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 "Eh tu vas où, Czerny ?" ─ à l'évidence. J'me rends à l'évidence.

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Lynch D. Czerny


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Date d'inscription : 29/10/2016

Feat : Luke Powell (art de chouette-e)

Crédits : Lynch, Ava ♥

Lynch D. Czerny





"Eh tu vas où, Czerny ?" ─ à l'évidence. J'me rends à l'évidence.
30.10.16 0:44

CZERNY LYNCH DAMIEN.

FEAT Luke Powell. (art original de chouette-e).




JE SUIS, donc je pense ; et je m'appelle Czerny Damien Lynch, J'AI 19 ans et pas de boutons. JE SUIS emmerdé et irlandais ─ redoutable combinaison à ce qu'il paraît ET MES PARENTS SONT morts. Non, j'déconne. Ils sont divorcés. Et c'est tout un monde qui le sépare, littéralement ─ mon père est moldu, ma mère sorcière. JE SUIS EN pleine crise d'adolescence (ouais ça dure). Aussi en cinquième année ET J'ÉTUDIE l'occultisme, OPTION les sortilèges et leurs secrets, aussi la la traque en terrain dangereux. JE FAIS PARTIE DES (téméraires prochainement) ET MA MAISON EST Serdaigle. J'AIMERAIS RAJOUTER QUE je n'entends rien de mon oreille droite, et si tu n'aimes pas les mensonges, m'demande pas comment j'ai perdu l'ouïe.

❝ I carry my secrets like i carry my knives
─ between my teeth. ❞



MON ÉPOUVANTARD n'est pas phobique, il ne me paralyse pas pour jeter un ridikulus ; mais l'effroi qu'il engendre me transperce. Je me vois en sueur en train de hurler, dans un lit aux draps trop blancs. Je hurle, car je n'arrive pas à me réveiller de mon cauchemar. Mes hurlements me déchirent le cœur à chaque fois. Ils me font rappeler que plus le temps passe, plus ça devient difficile d'me tirer de mes cauchemars lucides. J'ai l'impression... j'ai cette impression que viendra le jour ou je ne pourrai plus m'en réveiller....si tu me vois en train de cauchemarder, secoue-moi, jette moi un Aguamenti sur la gueule, frappe-moi si tu veux, mais réveille-moi bordel.
L'ODEUR DE L'AMORTENCIA, l'odeur de la rosée du matin, du croissant et du lait au miel.
MA BAGUETTE EST FAITE DE bois de houx et plume de phénix ; 25 cm environs, raisonnablement flexible, peu épaisse.
MON PATRONUS est un héron.
MA MATIÈRE FAVORITE EST défense contre les forces du mal.
ET J'AI un anneau avec une gueule de mort à mon indexe. Je l'ai volé à un squelette une fois, et depuis je n'arrive plus à le retirer (pourquoi j'ai été assez con pour le mettre ? Well, ça m'arrive d'être con. Si si, je t'assure). Quand j'essaye de l'ôter il se resserre tellement, tellement fort, à vouloir m'couper le doigt. J'ai tout essayé, sortilèges, contre-charme, potions, section interdite de la bibliothèque... rien de concret. Aucune indication de comment s'en débarrasser. J'ai juste appris qu'il se nourrissait de mes rêves et alimentait mes cauchemars la nuit  – j'ai trouvé un moyen d'avoir des sommeils sans rêves, mais ça reste très laborieux. Je porte cette malédiction depuis quatre années.
MA MEILLEURE AMIE EST une tabby cat. Sheherazad. Elle est très, très affectueuse. A la limite du collant. J'l'aime.



Caractère.

T’es de ceux dont la langue s’est fourchue, à force de l’écorcher de sarcasme. Tu bafouilles une vérité à double tranchant qui ne manque de ciseler tes recoins de bouche à chaque fois. T’es de ceux qui préfèrent poignarder leurs meilleurs potes par devant, plutôt qu’au dos. T’es de ceux qui suffoquent si on les verrouille dans un petit espace – car t’es de ceux dont le palace des mémoires n’est pas réellement un endroit où on aimerait s’isoler. T’es pas Sherlock, tu ne saurais vivre de ton égo, et pourtant le tiens est tellement gros et haut et ostentatoire qu’il suffirait de l’escalader et d'en tomber pour se suicider. Et la fenêtre qui donne sur ton âme ? Toujours ouverte, bleu-grise, comme le ciel londonien. Un ciel asphyxiant, mais magique pour ceux qui y croient.

