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 Présentation ▬ Cole K. Hautomn

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Cole K. Hautomn


Messages : 23

Date d'inscription : 16/12/2016

Cole K. Hautomn





Présentation ▬ Cole K. Hautomn
16.12.16 23:42

Cole K. Hautomn

FEAT OC. Oldxian.


TU ES Cole Kyle. Hautomn, TU AS 19 balais. TU ES anglais ET TES PARENTS SONT Cons, sorciers, moldus. TU ES EN 5ème année.OPTION Occultisme. TU FAIS PARTIE DES Neutres. ET MA MAISON EST l'une des quatre.

❝ La différence avec un film : le héros meurt à la fin. ❞

TON ÉPOUVANTARD ressemble à un énorme coffre blindé, s'ouvrant peu à peu, vide. .
L'ODEUR DE L'AMORTENCIA  est un mélange de rouille, de tabac froid et d'encre à tatouage.
TA BAGUETTE EST FAITE DE Vigne -  Cheveu de Vélane - 27.5cm .
TON PATRONUS est un Bison.
TA MATIÈRE FAVORITE EST Defense Contre les Forces du Mal.
ET T'AS de nombreux tatouages visibles, quelques boucles d'oreilles et surtout une sale tendance à avoir une main dans le caleçon en classe.
TON MEILLEUR AMI EST une espèce de grosse araignée du doux nom de " Duveteuse " assez câline, tenant pratiquement dans la paume d'une main.  




Caractère.

Le vide. L’abstrait. Le manque. Une drogue. Une espèce de concert sans voix et sans sueur. Une envie inconnue depuis toujours. Le cri et l’hurlement. La douleur mentale. Des doigts qui creusent. Encore et encore à travers l’épiderme vermeille. Rien. C’est chaud. Ça semble chaud. Rien. Toujours rien. Continue. Gratte. Gratte comme le rat sous l’exfoliation thermique de l’embastillé. Tu es le mulot valétudinaire. Tu es ce rat malade. Utile mais dérangeant. Réussir à avoir la gaule. Jouir. Ne rien ressentir. Horlogerie cassé. Robot olympien à l’incompréhension de cette non sensation. Une envie de connaitre. Une envie de comprendre. Hydre invisible et invincible. Se faire éclater la tronche et en rire comme un taré sous cocaïne. Vomir son sang dans la bouche de l’ennemi, la mâchoire fracturée. Une douleur ? Non. Une envie de vivre ? Non.
Extrait de tes pas vivent, l’extrait de tes marches vides.
Erige l’horreur en noyau de l’atome.

Artiste fauché dans l’âme. Son amer. Arrêt sur une victoire tandis que la dent saute. Un son simplet qui donne envie. Une ébauche sociale tracée par la plume d’une défaite âpre. Elle était belle. Somptueuse. Sans elle, tu n’aurais rien pu faire. Dans les tréfonds d’une réflexion vaine, tu avais eu cet halo de lumière, cette chance de lui tomber dessus. Certains diront que les rats ne vivent qu’entre eux. D’autres diront qu’il s’agit là d’une grossière erreur trahissant les problèmes des ovulations consanguines de l’élevée société Anglaise.  Vivre dans de la merde sans réfléchir à verbaliser, oser se laisser aller, ne plus porter l’arme, décompresser. Alors elle était là, dansante et riante. Heureuse et somptueuse. Une torche de lumière artificielle dans une pénombre naturelle, au sein d’artères d’un wagon bar. Le monde libre était là, marche. Marche à ses côtés. La Culture. Belle et princière. Amante de vadrouille.

Il serait bien nauséabond de croire que tu es l’un de ces philosophes de ces nouveaux temps révérencieux. La plume colorée au bec du corbeau qui surplombe la masse grouillante. Que cela ne tienne. Il s’agit d’une fausse idéologie qui ne possède nullement sa place. Confidence dans l’estropié et vacuité dans le mal être. Tu ne sais pas vraiment. Sur tes terres, tu fais la loi. Pas besoin d’élever la voix. Retourne sur tes pas entre une décadence sociale et un humeur aseptisé depuis que tu connais la triste vérité financière de ton daron. Il y avait de la tristesse dans tes propos. Il y avait des conneries dans tes mots. Il y avait de la pure bêtise dans ce que tu véhiculais. Au sein de chaque conflit se terre un ange des enfers. Idiot et vain, l’homme que tu es ne pige pas grand chose au pourquoi du comment. Toutefois, une chose est limpide : Tu finiras avec les rats et les sans-abri au milieu d’un cercle dorée et aux milles marquises.

Détestable. Ignominieux. Maudit. Ordurier. Turpide. Une espèce de déshonneur malsain que tu as à les voir chaque foutus jours de ta chienne de vie. De ton existence qui te mettait sur le banc de touche. Pour eux, tu possèdes les pires maladies du monde. SIDA, Cancer, pauvreté. La pire de toutes. La pauvreté. Une espèce de situation qui te creuse les joues par le soucis. Te grattant la peau en recherchant comment résoudre les problèmes de loyers, d’électricité. Des conneries qui formatent la société, indispensables pour beaucoup. Superflus pour toi. Hausse donc les épaules, attrape non pas une coupe de champagne mais la bouteille entière. Ils suffisaient seulement de quelques billets pour les déshabiller. Comme beaucoup. Ils étaient dans leurs délires. Pas toi. Tu préfères les petits gens. Les gens simples et les bonheurs preux. Pas besoin de grande cérémonie pour diner avec un simple ami. Un sandwich acheté à l’arabe du coin et un pack de bières. La simplicité du philosophe était le maitre mot de ta ligne de pensée.

Tu n’aimes pas le superflu. Tu n’aimes pas la complication. Simplement, tu n’aimes pas. Tu aurais voulu vivre bien loin de la complexité et la difficulté des voutes sociales. La banalité et la sobriété des composantes. Alors forcément, tu n’es pas bien à l’aise. Un nouveau départ. Tu l’espères. Tu le rêves. Une situation meilleure ? Pas vraiment mais il y avait tellement plus à apprécier qu’ici. Toutefois, tu as ce soutien et ce pilier. Alors la vie n’est pas si dure que ça. Du moins, elle semble un peu plus douce. Parfois. Ça reste un coup de poing en pleine gueule. Suivi d’une caresse féminine.


Histoire.

C’est seulement l’histoire d’un mec. D’un mec qui foire la seule chose qu’il sait faire : Gagner de l’argent sur le dos des gens. Triste réalité, n’est-il pas ? Ça pourrait faire sourire. Faire sourire n’importe qui car la société n’a pas réussi à s’adapter au monde moderne. Une société d’industriel qui n’avait même pas réussi à comprendre que la roue tournait à chaque avancement. C’était sa faute et pas la tienne. C’était sa faute et pas celle de ta mère. C’était de sa faute et pas celle des employés. Une vision bien trop arriérée pour qu’une usine puisse se développer sur un coup de Poker. Alors il avait tout perdu dans un placement boursier que tu trouvais, de base, inutile. Toi qui, de base, devait reprendre la grande industrie de ton père. Du patrimoine ? Plus aucun. Capital économique et sociale complètement détruit par un homme vivant dans le passé. Vivre sous les projecteurs n’était pas ta destinée et cela ne le fut jamais.

La Haute. La très Haute. Elle était belle et somptueuse. Elle fournie les écoles privées pour les gamins. Elle donne le pouvoir et la richesse. Elle prête les amitiés et les amours.  Bref, elle est vacuité tout en étant absolument indispensable. Drôle ? Absolument pas. Vain ? Sûrement mais tu ne pouvais pas vraiment y échapper. Règle donc tes comptes avec les gens qui te collent une trempe. Oui, les enfants des riches étaient anormaux. Oui, les progénitures des opulents étaient inaccoutumées. Des besoins de prières. À raison ou bien à tord, tu étais devenu un peu la bête noire de cette folie. Mouton. Créature satanique qui vomissait sur le sol sa pauvreté et marquait au fer blanc l’école de magie si prestigieuse. Alors on t’invite dans les soirées pour se moquer de toi. Depuis tes premières années. Tu pourrais te travestir. Tu pourrais faire semblant. Mais tu ne voulais pas. Ce n’était pas toi. Ce n’était plus toi. Tu ne parles plus. Tu avais honte. Les larmes aux yeux. Une habitude presque vide de sens.

