the blood on my hands scares me to death • OLO [F.I.N]
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Oscar L'Ourson
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the blood on my hands scares me to death • OLO [F.I.N]
29.08.16 22:15
Oscar L'Ourson
Ft.jean kirschtein • SNK
-[...] Et la vie c'est comme une tasse de café amer. Un truc bien trop noir et bien trop fort pour toi. T'as beau y mettre du sucre, y rajouter des fioritures comme de la chantilly, de la crème, du lait. Ça passe un peu mieux, c'est moins amer, mais en fin de compte ce que tu bois c'est du café, tu comprends ? C'est moins dégueulasse, mais ça reste du café.
- ... Rappelle-moi pourquoi tu travailles au Starbucks, Oscar ?
- C'est une décision prise d'un commun accord par l'ensemble de ce qu'on appelle communément famille. La mienne, en l’occurrence.
- … D'accord. Juillet 2015
J'ai trop hiberné pour arriver à garder les yeux fermés
Oscar
Prénom
L'Ourson
Nom
4e année
Année
18 y.o
âge
Sang mêlé
sang
L.L.C.M
cursus
TeddyPuff
Maison
Adore le miel
truc1
J'aime pas les trucs de groupes dsl
groupe
Super (z)héros
truc2
Les trucs magiques lel
épouvantard: Une main qui essaie de l'attraperOdeur d'Amortencia: Une odeur de vieux livre, de crayon à papier et d'un soupçon de sorbet citronMa baguette: Chêne, plume d'oiseau tonnerre, 30, cm, fine, mais rigide à l'image de son propriétaire.Patronus: Un ourson terrifiant Ma matière préféréeL'histoire de la magieOptions:études de runes et histoire du pinceauL'animal de compagnie : L'alliance envahissante tyrannique et contrariante que sont ses deux parents lui ont offert chat nain munchkin contre l'avis de son futur propriétaire pour des raisons qu'il qualifierait d'arbitraire et de profondément débile. Au début, il avait décidé de le nommer Truc, mais après un « accio Truc » qui s'est mal passé il a décidé d'appeler son chat Teddy qu'il aimerait garder dans une bouboule à hamster. Bien qu'aucune boule à hamster n'ait encore tenu le choc. Teddy adore littéralement son maître au point de se glisser dans son sac à chaque fois qu'il en a l'occasion. Quand Oscar ne trouve pas rapidement Teddy, le chat se met à uriner et miauler tristement jusqu'à ce que quelqu'un le trouve. Ce qui est passablement désagréable. De plus Teddy adore lui faire des câlins à Oscar, mais Oscar a une sainte horreur d'être touché aussi, il peut arriver que le malheureux propriétaire se mette à hurler et essaie de sa cacher de son chat qui, tout heureux se met à le chercher, comme s'il jouait à cache-cache. Un véritable conte de fée entre ces deux-là. trucs particuliers : Il faut savoir que Oscar est haptophobe. Il a peur qu'on le touche, mais aussi de toucher quelqu'un depuis qu'il est tout petit. Il porte donc des gants en permanence. Aussi préférait-il rester seul. Oscar est aussi atteint d'alexithymie c'est à dire qu'il a énormément de mal à discerner et exprimer des sentiments, son haptophobie est liée à cette première pathologie de l'esprit.
Le caractère F.A.B
Oscar est une définition, alors que le reste du monde est un ensemble de mots. Oscar est une sensation. Le reste du monde des sentiments. Oscar est mécanique alors que le reste du monde est fluide. Si le monde était un souffle, Oscar lui serait l'obscurité et le néant. Un homme qui n'a de son espèce que l'apparence. Plus androïde que vivant. Il tient plus de la machine que de l'homme. Et pourtant Oscar respire. Et pourtant Oscar pense. Et pourtant Oscar est affecté. Et pourtant Oscar peut se blesser. Être blessant. Méchant. Intransigeant. Terrible. Rigide. Agaçant. Dur. Cruel et violent si violent !
Mais Oscar pleure aussi. Oscar rit. Oscar à peur. Oscar est faible. Oscar est petit si petit. Plus effrayé qu'effrayant. Oscar souffre. Oscar à de la peine. Oscar subit et tremble dans la nuit.