Ah, t’es une merveille d’organes et de synapses en mouvement, Lynch, mais t’es aussi une catastrophe ambulante. Une sorte de révolution tacite. Tu n’es malheureusement pas de ceux qui sont né proches des rayons de soleil, t’encombres la pluie et le vent avec toi – on dirait un grand père aigri. Et la seule lumière qui subsiste en toi est celle qui éclaire tes yeux. Lumen ! à la mention d’aventures et de maraudes, et de secret. T’es plus têtu qu’un tiroir coincé ; plus têtu que le mec qui essaye de défoncer le dit tiroir coincé. T’es aussi m’enfoutiste des explosions que tu d’éclanches que des feuilles que le déglinguage du tiroir a fait voler. Tes désirs font désordre, le chaos règne dans ta vie et la mène du bout du nez – nez qui se trouve la plupart du temps dans les affaires des autres. Pourtant c’est le genre de désordre qui nous fait redécouvrir des trucs qu'on pensait avoir oublié. Le genre de désordre qui fait plaisir si on n’est pas très rancunier, tu vois le genre ? De ces désordres desquels on trouve des babioles ou des notions qu'on a arrêté de chercher depuis longtemps. De ces désordres qui nous font dire « putain j'avais cherché ce truc toute ma vie, et c’est là qu’il était ? »

Tu aimes tes secrets tranchants, sombres, imprévisibles. Tu aimes les secrets.

Lynch, vaut vraiment pas l’avoir comme ennemi. Ni comme ami, d’ailleurs. En fait, peu importe si t’es proche de lui ou non, ça ne le rendra pas plus soft pour autant. Enfin, il sait être loyale s’il s’attache, mais sera toujours davantage loyale à lui-même. Les mots qu’il lâche trébuchent et éclatent en pleine gueule si on a pas les épaules pour s’en protéger ; il critique, rabâche, grogne, râle, mord ; mais ses incisives sont là surtout pour cacher un côté très romantique et trop cliché (un côté dont il n'est pas fier). Il te lâchera presque tout en face. Et c’est lourd, putain, c’est lourd ce qu’il lâche parfois. Ça tombe le plus souvent par terre et ça détone, et ça ébrèche. Ou alors ça te défonce le pied. C’est des poids qu’il met sur ses i, Lynch. Il lâche tout pour laisser de la place dans ses trips, pour réarranger un peu son inventaire de vérités. Il a des secrets qu’il ne peut dévoiler, malgré lui – alors il abandonne tout ce qu’il peut (et qu’il ne peut pas). Il laisse rouler les tonneaux de poudre de sa langue puis jette un sortilège d’ignite pour les voire brûler en un feu de joie un dernier instant. Il se réchauffe contre. Il se réchauffe autour des conflits. Il aime les conflits, et adore les déclencher. Il n’aime pas spécialement en être le centre, mais ça il ne peut pas le contrôler. C’est pour ça qu’il s’en sort dans la plupart des cas avec un nez tordu ou vomissant des limaces. Mais ô que ça vaut le coup putain. Dans le reste des cas, c’est ses propres secrets qui lui reviennent sur la gueule – quand ses potes essayent de lui retourner les faveurs. Mais il s’en fout de ça, vous savez. Et c’est ce qui le rend un peu phosphorescent dans la nuit, aussi léger que dégagé – c’est parce qu’on lui a fait vomir tous ses trips déjà. Sauf les secrets qui grognent et tournent dans leurs cages, scellés par un pacte magique.

T’es de ceux qui croient en tout ; au hasard et aux coïncidences, à l’aube comme au crépuscule, en toi, et même aux autres. T'es pas un super vilain, ta moralité est dans les normes. Tu ne tournerais pas le dos à une personne en danger de mort. Tu ne tournerais pas le dos à la pierre philosophale non plus, mais ce n'est pas pour acquérir l'immortalité ; tu cherches cette pierre pour gagner du temps jusqu'à trouver la dernière des vérités qui donne envie de s'éteindre. Qui donne l'illusion humaine qu'on a tout vu, tout lu, tout entendu.

