dress me up and watch me die (abel.)

ABEL C. FERGUSON

FEAT Tristan Duffy / AHS (IRL) -  Fanart de Josh Dun pour l’avatar (modifié par mes soins)

JE SUIS Abel Clyde Ferguson, J'AI 20 ans. JE SUIS écossais. ET MES PARENTS SONT tous deux sorciers. JE SUIS EN quatrième année ET J'ÉTUDIE l’Occultisme OPTION Sortilèges et leurs secrets, Traque en terrain dangereux. JE FAIS PARTIE DES duellistes illégaux ET MA MAISON EST attendre la répartition. J'AIMERAIS RAJOUTER QUE j’aime bien me baigner dans du sang de chaton à la plaine lune.

❝ Show them all you’re not the ordinary type ❞

Caractère.

Son allure et son caractère nonchalant sont probablement la marque de fabrique d’Abel. Comme si il s’en foutait de tout. Ce n’est pas forcément une réalité, alors qu’il laissera traîner son oreille si la situation devient intéressante, potentiellement profitable même. Désormais loin de l’enfant studieux qu’il était autrefois, il dirige son attention uniquement sur les enseignements qui lui paraissent utiles. Le jeune homme semble avoir un goût prononcé pour la prise de risques, si tôt que cela lui permettra d’atteindre ses objectifs. Cependant il conserve un certain instinct de survie malgré ce que l’on pourrait en pensait en observant son caractère parfois autodestructeur, se détracter est quelques fois la solution qu’il favorise. Tout ses actes ne sont pas totalement irréfléchis.

Il aime jouer de son image, de sa nature particulière. Bien qu’il se peut qu’il la craigne, sa nature, chose qu’Abel n’avouera bien sûr jamais ; par fierté peut-être, ou alors seulement par peur qu’on puisse s’en servir contre lui. Ce n’est pas que de son image qu’il aime jouer. Il aime les défis, disons seulement que ce n’est pas toujours avec un grand fairplay que ces des défis seront relevés. Le semi-vampire n’a pas besoin de savoir qu’il a atteint son objectif honnêtement pour se sentir bien, sa détermination passant quelque peu avant sa morale.

Versatile, il aime que les choses bougent, changent, évoluent et progressent. Le sorcier sait ce qu’il veut, même si la raison n’apparaît pas clairement et comment l’obtenir la plupart du temps. Il dispose d’un goût pour ce qui est raffiné, même si il faut bien trop souvent que soit mêlé à de la provocation.

Vis-à-vis des autres, il a parfois l’air du parfait prototype du petit con. Abel préfère trier ses relations proche sur le volet. Il aime surprendre, que ce soit d’une manière positive ou négative, de même qu’être surpris. Sarcastique, il est friant les jeux d’esprit autant que les joutes verbales ; la défaite ne lui sied cependant guère. Dans ses bons jours et auprès de certaines rares personnes, il arrivera au jeune homme de faire preuve d’attentions particulières.

Histoire.

Passer le brevet devait probablement être la chose la plus ennuyante depuis des lustres. Pourquoi s’embêter avec ces conneries qui ne prenaient en compte qu’une partie des réelles vérités, laissant de côté certains points importants. Au diable les réformes. Au diable ses parents qui le forçaient à étudier. « Tu as déjà une année de retard, tu aurais déjà dû entrer à Poudlard. »

Poudlard. Seul sujet qui semblait avoir une place dans les discussions familiales qu’il ne parvenait pas à éviter. Il avait déjà perdu une année, ayant redoublé celle où le changement avait eu lieu. Temps d’adaptation oblige. On craignait qu’il ne puisse s’attaquer à un camarade, ou à un autre pauvre animal. On le pensait sauvage, peut-être. Les médicomages avaient tout expliqué pourtant. Mais non. Les deux fonctionnaires du ministère qui lui servaient de parents ne semblait pas voir au-delà de son régime alimentaire, pensant à leur réputation quasi-inexistante. On avait alors prétexté une maladie grave pour expliquer son absence.

« Do you think I’m sick, mother ? » avait-il demandé au cours d’une discussion houleuse. La réponse avait mit son temps avait d’être formulée.  Réfléchie. Soignée. La peur de blesser peut-être. Cela faisait longtemps qu’il n’avait pas eu le droit à une telle attention. « Of course not. » Difficile cependant de décider de la véracité du propos. Pas avec les regards que lui portait son père. Toujours impossible à satisfaire, peu importe ce qu’il faisait. Peu importe les bons résultats qu’il ramenait auparavant. Alors tant pis.

Les pages du bouquin d’histoire posé face à lui auraient eu le temps de prendre la poussière alors qu’il dérivait au fil de ses pensées. Bientôt trois ans maintenant qu’il n’était plus entièrement humain. Il ne se sentait pas vraiment différent pour autant. Pas physiquement en tout cas. Tout était dans la tête. Autrefois studieux et impliqué, il ne l’était plus. S’affirmant, osant parfois se dresser contre ses géniteurs.

Finalement, il se mouvait enfin. Tournant et parcourant les pages rapidement, sans vraiment prendre connaissance du contenu, des notions à connaître.
« Boring, boring, boring, lies aaand.. boring. Awesome. » Après les quelques aventures qu’il avait traversé, sortir de l’ennui n’était pas aisé pour Abel. Pas quand on sait qu’un monde plus grand était censé être à sa portée. Pas quand, entre certains repas, il devait boire du sang de telle ou telle bestiole, pour éviter de tomber malade. « Fuck off. » Agacé, Abel avait refermé son livre. Avachi sur sa chaise, il prit le temps d’écouter ce qu’il se passait chez lui. De voir si ses parents étaient déjà rentrés ou nous. Pas un bruit. Il finit par étendre son bras vers son sac de cours, en sortant un paquet de cigarettes à demi-vide. Lubie nouvelle et probablement ce qu’il préférait chez les moldus. Il était jeune, seulement 15 ans. Beaucoup trop jeune pour commencer à fumer disaient certains parents de ses camarades. La réalité était qu’il n’en avait strictement rien à faire.

Son Brevet, Abel l’avait eu. De justesse, certes, mais il l’avait. Poudlard lui tendait les bras, seul lieu où il pourrait échapper un peu à l’emprise de ses parents.

NO.

Julia, 19 ans, bonjour. Pas grand chose à dire à part que Sio est une personne géniale, que j'aime de tout mon coeur, que je lui fais des bisous et qu'elle ne m'a pas du tout menacée pour que je ramène mes fesses ici. Du tout du tout.

C'est tout pour moi. Adieu.