devon; a flower princess ✿ over

DEVON A. EDELSTEIN.

FEAT adachi tohru | persona 4

JE SUIS Devon et encore, j'l'aime bien mon prénom, ça va, papou lui voulait me nommer 'eucaristeus' ─ Amadeus bon, maman n'est pas non plus la pro des prénoms ─ Edelstein quand on le prononce, j'sais pas pourquoi, j'ai la fierté qui gonfle. J'AI 19 ans et je suis imberbe. JE SUIS anglo-autrichien j'suis sorti du moule à moitié anglais, mon père est autrichien, vous voyez le genre. ET MES PARENTS SONT Moldus chez moi, ça cause, ça vit et ça pète moldu. JE SUIS EN cinquième année. ET J'ÉTUDIE la coopération magique OPTION potions et langues des créatures et hybrides. JE FAIS PARTIE DES princesses. bâtard il n'a nulle part où se situer, on le voit bien duelliste illégal, ou téméraire. Mais en fait, y'a que les rumeurs derrière son dos qui en parlent. ET MA MAISON EST Serdaigle J'AIMERAIS RAJOUTER QUE Devon est un sale caractère, il a donc de mauvaises habitudes comme lâcher des gros-mots. Il essaie un peu de se retenir, mais ça foire en général. Et il est claustrophobe.

❝ rocket skates ❞

SALE CARACTÈRE.

J'aime pas les gens. Je t'aime pas, j'aime pas ta mère, j'aime pas ton père.
C'est un peu comment on le voit, en fait.

Un espèce de rustre derrière une belle tronche qu'on qualifiera presque d'innocente. Presque. Bien souvent, il n'a rien de particulier, c'est le mec lambda qu'on rencontre dans le couloir, qu'on aborde pas, duquel on passe à côté sans vraiment regarder, en fait. Et pourtant, lorsqu'on parle de lui à ceux qui le connaissent bien, on vous répondra probablement en riant « Ah, ce sale caractériel là ? ». On parle de 'ceux qui le connaissent bien', on parle pas de potes à la vie à la mort toi même tu sais frère. Amadeus a ce caractère de ceux qui ont du mal à se faire des amis, méfiants, où la providence choisi plutôt de les faire souffrir que s'épanouir avec des gens desquels la confiance et la loyauté sont des maillons solides, des piliers encrés et inébranlables. Et puis, il s'en bat les couilles.

Devon n'est pas du genre à sourire hypocritement au premier ou à la première venue. Il ne regarde même pas, il se désintéresse de vous si bien, que cela peut souvent énerver. Et même si l'on parvient à attirer son attention, il n'aura rien d'un petit con qui vous poignardera dans le dos pendant que vous prenez une douche les gars, c'est loin d'être dans son caractère. Si Devon a quelque chose à dire, Devon le dira point barre. Personnage vachement compréhensif envers les autres, il n'en est pas du tout à ce stade si on le critique. Incroyablement susceptible, c'est le mec qui va faire la gueule si il a compris un truc de travers dans un conseil qu'on lui donne. Il n'est pas vraiment du genre à se taire non plus, il sera même tellement désagréable qu'il lâchera un gros-mot sans s'en rendre compte.

C'est un cas particulier plutôt maladroit. C'est le mec qui va marcher sur un Lego et qui va finir rouge comme une écrevisse, usant de son vocabulaire fleurit remplit d'élégance. On dira merci au frangin de laisser traîner ces merdes sortit de l'imagination de Satan lui-même pour pourrir ta vie jusqu'au bout.

Parlant de jeux du p'tit frangin, Devon adore également jouer. Pas aux Legos les gars, hein. Il préfère le support console, si vous voyez ce que je veux dire. Ordi, console, tant qu'il peut se pisser dessus sur un jeu d'horreur ou se taper des barres sur un jeu d'action, ça lui va très bien. D'ailleurs, ne pas venir le faire chier dans ces moments-là, il n'aime pas nécessairement qu'on le dérange. À même titre qu'il n'est pas non plus du matin, jamais.