At the end of the day, tu retombes dans cette case : qu'un humain, qu'un mortel. Et tu n’estimes pas que ta vie a plus d'importance que celle des autres – mais tu ne mettrais pas n'importe qui avant toi quand-même, l'altruisme, c'est pas ce qui te définie. At the end, c’est pas que t’aimes pas les gens, c’est juste eux qui ne t’aiment pas. Et il y a de quoi, mon vieux. T’es pas le mec à qui on aimerait confier ses amourettes. Pourtant c’est possible que tu gardes des secrets, ça dépend juste de la valeur que tu leurs donnes. Et c’est possible aussi que tu t’en sors sans déclencher des conflits, ça dépend de ton degré d’ennui de l’instant. Ah l’ennui, il nous fait faire des horreurs, hein ? Il te terrifie. Tu es tellement habitué au frisson, à l’adrénaline montante, que pendant tes heures perdues le monde semble tourner à une allure plus lente que la normal. Certains diraient que c’est le déclin des génies, d’autres que c’est juste de la sociopathie. Mais t’es pas Sherlock, pour pas se répéter. T’es juste un gars qui a soif et faim de connaissance. Un gars qui doit garder ses méninges actives en quasi permanence car l'intértie le fait péter un câble. Un requin tigre qui défonce tout s’il sent qu’on essaye de l’encager ou le paralyser. De le ralentir. Pourtant il n’est pas le genre à foncer tête baissée dans le danger, il pense d’abord, calcule ce qu'il va perdre, fait ses adieux à ce qu'il va perdre, puis se jette dans le danger oui. Il n’a pas peur des sacrifices, il sait qu’il a besoin de sacrifier plus que son oreille, qu’il va devoir donner plus qu’un bout de lui-même pour trouver les trésors écrits ; et ceux murmurés en langues étrangères, la nuit. Le genre de secret magique qui te scelle les lèvres quand t’essayes d’en parler.

Le genre de secret qui te coupe l’indexe quand t’essayes de l’enlever.

Sournois ? Tu préférés le terme astucieux. Intelligent ? Tu préfères le terme ingénieux. Même si tu ne craches pas sur les compliments, tu ne leurs souris pas non plus. Certes, ils finissent par t’enorgueillir ; tu n’es qu’un gosse de dix-neuf ans, après tout. Tu n’es qu’une soixantaine de kilos de rêves brisés et rafistolés, surtout – mais t’essayes de les enjamber, ces flatteries qui donnent envie de se poser et de s’emmitoufler dans du coton. Tu luttes contre ces flatteries qui donnent envie de virer sérpentard. Car tu le sais, que ce n’est pas armé d’une couette qu’on part en quête des 1001 merveilles de l’univers.


Histoire.

On aimerait laisser une trace de notre passage ici, avant le grand embarquement

un « Kilroy was here » tagué en indélébile sur les murs ;

un cœur taillé sur un arbre

un nom taillé sur un corps.

Y a ceux qui laissent derrière eux des livres non publiés,
des maladies incurables ;
des rêves inachevés

ou juste des gosses.

Mais les murs sur lesquels on tague nos noms tomberont en ruine un jour ; à cause d’un tremblement de terre
ou d’une guerre.
Et les livres oubliés prendront poussière ou partiront en fumée un jour ; à cause d’un malencontreux incendie
ou d’une autre guerre.
Et les arbres sur lesquels on marque nos équations impossibles, viendra le jour où ils se feront raser
et transformer en papier vierge.
Et les cœurs sur lesquels on tatoue nos initiales ? Well, ils crèveront et se dessècheront eux aussi.

Au final, seuls les rêves survivront les millénaires.
Les rêves et les cauchemars.

(hey, t’entends ça, Icare ? Un jour on volera pour de bon, sans magie ni foutu balai – Lynch n’aime pas les balais volants, et ils le lui rendent bien.)

Et c’était ça. C’était ça qui donnait à Lynch l’envie de se lever le matin malgré une nuit blanche ; les rêves oubliés des autres, c’était ses rêves un peu. Il chassait les rêves des défunts et des sans-noms, leurs trésors échoués ou jalousement cachés. Et Il n’hésitera pas à les leur arracher de leurs bras osseux pour les rappeler au monde, pour rappeler un peu leur existence.

Tout comme cet alchimiste dont j’ai oublié le nom qui avait réussi à transformer le métal en or ;

Lynch veut transformer l’éphémère en éternité.

et puis ouais, on oubliera son nom aussi un jour ;
Mais pas ses rêves.

On oubliera aussi que…

Qu’il vivait avec sa mère, une journaliste qui a ramené sa contribution plus d’une fois à la gazette du sorcier. Quand son père était encore là, Britania, sa mère, ne jurait que par la vérité et pour la vérité. Mais depuis qu’il est parti, son paternel, la vérité était devenue dysfonctionnante dans le foyer familial. Britania s’était rangée du côté du ministère de la magie ; Britania s’emmitouflait de mensonge et d’or et de manteaux en fourrures. Britania ne regardait plus que vite fait son fils. Britania était devenue superficielle, peureuse, superstitieuse,
elle était devenue le peuple.

