. D'un tempérament volcanique. Elle avait fait ses valises pour les poser en Angleterre. Qui irait la chercher ici ? Où le soleil était que si peu présent. Complètement ridicule.

Il n'était évident de trouver un travail, malgré son bon niveau d'Anglais. Avec sa volonté de fer, elle arrivait à s'en sortir. Malgré qu'elle soit condamné au pâtes au beurre. L'ironie de la situation la faisait rire. Mais ce n'était pas plus mal ainsi. Elle s'attendait à rien de cette vie. Même si elle ne disait pas non à l'amour. Le refuser serait bien vain et ridicule. Mais quand viendrait ? Elle en savait rien.

La demoiselle fut fauchée par ce dernier, alors que les feuilles d'automne tournoyaient devant elle. Comme si le vent jouait d'elle. De sa résistance un peu faible au froid. C'était bien la seule avec une grosse doudoune violette en plein automne. Elle grelottait de tout son saoul. Elle n'en pouvait plus de ce temps. Mais quelque chose réchauffait son cœur gelé, ainsi que son corps par la même occasion. Elle se sentait comme foudroyé, sa bouche était pâteuse, elle ne voyait que lui. Pourtant, il était moins musclé que les italiens dont elle était tombée amoureuse. Là c'était différent. Elle sentait qu'elle pourrait faire tout pour cet homme. Pourtant elle ne le connaissait même pas. Comment l'approcher ? Elle n'en savait rien. Il semblait comme dans son monde. L'approcher était frôler du bout de ses doigts engourdis par la fraîcheur relative de cet automne, cette chose qui l'entourait. Comme si c'était pas tout à fait normal. Mais les sens de la demoiselles étaient en plein émois, donc sensible à l'hallucination. Elle était qu'à quelques centimètres de cet homme. Il remarquait sa présence. Son regard, d'un joli brun l'envoûtait, elle était sous son charme.

« Mademoiselle ?
-Euh oui... ?
-Vous allez bien ?
-Jeu... »

L'italienne n'avait plus les mots. À peine, elle ouvrait bouche qu'elle se sentait complètement stupide. La demoiselle se cachait du mieux qu'elle le pouvait dans les épaisseurs violettes de sa veste. Ce qui était assez facile et tant donné sa faible résistance au froid. L'homme lui souriait, il était si beau, ce sourire était à son image. Parfait. Mais comment parler à cet homme. Elle se sentait totalement désemparée. Mais l'homme fit une chose qui l'étonnait fortement, il prit sa main et frottait cette dernière.

« Vous êtes glacée. Vous ferez bien de rentrer dans un endroit chauffé, je crois que j'ai l'endroit qu'il faut pour vous. Me suivrez-vous ? »

La dame hochait simplement la tête. Elle était contente qu'il soit un gentleman. Pas un macho comme elle avait eu l'habitude pendant des années. Elle suivait cet inconnu en toute confiance, il ne voudrait aucun mal. Et elle avait raison, il était dans une taverne. Le serveur avait l'air un peu revêche, mais en voyant que l'homme commandait un thé, il se mettait à sourire. Elle pouvait voir qu'il manquait quelques dents à ce derniers. Ça l'avait marqué, assez pour oublier l'espace d'un instant qu'elle était en bonne compagnie. Elle se mit à rougir face au regard de cet homme. Ses yeux étaient comme deux caramels, elle avait envie de les manger tellement ils semblaient briller. Sucré comme elle les aimaient. Elle n'avait jamais compris cette fascination du caramel beurre salé qu'avait les anglais. Bientôt, elle se sentait assez bien pour retirer sa veste épaisse. Ce qui fit rire l'homme. Elle fit la moue.