Sans comprendre et sans savoir. Parce qu'il ne peut. Parce qu'ici dans son esprit tout est mécanisé. Tout est rationalisé. Tout est embrouillé. L'esprit d'Oscar est un miroir. Une surface lisse qui réfléchit, mais qui n'apprend pas. Qui ne garde pas. Qui ne sauvegarde pas. C'est à peine s'il comprend l'homme, qu'il soit moldu ou sorcier. Toutes ces choses si simples, si instinctives tous ces sentiments compris et analysés comme tel par l'esprit et le corps d'un autre, sont aussitôt mal interprétés par le sien.
De la passion;Oscar L'Ourson :
« ••• La joie est un ensemble de symptômes physionomiques, qui semble affecter le ventre et les muscles du visage, mais aussi la tension du corps qui se relâche. Le rire est une cavalcade de ha et de hi qui n'ont aucun sens vraiment. Mais après cela le corps se sent plus lourd puis, rapidement léger. Apaisant. La joie est un ensemble de symptômes effrayants mais dans l'ensemble agréable.
••• La tristesse est un ensemble de symptômes physionomiques, qui semble affecter la gorge et les muscles de la mâchoire. La tristesse tend le corps. Les glandes lacrymales semblent répondre à ces sensations et commencent à sécréter ce qu'on appelle larme. Et ça n'a vraiment aucun sens, parce que le corps ne semble pas se sentir mieux après cela et ça mouille le visage. La tristesse est tenace et reste dans la gorge. Sert le cœur. Prend la tête. La tristesse est un ensemble de symptômes effrayants et désagréables.
••• La colère est un ensemble de symptômes physionomiques, qui semble affecter les tempes, fait hausser le ton de la voix. Les muscles de la mâchoire et du visage se crispent, un peu comme la tristesse. Sauf que les sourcils se plissent et que les ridules du front impriment sur le visage la violence qui secoue le corps tout entier d'un être en colère. Parfois on tremble, alors qu'on se sent fort, suffisamment fort pour éclater le mur. Ce qui est profondément stupide et dangereux. La colère a donc le pouvoir d'altérer le bon sens et l'intelligence d'un être. C'est fascinant. À observer et non à ressentir. Je déteste quand mes poings se serrent et qu'ils semblent être doté d'un furieux pouvoir, destructeur et violent et je blesse comme ma bouche qui devient extrêmement acérée et brute. La colère est un ensemble de symptômes effrayants, désagréables, mais surtout dangereux.
••• La peur est un ensemble de symptômes physionomiques, que je déteste aussi expérimenté. Cela peut se manifester soudainement, mais aussi gonfler et devenir terrible. Il arrive que je hurle, bien évidemment c'est à cause de mon corps qui se tend et qui a besoin l'espace d'un cri de relâcher la tension. Le cœur bat fort, la respiration s'accélère, comme le pouls. Nos poils se hérissent, le ventre se tord. La gorge semble être trop aride pour ne serait-ce qu'articuler. La peur semble aussi affecter le cerveau et « l'angoisse » que le corps ressent est exagérée par l'environnement que notre corps perçoit comme menaçant. Prudent ou imprudent cela dépend de la situation. Parfois la peur n'est qu'un réflexe. Un évitement. Une appréhension qui se base sur les symptômes et les diverses sensations que mon corps ressent. Je déteste la peur. Comme je déteste ma « phobie ». Je déteste ma phobie car nul ne peut l'expliquer, pas même moi.
••• L'amour est une chimère. Un bouleversement passager de l'état stable d'un corps. D'ailleurs peut-être que les autres confondent l'amour avec les autres sentiments. Il semblerait que j'affectionne mon entourage. C'est sans doute vrai puisque je les laisse ainsi régir ma vie entière car un refus semble provoquer chez eux une sorte de… Peine. Tristesse. Blessure ? Que je n'aime pas deviner chez eux. Ce n'est rien d'autre qu'une convention sociale. Ils m'aiment car je suis le fruit de leur « union ». Si leur comportement avec moi avait été différent je suppose que je n'éprouverai pas pour cette alliance parentale d'affection. Je suis en revanche incapable de comprendre pourquoi deux être qui ne partagent pas le même sang s'affectionnent. De même les principes comme les ennemis, les amis et les « romances » sont trop vides de sens pour moi.
