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EROS ALEKSEÏ VASILIS.

Feat  Uta de Tokyo Ghoul

JE SUIS Vasilis Eros Alekseï J'AI 20 ans. JE SUIS britannique mais mon père fut italien et ma mère russe avant d'être naturalisés ET MES PARENTS SONT vélane pour ma mère et moldu pour mon père. JE SUIS EN 5 ème année d'études ET J'ÉTUDIE L.L.C.M. et l'Occultisme OPTION l'histoire du pinceau, soin aux créatures magiques et vol. JE FAIS PARTIE DES Duellistes Illégaux ET MA MAISON EST celle des Serdaigles avides de connaissances. J'AIMERAIS RAJOUTER QUE je suis dessinateur à temps partiel et créateur de masques.

❝ Nec possum tecum vivere, nec sine te. ❞

 

MON ÉPOUVANTARD est un jeune homme, qui a mon apparence, mon allure, qui est moi. Comme un reflet déformé mais identique, terrible car me ressemblant, je ne crains rien d'autre.  L'ODEUR DE L'AMORTENCIA  est l'odeur du bois vernis, comme les escaliers de chez moi, l'odeur de mes feuilles de papier qui sont toute ma libération et qui font mon bonheur et l'odeur de la violette, car y a-t-il une odeur plus douce et délicieuse que celle-ci ?  MA BAGUETTE EST FAITE DE bois de cerisier, avec un coeur de plume de phénix de 34 centimètres environ, flexible mais résistante. MON PATRONUS est un lynx. MA MATIÈRE FAVORITE EST la Psychomagie. JE SUIS semi-vélane. ET J'AI le corps et les mains couvertes de tatouages, un piercing à la lèvre, un autre à l'arcade... Bon, je suis punk, vous voyez le topo. MON MEILLEUR AMI EST Cynique, mon chat.

 

Caractère.