« C'est pas très joli de se moquer, jeune homme.
-Pardon, je croyais avoir sauvé une dame honorable avec quelques rondeurs, mais je remarque qu'il en est rien.
-Vous êtes bien gentil de vous occuper des dames que vous pensez bien portante. Qu'est que ça cache ?
-C'est ma façon à moi de pardonner ma vie avant ça.
-Vous êtes bizarre.
-Mais j'ai pu délier votre langue, j'en suis ravi. »

L'italienne se mit à ressembler à une tomate qui avait pris le soleil. Alors qu'une tasse de thé fut placée devant elle. Elle papillonnait des yeux se demandant pourquoi on lui apportait la boisson sacrée des anglais. Pas qu'elle la déteste, cette boisson, mais elle préférait le vin. Elle prit la tasse entre ses mains. Réchauffés par le liquide presque bouillant. Elle serrait délicatement l'objet, afin de plus sentir cette désagréable sensation qui l'empêchait de sentir les choses.

« Merci...
-De rien, c'est tout naturel. »

Bien que c'était compliqué, surtout pour la demoiselle, les deux adultes avaient un peu parlé, puis sympathisant, s'échangeant leur numéro de téléphone. Ils pourraient se revoir. L'italienne retournait chez elle le cœur léger. Et l'espoir plein la tête qu'elle reverrait bientôt cet homme. Elle s'attendait pas à se faire agresser par la sonnerie de téléphone lorsqu'elle pénétrait chez elle. Elle se trébuchait sur ses chaussures en rejoignant le dit appareil servant à communiquer.. Elle rit un peu stupidement avant de se reprendre.

« Allo Maria ?
-Peter ?
-Ah ça fonctionne, content de le savoir au moins vous êtes rentrée en un seul morceau.
-Oui.
-Prenez soin de vous, gente demoiselle.
-Flatteur... »

C'est là qu'elle vit le nom du jeune homme, il se nommait Peter, à côté des chiffres gribouillés à la va vite. Une écriture un peu détachée du personnage droit et classieux qu'elle avait rencontrée. Comme s'il cachait une partie de son être derrière ces simple chiffres se suivant formant un bel ensemble. Elle prit grand soin de se réchauffer, ce soir-là.

Bien entendu, ce n'était pas avec une simple rencontre, même si aidé par le coup de foudre de Maria. Que les deux jeunes se mirent ensemble. En tout cas, les rencontres se dédoublaient, sans jamais se ressembler. D'une franche amitié entre les deux protagonistes et l'amour. Il a fallu attendre quelques mois afin que la demoiselle prene son courage à deux mains et finisse par se déclarer. Bien entendu, elle avait invité dans une pizzeria, pour lui montrer les richesses de sa terre natale. Ce qui n'était qu'à moitié réussi, le jeune anglais étaient habitués aux choses typiques de sa région. Il rit doucement avant de caresser avec une douceur infinie la demoiselle. Cette dernière était enchantée par le geste.

« Je savais que vous m'aimiez, depuis le début. Au début, j'avoue avoir eu peur de votre présence. Mais j'ai été surpris ces derniers mois, je me suis attaché à vous ? Maria. J'accepte avec plaisir d'être votre amoureux. Ça sera une raison de plus de rester en Angleterre. Je sais que vous raffoler de mon thé earl gray.
-Et moi de mes petits plats.
-Je plaide coupable. »

La romance bien qu'installé n'était que le démarrant pour le feu de passion qui se déchaînerait quelques temps plus tard. Après combien de temps, ça se comptait en semaines. Combien précisément. Mais chaque jour, ils se découvraient. Parfois, c'était plaisant. D'autres fois, ils se criaient dessus. Mais au final, ils se pardonnaient et s'aimaient simplement. Maria était un peu surprise par les réactions par moment bien drôle et disproportionné. Comme s'il venait d'un autre monde. C'était peut-être à cause de son éducation qui avait fait de lui un gentleman. Cette façon de vivre la faisait sourire.

Quand vint le moment délicat d'aborder un enfant, après une année bien compliquée par instants. L'italienne était devant un mur, son amoureux refusait qu'elle soit mère. Prétextant qu'il avait des soucis dans sa famille. Pour avoir vu une bonne partie de la famille Maria ne voyait pas où était le souci. Bon, elle n'était qu'une paysanne parmi un monde pas fait pour elle. Seul Peter comptait, pouvait-elle s'en contenter ? Non. Elle voulait porter son fils ou sa fille. Elle ferait tout pour l'avoir quitte à devoir lui mentir. Ce qui amènerait à une dispute, à n'en pas douter.