L'amitié est peut-être un besoin. Une limite de notre esprit qui ne peut demander et répondre. Ce serait profondément stupide alors, car ce mode de communication est basé sur un échange et il faut être au moins deux pour y participer. Si l'inimité m'est étrangère, car il faudrait que j'accepte de juger un autre ou qu'il devienne assez proche de moi pour que ses actions m'affectent négativement. La romance quant à elle est un mystère que je ne suis pas en mesure d'élucider puisque tous les symptômes qui m'ont été décrit me paraissent hautement désagréables et plus insensés encore que la tristesse et le colère. Le besoin physique m'est aussi étranger puisque l'éventualité de laisser mon épiderme n'être même qu'effleuré me terrifie. Celui de frôler à mon tour me plonge dans une confusion de l'esprit et un dégoût que je doute même d'être capable de surmonter. C'est que l'idée même d'envahir l'espace personnel et vital d'une autre personne me paraît déplacé. L'idée même qu'on envahisse le mien me terrifie à plus forte raison.
••• Les autres sont étranges. Ressentir est étrange. N'ont-ils pas peur que leurs affects nuisent à leur corps pour toujours ? Quel bien y a-t-il à ressentir ? Je ne comprends pas. Je ne comprends pas et je ne sais jamais ce que je ressens, ni même comment je le ressens. Les autres savent parfois et me demandent : « Es-tu en colère, Oscar » ? Et je réponds « Je ne sais pas. » Ils me demandent : « Es-tu triste, Oscar ?» Et je réponds : « Sommes-nous assez liés pour que mon esprit soit affecté négativement par tes actes et tes mots ? Au point de me faire pleurer ? Je ne sais. Sommes-nous proches ? » Ils me demandent aussi « Es-tu heureux ? » et je réponds « Comment sait-on qu'on est heureux ? » et quand ils me disent : « Est-ce que tu m'aimes, Oscar ?» Je réponds : « Pourquoi ? » Quand ils me disent « Je t'aime, Oscar !» Je dis : « Est-ce qu'il m'est arrivé un jour d'aimer ? » Et ensuite je m'effondre quand ils disent : « Je n'en ai rien à faire de toi. » Parce que je réponds : « Je ne sais pas si j'en ai eu à faire de quelqu'un dans toute mon existence. » Parce qu'il y a du vrai dans ma sentence et une réciprocité cruelle dans la leur. Et je m'égare quand je me mets alors à détester le fait de ne pouvoir compter aux yeux des autres quand mon esprit lui-même est incapable d'apprécier autrui aussi simplement qu'on accepte l'air que l'on respire et la magie que j'expire. »
Sa langue est complexe, ses mots le sont aussi car toutes les nuances de la réalité l'est pas. Chaque fois qu'il s'exprime c'est avec difficulté. Pas pour lui, cela dit, car ce qu'il exprime est clair pour lui-même, mais pour une oreille trop peu exercée à son babillage technique cela peut paraître laborieux et … assommant. Ce qu'il dit n'est pas hautement intéressant d'ailleurs, il n'est pas très doué avec l'affect et la transmission des émotions. Il n'est pas non plus doué avec les mots. Ce n'est pas un orateur particulièrement habile. Il n'est pas non plus très convainquant ou très charismatique. Peut-être que s'il ne dépassait pas d'une petite tête la foule grouillante de Poudlard.
Oscar s'exprime, ou plutôt c'est toute la complexité des hommes et des mots, des définitions et de l'univers qu'il exprime. Par le biais de sa langue et de ses tournures atypiques. La curiosité de son esprit ne semble pourtant jamais pouvoir se satisfaire des réponses qu'il obtient. Alors il s'acharne. Il pose des questions sur des choses que personne ne questionne. Il s'exprime sur des choses que personne n'exprime. Sur les choses acquises qui ne sont, pour lui, même pas envisagées.
