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 Give up on yourself, and you give up on the world - Ulrich Yorel

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Ulrich Yorel


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Date d'inscription : 12/02/2017

Feat : Joshua - The World Ends With You

Ulrich Yorel





Give up on yourself, and you give up on the world - Ulrich Yorel
14.02.17 8:50

ULRICH YOREL.

FEAT Joshua / The World Ends With You


JE SUIS Ulrich Yorel, J'AI 18 ans. JE SUIS né en France, mais je vis en Grande-Bretagne depuis un bon moment. MON PÈRE EST moldu ET MA MÈRE EST sorcière. JE SUIS EN 4ème année ET J'ÉTUDIE en double cursus la coopération magique et la SSAF OPTION vol sur dragons. MA MAISON EST indeterminée pour le moment.

❝ Before great brilliance, there must be chaos.❞

ÉPOUVANTARD
Quelque chose qui ressemble à un trou noir supermassif. Aucune difficulté pour Ulrich à le différencier d'un vrai, mais le concept suffit à le terroriser totalement.

ODEUR DE L'AMORTENCIA
Pain frais à peine sorti du four, thé fumé, café noir, chocolat.

BAGUETTE
Bois de pin, plume de phénix, 24,2cm de longueur, flexible.

PATRONUS
Un bonobo.

MATIÈRE FAVORITE
Le vol sur dragons !

DON
Métamorphomage

COMPAGNON
Faust, un chat tigré gris argenté.




Caractère.

Imaginez un éléphant avec des ressorts dans un magasin de porcelaine. Ça a quelque chose de brutal et pourtant très amusant à la fois. Il aime sortir des sentiers battus, et souvent, il vous emportera avec lui. Pour lui, il n'y a rien d'assez nouveau, rien d'assez surprenant. Il cherche à tirer le maximum de son  quotidien, et pour cela, il n'y a pas de place pour l'inconnu. Il prend donc plaisir à créer un flou artistique autour de lui afin d'étendre son horizon et celui des autres. Il considère qu'il faut forcer les autres à à sauter à pieds joints dans le chaos dans l'espoir d'y découvrir des choses qu'ils ne soupçonnaient pas. Vous aurez envie de le gifler, n'hésitez pas à le faire, il considérera que vous le remerciez.

Quand il est seul, il aime passer son temps en dessinant tout ce qui lui passe par la tête où en imaginant des concepts de jeux tout en écoutant de la musique (classique majoritairement). En effet, il juge qu'il y a presque autant de magie en réalité dans les jeux et activités des moldus que dans le monde des sorciers. Pour lui le jeu est tout et tout est un jeu, il sait que même s'il doit faire quelque chose qui ne l'amuse pas, il trouvera le moyen de le faire en s'amusant. Il trouve la dimension ludique du monde magique largement sous-développée. Il désire donc dans le futur créer et vendre des jeux et/ou des objets magiques innovants, mais son rêve ultime, c'est celui d'un monde où les moldus et les sorciers coexisteraient totalement.

Il apprécie également la compagnie des animaux, il les trouve extrêmements communicatifs malgré leur absence de langage et il aime ces discussions silencieuses avec eux. En particulier, il adore son chat Faust, bien qu'il le trouve scandaleusement fainéant et il ne manque jamais une occasion de le "torturer" quand celui-ci aspire au calme. De surcroît, les particularités des créatures magiques sont pour lui une source d'inspiration sans limite et il note scrupuleusement dans des calepins, bien au delà des simples faits, toutes ses impressions sur chaque espèce qu'il découvre.

Mais fondamentalement, derrière sa façade amusante, se cache un esprit outrancièrement logique. Car tout jeu cache des règles pas toutes écrites ou énoncées, et faire des optimisations autour des règles, il a appris à le faire depuis longtemps. Il aime les jeux de réflexion et le fait de confronter directement son esprit avec celui de son adversaire. Pour lui, le jeu d'échecs entre autres est entre autres un des meilleurs jeux inventés par les moldus. Sa vie est faite de calculs et de planifications et il a une confiance excessive voire déraisonnée en ses capacités à se tirer de n'importe quelle situation. Il aime aller à l'essentiel, mais il aime aussi la finesse et donc, si son discours peut avoir un côté brusque, cela sera toujours accompagné d'un certain sens de la formule. Il déteste en revanche parler pour ne rien dire, et il déteste encore davantage mentir, il est néanmoins très dur de lui soutirer certaines vérités tant il est doué pour esquiver les questions génantes.

