The legend of the seeker [Terminé]

SEMYAZA HOLZARM.

feat Hakuryuu Ren

JE SUIS Semyaza Holzarm, J'AI 34 ans. JE SUIS Chnois/Anglais ET MES PARENTS SONT les deux. JE SUIS professeur, . J'ENSEIGNE l'étude des runes DEPUIS la rentrée.  MA MAISON ÉTAIT aucune J'AIMERAIS RAJOUTER QUE celui qui trouve la référence mérite un cookie ♥

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Caractère.

Semyaza, comment pourrait-on te décrire? A premier abord tu as l'air de quelqu'un de distant, froid, sûrement à cause de cette expression neutre qu'arbore ton visage la plupart du temps, mais dès qu'on se rapproche un peu de toi, qu'on arrive à rentrer dans cette sphère si bien garder que représente ton cœur , tu te montres sous un nouveau jour.

La gentillesse incarnée, toi qui a perdu tant tu continues pourtant à tout donner à ton prochain, sans doute des reliquats de ce que t'ont inculqués tes parents, et qui resteront à jamais graver dans ta mémoire. Tu n'es pas violent, ne te servant d'ailleurs que très peu de la magie tu as décidé même que celle-ci ne quitterait son fourreau que si ta vie était en jeu, cherchant en tout premier lieu à désarmé les conflits tu ne fuis en aucun cas, tu affrontes les problèmes de la vie d'une façon presque aussi tordue que la matière pour laquelle tu as été appeler dans Pouddlard. Car on ne va pas se mentir, même si tes deux parents étaient sorciers, tu n'as pas hérité du talent de ton père, mais plus de la douceur de ta mère.

Droit, tu restes pourtant fier de ce que tu as pu accomplir par le passé, sans aide de la magie la plupart du temps et ne supporte pas qu'on se moque des autres, quelque soit la méthode employer tu deviens implacable, pris d'une rage qui est censé rester au fond de toi, car on ne va pas se mentir, tu n'as pas été populaire tout au long de ta vie, souvent pris par cible par les moqueries tu as du faire face seul à certaines épreuves marquantes, forgeant autour de ton être une carapace plus solide que l'acier, et tu n'hésites pas à te montrer sec et cassant quand la situation se fait sentir.

Les gens finiront par se rendre compte que les plus gentils sont souvent les plus sensibles et émotifs, chose qu'il t'arrive de révéler de temps en temps, surtout devant la cruauté humaine, et te voir craquer n'est pas rare, c'est sans doute pour ça que tu n'as pas énormément d'amis, mais tu t'en accommodes bien, plongé dans tes bouquins en permanence à jouer avec le bois qui remplace ton bras.

Histoire.

Ton histoire commence en Chine,  au début de l'année 1982, ta naissance à eu lieu le 8 septembre, dans une petite bâtisse de la capitale. Ta mère était humaine, ton père un sorcier travaillant au ministère de la magie Chinoise, tu n'en sais pas beaucoup plus, mis à part qu'il avait une peau claire, presque blanche alors qu'elle était belle et bien chinoise, ta peau en garde une trace, un héritage que tu arbores fièrement. C'est ce qu'elle t’a léguée, tes origines et son amour pour la vie et les gens, mais tu ne t'en es pas rendu compte avant longtemps.

Il n'est pas facile d'être né magicien en Chine, ils sont peu nombreux et on ne croit pas en leur existence, ils finissent bien trop souvent exécutés par des non-mages, fort heureusement pour toi tu as grandis dans l'ignorance, ton père n'était que peu souvent présent, et ta mère faisait bien en sorte que tu ne saches rien de l'autre moitié qui était en toi. Ca n'empêchait pas les enfants à l'école de te malmener à cause de ton métissage, et tu ne le comprenais pas, tu avais même commencé à douter toi-même, te demandant si tu étais normal.

Ton père s’était fait plus présent, ta détresse avait sûrement finit par l’atteindre et il revenait bien plus souvent, t’aidant à apprendre l’anglais, langue qu’il te disait indispensable pour vivre en dehors de votre pays, et c’est avec émerveillement et assiduité que tu écoutais tout ce qu’il essayait de t’apprendre, assimilant rapidement les informations, tu avais 8 ans à ce moment-là, et tu ne te posais pas énormément de question sur ce qu’il faisait en dehors de la maison, tu avais fuis l’école, profitant de ces rares instants familiaux, puis un jour il repartit, tu n’étais pas bien plus âgé, à peine après la fête d’anniversaire qu’il avait fait, il t’avait donné tant d’espoirs, qu’il avait détruit tout aussi vite.