Amadeus est aussi un étudiant exemplaire, qui sait quand être sérieux même si il se montre flemmard, procrastinateur et j'en passe des meilleures. Il s'avère être efficace, studieux et très impliqué. Ne parlons pas de son foutoir dans ses notes, personne à part lui ne comprend toutes les annotations dispersées dans ses carnets. Il se démène comme un fou pour réussir et le pire, ou le meilleur, est qu'il adore ça.

Devon n'est pas non plus tactile. Les câlins c'est bien un peu, de temps en temps même, mais on l'oublie si c'est souvent. Trop d'amour propre peut-être. Il n'est pas du genre à beaucoup exprimer ses sentiments, pas à n'importe qui. On l'avoue quelques fois être un peu « double », car il peut aussi se montrer très concerné par le malheur des personnes qu'il apprécie.

Ce n'est pas non plus le type qui va être désagréable direct quand on va l'aborder. Il n'a jamais été doué pour déposer une étiquette comme ça sans connaître les gens, il n'aime pas non plus les racontars, c'est pas son style. Personne plutôt humble, il reste calme et tolérant, même peut-être un peu trop tolérant. Ce n'est pas non plus la personne qui se laissera abattre, ni du genre à faire attention à ce que les autres disent ou comment ils le fixent.

Devon aime la vie, en apprécie chaque jour.

Devon demeure être un personnage particulier mais avec qui il est possible d'apprécier la compagnie, où il est facile de converser sur tout et n'importe quoi. Il a beau avoir ce caractère un peu hors catégorie, il ne demande pas moins qu'à se sentir accepté tel qu'il est. D'un bon fond, plutôt courageux, une fois sa confiance avec les autres établie, il n'hésiterait pas à offrir tout ce qu'il a. Un peu du genre à mettre tout le monde dans son cercle sur un même pied d'égalité, il sera assez compliqué pour lui de trouver la personne qui le rendra ''spécial'' au reste du monde. Je suis puceau, et quoi, putain.

Mais je vous assure, il est gentil.

(➕) Ambidextre,
allergique au pollen c'est la merde quand la saison du printemps démarre, aime les enfants et réciproquement, il aime la musique, le chocolat et la menthe, mâcherait des chewing-gum presque tout le temps, il aime la pluie et sa saison favorite serait l’automne.

(L)MIRL.

Pas de téléphone. Pas d'ordinateur. Pas de wifi. Pas de consoles. Rien.

Son visage se décompose en surlignant la lettre, les pensées déjà loin depuis que son père a ouvert la bouche pour prononcer ces mots. Il devient blême, plus pâle que la chemise de l'adulte qui lui a donné vie. Oh oui ça lui fait des sueurs froides dans le dos. Pauvre gamin qui n'a connu que la technologie, bordel, il va morfler plus de dix mois dans une école de sorciers. Ah ouais, parce qu'il vient de l'apprendre ça. C'est un sorcier. Heureusement, il attendra quelques années avant de rentrer à Poudlard. Il en profitera jusque là.

Il a envie de lâcher un « merde », mais il se retient parce que papou, il est imposant et ses yeux bien que sombres comme ceux du marmot sont plus impressionnants et quand il fait les grands yeux, Devon se la ferme direct.

Il regarde l'adulte. Donc, en somme, sa vie déjà bien implantée va devoir changer. Il a du mal à se dire qu'il va devoir le faire, même si depuis sa naissance, c'est un bordel autour de lui et que cela n'a pas toujours été d'ordre magique.