Elle arrivait à ses fins, après diverses hésitation, elle était enceinte. Elle avait pris un test à la pharmacie. Mais l'enfant était spécial. Les effets négatifs de conceptions étaient différents. Elle se sentait faible, comme si l'enfant puisait dans son énergie. Ce qui ne passait pas inaperçu aux yeux de son homme, Peter. Il fonçait vers elle, complètement furieux. Comme si il avait senti son état.

« Pourquoi tu as fait ça ? Pourquoi...
-Désolé...
-Je suis tellement désolé, mais...
-Mais ?
-Je suis sorcier. »

C'est là que la conscience de la demoiselle partit d'un seul coup. Que l'image devint entièrement blanche. Devant ses yeux. Elle ne savait pas que ça existait que c'était qu'un conte que les plus imaginatifs. Mais non tout était vrai. Maria se réveillait quelques heures plus tard. Peter au-dessus d'elle.

« Maintenant, il est trop tard pour reculer. Tu porte mon enfant, je t'aime. Tu devra rester avec moi, afin qu'il puisse un peu dans ma magie pour grandir.
-Tu crois qu'il sera comme toi ?
-Presque certain... Tu as peur ?
-Non, je t'aime, et encore plus aujourd'hui qu'hier.
-Fichue romantique.
-C'est comme ça que tu m'aimes.
-Je plaide coupable. »

Les deux adultes s'étaient réconciliés. Ils riaient joyeusement. C'était une crise qu'ils passeraient ensemble. C'était mieux pour le petit être qui grandissait lentement mais sûrement dans son ventre. Cette chose qui poussait avec lenteur était le miracle de la vie. Elle n'abandonnerai pas. Cet événement donnait l'espoir d'un avenir familial. Idéal, celui qu'elle avait toujours rêvé. Cet avenir tant espéré venant d'elle en plus.

Les mois se suivaient et ne se ressemblaient en aucun point. Comme des pièces d'un puzzle dépareillés. Vouloir rassembler ces dernières étaient impossible pour des non-initiés ou ceux qui étaient trop éloigné de ce couple aimant, bien qu'un peu mené par les conflits. Il était compliqué de faire avec les sautes d'humeurs. Sans oublier le fait que la demoiselle apprenait sans s'en rendre compte le côté caché de son mari, la magie et aussi cet univers un peu différent de celui qu'elle avait toujours connu. Par ce que c'était l'homme qu'elle aimait. Malgré tout ces secrets, elle ne se voyait pas vivre sans lui.

« Tu m'aimes ?
-Bien sûr Maria, c'est les hormones qui te font douter...
-Non, tu sais la magie...
-Tu pourras vivre avec moi. Puis les sorciers auront fini par avoir des problèmes de santé à force de chercher une soi-disant pureté.
-Ils ressemblent un peu aux membres du ku klux klan..
-Du quoi ?
-Un groupe d'humains sans pouvoirs qui prône la suppériorité de la race blanche.
-C'est un le genre, mais que font ces gens ?
-Des choses pas très gentilles. Ils tuent parfois.
-Je vois...
-Un soucis ?
-Je t'en parlerai plus tard, notre enfant n'as pas besoin d'entendre ça. »

Elle sourit tout simplement en caressant son ventre bien rond. L'italienne lui donnait naissance exactement deux mois après cette conversation. C'est ainsi que le petit Luigi fit son entrée dans ce monde qui serait bientôt le sien. Quelle surprise attendait ce petit être ? C'est ce que va raconter la suite.

