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 Little lights in my heart |Deborah

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Hibou
Deborah Bolton


Messages : 54

Date d'inscription : 10/08/2016

Feat : original de Pippa McManus

Double Compte : Duduke et Rosavipère

Deborah Bolton





Little lights in my heart |Deborah
10.08.16 22:52

BOLTON DEBORAH.

FEAT ramdom ramdon


ELLE EST Deborah Bolton , ELLE a 20 ans. ELLE EST anglaise ET SES PARENTS SONT moldus et sorciers. ELLE EST EN 6° année ET ELLE ÉTUDIE en médicomagie OPTION alchimie & psychomagie. ELLE FAIT PARTIE DES hiboux ET SA MAISON EST attendre la répartition.  


❝ I long for something that’s safe and warm ❞

SON ÉPOUVANTARD est une copie identique d'elle-même à cela près qu'à la place de ses yeux, on a cousu deux petits boutons noirs.
L'ODEUR DE L'AMORTENCIA  est un mélange de lavande, la senteur forte de l'eucalyptus et aussi flottant dans l'air l'odeur du sel de mer.
MA BAGUETTE EST FAITE DE bois de charme ; crin de licorne ; 18cm.
MON PATRONUS est une colombe.
MA MATIÈRE FAVORITE EST la botanique.
JE SUIS DOTÉ d'un sens inné pour le mensonge.

MON MEILLEUR AMI EST une chouette blanche sans nom.




All the little lights

Elle fleurait le printemps, le 20 degré celsius, la brise légère qui rafraîchit toujours les corps en été. Elle était un paysage champêtre, les vastes champs de coquelicots, la simplicité des saisons qui se succèdent sur Terre dans l'ordre naturel des choses. Un climat, une campagne, et le bord de mer aussi. Elle avait les sourires qui se bousculaient sur les bordures de ses lèvres comme autant d’éclosions de bourgeons, de fleurs vivaces et colorées, et le vaste océan dans ses prunelles. Du désir. Du désir de voyager, d’explorer. Elle rêvait d’une migration sans fin, d’une terre sans attache, d’un nulle part et d’un partout à la fois où elle se sentirait chez elle, d’un vagabond rencontré sur le chemin. Et même l’univers infini ne lui aurait pas suffi. Deborah cherchait l’horizon comme d’autres recherchent l’affection.
Les éclats de ses rires étaient furtifs, et lorsque les commissures de ses lèvres s’écartaient, il y avait ses dents du bonheur, il y avait les gloussements ravis, la joie pure de l’existence, une chasteté dans le regard. De la béatitude sur fond de naïveté ; cette douceur enfin, sans borne, sans frontières, cette tendresse éternelle sans gentillesse sans générosité. Mais il s’agissait bien d’une délicatesse pour le principe même de la délicatesse, sans fondement autre que l'intensité. Et elle avait alors cette fragilité émotive, ces sensations un peu trop décuplées, un peu trop brouillonnes et désordonnées, jaillissaient, débordaient pour mieux malmener les coeurs, et les piétiner à grand renfort de passion, emportée qu'elle était de cette onctuosité.  
Une langueur lui était propre encore, comme elle n'éclatait toujours qu'avec une douceur engourdie ; des soupirs paresseux et faciles et cette attente toujours, jamais avec brusquerie, cette attente émerveillée et volage. Elle rêvait Deborah. Elle rêvait de toutes ces choses sans consistance, sans autre existence que le concrêt de l’impensable et de l’imaginable de ses chimères inventives, se perdait finalement dans sa rêverie fantasque. Deborah flottait, Deborah voguait, Deborah divaguait dans ses chimères, d’une douceur folle. Elle était encore passionnée, d’un adjectif adorable et inné.
Elle brillait parfois sous les coups d'une espièglerie naturelle et cachée, de quelques murmures taquins, sous la bienveillance d'un oeil coquin, d'un pétillement. Elle serait les bulles festives du champagne qui vous étourdit la tête, une coupe trop pleine ; l'ivresse. L'ivresse cruelle aussi, pour la rancune, pour cette peste aussi. Elle mentirait parfois, souvent, presque tout le temps ; de ces tromperies odieuses, tantôt maladroites, mais du plus innocent des sourires. Et le faux aurait l'air vrai, car elle mentait Deborah, d'un pincement très léger des badigoinces, de tics d'un pas assez d'un trop remarquables, et pour un rien comme un tout, l'âme parfois coupable d'une confiance qu'elle n'engageait pas, le regret aussi d'une solitude ombragée ; l'absence de sincérité comme le plus terrible de ses pêchés et la bouche flétrie d'hypocrisie.