Les jours et les mois passèrent au ralenti, tu patientais devant la fenêtre, espérant le voir rentrer à la maison chaque jour, perdant la notion du temps tu ne mangeais presque plus, l’appétit t’avait quitté et tu pensais que rien ne pouvait t’arriver de pire, quel naïf tu sais jeune Semyaza. Alors que vous discutiez avec ta mère dans la cuisine, le tremblement de terre arriva, ce n’était pas habituel, même si il arrivait que des catastrophes naturelles touchent le pays, aucune n’avait eu cette ampleur dans la capitale, et tu te rendis bien compte trop tard que c’était loin d’être naturel.

Une forme, c’est tout ce que tu pus apercevoir, un sentiment de détresse t’envahit à ce moment là, tu avais 10 ans et ta mère semblait paniqué encore plus que toi, la forme semblait détruire tout ce qu’elle touchait, et alors que tu pensais votre vie finit, ton père intervint. Pour rien certainement, car la forme le balaya comme une brindille, son corps couverts de plaies il s’effondra, et vint ensuite le tour de ta mère, qui succomba rapidement à la forme, tout espoir t’avait abandonné, laissant une sensation de vide dans ton corps, c’est alors que la forme prit une forme humaine, celle d’un enfant qui serrait les poings et les dents, tu pouvais entendre sa respiration saccadée, et tu supplias pour ta vie. A genoux toi le jeune adolescent peureux n’osait même pas croiser le regard de l’enfant, et ce n’est que les bruits de pas d’autres personnes au bout de la rue qui te sauvèrent.

Tu ne te souviens plus très bien pourquoi ni comment, la suite devient flou dans ta tête, mais tu ne rouvris les yeux que quelques jours plus tard, dans un lit d’hôpital, poussant un hurlement en constatant qu’il te manquait un bras, et qu’à la place on t’avait posé une prothèse, qui semblait bien réagir à tes pensées. L’inconscience revint vite, ton esprit ne supportait pas l’idée d’avoir perdu un membre et toute ta famille, et c’est à ton réveil suivant que tu eu affaire à ce qui semblait être des inspecteurs de police, qui n’en était pas du tout.

Les deux hommes s’avancèrent vers toi, inclinant doucement leurs têtes en signes de condoléances, puis après que tu aies eu le temps de digérer, ils t’expliquèrent ce qui avait causé autant de dégâts, tu te doutais bien que ton père était spécial, mais pas au point d’en manier la magie, et encore moins que c’était héréditaire, toi un mage ? S’il y avait bien une chose au monde auquel tu n’aurais pas pu croire c’était la magie et pourtant, un des hommes sortit ce qui semblait être une baguette, il en fit sortir un souvenir, qu’il te fit revivre d’une manière étrange.

La silhouette, le jeune enfant changé en brouillard noir, les bâtiments détruits tout autour, puis la mort de cet enfant, ils n’avaient pas eu d’autres choix, et pour finir la découverte de ton corps inanimé, une poutre en acier écrasant en bouillie ton bras, puis la façon dont ils t’avaient guéris, te laissant ensuite dans un hôpital lambda de la capitale, parmi les nombreux autres blessés.

Ta respiration se faisait difficile, et tu ouvris les yeux lorsque la vision se termina, le souffle court et le visage en sueur, ta conscience se souvenait de ses événements, au plus profond de toi tu savais qu’il résidait de l’espoir, tu n’étais pas mort et cette idée même te fis pleurer, difficile pour un jeune adolescent normal de se rendre compte de son potentiel. La suite est plutôt logique, tu intégras l’école de magie Japonaise à tes 11 ans, enchaînant brillamment les années scolaires, portés par la mémoire de tes parents. Les nombreux talents dont t’avait parlé les hommes ne se manifestèrent pas, tu n’étais pas un sorcier doué, mais un étudiant acharné, passant des heures et des heures enfermé dans la bibliothèque, tu cherchais le sens que pouvait avoir ta vie maintenant que la magie faisait à part entière partie de celle-ci.

