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 to fake tenderness / Alexander - finiiiie

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to fake tenderness / Alexander - finiiiie
29.04.16 22:42

Godwinson Alexander C.


Alexounet ; Alou ; Alexou ; Al ; Dédé ;
ÂGE, DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 17 ans ; 19 décembre 1998 ; Londres.
NATIONALITÉ ET ORIGINES britannique avec des traces de sang australien qui s’est perdu dans ses veines.
SANG DE SORCIER sang-mêlé.
GROUPE hiboux.
ANNÉE D'ÉTUDE troisième année.
MAISON (attendre la validation)
BAGUETTE MAGIQUE sa baguette est en acacia et renferme une épine de monstre du Fleuve Blanc. Elle mesure vingt-huit centimètres et est fine et assez souple.
PATRONUS un renard.
ÉPOUVANTARD une personne tout ensanglantée ; il est hématophobe.
AMORTENCIA la potion sentirait la violette et le sable chaud. Avec un soupçon de fleur de frangipanier.
DON MAGIQUE métamorphomage.
QUALITÉS ET DÉFAUTS débrouillard ▲ hypocrite ▼ a une super mémoire ▲ a du mal à s’attacher aux autres ▼ curieux ▲ insondable ▼ manque parfois d’expressivité ▲ trop paresseux pour son bien ▼ négocie bien ▲ plait aux professeurs ▼ participe pour avoir un bon bulletin ▲ ne fait des efforts que s’il y trouve un intérêt ▼ manque de passion ▲ trop blasé ▼ peu soupçonné pour quoi que ce soit en général ▲ assez malicieux en vérité ▼ chanceux etc.
SIGNES DISTINCTIFS ses racines qu’il décolore tous les 29 février, son odeur envahissante mais très agréable (vous vous retrouverez couverts de son parfum naturel seulement en une heure).
ANIMAL DE COMPAGNIE une Scottish Fold blanche aux yeux verts. Elle est affectueuse et silencieuse, et aime bien se glisser dans son lit les soirs d’hiver.

MATIÈRE OPTIONNELLE CHOISIE divination. NIVEAU SCOLAIRE il est du genre à avoir d’excellentes notes. APPRÉCIATIONS « élève excellent et pertinent ; devrait cependant arrêter de rendre ses devoirs en retard. » REDOUBLEMENT impensable. MÉTIER ENVISAGÉ : il ne sait pas trop encore, mais ses parents espèrent le voir dans les hautes sphères.


LES B.U.S.E : {} Obtenu {} Recalé {x} Trop jeune
BREVET DE TRANSPLANAGE : {x} Obtenu {} Recalé {} Trop jeune



CARACTÈRE On ne le voit pas discuter avec grand-monde quand il n’y a aucune raison à cela. Il n’aime pas les banalités, il les hait même de tout son être, mais vous écoutera parler de vos énièmes problèmes de cœur, de cor aux pieds, de notes médiocres, de fesses tant qu’il aura l’info dont il a besoin. Et ce, le plus efficacement possible.

Il ne travaille qu’à la dernière minute et a tendance à s’endormir en révisant. Il écoute cependant avec attention en cours pour se permettre de ne rien faire, et puis bon, il est assez intelligent quand même.

Malgré son côté intimement taciturne et asocial, il  adore commérer et les rumeurs sont son plat préféré ; c’est l’une des seules raisons pour lesquelles il va vers les autres, d’ailleurs.

Il aime qu’on lui soit redevable et fait tout pour ne jamais avoir de dettes. Les dettes morales sont les plus ennuyeuses, et s’il vous doit quelque chose, ça ne durera pas plus d’une journée en général.

Il prend des cours de harpe depuis ses six ans et a déjà participé à des concours de musique où sa dextérité en avait impressionnés plus d’un.

Ne trainant pas avec beaucoup de monde, il ne s’y connait pas en amour et n’a jamais tenu la main d’une autre personne que sa mère.
Il n’est pas un grand fan des contacts physiques, mais il aime bien câliner son chat.

Il lit beaucoup, et a toujours de livres à commencer.

Sa façon de lancer des sorts est très gracieuse, alors qu'il est du type à ne pas se tenir très droit et à se comporter de façon très nonchalante. Ouais, il est très mou.

Il fait partie de ces élèves qui n'ont pas honte de poser des questions quand ils ne comprennent pas. Bon, OK, seulement à la fin du cours et quand tout le monde se presse à la sortie en bavardant.

Il adore les bains et la mousse. Il aime paresser dans l'eau chaude. Il aime la chaleur pendant l'hiver et le froid pendant l'été. Il aimerait consommer moins d'eau mais il n'y arrive pas.