Histoire.

❝ We're born with millions of little lights shining in our hearts and they die along the way ❞

Emilie Perkins, déjà grande du haut de ses sept ans, les cheveux bouclés courts et bruns, taillée comme un salsifis avait poussé une jérémiade aiguë, les tâches de rousseur comme des grains de folie soudain sur ses joues cramoisies. « tu avais promis d’en donner, et tu as tout mangé  » ; et Deborah avait très légèrement dévié le regard, la bouche auréolée de chocolat, se souvenant de cette promesse puérile, se souvenant vaguement qu’on ne promettait pas ce qu’on serait incapable de tenir, mais elle avait souri malgré tout, mal à l’aise surtout comme l’autre enfant semblait attendre le meilleur d’elle alors qu’elle ne pouvait lui offrir que le pire. « je t’en donnerai la prochaine fois. » et ainsi elle croyait se dégager de toute responsabilité, et ainsi elle pensait que les choses ne pourraient qu’aller mieux dans le meilleur des mondes, parce que la frustration guérissait par le temps et que le temps se chargerait de faire oublier les déboires d’une amie un peu trop infidèle aux lois universelles de l’amitié. Et la deuxième petite fille avait regardé la première dans le bleu des yeux, et la sentence était tombée comme on punissait toujours les vilains gourmands.
« T’es plus ma copine ! » et ces quelques mots prononcés sous une colère pouponne, de chamaillerie, étaient néanmoins parvenus à marquer le reste de toute une vie.

Et Deborah serait toujours restée un peu droite, un peu pas fière, un peu coupable, les doigts dans son épaisse chevelure brune, une moue un peu pincée, le regard quelque part sur le côté, une main ferme sur les pans d'une longue robe fleurie, à remuer sa culpabilité dans le silence et à refuser l'idée même de l'abandon, tandis que tous les gens de sa vie semblaient voués à ne devenir que des Emilie Perkins.

Une bourrasque un peu vive dans ses cheveux chassa alors le souvenir d’enfance, la laissant songer que le temps pardonnait toujours à qui savait le savourer, l’apprécier ; et aussi que lorsqu'on était huit milliards d'individus à peupler la terre, et une infinité d'étoiles dans le ciel, on ne pouvait jamais se vanter de rester seul trop longtemps. Deborah n'avait pas le sourire de l'inquiétude, aimait dire qu'il y avait trop de choses à faire et se convaincre qu'il était trop tard pour les regrets ; les regrets de ne pas avoir réussi à retenir ceux qui avaient compté mais peut-être pas assez, le regret d'avoir à son tour céder à la facilité des mensonges complexes, d'avoir fourni à tous la raison de déserter le champ de bataille de son affection, d'avoir laissé en elle le néant d'une réalité pour l'illusion fantôme de fantasmes, grande utopie de duperie.
Et elle avait compris qu’avoir vécu avec un moldu, même si c’était son père, et même pour pas longtemps, ce n’était pas pour le bien, alors à ce petit serpentard qui l’avait accusée d’être une usurpatrice elle s’était retournée et s’était lâchement défilée de la seule façon qu’elle connaissait et maîtrisait, un sourire rosé avait répondu « je suis une sang pur, toi tu n’es qu’un sang-mêlé » et dans l’innocent mensonge, elle s’en était allée, indifférente à l'indignation qu'elle aurait pu provoquer. Car qui aurait su qu'avec Deborah, le doute était toujours permis.