Le garçon au fond de la classe, le bruit de sa plume qui griffonne sur le bureau, sur ses mains, l'éternelle odeur de bois vernis qui l'accompagne... C'est bien de Eros Alekseï Vasilis qu'il s'agit. Un peu introverti... Mais pas trop. Un peu asocial... Mais aimant la compagnie de personnes qui savent faire la discussion. Il y a tant de choses qui définissent ce jeune être solitaire.  
Tout d'abord, il y a ce qu'il montre. Son côté un peu ringard, rebelle. Ses sourires en coin, cette tendance à rester un peu éloigné des autres, comme s'ils étaient indignes de sa présence ou plutôt comme s'il était indigne de la leur. Pourtant, il ne fait pas exprès, cette aura mystérieuse autour de lui n'est que le fruit de cette envie qu'il a de disparaître, de se faire aussi anodin que les autres, d'être qu'un parmi tant d'élèves. Il sait qu'on le distingue, il en a pris l'habitude, mais cela ne l'empêche pas de détester cette situation. Cela fait de lui quelqu'un de confiant, de sûr de lui, mais au fond il est terrifié, perdu. Et seul. Eros est terriblement seul. 
Est-ce qu'il le laisse voir ? Bien sûr que non. Ce n'est pas son genre, il veut pas que cela se sache. Sa mère lui a bien inculqué qu'il fallait jamais douter de soi. Alors il évite. Il évite si bien que parfois il peut se montrer hautain, un peu froid, distant, comme si ce.. Comme il le dirait, "bas-monde", était trop terre-à-terre pour lui. Cependant, s'il s'aperçoit de son erreur, s'il remarque un regard déçu, blessé ou pire encore triste, il viendra s'excuser, comme un enfant après une bêtise, il deviendra d'un coup câlineux, doux et adorable. 
Lunatique ? Un peu, oui. Mais cela n'est pas sa faute. Il veut juste se protéger, se cacher, faire disparaître cette guimauve au fond de lui, mais pas au frais d'autrui. C'est un confident à qui on peut faire confiance, qui vous prendra dans ses bras et vous caressera les cheveux, qui vous soufflera des mots de réconforts, et lorsque les larmes auront coulé, il craquera ses phalanges et ira parler avec celui qui a osé vous faire du mal. Bien que parler, quand on est chez les Duellistes Illégaux, prend rapidement un autre sens. 
Est-il violent ? Pas vraiment. Il a juste besoin de se défouler. C'est une âme tourmenté, comme disent les adolescents, mais lui n'a jamais quitté cette phase. Ses carnets sont emplis de croquis noirs comme ses cheveux ébène, représentant différents plans de l'école, différentes personnes, parfois des songes, des créatures... Lorsqu'il émerge de son univers de dessin, l'encre de chine se confond avec les tatouages sur ses mains, avec son vernis noir, et l'on ne sait plus distinguer les uns des autres. Mais il se sent le mieux lorsqu'il peut prendre en main le charbon, autrefois si plein de vie et dessiner avec sur de grandes toiles. Parfois, il vend ses créations. Mais pour la majorité, il les garde, trop intenses et intimes pour un inconnu.  
Ses amis ? En a-t-il ? C'est une question à méditer. Eros est un ami précieux sur qui on peut toujours compter mais il a du mal à socialiser. Il a bien trop peur que ceux qui viennent vers lui soient attirés par son beau visage et que sa personnalité ne les intéresse pas. Il se montre un peu méfiant envers les autres, mais si on réussi à percer ses premières défenses, il s'attache extrêmement vite et ne lâche plus l'affaire, même s'il est rejeté, mêlé à la boue ou insulté. Il veut pas que d'autres soient malmenés alors il reste loyal à toute épreuve. 
Il y a des lieux où il se trouve à chaque pause, à chaque instant de libre. Comme dit plus haut, il adore faire des croquis du château, de la forêt, des tout ce qu'il voit, comme un accro à la photographie qui ne lâcherait pas son objectif une seule seconde. Ses yeux clairs sont constamment entrain de dévorer les détails de son entourage comme avides des couleurs du monde. Il peut tellement s'y perdre, qu'il reste scotché au vide pendant des longues minutes, sans réagir à aucune intervention de dehors. La même chose se passe quand il a un livre en main, et c'est pour ça qu'on peut le trouver souvent à la bibliothèque. Avide des connaissances ? Non, c'est un euphémisme. Il meurt de faim de savoir, de lire, de découvrir. Il serait prêt à vous assaillir de questions si jamais il découvrait que vous connaissez quelque chose dont il n'a que peu entendu parler. Seulement cette envie intense d'en connaître plus lui fait souvent défaut. À force d'amasser du savoir, il croit tout connaître sur tout et il est très difficile de ne pas le contrarier et la mission impossible est de lui faire changer d'avis. Têtu comme une mule, comme un roc, il campe sur ses opinions comme une lionne défendrait ses petits, vorace.  
C'est dans ce genre de situations que l'enfant en lui se fait tout petit et qu'il se met en colère. Il n'hausse pas le ton, ça non. Il utilise de ses talents tant détestés pour vous faire vous détester. Il vous retourne le cerveau jusqu'à ce que vous soyez dans son sens. Seulement, ce n'est pas si simple et, n'y arrivant pas toujours, il devient sarcastique, froid, désagréable. Ses mains d'habitude en constant mouvement s'immobilisent et ses yeux s'assombrissent. C'est un état qu'il évite, se sachant très vulnérable, mais parfois il n'y arrive pas et regrette ensuite son comportement. D'ailleurs, il regrette beaucoup de choses et se blâme de tout. Vous avez perdu une plume qu'il vous a généreusement prêté ? Il réussira à tourner les choses de sorte à ce que ce soit sa faute. On pourrait croire à quelque chose de pathétique, d'un peu gros, tiré par les cheveux, mais il est comme ça. Il veut pas que d'autres culpabilisent. C'est sa façon à lui d'être là pour l'autre, d'épargner des souffrances, de la peine. Il ne se rend juste pas compte qu'on peut se sentir mal pour lui. 
Ça aussi, c'est un de ses défauts. Il est empathique, très empathique, mais lorsqu'il s'agit de ses sentiments, il prétend ne pas en avoir. Il va cacher sa douleur au plus profond de lui et prétendre qu'elle n'a jamais existé alors qu'elle le consume de l'intérieur comme une flamme bleue, sans émettre de chaleur, une flamme qui ne sait que détruire. Heureusement, il a finit par apprendre à maîtriser ce feu intérieur, quand il était plus jeune grâce à ses tatouages dont la création étant douloureuse amenuisait cette souffrance mentale, et désormais grâce aux Duellistes Illégaux, qui lui permettent de se défouler dans diverses circonstances, lorsqu'il a du chagrin, lorsqu'il a peur ou lorsqu'il a la déprime. 
Car oui, malgré les nombreuses passions qui l'emplissent d'énergie, Eros est un jeune homme tourmenté. Il se pose bien trop souvent des questions existentielles qui sont loin de lui remonter le moral. Parfois, il s'en mine tant le moral, qu'il passe dans les couloirs comme un fantôme, un orage accroché au-dessus de sa tête, diffusant son humeur catastrophique aux pauvres innocents voulant contempler sa beauté. Les yeux dans le vide, les pensées tourbillonnantes, il s'en rend rarement compte et continue son chemin comme si de rien n'était. 
Heureusement, son âme d'enfant arrive à équilibrer cette balance. Il arrive à se réjouir des choses simples, comme la neige qui tombe, un bon menu au repas, un dessin réussi, un cour qu'il apprécie particulièrement, une séance de Quidditch. Dans ces moments là, il paraît tellement optimiste que l'on devinerait jamais quelles pensées passaient dans sa tête le jour précédent. C'est aussi ce qui fait son charme, ce sourire bienveillant et accueillant, comme s'il n'y avait rien de plus beau que la vie même. 
Enfin, c'était comme ça jusqu'à sa cinquième année. Désormais, ce sourire est un masque. Au fond, son cœur est amer. Brisé. Et il cherche désespérément le moyen de le réparer.