Il n'aime que les sorbets au citron et au melon. Il aime bien la glace au chocolat et à la noisette.

Il préfère le salé au sucré et est plutôt gourmand de base mais comme il est devenu végétarien par principe et que ce qu'il préférait c'était la charcuterie bah… il ne grignote presque plus rien. Et il en est assez triste. Par contre il préfère le popcorn sucré de loin.

Son shampoing est à la pomme et il est bio. Il porte un parfum à une fleur dont il ne se souvient pas du nom (il a retiré l'étiquette du flacon comme elle était trop girly pour lui) qui lui rappelle l'odeur des cheveux de sa mère mélangée à d'autres fragrances fruitées. Comme son odeur corporelle est très envahissante, le parfum ne lui donne qu'une note plus sucrée, mais si son poignet passe près de votre nez, le mariage des deux fragrances vous fera penser à de vieux souvenirs heureux.

Il se parfume les poignets, le creux de la mâchoire, l’intérieur des genoux, et glisse une goutte sur ses clavicules. Et malgré tout ça, les gens ne le remarquent qu’à peine. C’est dur à vivre, cette odeur corporelle agréable mais puissante.

Il ne sent pas le garçon, par contre.

Les gens pensent souvent qu'il est très petit. Il est à deux millimètres d'atteindre le mètre soixante-dix, mais sa mère pense qu'il mesure un mètre cinquante-cinq.

On le prend souvent pour une fille, à son grand dam.

Il aime être pieds nus dans l'herbe.

Il déteste profondément les travaux en groupe car il est obligé de ne pas tout faire à la dernière minute.

Les professeurs disent qu'il a énormément de potentiel. Mais il préfère flemmarder plutôt que le travailler.


Vous vous retrouvez face à un épouvantard, et vous vous rendez compte que vous avez oublié votre baguette — heureusement, vous avez votre cerveau et vos jambes. Que faites-vous ? Mon épouvantard ne peut m'attaquer, mais le sang est réellement une phobie pour moi. Bien que sachant pertinemment que ce n'est pas réel, à chaque fois que j'ai été confronté à un un épouvantard, même avec ma baguette avec moi, j'ai fait un malaise. A chaque fois, à chaque entrainement. La simple goutte de sang me donne la nausée. J'évite même de regarder la viande saignante, en fait je ne le peux tout simplement pas si je veux avaler quoi que ce soit ensuite. Même le sang des animaux, oui, oui.

Donc, je ne prendrai pas les jambes à mon cou. Mes cheveux s'amuseront à changer de couleurs pendant deux ou trois secondes avant que je ne m'évanouisse. Tout simplement.
Vous avez déçu votre baguette qui a décidé de ne plus vous obéir et qui n'en fait plus qu'à sa tête. Que faites-vous ? Ça n’arrive presque jamais, mais on n’y peut trop rien parfois. La seule façon de me réconcilier avec est de jouer de la harpe, ce qui est assez problématique dans Poudlard étant donné que c’est un instrument typé féminin. Mais il n’est pas impossible de le faire lorsqu’une salle est vide… Sinon il suffit de fredonner une chanson ou passer la nuit en la gardant à ses côtés pour qu’elle se calme.
C'est enfin les vacances d'été ! Vous êtes prêt à partir dans le sud de la France avec vos amis, mais votre père s'est cassé une jambe et vous demande de travailler pour lui à sa boutique de balais magiques. Quelle est votre réaction ? … Des amis ?
Plus sérieusement, ça m’embêtera forcément, donc j’essaierai de trouver quelqu’un qui me doit quelque chose pour le faire à ma place. Après tout, rendre des services aux gens dans des situations extrêmes, hein… ça peut servir à ce genre de choses aussi. Par contre… mon père n’a pas de boutique ? Bref, la mer est à moi.
Vous êtes en cours de potion, et la potion du jour explose à la moindre maladresse. Vous avez soudainement un trou de mémoire vis à vis du prochain ingrédient, que faites-vous ? Ce qui me dérangerait le plus, ce n’est pas vraiment le fait que je sois en train de faire une potion plutôt dangereuse, mais plutôt le fait que j’aie pu oublier une chose relative aux cours. Mais bon, faisons comme si c’était possible.
Je referai la potion dans ma tête, si je ne trouve pas, je regarderai les ingrédients à ma disposition et je ferais des probabilités tout en essayant de me rappeler ce qui suit dans la préparation de la potion pour invalider certaines options. Si j’ai encore un doute, pourquoi ne pas demander à la personne la plus proche, tout simplement ? Ouais, non en fait. J’essaierai d’épier un bon élève au même stade que moi, au pire... Mais pourquoi je n'aurais pas mon livre, en premier lieu ? Ce serait plus simple de regarder dedans, non ?



On dit qu’il reçoit des lettres d’amour d’une fille d’un autre pays, mais il n’a jamais pipé mot là-dessus.
On dit qu’il n’a ri devant quelqu’un que six fois depuis le début de sa scolarité à Poudlard et que ce serait parce qu’il complexerait sur son rire.
On dit que devenir son ami sans qu’il n’aille à votre rencontre est impossible ; apparemment il faut faire partie des « vip » pour qu’il fasse ami-ami.
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Re: to fake tenderness / Alexander - finiiiie
29.04.16 22:45

histoire


« Mon plus lointain souvenir remonte au Nouvel An juste après mes quatre ans. On avait été invités dans une quelconque maison en bord de mer, avec mes parents. Il faisait trop frais pour faire quoi que ce soit en-dehors de la maison ; les personnes qui nous avaient invités avaient un fils qu’ils qualifiaient « d’un peu taquin ». J’avais évidemment passé la soirée avec lui, il n’avait que quatre mois de plus que moi. Mes parents m’avaient fait tout un topo sur la politesse, et je me disais que même si je ne comprenais pas du tout le but de tout ça, j’allais essayer. En fait, ça se résumait à ne pas crier, ne pas pleurer, ne rien casser et dire « merci » quand on me faisait un compliment ou qu’on me donnait quelque chose. La notion de compliment m’échappait aussi.

Mais bref, ce fils, c’est lui le grand problème dans l’histoire. Il m’a demandé avec qui je voulais me marier plus tard. Avec assurance, j’ai répondu que ce serait avec mes deux parents que je serais heureux, comme ça je resterais avec eux pour toujours. Il s’est moqué de moi et m’a dit que les personnes qu’on doit aimer doivent avoir notre âge et que mes parents étaient déjà mariés entre eux de toute façon. Je lui ai demandé pourquoi on devait avoir le même âge. Il a dit qu’il me révélerait la réponse si je me souvenais de cette question en grandissant. »


« On m’a reposé cette question plusieurs fois. « Avec qui veux-tu te marier », encore et encore. Je me demandais pourquoi c’était si important, le mariage. Un jour on m’a dit que c’était une preuve d’amour. Je ne comprenais pas vraiment, alors je disais « avec ma mère ». J’avais commencé à mettre mon père de côté et à développer un peu de jalousie à son égard, comme lui il était marié à elle. Je ne voulais plus tenir sa main si celle de ma mère était là, je ne voulais plus m’asseoir à côté de lui à table, je ne voulais plus le voir s’il n’y avait pas de raison à cela. J’étais un enfant indigne, peut-être. Il ne s’en est pas vraiment formalisé. En fait, je crois qu’il s’en fichait éperdument et me narguait même en embrassant ma mère sous mes yeux. OK, mon complexe d’Œdipe était assez envahissant jusqu’à mes huit ans. Quand j’ai appris à maîtriser mieux mes sentiments. »


« Je me suis rendu compte à cette période que les adultes n’étaient pas très honnêtes, et je voulais ressembler à un adulte. Je voulais que ma mère me complimente sur ma maturité, comme elle me complimentait pour tout le reste (en particulier la harpe ; elle avait un jour laissé échapper que c’était son instrument préféré, et depuis j’avais décrété que j’en jouerais). Je voulais aussi impressionner ses amis, qu’ils disent « mais que votre fils est mature pour son âge » et qu’elle se mette à sourire en disant « n’est-ce pas ? Il est spécial par rapport aux autres enfants ». Je voulais être spécial. Je voulais avoir une place quelque part dans son cœur, et remplacer peut-être mon père encore. A cette période alors, je n’ai plus fait de caprices. Quand on me demandait quelque chose, je ne le faisais qu’avec en tête l’idée de cette nouvelle image. Les autres enfants avec qui j’étais n’avaient cependant pas droit aux mêmes faveurs. Et c’est peut-être à cette époque que je suis devenu calculateur, mais ça, c’est plus pratique qu’autre chose.

Après tout, qu’y a-t-il de mal à ne pas être « sincère », comme ils le disent si bien ? Un service doit être rendu, c’est une monnaie d’échange, et la dette des autres me profiterait toujours. Rendre service aux personnes importantes et puis réfléchir à l’apport que pourraient m’offrir les autres. Les enfants font partie des « autres ». Pas assez fiable pour que je leur rende un service sans m’assurer qu’il sera rendu, je laissais libre-cour devant eux à ma flemme sans limite déjà présente à l’époque, tandis que ma dévotion aux professeurs aurait pu me faire passer pour un petit ange. C’est aussi à cette période que je me suis rendu compte de ma mémoire. Tout rentrait si facilement. Il me suffisait d’écouter – je ne bavardais donc jamais, je ne supportais pas le bruit – et de relire le manuel une fois rentré pour tout comprendre. »


« Evidemment, à partir d’un moment, ce manque de caprices et la perte de mon attitude enfantine ne fut plus motivée par l’amour de ma mère. C’était devenu une habitude qui faisait partie de moi. De toute façon, je n’avais pas le droit de ressentir avec force quoi que ce soit. Je ne devais pas ressembler à un monstre, et les moldus ne devaient pas deviner que j’étais un sorcier, évidemment. C’était plus simple aussi, d’éviter les problèmes. Il m’était arrivé de me venger en me transformant en telle fille ultra-populaire pour expressément dire à une brute qui serait amoureuse d’elle qu’elle n’a aucune chance, mais en somme, j’avais peur de me faire découvrir, aussi imperturbable et impénétrable que je tentais de l’être. A vrai dire, le sang ne me facilitait pas la tâche. A la moindre goutte, je devais m’enfuir, une boule dans la gorge pour me calmer quelque part, loin de tout le monde. »


« Ma mère a filmé son accouchement. Elle avait dit d’enregistrer même si ça tournait mal. Ça a plutôt mal tourné. Mon père a obtempéré car il savait qu’elle lui en aurait toujours voulu sinon.

On ne lui a pas fait une césarienne, mais c’est ce que tu t’imaginais sûrement. C’aurait été plus supportable, je trouve. Ils ont préféré l’épisiotomie. Ça consiste à couper la peau et les muscles du périnée. Evidemment, ils s’en sont rendu compte un peu tard, donc l’anesthésie faisait à peine effet. Je suis tombé sur la cassette quand j’avais huit ans. Je l’ai regardée, trois fois de suite. J’ai vomi et je me suis évanoui. Mes parents m’ont trouvé là, inconscient sur le tapis du salon. On n’en a pas rediscuté, mais depuis je suis hématophobe. Je me revois parfois, dégoulinant de sang en sortant de ma mère. Et la simple image mentale, le simple fait d’imaginer la scène à nouveau m’empêche de respirer. »


« Je me suis demandé pourquoi les garçons devaient tomber amoureux des filles à partir de mes treize ans. Avant, je ne me demandais rien, je ne savais même pas que ça pouvait exister. Passé mon complexe d’Œdipe, plus aucune personne n’avait fait battre mon cœur plus fort qu’une autre. Même les mini-jupes, mes la courbe naissante des seins, même les cuisses dénudées, même les fesses moulées par les maillots de bains. Je me suis à cette époque penché sur le sujet, me demandant s’il y avait quelque chose d’étrange avec moi. Quand on bavardait à propos de sexe, je me rendais compte d’à quel point je n’y connaissais rien, et à quel point je me fichais bien d’en savoir plus. Mais je savais que stratégiquement, je devais en savoir plus pour pouvoir garder un masque avec les bonnes personnes.

J’ai alors cherché ce qui pouvait être « excitant » pour les autres. Les pieds m’indifféraient, les aisselles ne me plaisaient pas non plus, les sexes me laissaient de marbre, les animaux ne me faisaient pas ciller. Aucun fantasme ne me paraissait meilleur qu’un autre, comme je n’en avais absolument aucun. Le plaisir sexuel ne me disait rien. Rien ne m’interpelait. »


« Un jour j’ai ressenti du désir pour une fille. Je la croisais depuis longtemps sans la voir là où j’étudiais la musique. Nous organisions un spectacle de fin d’année et j’ai dû faire un duo avec elle. Elle n’était ni méchante ni gentille, ni belle ni laide, ni intelligente ni bête. En soi, une moldue ordinaire et sans intérêt. C’est cliché mais elle s’est transformée quand elle s’est mise à jouer du violon, et je me suis dit que je voulais que son âme tremble pour moi autant que son violon sous ses doigts. J’avais quatorze ans, alors je l’ai quittée sans même lui dire qu’elle jouait bien. J’entrais à Poudlard. »