Elle se souvenait d’un garçon, en passant non loin du lieu d’un premier rendez vous, d’un début de passion. C'était le temps de la saison de Quidditch. Il l’avait tiré un peu brusquement contre lui, et elle ne réagissait pas de suite alors. Il s’était plaint de son retard, elle répliqua que le temps avait passé trop vite, et il avait alors souri de cette réponse ne lui convenant pas. Il l'avait fait tomber alors, à l’abri des regards inquisiteurs de Poudlard, dans l’herbe verte où on ne faisait pas attention à leur deux corps abandonnés. Et sous lui elle était restée un peu tremblante, deux main dérangées contre son ventre, et ces yeux insistants posés tout contre sa peau. Elle s’était laissée faire sans trop savoir si elle en avait envie, seulement anxieuse d’une audace inhabituelle, d’un confort aussi de se savoir adorée, et son nom juste qu’il murmurait contre ses lèvres. Elle avait eu le temps de l’éphémère un goût  d’anxiété tendre, de poser sur son regard si plein d'assurance le reflet d’une crainte un peu vive mais fragile, un sourire pudique, et puis un peu d’émerveillement aussi comme il l’a faisait se sentir à la fois si rouge et si bien. Il lui avait ordonné avec cette attention marquée mais bienveillante de l’enlacer, et ne sachant que faire d’autre elle avait avec une certaine retenue passé ses bras autour de sa taille. « voilà » qu’elle avait dit avec une moitié de sourire ravi, avec une demie portion de bonheur et un litre de timidité attendrie, beaucoup de satisfaction aussi dans un éclat chuchoté de rire. Un instant particulier dans leur vie, le temps leur avait sans doute permis de fondre l’un pour l’autre, et l'affection débordante n’avait plus eu de répit ni de limites.

Elle le chercha un instant des yeux dans le vaste jardin, entre les parterres de fleurs, entre les bras, peut-être, d’une autre demoiselle. Et elle songea que l’année de ses seize ans, où la distance n’était pas si importante, pas si frustrante, était bien loin, alors que son intérêt lui avait été ravi, alors qu’il l’avait laissé pour cette autre sans jamais lui revenir. Et depuis aucun autre ne lui avait fait ressentir cette envie, d’abandonner tout pour n’avoir que lui. Et encore aujourd’hui, lorsqu’il lui arrivait de se glisser contre lui, lorsque que d’un élan soudain d’une vigueur un peu douce, elle comblait la séparation par un écart de conduite , coupant la campagne en plein champ comme un raccourci du cœur, et qu'elle demeurait craintive mais béate tout contre ses bras qui ne lui appartenaient plus, sans jamais réussir à savoir que faire, tantôt câline, tantôt hésitante, tantôt intimidée mais ravie. L'envie brûlante de lui dire de revenir.

Mais elle ne l'y trouva pas, passa simplement son chemin, devant le brin d'herbe où ils s'étaient un jour un peu plus qu'enlacés, où elle lui avait donné un bout d'elle-même, un peu plus de ce qu'elle était.

Son pas avait ralenti, jusqu'à s'arrêter tout à fait, et sa silhouette qui ne s'était pas tant allongée depuis son adolescence était restée droite dans sa soudaine contemplation, les mêmes mimiques enfantines pourtant, un doigt enroulé autour d'une longue boucle brune, cet air sage et délicat, cette grâce fragile, et c'était tout son visage qui s'était perdu sur le charme bucolique d'une nature, sur la vision d'un visage familier, et cette envie ; de rejoindre la cause d'un sourire qui venait de s'attendrir. Elle avait la même béatitude que d'antan, la même euphorie naïve de petite fille, tremblante, mais avec cet engourdissement de plus, cette somnolence rêvasse, cette douceur moins pressée, moins vive mais tout aussi spontanée, en début de maturité. Un soupir d'aise, un aaah comme un élan, comme un soulagement. Elle avait pour les précédentes années de doux souvenirs, et une mélancolie pour le temps passé, tandis que les décors tournaient, des jardins aux escaliers du château et que chaque recoin lui rappelait une anecdote ; un arbre dont elle était tombée en première année comme elle croyait qu'en sautant du haut d'une branche sur son balais, l'apprentissage du vol aurait été plus facile ; des lettres d'amour aussi, auréolées de tendres mots, de mensonges parfois, cette duplicité qu'elle avait eu parfois, quelques douloureuses désillusions de jeune fille, quelques larmes qu'elle aurait trouvé injustes encore, quelques amis qui s'en étaient allés sans se retourner. Et n'était-ce pas encore par ici, qu'elle avait raté un ou deux sortilèges sur cet Anton, parce qu'il l'avait vexée, parce qu'elle s'était vengée, et n'était-ce pas là encore qu'elle avait testé ses recettes "miracles" qui avaient bien failli leur faire perdre tous les deux un bras. Et n'en avait-elle pas ri, de ces moments un peu fous, un peu foireux parfois, et ne se souviendrait-elle pas plus tard qu'avant de sauver des vies, elle en aurait presque détruit.