Et dire que sa mère pensait que la naissance de son fils qui est arrivé une froide nuit de février serait le plus beau jour de sa vie. En fait, même si elle ne regrette absolument rien, ce n'est pas joyeux tous les jours pour elle qui doit supporter les profs qui parlent de son rejeton comme étant « un enfant irascible et nerveux ». Et cette belle anglaise au teint pâle sans imperfection, toujours propre au sourire rafraîchissant, reste aussi fière de son fils depuis sa naissance.
Et le père lui, il enseigne à son fils. Héritier d'une grande famille plutôt sortie de la petite bourgeoisie, autant dire que son fils doit perpétuer la lignée. Difficile pour Devon de faire le gosse de riche. Et pourtant, il obéit à son père pour pas se ramasser sur le cul une claque du papou. L'homme, qui ressemble traits pour traits à son fils semble plus rude, dégageant un charisme écrasant et une voix ferme. Autant dire qu'il sait se faire entendre, et comprendre. Pourtant, devant le sourire et la bouille de son gamin, il fond littéralement et ne peut pas vraiment l'engueuler. Enfin si, quand Amadeus fait une connerie, il n'est pas content. Quel parent serait heureux d'apprendre que son môme a fait une connerie ?

Devon admire ses parents.

Depuis sa petite enfance, le brun se voyait de temps en temps faire des choses relativement bizarres, du moins assez étranges pour comprendre qu'il était 'unique' dans son genre. Cependant, ce n'était pas fréquent, cela se manifestait rarement. Il faisait plus de conneries en tant que gamin normal qu'en tant que sorcier. Plus il grandissait, plus son caractère se renforçait. Il n'avait pas vraiment beaucoup d'amis, trop franc pour se faire comprendre et plus tard encore, trop vulgaire pour être fréquenté. Et pourtant, le peu d'amis qu'ils se faisait, il les rencontrait sur le net et miraculeusement ils l'acceptaient en riant avec lui, découvrant ses facettes attachantes. Il n'avait pas envie d'être trahi. Il était distant et si proche d'eux à la fois, il ne parlait pas de beaucoup de choses le concernant, simplement les bases qu'était sa vie en cours, parler de ses parents de temps en temps. Il n'a jamais dit qu'il était 'spécial', qu'il avait appris qu'il était un sorcier. Peur des réactions, peur qu'on lui tourne le dos. Peur de perdre ceux sur qui il pouvait compter.

Pour au final les perdre au fil des années, tandis qu'il apprenait à devenir un sorcier accompli. Ils se sont détacher, ils ont oublier et Devon a fini seul.

La réalité n'était pas un fardeau, au contraire, un flot d'émotions l'avait traversé et puis, au plus ils se perdaient, au moins il ressentait quelque chose pour eux. Ils s'étaient effacés avec douceur, sans regrets. Sans pleurs. Mais avec une certaine tristesse qui s'était insinuée en lui, créant une fissure assez béante pour se retrouver à rejeter, ou presque, la population. Mais il a fini par tourner la page, heureusement. Et puis, il y a eu son petit frère et tout a changer.

L'aîné s'est occupé de son cadet, découvrant qu'il était protecteur et aimant. Elias avait fait naître en son grand frère des qualités jusque-là enfouies, démontrant que notre petit Devon avait bien plus de qualités qu'il ne le pensait. Malheureusement, Elias ne suivra jamais son frère jusque Poudlard. Cela avait renforcé leur lien fraternel au lieu de le démanteler.

Le gamin a grandit. Le temps s'est écouler entre ses doigts fins sans que cela ne le déstabilise, renforçant sa présence et son estime de lui. Chaque erreur est acquise, il prend à peine conscience de qui il est, de ses limites. Ses remises en question parfois poussées trop loin pour être comprises.

Il adore le monde de la magie, il est intéressé par la communication, même si un « bordel de merde » très élégant peut sortir de sa bouche. Devon, Devon, Devon, nous devons t'aimer avec tes qualités. Et tes défauts avec.

RUBICON.

salut, j'aime les vilains & le moelleux au chocolat.
jpp de ces forums HP qui puent leur race comme chez vous. oh au fait, j'suis là par un partenariat ─ cc j'avais dit que je viendrais si j'avais plus de disponibilité, mais en fait, j'ai craqué avant.
par contre je débarque mais je risque d'être assez busy des fois, alors vous inquiétez pas si une fois validé ou même avant j'vous fait une absence. Mais j'en pouvais plus quoi, vous prenez les gens par les sentiments merde.