Apprendre la langue ne fut pas chose aisée, le Japonais et le Chinois ont des règles très différentes mais fort heureusement les cours d’anglais te furent utiles, au tout début du moins afin de comprendre les professeurs et les rares élèves qui parlaient une de ces deux langues. Il ne te fallut cependant que quelques mois d’adaptation, une année tout au plus, devenu trilingue à un jeune âge à cause de cette catastrophe.

Les années passèrent, et tu finis par atteindre le premier diplôme de sorcier, sorte de brevet des collèges du sorcier, ou plus comme un bac, tu n’avais pas trop saisi le sens des études dans cet endroit, et cette année-là fut plutôt mouvementée, le monde des sorciers t’avait changé, un peu plus ouvert aux autres tu n’avais plus cette peur permanente du rejet et d’être seul, si bien que les autres élèves de ta maison avait fait de toi une mascotte, petite bouille chou marqué par un triste passé, tu jouais le pitre quand tu en avais l’occasion, cassant cette image d’élève modèle qui n’en était pas un.

On te demanda de choisir une spécialisation, ce que tu voulais faire de ton avenir, chose à laquelle tu ne savais pas quoi répondre, car aucun avenir ne semblait imaginable, puis tu repensas au cours qui te plaisait le plus, celui d’étude des runes, ces anciennes écritures qu’utilisaient les sorciers dans le passé, cette matière te passionna assez suffisamment pour que tu décides d’y consacrer tout ton temps.

A l’époque on ne t’avait pas fait choisir une baguette, c’était peut-être drastique mais les étudiants étrangers se voyaient attribués une baguette de restriction, surtout vu le contexte dans lequel tu avais été retrouvé, à moitié mourant et sans aucunes connaissances du monde magique, il valait mieux pour toi qu’on te prête une baguette qui ne provoquerait pas de catastrophe. On t’avait pourtant parlé des potentiels postes à pouvoir au ministère de la magie Japonais, rares étaient les élèves étrangers qui avaient pu y rentrer mais la finesse dont tu faisais preuve en cours motiva les professeurs à t’orienter vers cette voie-là.

Tu n’y prêtais pas attention, bien décidé à t’affranchir de cette vie ennuyeuse, désireux d’aventure et de dangers, non pas par envie suicidaire, mais plus pour découvrir tous les mystères de ce monde que tu avais intégrés quelques années auparavant, vint ensuite les examens, les années s’enchainaient tellement vite que tu validas ton dernier diplôme spécialisé dans l’Etude des runes, tu n’avais qu’un seul objectif à ce moment-là c’était de fuir le Japon ; ta curiosité t’avait pousser vers cette matière étrange et c’est ainsi que tu obtins la baguette qui ne te quitte plus depuis. Le souvenir de l’endroit où tu l’avait acheté, du premier contact, tout te reste en tête car c’était incomparable avec cet outil qu’on vous avait donné en cours.

La vieille boutique de Tokyo se situe dans des ruelles malfamés, apparaissant comme un simple immeuble il cachait en fait une échoppe au rez-de-chaussée, une vieille dame à moitié aveugle tenait les lieux et c’est elle qui s’approcha d’un pas mal assuré vers toi, les mains tendus vers le vide jusqu’à entrer en contact avec ton bras, elle releva les yeux vers toi, des yeux qui révélaient une sagesse qui force le respect, puis elle t’adressa la parole d’une voix calme et mélodieuse.

«  Oh Semyaza, quel plaisir de rencontrer le fils de Yann, ton père était un sacré chenapan, malgré le fait qu’il était étranger à notre pays il a vite été aimé des autres, même s’il était un peu trop arrogant à mon avis….. *la vieille femme ravala ses paroles puis se recula et commença à chercher dans les rangées de meubles, sortant une boîte contenant une baguette* Il m’avait dit qu’un jour son enfant viendrait chercher sa baguette, maintenant voyons voir si celle-ci te convient. »

Un simple geste du poignet avec la baguette entre tes doigts suffit à briser un miroir, te faisant sursauter, puis tu lui tendis le bout de bois, un peu effrayé à l’idée de causer une catastrophe, elle continua sa fouille un long moment avant de te tendre une baguette beaucoup plus fine, un sourire les lèvres.