Il n'a pas la gêne et le tact, ni la gentillesse qu'on les autres et il pose froidement sans sourciller. C'est qu'il n'est pas capable de comprendre. De doser. D'aller en douceur. C'est qu'il pose de but en blanc sans se poser la question de l'autre. Oscar est une entité égoïste et curieuse qui ne pense qu'à lui et qu'à son ressenti. Qu'à comprendre. Décortiquer. Incorporer. Mais c'est comme si quelque chose était cassé. Comme s'il n'était pas calibré comme tout le monde. Comme si son antenne sentiments à lui était crypté. Et aucun médicomage, aucun sortilège, docteur ou même médicament ne peut venir à bout de cette particularité. Cette lacune immense.
Oscar ère. Oscar essaie. Oscar échoue. Oscar n'y comprend décidément rien à rien. Personne n'y comprends rien, de toute façon. Comment expliquer la perplexité qui l'assaille quand des rires surgissent. Et de pleurs aussi. Quand les coups de colère tonnent et vibrent dans l'air. Menaçants et furieux et qu'il ne peut même pas désamorcer. Il soupire alors. Il soupire et abandonne. Il soupire et secoue la tête. Il abandonne puisque, après tout, il ne peut rien y faire. Mais parfois. Parfois c'est trop. Parfois il a des tremblements. Parfois la frustration fait serrer ses dents, crispe son visage tout entier. Parfois il voudrait abattre des montagnes. Hurler sous la pluie d'un orage assassin qui pourrait bien finir par le foudroyer. Rediriger ces milles mots et ces milles sensations incomprises et imprimer sur des visages la souffrance du mutisme de son affect. Surtout quand on le pousse à bout. Dans ses tous derniers retranchement.
Il n'a pas besoin d'une baguette pour faire un carnage.
Il a juste besoin de ses deux mains et de son cœur. Pour tout faire éclater.
Oscar sait qu'il y a dans son ventre une rage sourde. Quelque chose qui fait sursauter ses doigts. Qui rendent ses gestes brusques. Quelque chose de contrôlable chez les autres parce qu'ils peuvent l'identifier avant et le désamorcer alors que lui… Lui est sourd. Lui est aveugle.
C'est effrayant de blesser. Si effrayant de faire tomber. Si effrayant de casser. Si effrayant de détruire. C'est de la satisfaction malsaine qu'on trouve dans le sang et la chair. Des tableaux glorieux qu'ils retirent des cicatrices et des blessures. Et les siennes. Les siennes ne se referment jamais. Mais il y a pire. Il y a bien pire que la perspective d'être blessé.
Ce qu'il y a de pire c'est le satisfaction qu'il entretient. Les coups qu'il reçoit et qu'il déteste autant qu'il affectionne. Marque insolite, insolente aussi. C'est aussi cette souffrance qu'il peine à percevoir comme tel quand parfois son épiderme picote encore et que la douleur et la seule qui le transcende.
Mais passons. Passons parce qu'Oscar n'aime pas en parler et n'en parlera pas.
Histoire
Les parents d'Oscar n'ont jamais été des parents, mais un duo autoritaire tyrannique absurde et envahissant mais dévoués qui sous le couvert de l'amour se permettent de régir sa vie. Il simplifie cela par alliance parentale quand il s'adresse à eux. Et croyez le ou non, mais les L'Ourson, sont parfaitement heureux et adorent leur enfant bien que celui-ci soit particulier.
Particulier. Certes. Il l'est. Certains prétendent que ce n'est pour ne pas dire « étrange » que les autres qualifient ceux qu'ils aiment ainsi. Peut-être est-ce le cas des L'Ourson. Ils ont bien des difficultés à comprendre ce qu'il se passe dans la tête de celui-ci. Ils n'essaient pourtant pas de le forcer à s'adapter. Ou alors, très discrètement. Ainsi, pour ne pas le brusquer et l'habituer ils l'ont déjà fait travailler dans un starbucks café. C'est aussi eux qui ont eu l'idée de lui offrir son charmant petit félin ! C'est qu'ils sont tout simplement bien intentionnés. Qu'ils essaient de confronter leur enfant au monde, puisque celui-ci essai de l'éviter.
Ce n'est pas de sa faute. Ce n'est de la faute de personne, qu'ils disent. Mais ils savent. Les L'Ourson savent que l'origine du mal est un traumatisme de l'enfance. Un accident. Ça n'aurait pas du arriver. Oscar n'aurait jamais assister à cela, seulement voilà. Il a suffit à ses parents d'un instant. Un seul instant d'inattention ! Ils « chahutaient ». Il ne voulait pas, s'étaient-ils évertué à dire à la famille de l'autre petit garçon, un moldu âgé de cinq ans. Et même quand il a compris qu'il avait fait une bêtise et même quand il n'a pas compris ce qu'il se passait réellement, mais qu'il y avait eu du sang et des blessures qui ne guérissent pas d'un coup de baguette il s'est effondré. Il s'est effondré comme on s'effondre à cette âge-là. On se renferme. On s'éloigne. On pleure dans le silence et même quand les autres s'évertuent à dire que rien n'était de sa faute et qu'il était trop petit, quelque chose s'est bloqué dans sa psyché. Le corps était devenu une surface trop fragile pour qu'il accepte même qu'on essaie de le câliner tendrement. Ceux des autres encore plus terrifiant quand on est le responsable d'une blessure. D'un maux. Et ça ne s'est jamais arrangé en grandissant.
Ça ne s'est pas arrangé, même quand l'enfant moldu à fini par sortir de l'hôpital et que l'ouverture de son crâne n'était plus qu'un très vilain souvenir. Parce que les parents moldus eux ne souhaitaient pas qu'Oscar ne s'approche de lui. Parce qu'il était un danger.
Et même ses propres parents étaient devenus extrêmement protecteurs, mais aussi vigilent. Comme s'il s'attendait à ce que l'histoire se répète. Qu'un autre coup de colère et une bousculade fatale plus tard il arrive encore du malheur. Et pourtant ils continuaient de dire : « Ce n'est pas grave Oscar. Ce n'est pas de ta faute» Mais chaque « Fais attention, doucement ! ». À chaque sursaut ou petite colère qu'il piquait dans le jardin d'enfant, leur sourcils se plissaient et leur yeux s'assombrissaient. Même les sourires gênés qu'il lui présentait quand le garçonnet s'insurgeait et disait « J'ai rien fait ! » semblaient lui dire « Pas encore. » Ils déménagèrent finalement. Dans un autre pays, l'Angleterre, pour tout recommencer alors qu'il n'était âgé que de six année.
Et c'est comme ça qu'il s'est construit. Dans une atmosphère tendue et capiteuse qui parfois lui donnait des insomnies, le soir. Les L'Ourson ne remarquèrent pas tout de suite son étrange comportement, ou du moins son incapacité à comprendre désormais correctement les émotions. C'est un psychologue moldu qui décela le problème, bien que c'est son haptophobie qui retint l'attention du praticien. Et depuis ils ont tout essayé pour rectifier le tir, repentissent et penaud, conscient qu'ils avaient une part de responsabilité dans ce désastre. En vain.
Quand aux alentours de ses onze ans ses dons de magie se sont manifestés, ses parents ont tout de suite été soulagés. Il était plus facile d'éduquer un enfant qui a autant de pouvoir magique que vous qu'un Cracmol qui aurait accumulé de la frustration et aurait fini par devenir encore plus ingérable. Un professeur du venir lui enseigner quelques rudiments car il n'arrivait pas à contrôler ses dons, mais rien d'insurmontable pour la petite famille.
Avec l'adolescence, Oscar devenait moins timoré et il était plus facile pour les deux parents d'essayer de communiquer avec lui. Ils étaient même heureux que la reforme leur permettent de voir grandir leur enfant. Ils ont redoublé d'effort avec lui. On essayé de lui faire oublier les affres du passé sans cesser de l'encourager. Ils se montraient particulièrement intéressé quand leur enfant venait vers eux pour lui poser une question et ne cessaient d'essayer de lui répondre. De lui faire comprendre et de combler ses lacunes.
Et puis… Il a fallu qu'Oscar aille à Poudlard. C'est avec une certaine tristesse qu'ils le laissaient partir, mais les retrouvailles de noël n'en étaient que plus agréable. Oscar c'était bien acclimaté à son école et semblait presque épanouit. Cela suffisait à leur bonheur. Les années passèrent et si leur enfant semble s'être acclimaté, qu'en savent-ils vraiment ? Peut-être que cette année, il va de nouveau déraper. Ou peut-être qu'il aura un déclic. Que le monde ne lui fera plus aussi peur ?
Qui sait, après-tout ?