Et elle avait tenté d’attirer son fils dans son cocon. Elle avait tenté d’aveugler son fils de stéréotypes et de préjugés.
Mais Damien avait vécu trop longtemps avec la vérité pour se laisser leurrer aussi facilement dans le mensonge creux. Ou du moins son mensonge à elle.

Mais il la comprenait, et l’aimait quand-même sa mère. Britania avait juste fini par se courber comme tout le monde sous le poids de la réalité du monde ; surtout depuis les évènements affreux qui se succédaient dans le monde des sorciers. Elle voulait juste protéger ce qui lui restait – son fils. Lynch.

Elle n’avait jamais aimé que Lynch passe du temps chez son père depuis qu’ils avaient divorcé. Bien qu’il dut passer la moitié de son adolescence avec lui, quand-même car c’était plus safe, et plus proche de l’école moldu . Elle avait toujours eu peur que son ex-mari lui vole l’attention et l’affection de son fils. Well, ce n’est jamais arrivé. Son père était trop banal et désintéressé de lui pour charmer Lynch (la banalité, c’est ce trait qui l’avait attirée chez lui pourtant). Et puis son père n’aimait plus la magie (oui, ça existe, ces gens-là). Plus depuis que Britania l’avait quittée.

On oubliera aussi que…

Qu’il avait perdu l’ouïe de son oreille droite depuis qu’un épouventard Banshee avait crié juste à côté de lui. C’était un épouventard qu’ils avaient trouvé dans la nouvelle demeure où ils avaient déménagé, quand Britania avait pu se permettre une maison plus grande. Lynch l’avait trouvée carapassée sur elle-même, avec les mains écrasées contre ses oreilles, tremblante comme une feuille d'automne et sa baguette rejetée plus loin. Il n’avait pas compris pourquoi au début, jusqu’à ce que le cri de la banshee le fasse sursauter, et fasse sauter quelque chose dans son oreille. Ou davantage dans son psyché, le cri l’avait assez traumatisé pour bloquer sa ouïe.

On oubliera aussi que…
Que son premier baiser ever avait été awkward. La fois où il avait été charmé par une sirène-homme, alors qu’il était en vacance chez sa famille en Pologne. Amourette classique et éphémère d’été, si ce n’est que la sirène avait tenté de lui bouffer le visage lorsqu’il s’était penché pour l’embrasser. Il s’en était sorti sans de traumatisme, cette fois. Mais ça fait rater ses premiers baisers à chaque fois, ce souvenir.

On oubliera aussi que…
Qu’il n’aime pas les balais magiques depuis qu’il s’est pris un fort coup de balais entre les couilles. Enfin, pas qu’un seul coup. Depuis il grogne quand il doit monter un balais, et le balais grogne en retour. Il évite particulièrement d’utiliser ces moyens de transports ; mais s’il n’a réellement aucun autre choix, il montera le balais en s’asseyant comme sur une chaise. Paye ton fou rire.

On oubliera aussi que…
Qu’il a un problème de cauchemar depuis qu’il a eu la super idée d’enfiler cet anneau. Qu’il n’arrive plus à enlever. Mais son problème de cauchemar est atténué depuis qu’il a trouvé un dream-catcher antique dans une boutique de vieillerie au Texas. Ces trucs inventés par les amérindiens, qu’on accroche près de son lit pour qu’ils attrapent les mauvais rêves ? C’est pratique, mais c’est à double tranchant. Voir à triple tranchant ; ça choppe non seulement ses mauvais rêves mais aussi les bons. Et le pire c’est que, tous les deux mois, il doit vider le dreamcatcher des cauchemars attrapés et collectionnés (les autres dreamcatcher ne tiennent qu’une semaine, voir deux au mieux ; mais celui-ci est antique). Pour vider le dreamcatcher, eh bien… il doit le faire dehors, protégé d’un sort de préférence. Et puis il doit regarder pendant quelque secondes défiler tous ses cauchemars des deux mois passés..

Ne vous détrompez pas, le fait que ça passe en milisecondes ne signifie que ça ne marque l'inconscient. Mais au moins il ne craint rien d’eux,
quand il est éveillé.


EH.

J'kiffe déjà ce forum 'tain. C'est gorgeous. Ça fait des semaines que je passe devant, mais je n'avais pas le bon personnage en tête pour m'inscrire. Maintenant c'est fait j'suis HAPPY. V'zetes bg.