« Bois d’Orme, épine du monstre du fleuve blanc, 28 centimètres, cette baguette me semble toute désignée pour te choisir jeune Semyaza, tu as cette finesse et cette douceur qui faisait de ton père un sorcier formidable, oui oui elle te conviendra…. »

Et la vieille femme eut raison, à peine le bois était entré en contact avec ta peau qu’une fine brise traversa la pièce, passant à l’intérieur de ton haut et t’arrachant un frisson, tu te sentais à la fois apaisé et déterminé, cette baguette serait la plume avec laquelle tu marquerais l’histoire, tu comptais bien arrivé au bout de ton but d’omniscience, c’était la connaissance qui t’avait poussé à aller chercher cette baguette,  et c’est elle qui guida tes pas en dehors du bâtiment,  après avoir adressé un salut timide à la vendeuse, tu savais que ton avenir t’attendait, à l’autre bout du monde.

Devenir explorateur ? Chercheur de trésors magiques ? Tu n’y aurais jamais pensé et pourtant tu te présentas à un poste, jeune diplômé ayant fait tes preuves, tu fus rapidement reçu en entretien, ce moment magique où tu dus expliquer le pourquoi du comment tu voulais faire ce métier, et ta seule réponse fut « Curiosité ». Personne n’aurait embauché un jeune comme ça, mais tu avais fait forte impression de par le calme et le sérieux dont tu avais fait preuve.

Tu n’avais pas pensé aux conséquences de fuir ce pays, ni aux besoins humains dont tu allais faire preuve, parti sur un coup de tête tu te retrouvas seul et sans argent, c’est une route semé d’embuche que ta jeunesse en tant qu’explorateur t’as apporté, au début en tout cas. Car on entendit vite parler de toi, en bien ou en mal ça dépend mais on entendit parler de toi jusque dans les contrés de l’europe de l’Est. C’est un homme d’âge mur qui t’envoya une lettre en premier, un riche magicien qui recherchait des reliques datant des premiers sorciers, et c’est grâce à lui que tu es encore en vie aujourd’hui, car il est celui qui t’as laissé une chance de faire tes preuves, non pas que celle-ci se soient bien passés.

La chasse aux reliques ça avait peut-être l’air excitant au premier regard, mais entre les autres sorciers qui cherchaient à tendre des pièges et les créatures qui gardaient généralement les reliques, ta vie ne resta pas bien calme longtemps, pas une journée ne se passait sans qu’une expédition tourne mal, béni ou pas tu n’échappas pas aux blessures et c’est d’ailleurs de tes premiers voyages que tu dois ces cicatrices sur ton visage, un dragon t’as souffler un peu trop près du visage, et tu ne dois ta vie qu’a un de tes collègues de l’époque qui te tira en arrière, n’empêchant pourtant pas totalement les dégâts.

Quelques années passèrent, ta réputation en tant qu’aventurier des temps modernes se faisait plus importante, surtout chez des gens malfamés. Même si l’idée de ramener des trésors de cette valeur à des gens sans scrupules te dérangeait, tu avais finis par passer outre, c’est sûrement parce que tu avais un plan dans ta tête, celui d’accumuler assez d’argent pour ne plus dépendre d’un patron, tout du moins de survivre sans avoir à être inférieur à personne, et c’est ce qui se passa, après maintes et maintes expéditions plus dangereuses les unes que les autres, tu finis par atteindre ton but.

Les expéditions que tu menas de ton propre chef à partir de ce moment-là n’avait plus aucun but néfaste, tu recherchais juste des reliques d’antan, des écrits de potentiels ancêtres et surtout poussé par la curiosité tu t’aventuras en Sibérie, cette région reculé en Russie où un froid glacial règne au fil de l’année sans jamais s’arrêté. On t’avait parlé d’un mythe, un arbre millénaire qui ne fanait jamais, et c’est pleins de rêves dans la tête que tu pris l’avion en direction du dit arbre.

Utilisé les transports des non-mages est usant pour ton corps, la fatigue et le mal des transports affectaient bien plus vite ton corps que la moyenne, c’est pourquoi il te fallait prendre des médicaments. A moitié dans le coma, tu te réveillas néanmoins à l’atterrissage qui te sembla bien trop brusque, enfin le pays à portée de main, descendre de l’avion ne fut pas compliqué, mais ensuite le Russe ne faisait pas parti de ton répertoire de langues parlées alors tu dus improvisé en anglais, cherchant tant bien que mal à te faire comprendre, c’est avec difficulté que tu réussis à sortir de la ville, te dirigeant en train vers les lieux où étaient censés se trouver l’arbre.