I.R.L
Bonjour alors moi Perpendiculaire. J'ai 25 ans. Et je suis aussi la Chèvre Sauvage. On se connaît parce que je suis la fonda de NB qui est un de vos partenaire. Vous m'avez fait grave craquer comme une chips je vous en veut tellement /pleure/. Alors je suis dsl genre le cara m'a épuisé il restait plus rien pour l'histoire. Sinon j'aime bien pkmn (donne moi ton code ami stp) j'aime aussi HP, bien sûr sinon je serai pas là. Hein. Ça fait 2 heures que je me retiens d'aller me sustenter et d'aller faire pipi pour terminer cette fiche. Ptn. Ma vessie est une warrior respectez-là. J'aime beau Sherlock BBC, Izombie, Sense8, j'aime lire aussi j'ai une belle liseuse chez-moi. T jalou 1 ? J'aime le fromage, j'aime aussi les ours(ons) lol et les chèvres. J'espère que tout passera et voilà. Paillettes et coeur sur vous. PTN. PREUMS AUX Wcs.
Dae-Jung Bae
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Re: the blood on my hands scares me to death • OLO [F.I.N]
30.08.16 2:41
Bienvenue car tu m'as forcée
Invité
Re: the blood on my hands scares me to death • OLO [F.I.N]
30.08.16 13:42
Jean. Rien que pour ça t'es cool toi. Bienvenu parmi nous ! Hâte d'en voir plus sur ton gusse. ~
Ah ouais... Puis jerry en voyant son nom.
Darwin J. Moore
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Re: the blood on my hands scares me to death • OLO [F.I.N]
04.09.16 2:23
Bienvenue de manière officielle chèvre sauvage Ta fiche était trop bien mais je ne cesserai de le dire genre oah des couleurs so winnie so flashy et tant de cutipie-ité et BOUM L'INSIDE ÇA secoue le coeur et les feels ?? J'étais pas préparée ok et encore moins à deux heures du matin passées Je suis amour j'ai très -trop- hâte de te voir rp Vivement que ta RS soit faite et qu'on puisse tous te stalker dans la joie -la discrétion- et la bonne humeur !
serdaigle !
Félicitations ! Le choixpeau a bien lu dans ton esprit et t'as réparti dans la maison des érudits qui veulent tout connaitre. Tu peux maintenant te balader sur le forum comme tu le désires. Nous te conseillons de suivre Être un sorcier pour les nuls qui te guidera pour faire des premiers pas sur le forum !
Oscar L'Ourson
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Re: the blood on my hands scares me to death • OLO [F.I.N]
04.09.16 12:43
Tupu Bae, mais merci, car tu m'as forcé
Coucou Orhan, DonFlamingo gosh tu as très bon goût. Maintenant que je lis ta fiche je me dis, diantre ce petit escargot écrit fabuleusement bien. La quête de ton personnage sur sa mémoire est ultra intéressante et le cara' merveilleux. BREF. IL NOUS FAUT UN RP. MÊME SI MON PERSONNAGE NE PARTICIPE PAS AUX COURS DU TIEN. S'ilteplaîtmercijtm /meurt/
Wiwin, tu es géniale et tu le sais. Et si tu ne le sais pas maintenant tu le sais. Merci pour tous ces compliments et genre tu vois je peux vous donner ma palette Winnie quand tu veux & tout, vous ferai un design Winnie L'ourson la prochaine fois hein? /meurt/² (oui je meurs et ressuscite beaucoup)
Merci à tous je me sens fab' maintenant
Marvel J. Solberg
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Re: the blood on my hands scares me to death • OLO [F.I.N]
04.09.16 13:38
Han, mais je m'attendais pas du tout à un tel caractère pour Oscarounet. Il est adorable, juste tellement super adorable.
Mais son histoire est triste. Somehow (ne ris pas)(en fait, si tu peux rire), son histoire m'a fait penser à Elsa de Frozen qui blesse sa sœur dans son enfance et qui après évite tout contact avec elle ou le monde extérieur. DU COUP, j'imagine Oscar chanter "Let it go" et c'est très rigolo. /pan.
Bref, une histoire très choupie et sois officiellement le bienvenu même si t'es arrivé avant moi.
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Re: the blood on my hands scares me to death • OLO [F.I.N]