Enfin, il est conscient que pour apprendre et comprendre et maîtriser des concepts, on n'a jamais assez de savoir en magasin. En effet, le savoir est la chose la plus magnifique du monde car on peut le partager sans le perdre. Ainsi dans ses phases moins créatives (donc très souvent), on le trouvera souvent caché derrière un livre où en train de se balader dans le parc à observer des choses "intéressantes". Il donne toujours la priorité à ses études car c'est folie de refuser de leur accorder de l'importance. Il sait qu'il lui faudrait encore au moins un siècle avant d'arriver à un niveau de connaissances qu'il jugera acceptable.


Histoire.


Ulrich Yorel est né à Paris, en France, d'une mère sorcière et d'un père moldu. Ce simple fait ne vous apprend pas grand chose sur moi, je vous le concède, et pourtant, j'avais apparement déjà fait une erreur...

C'est ce qu'a du se dire maman en tout cas puisqu'elle m'a laissé sur le pas de la porte pour aller vivre une meilleure vie ailleurs.


Après coup, je ne lui en veut pas spécialement, mais son absence a laissé dans ma vie un trou béant qui aura mis trop longtemps à se résorber. La seule chose qu'elle m'a laissée, c'est son don de métamorphomage.

Sur le papier c'est pas mal, mais il n'y avait pas de notice avec, et avoir dès le berceau un bébé qui change d'apparence à chaque clignement de paupières, ça a du être une plaie pour papa, simple moldu.

Donc j'ai du apprendre à me faire petit, réprimer mes émotions fortes, rester concentré pour maintenir une apparence stable. Je savais que si je perdait trop le contrôle de mes émotions, il nous faudrait déménager.


Et puis papa attendait toujours que maman revienne, ça a toujours été génant pour moi, et en grandissant, c'est devenu insupportable. C'était réellement le seul sujet de conflits entre nous, mais un jour, quand j'avais 13 ans, après une dispute particulièrement violente, il a décidé d'arrêter d'attendre maman en France et de retourner dans son Angleterre natale. Au final, je pense que ça a été une libération pour nous deux.


À part ça, papa a toujours gardé le sourire. Il a toujours été là pour moi et je pense pouvoir affirmer que c'est lui qui a fait de moi l'homme que je suis. En y repensant, je me rends compte que je n'ai jamais su quel métier il exercait, mais aussi loin qu'il m'en souvienne, il était souvent à la maison. Étrangement, ça ne m'intéressait pas vraiment de le savoir, déjà, il n'en parlait pas du tout, et nous n'avons jamais eu de problèmes d'argent de toute façon.


Papa était une mine de savoir inutile, il a toujours répondu comme il pouvait à toutes mes questions et on avait souvent de longues discussions où il m'apprenait des tas de choses improbables.

Sinon, il passait son temps à jouer, s'en était scandaleux. Il avait une collection dantesque de jeux de société qu'il m'a fait découvrir les uns après les autres.
Régulièrement, quand je me levais la nuit, j'entendais les clics rapides de sa souris qui indiquaient qu'il jouait à un jeu vidéo.

Et en plus, il était doué : il allait d'ailleurs souvent jouer aux échecs en tournoi et son classement elo était supérieur à 2400. Pourtant, le plus souvent, je le trouvais alongé en train de lire - et parfois même de relire - un livre, souvent un roman.

Je ne pense pas qu'il avait vraiment d'amis, mais même si ça avait été le cas, il aurait été imprudent de me les présenter pour des raisons que vous comprenez bien.

J'étais écrasé par la présence de cet homme pour qui rien ne semblait difficile, et pourtant, cette présence semblait être le remède à tous mes maux.