Histoire.

On le disait différent des autres. On le pointait du doigt, on en riait. Jalousie, disait sa mère, lui apprenant à les séduire. Mais il ne l'écoutait pas. Il était déjà perdu dans les méandres de ses pensées, à peine fut-il capable de penser. Pourquoi était-il différent des autres ? Il voulait juste jouer avec les autres enfants, rien de plus. Il voulait courir à en perdre le souffle. Il voulait faire un avec ce qui l'entourait. Il voulait vivre. N'en avait-il pas le droit ? 
Il faisait trop grand pour son âge, trop noble aussi. Trop joli garçon, disaient les dames qui s'occupaient de lui dans son collège, il ne lui arrivera que du mal. Il s'en souvenait de ces propos, et il les dessinait. Il tombait loin, très loin, dans les méandres, il se perdait, sans rien à quoi s'accrocher. Il aurait pu avoir un ami, mais celui-ci était loin, était un invisible fantôme hantant son inconscient. Cet ami imaginaire était le peu qu'il pouvait se permettre alors qu'il savait les autres dériver dans des directions opposées. Alors qu'il se savait échoué sur un rivage trop dangereux. 
 
 
Il avait fait son premier tatouage. "Je ne peux vivre avec toi, ni sans toi.". Le latin, une langue morte et si vivante sur son cou, l'enveloppant comme une bouée de sauvetage. Pourquoi ces mots-là ? Pourquoi tant de défaitisme ? Parce qu'il faisait partie de l'Univers en étant à part. Car parmi les siens il était comme une chauve-souris entourée de papillons. Ou peut-être le papillon était-ce lui ? Il ne le savait pas. Il ne le savait plus. L'aiguille gravait sa peau si pâle et pure. Il pensait que sa mère haïrait. Il voulait qu'elle haïsse. Mais elle avait autant aimé que lui, malgré son âge, malgré la douleur. Il devenait une œuvre d'art et peut-être que le but d'exister l'attrayait un peu plus. 
 
Cinq ans qu'il était là et qu'il était lui-même. Que les regards, il s'y était habitué. Que plus rien ne le gênait. Puis il y a eu Kara. Ses yeux bleus, ses longs cheveux qu'il voulait tant tresser. Il se souvenait encore la gifle qu'elle lui avait asséné. Il n'aurait jamais dû se mêler de sa vie. Mais il ne le regrettait pas. Il avait finalement trouvé quelqu'un qui était capable de le blesser sans s'excuser. Quelqu'un pour qui son physique ne faisait pas tout. 
Et il adorait. 

Kara est partie. Elle lui a laissé amertume. Douleur. Peine. Il est seul, brisé. Il rigole froidement. Il ne compte plus se laisser faire. Le monstre sourit, s'apprête à sauter. Eros l'accueille. Le laisse jouer avec, quelque part, un plaisir malsain.
Après tout, se laisser tomber dans les ténèbres, c'est plus simple.
Et bien plus délicieux.

M. BLACK

En tant que Potterhead pur-sang, je me dois d'avouer que ce forum est vraiment super pour les gens aimant écrire et surtout aimant l'univers de Hogwarts ! J'ai été attiré ici par une personne qui a désormais quitté le forum, mais qui elle, avait été attirée par Fallen... Alors j'imagine que c'est elle que je dois remercier de mon inscription ici !
Je suis interne donc pour ce qui est de répondre en semaine c'est une mission extrêmement difficile (à moins de s'infiltrer dans la bibliothèque et avoir un accès Internet assez puissant pour me connecter), mais je promet que les week-ends je réponds D: