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 Spit your heart out (Bo)

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Neutre & Responsable du club de duels
Florence McFayden


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Florence McFayden





Re: Spit your heart out (Bo)
28.09.16 18:52


Spit your heart out (Bo) - Page 2 XwRVdC9

In my life, I got this far
Now I’m ready for the last hoorah
Elle écoutait les pulsations du cœur d’Isabeau, se laissant bercer par le rythme régulier si doux et apaisant qu’elle devinait sous sa poitrine. Un long frémissement la parcourut quand cette dernière glissa une main le long de sa cuisse et elle entrouvrit une paupière en souriant, presque pour en réclamer d’avantage même si cela n’aurait pas été raisonnable. Puis il y eut un éclat de rire soudain quand Bo la retourna, puis la domina de toute sa hauteur, les yeux pétillants de plaisirs. Dans la fièvre de leurs ébats, elle s’était abandonnée complètement à ses sensations mais il ne lui semblait pas avoir fait tant de bruits que le sous-entendait Isabeau. Néanmoins ce n’était pas la première fois qu’on lui sortait ce genre de choses. Cela arrivait même souvent et peut-être se devait-elle de faire face à l’évidence : Elle était indéniablement bruyante. Cependant cela ne la gênait nullement. Florence était passionnée, impulsive et ne savait réprimer la souveraineté de ses désirs. Le faire aurait ôté au moment son côté grisant et libérateur. Du moins c’est ce qu’elle s’était toujours dit. Elle eut alors un sourire joueur et espiègle, comme s’il s’agissait d’un compliment.
Elle admira l’esthétique ravissante du corps nu d’Isabeau, qui luisait à la lueur des torches. Ses cheveux blonds défaits tombaient paresseusement dans son dos. Jamais Florence n’avait imaginé un seul instant qu’elle l’apercevrait sous ce jour. Avant ce soir-là, les circonstances ne l’avaient jamais emmenées à croire qu’un tel scénario était possible. La réalisation soudaine et inattendue de celui-ci était cependant loin de lui déplaire. Car cela comblait une partie superficielle de son être qui réclamait souvent un corps enchanteur pour combler ses nuits. Et Isabeau l’était indéniablement. Car malgré les occasions, c’était la première fois depuis bien longtemps qu’elle se sentait aussi bien.
Etrangement absente, Florence peinait à retomber sur terre, tant il lui avait semblé planer si haut durant leurs ébats. Pourtant, la dernière fois ne remontait à pas si longtemps alors il fallait croire qu’Isabeau avait quelque chose qui l’attirait inexplicablement. Un brin rêveuse, elle se contenta d’admirer les tatouages d’Isabeau quand celle-ci les mentionna, sans vraiment réfléchir à si elle en voulait un pour orner sa peau. Toujours sans bouger, l’admirant toujours dans un silence complet, Florence l’observa se rhabiller calmement, puis soupira avant de faire de même. Quelques derniers baisers d’Isabeau contre sa peau rallumèrent quelques étincelles mais il y avait plus important donc elle dut s’en contenter pour le moment. Et elle attira ses affaires à elle songeant déjà à la suite de la séance.
Cependant la remarque d’Isabeau lui arracha un sourire, tandis qu’elle s’était relevée et enfilait paresseusement son pantalon.

- Il n’y avait pas de sujets plus intéressants que ma sexualité ?

Elle avait souri mais ne savait pas si elle devait être ravie, ou inquiète, de stimuler l’imagination de ses étudiants. C’était un sujet auquel Florence n’avait jamais réellement pensé et à présent qu’elle y songeait, elle se demanda si de tels débats avaient encore lieu. Elle espérait que non car l’idée la perturbait imperceptiblement.

- Et qu’est-ce qui t’a fait penser ça ? Ca m'intrigue.

Elle était curieuse de savoir car elle faisait souvent attention à ne laisser aucun indice trop personnel lorsqu’elle donnait ses cours pour ne distraire personne. Il ne lui semblait pas non plus qu’on ait ébruité sa vie privé et le secret de ses virées du vendredi soir à Pre-au-lard. Enfin. De toute manière cela importait peu et Florence s’étira longuement.
Isabeau se rapprocha d’elle, serrant son corps au sien et lui soutira un ultime baiser que Florence prolongea un peu, avant de définitivement mettre tout ça de côté. Pour l’instant. Elle eut cependant un dernier sourire taquin en remettant sa chemise.

- Si elles sont intéressées et aussi jolies que toi, tu peux également leur dire de venir me voir.