« Je suis pas un dieu, Ulrich. », m'a-t-il dit un jour, « On peut être bon à n'importe quoi une fois qu'on a les bons prérequis, il faut juste faire les choses dans l'ordre. »


Papa n'a jamais rien exigé de moi, mais j'ai toujours voulu l'impressioner, et rapidement, je me suis aperçu que ça serait difficile, mais c'était sans doute la seule chose que je pourrais jamais accomplir en raison du handicap social que représentait mon don, et c'est donc devenu mon seul objectif. J'ai donc travaillé à tirer le meilleur de toutes mes expériences, aucun savoir n'était superflu, j'ai fait de mon mieux pour ne laisser aucun des savoirs qui nous étaient enseignés hors de ma portée, et là où le programme s'arrêtait, j'étais toujours curieux d'en savoir plus.

J'ai fait de ma vie un couloir que je parcourais méthodiquement en essayant d'ouvrir toutes les portes qui étaient sur ma route.


« Tu verras que ce qui est vraiment difficile, c'est de comprendre les gens. Et par difficile, je veux dire impossible. »


Cette déclaration m'avait pris par surprise, et elle a changé ma vie. J'avais souvent essayé d'interagir avec les autres enfants, même en sachant qu'à chaque fois je prenais le risque que ça finisse mal, après tout, eux aussi pouvaient m'apprendre des choses, mais je n'avais jamais essayé de les comprendre, je les imaginait plus comme un système de règles trop complexes que comme d'autres "joueurs" avec qui j'étais impliqué dans le même jeu. J'ai alors compris que l'exploit que papa voulait que j'accomplisse, c'était arriver à vivre avec d'autres que lui le même genre de complicité que nous avions, et j'observais dès lors effectivement qu'il préférait m'entendre parler des autres enfants que des cours. Et puis un jour, toute ma vie a basculé.


« Il y a une lettre pour toi. »


Ah bon ? Ébahi, j'apprenais l'existence d'un monde magique et d'une école de sorcellerie où je devrais passer les prochaines années de ma vie. Personne de sensé n'accepterait d'y croire, sauf si son corps se déforme contre son gré avec ses émotions...
Je montrais la lettre à papa en lui demandant si c'était une blague, et en observant son petit sourire en coin, j'ai compris qu'il avait toujours su.


« Il y a un monde qui est prêt à t'accepter comme tu es. Tu va devenir quelqu'un de formidable là-bas et tu pourra enfin vivre heureux ! »


Quel idiot ! Je n'avais vraiment pas envie de quitter papa, et j'étais déjà parfaitement heureux avec lui, mais d'un point de vue purement logique, il fallait avouer qu'en partant je le débarassais d'un poids qu'il avait du porter trop longtemps, même s'il refuserait de le reconnaître, ça lui permettrait aussi de s'ouvrir au monde et peut-être de retrouver sa vie d'avant maman. Et par ailleurs, étudier la magie pouvait m'ouvrir des possibilités colossales.


À partir de ce jour, je quittais mon couloir et ma vie devint un labyrinthe ou chaque intersection apportait son lot de surprises, et je dois dire que j'adorais ça.


Et puis vint le choix de filière. J'aurais aimé toutes les choisir évidemment, mais ce n'est pas ainsi que ça marche.

La SSAF était obligatoire, déjà parce que j'avais toujours voulu faire du sport,
ce qui était auparavant imprudent en raison de mon don, sans oublier que l'on avait le privilège de pouvoir voler sur des dragons. Peu importe le danger, même dans mes rêves les plus fous je ne pouvais pas imaginer quelque chose d'aussi stimulant.
Pour mon deuxième cursus, j'ai choisi coopération magique, déjà c'était paraît-il tout indiqué pour un esprit cartésien comme le mien, mais c'était surtout ce qui me préparerait le mieux à mon futur projet de carrière de commerçant qui était devenu à présent très concret.

La LLCM m'attirait aussi, mais la correspondance avec mon projet professionel était moins parfaite.


Je rêve de jouer avec le monde entier, et dans l'état actuel des choses, je crois que je commence à vivre ce rêve.


À PROPOS.

Je suis élève ingénieur, j'ai pas mal touché aux RPs papier et pour ce qui est des RPs par forum, ce sera mon coup d'essai.

Sinon je suis venu sur ce forum parce que je connaissais des gens qui connaissaient des gens ^^



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