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Personnel
Cyrian Aefferden


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Cyrian Aefferden





Re: "Eh tu vas où, Czerny ?" ─ à l'évidence. J'me rends à l'évidence.
30.10.16 2:06

Ah ben j'ai lu et j'ai pas souhaité bienvenue mdr

Comme dit sur la CB, j'aime beaucoup ta plume ♥️

Bienvenue flower
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Duelliste illégal
Siobhan MacLochlainn


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Siobhan MacLochlainn





Re: "Eh tu vas où, Czerny ?" ─ à l'évidence. J'me rends à l'évidence.
30.10.16 4:45

Waouh j'aime beaucoup ta façon d'écrire !
(Et très bon choix le héron huh )
Bienvenue love
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Marvel J. Solberg


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Re: "Eh tu vas où, Czerny ?" ─ à l'évidence. J'me rends à l'évidence.
30.10.16 4:55

Pourquoi je n'suis pas passée ici plus tôt ?

Ta façon d'écrire est un régal pour les yeux, et j'ai hâte de voir ce que tes méninges vont créer pour l'histoire de Lynch. ♥

J'aime qu'il soit de ces personnes qui croient aux autres. ENFIN. Bref, je t'envoie des narvals dans la figure (c'est comme le boost tortue dans Mario) et bonne chance pour cette jolie fiche.
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Re: "Eh tu vas où, Czerny ?" ─ à l'évidence. J'me rends à l'évidence.
30.10.16 13:38

JE T'AIME.
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Lynch D. Czerny


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Lynch D. Czerny





Re: "Eh tu vas où, Czerny ?" ─ à l'évidence. J'me rends à l'évidence.
30.10.16 14:29

Haaan, vous êtes adorables.

@Cyrian : et comme déjà dit sur cb aussi, merci merci ♥

@Luna : Ohh, un autre héron ! C'est les best ; on est les best 8)

@Marvel : *bouffe les narvales et Marvel* burp ♥

@Avalon : comme un fou, un soldat ou une star de cinéma ? /PAN
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Personnel
Cyrian Aefferden


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Cyrian Aefferden





Re: "Eh tu vas où, Czerny ?" ─ à l'évidence. J'me rends à l'évidence.
01.11.16 18:18

Oh.

- Je viens de lire la bio, d'où ce petit "oh" -

Ce mélange de drôlerie et de triste tendresse, j'aime love
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Préfet & Duelliste Légal
Darwin J. Moore


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Darwin J. Moore





Re: "Eh tu vas où, Czerny ?" ─ à l'évidence. J'me rends à l'évidence.
02.11.16 8:59

Damn sparkle
Bienvenue again & again, je suis tellement sous le charme de ton perso et de comment tu le joues et l'écris arghh ♥️♥️ J'ai adoré lire et relire son caractère puis son histoire, c'était pas facile à répartir certes mais haha ♥️ Ça fait longtemps qu'un personnage m'avait pas fait ressentir de la sorte, pas qu'il soit adorable mais je sais pas, sa profondeur et son entièreté, ajouté à ton style ça rend juste tellement bien ! J'espère que tu t'amuseras bien ici, si t'as la moindre question hésite pas, et t'inquiète pas si tu sens une présence un peu cheloue autour de toi c'est juste moi qui serai en train de te stalker arghh ♥️ Bienvenu again & bon jeu sur FW !




serdaigle !


Félicitations ! Le choixpeau a bien lu dans ton esprit et t'as réparti dans la maison des érudits qui veulent tout connaitre. Tu peux maintenant te balader sur le forum comme tu le désires. Nous te conseillons de suivre Être un sorcier pour les nuls qui te guidera pour faire des premiers pas sur le forum !
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Lynch D. Czerny


Messages : 90

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Lynch D. Czerny





Re: "Eh tu vas où, Czerny ?" ─ à l'évidence. J'me rends à l'évidence.
02.11.16 10:54

@Cyrian ; deux messages dans ma préza awhhh, t'es trop adorable pour ce monde toi ♥️♥️♥️

@Darwin ; que d'amour et de délicieuses pâtisseries dans ton message ♥️ Mon cœur et mon ventre en sont repus ♥️ Serdaigle, c'est parfait ! enjoy merci beaucoup pour la validation et cet accueil awwh ♥️
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Re: "Eh tu vas où, Czerny ?" ─ à l'évidence. J'me rends à l'évidence.

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