Florence fit venir à elle son gilet coincé sous un banc et acheva de le reboutonner. Puis promptement, elle fit disparaître le drap blanc encore étalé au sol, dernier indice d’une interruption impromptue. Encore engourdie, elle roula des deux épaules longuement et réprima l’envie de bailler. Cessant définitivement de penser à leur agréable interlude, elle agita sa baguette et fit apparaître un mannequin au bout de la salle. Complètement rompue physiquement, par leurs efforts d’un peu plus tôt (que ce soit avant ou durant la pause) Florence ne se voyait pas virevolter à nouveau d’un coin à l’autre de la pièce. Aussi avait-elle décidé d’un simple exercice pratique qui ne nécessitait pas autant de vigueur, mais surtout de la concentration.

- J’ai pensé qu’on pouvait s’entraîner au sortilège de réduction. Il est toujours utile.

D’un mouvement concentré du poignet, elle fit jaillir un éclair de sa baguette et le pantin ne fut soudainement plus que poussière. Florence eut un sourire féroce en pensant à Sigma et ajouta :

- Et c’est étrangement apaisant de réduire quelque chose en bouillis. Surtout quand on pense à Sigma.

Elle fit apparaître d’autres mannequins et mains dans le dos, alla se planter derrière Isabeau en attendant que celle-ci commence. Encore légèrement tendue, Florence pensait de nouveau à la journée de demain et même si cela ne faisait que quelques minutes. Le temps où elle embrassait Isabeau avec fougue lui paraissait bien loin et un soupire imperceptible s’échappa de ses lèvres. Quelques envies passagères fusèrent sous sa peau mais Florence résista à l’envie d’aller se glisser contre Isabeau et de planter un baiser contre les courbes de sa mâchoire. Avec le temps lui était venu une certaine capacité à ignorer ses émotions aussi, au bout de quelques secondes elle était de nouveau concentrée ; Déterminée à s’améliorer.

- Tu te souviens du sortilège ?

Aussi il n’y avait rien de malicieux ni d’espiègle quand elle se rapprocha d’Isabeau et dans le même geste qu’elle avait eu plus tôt fit mouvoir le poignet de sa collègue dans le geste précis nécessaire à la réalisation du reducto. Car après tout ce n’était pas le genre d’incantation qu’on réalisait tous les jours quand on était secrétaire. Avant qu'Isabeau ne s'élance, elle eut cependant un dernier sourire taquin et chuchota dans son oreille :

- Et si tu te débrouilles bien, tu auras le droit à un deuxième round. Enfin.. seulement si ça t'intéresse.

Et sous entendu achevé elle reprit aussitôt un air sérieux. Place aux choses sérieuses maintenant.


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Re: Spit your heart out (Bo)
30.09.16 3:48


« Il n’y avait pas de sujets plus intéressants que ma sexualité ? »

La naïveté de la question de Florence lui tira un sourire. Ne se souvenait-elle donc plus que ce que cela faisait d'être élève, coincée pendant des heures dans une salle de classe avec une professeure jeune et attirante ? Bien sûr que la matière enseignée perdait alors tout son intérêt au détriment de la personne devant le tableau. Ou peut-être n'avait-elle pas conscience de l'effet qu'elle produisait sur un auditoire, qu'il soit jeune ou non. La présence qui était la sienne, son charisme, son physique. Bo ne voyait pas comment elle pouvait l'ignorer, elle avait un charme fou.

« Tu veux dire pour une bande d'adolescents plein d'hormones ? Non Florence, il n'y a rien de plus intéressant que ta sexualité. »

Elle savoura un instant la sensation de son prénom sur sa langue. Lorsqu'elle l'avait prononcé la veille il lui avait semblé étrange, déplacé, maladroit. Quand elle s'était présentée dans la salle en début de soirée, il lui semblait toujours forcé, toujours inadéquat. La professeure ne semblait pas avoir ce problème, lui donnant volontiers du Isabeau par ici, du Bo par là, se délectant de la nommer comme s'il n'y avait rien de plus naturel à cela. Elle jouait avec les noms et les surnoms avec une désinvolture qui faisait courir des frissons dans la nuque de son interlocutrice, incapable de lui rendre la pareille. Mais plus maintenant. Maintenant le prénom dans sa bouche avait acquis une certaine souplesse, une sensualité toute nouvelle qui faisait que Bo s'imaginait très bien le répéter autant de fois qu'il le faudrait. Chaque syllabe lui rappelait désormais un souvenir, du genre que l'on garde soigneusement dans un tiroir pour le ressortir durant la nostalgie de ses vieux jours.

Mais Florence avait également cette manie de la renvoyer dans son passé, lui faisant revivre sa jeunesse sans qu'elle le veuille réellement. Il était agréable de se rappeler des événements de sa scolarité, surtout quand ceux-ci étaient amusants ou joyeux, mais il était aussi un peu étrange de désirer la même femme à deux moments très différents de sa vie. Elle se sentait presque gênée en repensant à sa passion de gamine qui n'avait rien à voir avec celle d'aujourd'hui. Si la différence d'âge ne dérangeait pas vraiment Bo elle ne pouvait cependant s'empêcher de craindre la résurgence de vieux réflexes, comme la distance qu'elle avait mise entre elles jusqu'à maintenant. Enfin, ce serait un problème dont elle s'occuperait plus tard. Elle se contenta de sourire à la nouvelle question de son amante, apparemment intriguée par sa révélation.

« J'en savais rien, j'espérais juste. »


Bo n'avait jamais eu de radar particulièrement développé, juste des attirances qu'elle avait concrétisées ou non. Et qui n'aurait pas désiré Florence. Sa boutade suivante la fit rire, lui promettant de transmettre l'invitation mais notant aussi le compliment dans un coin de son esprit. Le temps passait vite, trop vite, et bientôt elle fut habillée de la tête aux pieds sa baguette à la main. Bo accepta la transition brutale sans broncher, analysant déjà l'exercice qu'on lui proposait. Elle n'avait jamais eu trop de mal à compartimenter ses sentiments ou les événements, son esprit pratique lui rappelant sans cesse qu'il y avait un lieu et un moment pour tout. Aussi malgré que ses lèvres soient encore chaudes du contact de Florence, elle tira une dernière bouffée sur sa cigarette avant de la jeter à moitié consumée et resserra ses doigts sur le bois de sa baguette.

L'apparition du mannequin et la remarque sur les sigmas réveillèrent en elle la colère que les caresses lui avaient presque fait oublier. Les flammes qu'elle pensait éteintes n'avaient fait que dormir sous les braises, attendant le moment idéal pour s'illuminer de plus belles. C'était un sort qu'elle n'avait pas utilisé depuis un moment et auquel elle n'aurait sans doute jamais songé durant un combat, mais après tout pourquoi pas ? Florence l'avait fait paraître si impressionnant qu'elle ne doutait pas de son efficacité. Bo reproduit le geste qu'elle l'avait vue effectuer quelques minutes plus tôt, en guise d'échauffement, sa concentration à nouveau à son maximum. Elle ne devait pas oublier le but de leur séance de ce soir. Elle ne pouvait pas l'oublier. Jamais.

La présence contre elle fit un instant vaciller sa conviction, avant que les compartiments ne se remettent aussitôt en place, efficaces. Bo écouta attentivement les conseils qu'on lui prodiguait avec un calme statique, prête à s'essayer, quand le murmure près de son oreille fit voler son sérieux en éclats. Si le début de la phrase lui avait un instant fait froncer les sourcils, brusquement renvoyée au rang d'élève à qui l'on agite une récompense, la fin plus hésitante l'adoucie. Glissant un sourire et un regard en coin à Florence, elle lui répondit sur un ton entre la malice et le reproche.

« Tu sais, je n'ai pas besoin que tu m’appâtes comme ça pour me montrer studieuse. Même si j'admets que ça rajoute une certaine motivation. »

Elle agita sa baguette, lançant un sortilège bien visé mais pas assez puissant à un des mannequins qui rétrécit tout de même de moitié. Bo tordit la bouche avec un grognement frustré devant cette vision avant de se remettre en position, plus déterminée que jamais.

« Par contre, si tu me dis que ton matelas est plus confortable que le sol, il y a des chances que je batte des records. »

La boutade lui avait presque échappé, mais elle n'avait pu s'en empêcher. Bo inspira profondément pour effacer le sourire de son visage, afin de reprendre le sérieux qui était de mise désormais. Elle enchaîna les sorts, avec un peu plus de succès à chaque fois. Les mannequins passèrent définitivement un sale quart d'heure, surtout après qu'elle eut fait la remarque que « en vrai si je croise un sigma, c'est plutôt un diffindo que j'aurais envie de lui lancer » et que Florence l'ait donc poussée à s'y entraîner. Ses capacités commencèrent alors à lentement décliner, la fatigue prenant le dessus sur sa bonne volonté. Bo lutta jusqu'au dernier instant, mais quand un sortilège ricocha avant d'atterrir en fumant aux pieds de sa compagne elle jugea que les risques n'en valaient pas la peine.

Étirant ses muscles douloureux, elle poussa un bâillement à se décrocher la mâchoire qu'elle cacha derrière une main paresseuse. Traînant néanmoins son corps lourd jusqu'à Florence, elle trouva la force de venir nicher son visage dans le creux de son cou qui sentait si bon son odeur.