Dans les premiers moments de sa vie, tout était flou, mais il se sentait bien, sa maman était là, mais aussi la voix grave qu'il à peine entendue durant qu'il était encore qu'une petite chose. Il n'était pas bien grand. Pour un bébé, c'était normal. Il tendait son bras à ce monde. Il avait faim. Alors, il mettait à pleurer, avec force. Nourris et chouchouté. Il était l'enfant le plus heureux du monde. Mais, la vie n'est pas quelque chose de beau. Elle a tendance à faire de joli tour. Surtout avec un jeune sorcier. Il n'était pas étonné de voir de choses voler. Ça le fascinait comme tout enfant. Il avait voulu faire pareil. Voler. Grossière erreur. Surtout pour un gamin comme lui.

Combien de fois était-il tombé de son berceau ? Tellement que même sa mère attentive avait arrêté de compter. Il voulait voir ce monde. Il se débrouillait avec ces petites mains pour se sortir des prisons provisoire. Il essayais de faire comme ces objets, sauf qu'il retombait comme une pierre. Se faisant souvent mal. Il pleurait beaucoup à cette époque. Bien plus que les autres du quartier. Ce qui amenait à Maria et Peter d'insonoriser entièrement leur maison. En plus pour peter de mettre des sorts pour pas que le petit se blesse.

Son papa le faisait beaucoup rire, il disait son nom bizarrement, il était encore un jeune enfant à cette époque. Il se s'en souvient pas trop. Mais c'est ce que ces parents raconte. Son père a toujours honte de ce moment. Mais ça fait rire sa maman. Alors elle a tout raconter. Cette fascination pour le monde qui l'entourait était logique et habituelle pour une jeune âme telle que la sienne.

Pourtant, il se souviens parfaitement d'un moment de son enfance, il était petit encore. Il marchait maladroitement. Mais il marchait comme un enfant de trois ans le fait. Se prenant par moment les pieds dans les marches des escaliers divers et variés. Heureusement qu'il était sorcier, ces blessures n'étaient pas si grave que ça. Ou du moins, assez pour ne pas finir à St mangouste. Revenons à cette histoire dont le garçon en tremble toujours d'effroi, rien qu'au souvenir. Il se baladait en riant, pourchassant un papillon. Oui, cet insecte avait mené à sa perte. C'est par un hasard tout à fait malheureux qu'il entrait dans un chenil pour chien. Certains, content d'avoir un jeune copain le léchaient. Mais le petit garçon n'aimait pas trop ça. Il tentait de protéger son petit visage. Du mieux qu'il le pouvait de ses mains minuscules. D'autres grognaient méchamment. Mais ce n'était pas tout. Les canidés se stoppèrent pour laisser place à un chien énorme pour les yeux du jeune garçon. Il tremblait de tout son être. Il voulait fuir, mais ses jambes refusaient d'aller où il voulait. Tellement elles claquaient l'une contre l'autre. Il était plus qu'à quelques millimètre de lui, il aboyait avant de mordiller le nez du garçon, pour s'amuser. Il voulait jouer. Mais l'esprit du garçon, c'était, il va me bouffer. Alors, il se mettait à fuir. En hurlant, il allait se réfugier dans les jambes de sa mère. Cette dernière trouvait ça un peu triste de le voir fuir les chiens. Elle qui adorait ces bêtes. Mais que pouvait-elle y faire ? La dame avait beau lui montrer qu'ils étaient gentils, rien n'y faisait. Il était têtu comme une mule.

Les ennuis n'étaient qu'au commencement. Luigi avait la fâcheuse déviance qui l’amenait à vivre des aventures dont il se serait bien passé. Bien qu'elle lui forge le caractère. Il se souvient de ses moments, gênant, comique pour certains avec le recul. Et sa magie dans tout ça. Elle s'est révélé un jour d'été alors qu'il poursuivait les canards. Il faut le comprendre. Il avait envie de toucher ces drôles de créatures. Ce qui s'est passé ? Bah c'est à la fois simple et compliqué à narrer.