Au fil des années ta collection d’écrits anciens et de vieux sortilèges s’étaient étoffés si bien que tu avais appris des choses, des moyens d’enchanter des objets qui leur permettait de se relier à ton esprit, répondant à ta volonté tel un prolongement de ton corps , c’est pour ça que tu étais parti en Russie, dans le but de ramener avec toi un bout de cet arbre éternel connu sous le nom d’Yggdrasil dans la mythologie nordique, et tu finis par l’atteindre. Le hic c’est qu’il était gardé par des centaures, des êtres adorables dont tu avais déjà entendu parler mais qui semblait ne pas tolérer d’étrangers ni d’humains sur leur territoire, t’approcher de l’arbre sans prendre le risque de finir mort était quasi impossible, alors tu dus réfléchir à un moyen de gruger, de leur faire comprendre que tu ne cherchais rien d’autre qu’à guérir.

Tu entendis des bruits de sabots, c’était déjà trop tard, bientôt encerclé par des êtres mi-hommes mi- chevaux, ton monologue commença, sortant un vieux livre de ton sac tu discutas pendant des heures avec leur chef, cherchant à rester en vie plus qu’à atteindre ton objectif, il fut cependant réceptif à ta demande, te permettant de jeter un œil à l’arbre. C’était magique, rien de ce que tu avais vu auparavant ne t’avait plus scotché que cette merveille, un arbre fleuri et en pleine forme au beau milieu d’une foret d’arbres morts, c’était tout simplement à couper le souffle. Il te permit t’en prendre une branche assez grande afin d’y découper une prothèse, tu restas un moment avec eux, une nuit entière à entendre parler de leurs légendes et de leurs contes, puis tu rentras dans ton chez-toi au Japon, la route fut longue et éreintante mais tu étais heureux une fois posé dans ton appartement.

La suite paraît logique, de nombreuses heures de découpes et de travail du bois, tel un ébéniste tu découpas dans cette énorme branche un bras, le travaillant pendant des jours, sans presque dormir afin qu’il soit le plus léger mais le plus résistant possible, puis tu commenças à tester ce que tu avais appris, apposant plusieurs enchantements sur celui-ci tu y gravas des runes, afin d’achever ton œuvre, l’heure fatidique était arrivé, c’est après avoir installé la prothèse sur la broche de l’ancienne que tu constatas avec émerveillement qu’elle répondait à tes moindres ordres, comme un deuxième bras mais dont tu ne ressentais plus le toucher, c’était un maigre sacrifice en compensation du gain de mouvement que t’offrait une telle merveille.

Ton travail continua encore quelques années, et ta collection avait atteint un stade impressionnant où elle prenait deux pièces entières tellement tu avais accumulés les vieilles babioles, puis on te contacta, l’actuel dirigeant de Poudlard était à la recherche d’un professeur d’études des runes, ce qui t’avait poussé à faire autant de recherches, tu sautas sur l’occasion pour postuler, envoyant un hibou en direction de l’Angleterre, tu espérais que tu pourrais apporter aux jeunes quelque chose, que ce soit ton talent et ta finesse pour l’enchantement ou tes connaissances.

C’est avec plaisir que tu te rendis au château, et après avoir discuté longuement avec le vieillard, un accord fut passé, tu revins quelques semaines après, avec l’intégralité de tes affaires, rangés dans une valise magique, tu la laissas dans un coin de ta chambre, après avoir pris la peine de la montrer au directeur, cette collection qui le fit sourire longuement, tu étais désormais professeur d’études des runes au sein d’une des plus prestigieuses écoles du monde, et c’est avec nostalgie que tu levas ton regard vers le ciel, est-ce que ton père te surveillait de là-haut ? Tu espéras qu’il serait fier de tout ce que tu avais accompli, et de tout ce qui te reste à vivre.

PSEUDO.

Alors moi c'est Ritsuka, 23 ans et toutes mes dents :no fake: ! J'aime les jeux de cartes  à jouer et collectioner, lire des romans, la pluie, le froid, la neige et la musique ( v kei / j-rock / k-pop et un peu de tout, surtout du Hiroyuki Sawano ♥♥♥ ). J'fais pas grand chose de ma vie donc je serais souvent présent, et j'aime déjà les gens ici, des keurs sur vous :3