« Qu'est-ce que tu en dis, je me suis bien débrouillée ? »

Pour un peu, sa chaleur commencerait presque à la réveiller.
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Florence McFayden


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Florence McFayden





Re: Spit your heart out (Bo)
25.11.16 1:58


Spit your heart out (Bo) - Page 2 XwRVdC9

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Les plaisanteries d’Isabeau n’atteignirent pas Florence qui était de nouveau imperturbable dans sa concentration. Même s’il lui tardait d’en finir avec cet entraînement, elle était trop impliquée pour ne pas s’y appliquer un maximum et elle comptait donc maximiser tout le temps restant avant que cette soirée ne s’achève. Elle observa donc stoïquement le premier sortilège d’Isabeau qui échoua à détruire le mannequin, avec un air sérieux. Sans même remarquer la boutade de sa collègue, elle lui donna quelques conseils sommaires sans quitter la cible des yeux, tout en faisant des va-et-vient aux côtés de la jeune femme.
Elle l’entendit respirer un grand coup comme pour se reconcentrer pleinement et totalement dans l’entraînement. Satisfaite de son sérieux, Florence fut contente de voir l’essai suivant se révéler plus concluant. Il en alla de même pour celui d’après et ainsi de suite, jusqu’à ce qu’une cible devint un petit tas de poussière dans un bang sonore. S’il restait des progrès à faire, Isabeau s’était montré très habile et Florence lui adressa un coup d’œil plein d’approbation. Puis sa collègue lui fit remarquer qu’elle apprécierait d’avantage transformer un éventuel masque doré en un petit cube. Ne voyant pas d’inconvénient à s’exercer sur ce sortilège, tout aussi pratique que le précédent si ce n’était d’avantage comme il avait d’avantage d’utilités, Florence l’encouragea alors à le lancer. D’un geste rapide de la main, elle fit apparaitre d’autres mannequins afin qu’elle puisse poursuivre son entraînement et fit disparaître les précédents qui étaient en piètre états.
Plus redoutable qu’auparavant, Isabeau se révéla encore plus habile que pour l’exercice précédent et se mit à tailler les cibles en pièce. Agréablement surprise, Florence l’observa sans rien dire comme elle se débrouillait parfaitement sans son aide et s’améliorait donc à chaque fois qu’un trait fusait de sa baguette. Elle n’avait qu’à être spectatrice en silence.
Puis au bout de longues minutes, Isabeau sembla finalement accuser le coup de leur tumultueuse soirée ce qui était tout à fait normal. Florence la laissa cependant lancer encore deux ou trois sortilèges jusqu’à l’épuisement complet, ravie de la voir essayer de repousser ses limites. Seulement quand un jet lumineux ricocha pour atterrir à ses pieds, Florence comprit qu’elle avait tout donné. Fière, elle fit disparaitre les mannequins et regarda Isabeau d’un air doux et plein de satisfaction. Elle était toujours ravie de voir des personnes déterminées à atteindre leurs objectifs et appréciait particulièrement la force et l’abnégation dont Isabeau avait fait preuve ce soir.
Et à présent le silence revint. Dans toute cette quiétude soudaine, les épaules de Florence se détendirent instantanément comme si elle était lasse de toute cette soirée. C’était presque le cas : Il se faisait tard et elle commençait à ressentir de la fatigue.
Mais elle croisa de nouveau le regard d’une Isabeau pantelante et cette vision l’électrisa brusquement. Une tension nerveuse s’empara de tous ses muscles évaporant la brève sensation d’épuisement qu’elle avait ressenti plus tôt. Lorsque sa comparse vint nicher son visage au creux de son cou, y laissant courir on souffle, Florence eut quelques frissons avant d’avoir un sourire. Elle avait brièvement songée à en rester là finalement, mais les charbons de son désir s’embrasèrent doucement.
D’un geste ni tendre, ni sec, elle éloigna le visage d’Isabeau du sien. Elle resta ainsi un instant avant d’écarter avec un air malicieux et des gestes délibérément lents, des mèches de cheveux blonds trainant par là. Elle colla par la suite, sa bouche à son oreille, lui murmurant une réponse brûlante.

- Il te faudrait encore un peu de pratique, mais pas ici.

Et une main fit route vers le dos d’Isabeau, s’installant dans le creux de ses reins. Elle la ramena vivement vers elle, de cette fougue soudaine et typique qu’on accordait aux gryffondors. La surplombant légèrement dans cette position, elle imposa son regard au sien lui exprimant un désir qui n’avait pas encore été totalement assouvi.
D’un geste machinal du poignet, Florence éteignit toutes les torches de la pièce en même temps, les plongeant dans l’obscurité. Si elle s’écoutait, elle se serait de nouveau laissée aller contre ce sol de pierre si froid mais elle ne se donnerait pas si facilement à cette pulsion. Du moins pas si vite et Florence se contenta de venir taquiner les lèvres d’Isabeau de sa bouche avant de l’entraîner vers ses quartiers.


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