Alors comme dit avant, il poursuivait les palmipèdes avec un certain enthousiasme. Il tombait à l’eau, normalement, ce qui l’était moins, c’est que ces vêtements se mirent à sécher à une vitesse hallucinantes, surtout aux yeux des gens dépourvu par magie. mais la mère eu le réflexe de cacher cette réaction avec sa veste bien trop grande pour lui. Mais en pouvait vraiment quelque chose à ça ? Non, c’était juste sa magie qui se manifestait. Cela avait réjoui le père du garçon. Il le faisait tournoyer dans les airs pour son plus grand plaisir. L’enfant était content pour son père. Il était sûr que ce petit était un sorcier; de quoi le rendre fier ce papa. Son fils était son digne héritier. Bien qu’il ne fasse pas d’une famille si importante que ça. C’était toujours bon d’avoir quelqu’un de son sang. Celui qui vivrait après lui, du mois, il espérait. perdre un fils serait bien triste.

Avec Luigi, il n’était pas sorti d’affaire. Il se mettait toujours dans ces situations qui le dépassait totalement. L'amenant à se frotter à plus fort que lui. Il savait un peu se battre à présent. mais il fallait dire que la magie l’aidait beaucoup. l’attirant toujours par des stratagèmes divers pour l’attirer comme un papillon. Alors quand il prit la décision de se percer les oreilles. Sa mère avait eu peur. Qu’il se déchire les oreilles. mais ce ne fut pas le cas; heureusement pour elle. Il avait à présent des boucles d’oreilles, ce qui était un viril, quand bien même il ressemblait par instant à une demoiselle. C’était assez rare cependant.

Quand vint sa lettre à Poudlard, il avait sauté partout en hurlant. Son père alarmé s’était demandé ce qu’il se passait. Il avait lancé un sort pour stopper son enfant dans sa course frénétique. Luigi, un peu honteux avait marmonné des excuses; Il avait entendu son soupir avant de voir la lettre de son fils. Il le serrait et lui disait ces quelques mots.

« Mon fils, qu’importe ta maison, je serai fier de toi. N’écoute ce qu’on dit sur la réputation de certaines d’entre elles. Toutes ont leur forces. Même celle que tout le monde pense inutile. Ne l’oublie jamais.
-Non papa, promis juré.
-Bon courage, mon fils. »

Luigi serrait son père et c’est ainsi qu’il rentrait à l’école. Heureux d'être leur fruit de leur amour inconditionnel l'un pour l'autre.


PSEUDO.

Ciaossu (pardon c'était plus fort que moi avec ma base XD)
Ici la joueuse, je suis ici parce que j'ai toujours rêvé de rp sur un forum Harry Potter. Mais comme les forum à avatar mangas (avec ce thème) ont tendance à être austère, je me méfiai. Puis vous semblez gentil, alors je me suis dis pourquoi pas. Je suis du genre un peu timide, donc si je n'agresse pas quelqu'un en mp, c'est à cause de ça. Sur ce je dois bien lire certaines choses ♥



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Préfet & Duelliste Légal
Darwin J. Moore


Messages : 590

Date d'inscription : 28/03/2016

Crédits : Anton ♥♥

Darwin J. Moore





Re: Je ne suis pas un plombier moustachu
19.08.16 18:07

Bienvenue à toi Luigi ♥️♥️♥️
J'espère que ta répartition te conviendra et que tu t'amuseras tout plein sur FW ! sparkle Lire ta fiche fut un plaisir ! L'histoire était vraiment touchante ? A la fois banale et extraordinaire je sais pas comment le décrire hehe ? Mais comme dans un roman ♥️♥️ Enfin bref, j'ai tout dévoré ! En espérant qu'il s'épanouisse entre les murs de Poudlard, bon jeu ! heart N'hésite pas à envoyer un message à Anton ou moi-même si tu as une question !




poufsouffle !


Félicitations ! Le choixpeau a bien lu dans ton esprit et t'as réparti dans la maison des loyaux et  qui aiment travailler. Tu peux maintenant te balader sur le forum comme tu le désires. Nous te conseillons de suivre Être un sorcier pour les nuls qui te guidera pour faire des premiers pas sur le forum !
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