« Je crois que j’ai commencé à être plus espiègle une fois à Poudlard. Colporter des rumeurs en me cachant dans mon propre anonymat était agréable. Après tout, qui me soupçonnerait moi ? J’étais le garçon qui rendait service aux professeurs, avait de bonnes notes, qui ne faisait pas de bruit, qui était plutôt serviable et gentil, même s’il n’allait pas souvent vers les autres. A vrai dire, je n’étais serviable qu’avec les gens dignes d’intérêt, mais ça, ça échappait souvent aux yeux tant je tournais bien mes phrases pour refuser, et c’est toujours le cas aujourd’hui. Après je ne sais pas si on ne me découvrira pas un jour, mais écouter les conversations, inventer, déformer, grossir des rumeurs, détruire ou glorifier, quel pouvoir extraordinaire on peut avoir sur les gens avec quelques mots… »


« Avant je me demandais pourquoi les gens tenaient des journaux intimes, mais à vrai dire, quand on n’a personne pour le faire, c’est plutôt agréable, que de parler de soi. »


« Ah, mais j’oubliais le début de tout ceci. La réponse à pourquoi c’est mieux d’avoir le même âge : c’est parce que c’est trop triste que l’un des deux vive seul sans l’autre. La seule raison, c’est la peur de la solitude causée par la mort. Ça m’a un peu ébranlé, quand j’avais douze ans. Maintenant, je me demande si ça vaut la peine, que de se poser des limites comme ça. Après, c’est pas comme si j’avais quelqu’un en vue.
Après tout, ce n’est pas celui qui n’a jamais embrassé qui va commencer à donner des leçons à propos de l’amour. »



Superrainbow300


COMMENT ÇA VA ? ... bien ? OK JE SUIS MEGA FATIGUEE MAIS BIEN !
C'EST QUI SUR TON BEL AVATAR ? Kozume Kenma de Haikyuu!!.
ET TU AS QUEL ÂGE ?   dix-sept ans. o/
COMMENT AS-TU TROUVÉ FW ? Batholomiaouh. ♥♥♥♥♥
FILLE, GARÇON OU ESCARGOT ? plutôt glace au chocolat.
CRÉDIT Minou minou. (Bartholomiaouh, quoi.)
UN COMMENTAIRE ? Vous êtes tous trop mignons je vous aime déjà faisons-nous des câlins mettez-moi chez les verts pitié
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Invité


Anonymous





Re: to fake tenderness / Alexander - finiiiie
29.04.16 23:07

OMG. OMG. OMG. OMGGGGGGGG. ♥️
KENMA. ♥️♥️♥️
TU SAIS QUE JE SUIS DEJA EN AMOUR DEVANT TA PERSONNE ? ;///;

*tousse* BIENVENUUUUUUUUUUE ♥️ *hug du welcome*
Courage pour la suite de ta fiche, j'aime déjà beaucoup de ce qu'il y a ♥️ ohui

PS : Mon DC est censé avoir Kuroo en vava. Voilà. À méditer.

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Téméraire
B. Perceval Mcdonald


Messages : 750

Date d'inscription : 28/03/2016

Feat : Akaashi Keiji — HAIKYUU!!!

B. Perceval Mcdonald





Re: to fake tenderness / Alexander - finiiiie
29.04.16 23:25

Kenma omg ♥
Je suis crevée j'arrive plus à réfléchir mais je viens te souhaiter bienvenue parce que je pouvais passer à côté de cette bouille quoi. Bon courage pour la suite de ta fiche petit Alex eheh
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Invité


Anonymous





Re: to fake tenderness / Alexander - finiiiie
01.05.16 23:11

Merciiiii djkdlald ♥
Du coup je voulais vous remercier une fois mon histoire terminée, j'espère que c'est pas grave. ;v; Mais voilààà merci beaucouuuup. ♥♥♥♥♥♥
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Préfet & Président du club de duels
Anton V. Lawliet


Messages : 839

Date d'inscription : 08/09/2015

Anton V. Lawliet





Re: to fake tenderness / Alexander - finiiiie
02.05.16 13:55




serdaigle !


Félicitations ! Le choixpeau a bien lu dans ton esprit et t'as réparti dans la maison des érudits qui veulent tout connaitre. Tu peux maintenant te balader sur le forum comme tu le désires. Nous te conseillons de suivre Être un sorcier pour les nuls qui te guidera pour faire des premiers pas sur le forum !


OH MAIS CE PERSONNAGE EST JUSTE EXTRAORDINAIRE OMG
J'aime beaucoup beaucoup, il ne colle entièrement à aucune maison mais Serdaigle semble la plus appropriée ! J'espère que ce choix t'ira du coup enjoy
Bienvenue sur FW, et amuse-toi bien parmi nous heart
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Re: to fake tenderness / Alexander - finiiiie

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