Puis par moment, les mots de son père qui lui revenaient, « et si tu revenais », mais elle ne reviendrait pas, mais elle avait trop foulé les couloirs, trop foulé la magie, trop appris pour faire comme si les dragons n'existaient pas, comme si l'extraordinaire ne vivait que dans sa tête. Il l'avait cru folle, que tout se passait dans ses rêves, qu'elle n'avait jamais eu les pieds sur terre, et il avait eu raison sur bien des choses. Et il ne comprenait pas, et il la regardait comme si elle provenait d'un tout autre monde, comme si sa fille n'était plus, plus cette enfant qui se contentait qu'on la pousse sur un tourniquet, vite, le plus vite possible, cette enfant pour qui il ne pouvait que s'inquiéter car trop intrépide à caresser les animaux qu'elle ne connaissait pas, à escalader des murets, à marcher au bord des falaises, à s'aventurer trop loin en mer, à vouloir courir avant de savoir marcher, à vouloir traverser l'océan avant même de savoir nager. L'inquiétude. Deborah avait demandé tant d'affection, tant de concentration. Deborah avait demandé tant de choses, tant de caprices qu'on lui avait cédé, tant de baisers sur son front avec lesquels on l'avait élevée. Et tant de chaleur qu'elle avait donné aux être aimés, et tant de déception aussi qu'elle leur avait parfois fait respirer.

Et c'était son pauvre papa qui était devenu fou, fou de croire que sa fille était une sorcière, fou de croire que sa fille était peut-être folle, fou de savoir qu'un autre monde existait.
Deborah savait. Deborah savait qu'il ne l'attendait plus, qu'il n'espérait pas ses retours, chaque année, qu'il se demandait ce qu'elle lui voulait encore alors qu'il était si dépassé. Et qu'aurait-elle pu lui dire encore, hormis baiser son front de mille tendresses et lui promettre que tout irait bien, qu'elle reviendrait après ses études, qu'elle aurait les connaissances nécessaires, qu'elle travaillait bien, qu'elle viendrait vivre avec lui, qu'elle s'occuperait de lui, qu'elle redeviendrait cette petite fille. Et qu'aurait-elle pu dire d'autre tandis qu'elle lui mentait lâchement en lui promettant que tout serait comme avant. Et parfois elle saisissait ses regards désespérés puisqu'il savait qu'elle mentait, puisqu'il la connaissait et qu'il n'était jamais parvenu à lui faire arrêter. Par moment encore, il se réfugiait dans le bricolage de ses autos, devant sa télé, dans ces choses si plates et si moldues, et il disait d'une mélancolie triste ; « ta mère n'a rien dit » et il continuait en silence à regretter, à penser « quel genre de banalités et d'ennui ai-je offert à ces femmes si riches d'une autre existence, d'un autre univers. »
Alors soudain, il comprenait pourquoi sa femme était partie vivre loin de lui. Et Deborah disait ; « non, ce n'était pas de ta faute. Ce n'est pas à cause de toi » alors qu'elle savait si fort que c'était justement le cas, que sa mère s'en était allée, lassée de cette existence trop morne à son goût, si peu fantasque, si trop dénuée de magie, et qu'elle lui confiait encore parfois « n'épouse pas un moldu, c'est si triste de vivre avec un moldu. » ; et Deborah ne disait rien, et elle avait la rancœur tenace, puisque sans ce moldu elle-même ne serait pas là.