Tu ne te comprenais même pas toi même. Avoir la haine contre l’amour. Tu plonges du haut de la tour. Puis un jour, tu vois un mec qui débarque. Avec des gorilles et un gros camion. Tu piges pas trop, regardant la scène du coin de l’oeil. Puis, peu à peu, les meubles disparaissent. Les grands tableaux vivants des artistes que tu as appris à découvrir avec le temps ne reste que des esquisses au sein de ton encéphale. Les dettes. Les conneries. Les magouilles. Les problèmes du daron. Alors il ne reste quasiment plus rien dans cette foutue baraque aussi grande que le vagin d’une pute ayant subi un gang-bang il y a cinq minutes. Alors, à quoi cela sert-il que tu restes ici ? Dans ces grandes pièces vides. Vides des âmes et de coeur. La froideur de l’Egypte ancienne. Une austérité malsaine alors qu’une autorité parentale éclate le dernier boulon de son cerveau tandis que le deuxième passe son temps dans la chambre matrimoniale, un mouchoir à la main.

Changement d’esprit. Changement de compréhension. Changement d’ambiance. Simple changement. Tu cherches plus loin. Tu recherches la fréquentation des gens plutôt simples et limpides. La recherche des gens qui mangent en public sans couvert. À la recherche d’un monde sans flics et sans haisseurs. Sans codes. Sans règles. Un truc à l’antipode. Stéréotype maussade mais qui te colle tellement bien à la peau. Oui, tu es un putain de stéréotype. Oui, tu étais fait pour ce métier. Ce monde. Brillant et cruel. Le monde est comme une cour de récréation. Alors tu grandis et la peine augmente. Alors tu changes. Peu à peu. Un peu d’encre par là. Un peu d’alcool par-ci. Des déboires ? Oui. Des déboires qui se mêlent à la culture. Doucement mais sûrement. Mais aucune sensation. Ce vide. Ce vide social. Alors tu insultes et jures comme un marin. Mais tu payes toujours ton verre, replaçant ta crinière ébène vers l’arrière. Un sourire - presque - charmeur. Mais jauni par le tabac.

C’est mort.

Tu recommences.

C’est mort, ton père n’arrivera jamais à remonter la pente, vous êtes fauchés.

C’était la triste réalité d’un gravillon dans l’existence d’un bâtiment.

Tu seras un Roi, avec une grande majuscule.

Non.

Tu n’es rien. Un grain de sable sur une plage.



RH.

XXX.



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Invité


Anonymous





Re: Présentation ▬ Cole K. Hautomn
17.12.16 23:19

HUUUUUUH. adoptez-moi siouplait sparkle love
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Préfet & Duelliste Légal
Darwin J. Moore


Messages : 590

Date d'inscription : 28/03/2016

Crédits : Anton ♥♥

Darwin J. Moore





Re: Présentation ▬ Cole K. Hautomn
18.12.16 13:40

Cole Cole Cole ! ♥️♥️
En vrai ça fait plusieurs jours que je tourne autour de ta fiche, et ça faisait longtemps que je n'avais pas autant hésité sur la répartition d'un personnage ! Ton style est très particulier, j'ai pris beaucoup de plaisir à lire ton caractère puis ton histoire. Je trouve que c'est à la fois très personnel et très libre à l'interprétation, comme si tout était voué à faire écho en nous je ne sais pas je dis n'imp bref je me tais happy J'espère que ta maison te plait, que tu t'amuseras sur FW ! Si tu as la moindre question n'hésite pas, je suis là ! J'ai très hâte de te lire dans tous les cas arghh ♥️♥️ Bon jeu sur FW !




gryffondor !


Félicitations ! Le choixpeau a bien lu dans ton esprit et t'as réparti dans la maison des malins qui arrivent toujours à leur fin. Tu peux maintenant te balader sur le forum comme tu le désires. Nous te conseillons de suivre Être un sorcier pour les nuls qui te guidera pour faire des premiers pas sur le forum !

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Re: Présentation ▬ Cole K. Hautomn

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