Mais elle savait depuis qu'elle était enfant, Deborah, qu'elle était une sorcière et qu'elle le tenait de sa mère. Elle le savait depuis ce jour où traînée par la main, sa mère l'avait emmenée sur le chemin de traverse, elle le savait depuis le jour où sa mère était entrée dans ce magasin, dans sa longue robe de sorcière, depuis le jour où elle avait appris que sa mère ne vendait pas des produits bio dans une supérette, mais bel et bien des potions de tout genre, et que la petite voiture si fade de papa roulait un peu plus loin, un peu plus haut que les voitures ordinaires, et que dans le monde de maman, les gens faisaient tout avec une petite baguette en bois, et que les balais ne servaient pas juste à balayer la saleté. Et comment aurait-on expliqué alors l'acharnement qu'elle avait eu, à grimper sur le balai de la maison, la vieille serpillère, et qu'elle avait failli mourir une fois en voulant se jeter du haut d'une falaise, persuadée qu'elle ne tomberait pas mais qu'elle filerait tout droit, qu'elle avait vu sa mère le faire, et qu'elle avait seulement espéré rejoindre les étoiles. Puis il y avait eu les chuchotements de maman, un doigt sur les lèvres ; il ne fallait rien dire à ce pauvre papa qui ne comprenait rien. Et les mensonges avaient commencé ainsi, puisque ce n'était apparemment pas si grave de cacher ces choses-là.

Mais cela en était assez, de tous ces souvenirs en pagaille, en désordre, et elle les avait balayé d'un geste un peu brusque, d'une secousse de la tête. Car déjà il était temps de rejoindre la salle commune, et les livres abandonnés sur son lit. Et ne reconnaissait-elle donc pas ce garçon qui veillait un peu trop seul dans son fauteuil. Alors elle n'avait pas rejoint son dortoir, alors elle était restée en face de lui, voyageuse accostant sur le rivage d'un presque inconnu, lançant l'abordage de sa seule compagnie, de ses sourires fleuries, dans cette entièreté si douce, dans cette incruste un peu trop tendre pour espérer conquérir vraiment, d'une existence éphémère et passagère comme toujours, quoiqu'un peu trop présente, quoique trop envahissante. Et elle avait murmuré son nom. « et si je restais avec toi, Darwin » ; plutôt que d'être encore trop seule, plutôt que d'avoir froid submergée par des draps, à étudier des sortilèges tout aussi froids. Oui, et si.


PEPETTE

Bon, bah triple compte, après Rosabel et Duke, je ramène mon premier bébé histoire de tout avoir à portée de main (oui pas bien Deborah était sur un autre forum mais elle me faisait de l'oeil et c'est plus pratique comme ça ;D) sinon pour le reste vous me connaissez déjà j'aime le thé vert à la menthe et les oréo. Voilà. Et j'ai un chat qui s'appelle Tina.



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Téméraire
Olympe H. Crawford


Messages : 57

Date d'inscription : 08/08/2016

Feat : (( oc )) tae4021

Crédits : YAM

Double Compte : //

Olympe H. Crawford





Re: Little lights in my heart |Deborah
10.08.16 23:23

"SON ÉPOUVANTARD est une copie identique d'elle-même à cela près qu'à la place de ses yeux, on a cousu deux petits boutons noirs. "
#CORALINE
#T BELLE
pourquoi t'en jettes comme ça
tu m'expliques
hein
c'est pas juste
((rerebienvenue du coup))
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Préfet & Duelliste Légal
Darwin J. Moore


Messages : 590

Date d'inscription : 28/03/2016

Crédits : Anton ♥♥

Darwin J. Moore





Re: Little lights in my heart |Deborah
16.08.16 15:03

Et si tu restais avec moi, Deborah swag ♥️♥️
Je ne te souhaite plus la bienvenue mais en fait ce serait malpoli donc si : bienvenue hihi ♥️ Deborah est magnifique, sa fiche l'est toute autant; et ton histoire m'a télescopée dans un autre univers ! Le sien, évidemment; car il serait assez malpoli que de la lire et ne pas se perdre en elle ! Bref je dis n'importe quoi mais c'est les feels brrrr. J'ai hâte de la voir évoluer dans les murs de Poudlard ♥️♥️♥️




serdaigle !


Félicitations ! Le choixpeau a bien lu dans ton esprit et t'as réparti dans la maison des érudits qui veulent tout connaitre. Tu peux maintenant te balader sur le forum comme tu le désires. Nous te conseillons de suivre Être un sorcier pour les nuls qui te guidera pour faire des premiers pas sur le forum !
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