-45%
Le deal à ne pas rater :
WHIRLPOOL OWFC3C26X – Lave-vaisselle pose libre 14 couverts – ...
339 € 622 €
Voir le deal

Partagez
 

 The truth is life just ins't that hard ♦ Bo

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage


Personnel
Isabeau Leroy


Messages : 91

Date d'inscription : 09/09/2016

Feat : Elsa, Frozen

Crédits : yasha, ava, sha & nounours ♥♥

Double Compte : Sisi la maudite

Isabeau Leroy





The truth is life just ins't that hard ♦ Bo
09.09.16 22:44

Isabeau Bo Leroy

FEAT Elsa, Frozen


JE SUIS Isabeau Leroy, comme c'est écrit juste au dessus, mais ya bien que ma mère pour m'appeler encore comme ça, tout le monde m'appelle juste Bo ou madame avec un soupçon de terreur dans la voix. J'AI 27 ans, bien que ça ne vous regarde absolument pas. JE SUIS une putain de grenouille élevée au pays des beefsteak par deux autres amphibiens, je vous laisse voir le résultat. ET MES PARENTS SONT des incapables. Ah c'était pas ça la question, ce sont des sorciers de sang-mêlés, placés quelque part tout en bas de la hiérarchie magique. JE SUIS bien trop vieille pour être encore une élève non mais tu m'as vue ? Je suis une adulte. ET J'ÉTUDIE que dalle, je suis la secrétaire de ce foutu établissement. Ah parce que tu pensais que tes lettres d'admission s'écrivaient toutes seules peut-être ? Que les inscriptions aux options se faisaient comme par magie ? Ben ouais, mais il faut bien quelqu'un pour tenir la baguette. OPTION congés payés et congés maladie. JE FAIS PARTIE DES grandes personnes, celles qui travaillent et n'ont pas le temps pour des groupes idiots, mais je trouve les téméraires marrants, je paris allègrement lors des duels et attends avec impatience le prochain accident avec un dragon ET MA MAISON ETAIT serdaigle, et pas la peine de hausser les sourcils. J'AIMERAIS RAJOUTER QUE je déteste mon job, je déteste les enfants et vivement que ce vieux château décrépi ait la wifi.

❝ who's the baddest witch in town ❞

MON ÉPOUVANTARD est un homme, habillé d'un beau smoking, et je réalise soudain que je porte une robe de mariée. Je suis sur le point de l'épouser.
L'ODEUR DE L'AMORTENCIA  est un mélange bizarre de peau nue, de firewhisky, de marshmallow et de parchemin.
 MA BAGUETTE EST FAITE DE bois d'aulne et d'un cheveu de vélane, autant dire que c'est une vraie teigne à manier. Elle est pourtant très souple pour un bois aussi rigide, fine et mesure 33 bons centimètres.
MON PATRONUS est un chien husky plutôt imposant. Autrefois pelé et baveux, il était effrayant au possible et l'on craignait presque qu'il nous refile la rage rien qu'en nous passant à travers. C'était ma fierté. Aujourd'hui il a retrouvé son poil et son regard doux, se transformant de plus en plus en peluche au fil des années, ce qui m'embarrasse plus qu'autre chose.
MA MATIÈRE FAVORITE ETAIT les sortilèges, mais j'aime faire croire aux gamins que c'était la lutte contre les forces du mal, juste pour qu'ils mouillent un peu leur pantalon en songeant à ce qui pourrait leur arriver s'ils m'emmerdent.
JE SUIS DOTÉE d'une aura menaçante et d'un regard noir particulièrement dissuasifs pour quiconque caresserait l'espoir de venir me poser une question. Je suis également passée maîtresse dans l'art de l'opportunisme et de l'exploitation de failles dans le système, aussi suis-je presque toujours en vacances ou en pause déjeuner.
ET J'AI des boucles d'oreilles à gogo, des piercings, des tatouages, tout pour dissimuler mes tâches de rousseur et mes grands yeux bleus sous un masque patibulaire au possible. Manquerait plus que j'ai l'air gentille eurk.
MON MEILLEUR AMI EST un chat blanc à trois pattes, nommé Hook, et une collection de jouets pour adultes.




Caractère.

Bo, c'est toujours la méchante de l'histoire. Bo, elle a fini de décoder le système il y a quinze ans de cela. Bo, elle a tout compris.

Tout le monde connaît l'emplacement du secrétariat de Poudlard et peu de gens osent en franchir le seuil. On dit les pires choses sur l'être qui y vit ; on dit qu'elle aurait jeté un élève sous le Saule Cogneur à l'époque où celui-ci bougeait encore ; on dit qu'elle a battu le record de retenues durant sa scolarité ; on dit que c'est un vampire et que quiconque la croise dans les couloirs la nuit ne revient plus jamais ; on dit que les fantômes évitent de croiser son regard ; on dit que certains livres interdits peuvent être trouvés dans sa bibliothèque personnelle ; on dit qu'elle aurait retardé les dossiers d'inscriptions d'un élève si longtemps qu'il aurait été diplômé à 36 ans.

Bo se délecte de ces rumeurs et de leur évidente fausseté (sans même parler des anachronismes flagrants), et les laisse librement circuler en espérant qu'elles feront des émules. Bo a toujours été la petite frappe du quartier, le caïd du coin de la rue, celui qui tape le petit garçon avec les lunettes et lui vole son goûter. Elle a longtemps été tirée vers le bas par ses cheveux blonds, son visage d'ange, tout ces détails qui faisaient qu'on ne la prenait pas au sérieux quand elle tentait d'imposer sa loi. Alors elle s'est occupée à y remédier.

La force brute, elle en a usé, mais ça n'a jamais été son truc à Bo – elle n'avait ni le physique, ni l'envie. Ça demande quelque chose d'aimer frapper les gens, quelque chose au fond du ventre qui grogne et qui fulmine, qui se délecte des cris et de la douleur des autres. La rage elle l'avait mais ça, Bo ne l'a jamais eu. Ce n'est pas la violence qui l'a attirée, c'est le pouvoir. Le pouvoir, et la facilité.

Les failles, Bo a toujours su les exploiter et ce depuis toute petite. Les failles pour toucher l'argent du gouvernement, les failles du règlement de l'école, les failles de la société, et la méchanceté en faisait belle et bien partie. Alors Bo a décidé d'être méchante. Pour avoir ce qu'elle voulait et pour avoir la vie facile, pour s'extirper de son quartier pourri, pour être libre d'avoir un sale caractère et en être récompensée. Et ça a marché. L'administration, c'est le pays des failles, le paradis des opportunistes, l'eden des parasites. En devenant secrétaire pour Poudlard Bo avait déjà tous les avantages en tête : les congés payés, les horaires de salariés, les pauses déjeuners interminables, les congés maladie, les beuglantes. Oh ouais ce qu'elle aime les beuglantes. À chaque fois qu'elle en reçoit une elle s'en sert pour justifier une dépression, prend quelques jours de vacances, et laisse traîner en longueur le dossier de l'expéditeur. Bo répète souvent à quel point elle déteste son travail, ce qui ne l'a pas empêchée de refuser quand on lui a proposé un poste de professeur de français. Elle râle, mais elle ne le quitterait pour rien au monde. L'administration est l'Enfer sur Terre, et elle en est la reine.

Elle n'en a jamais éprouvé de remords, et encore moins de la culpabilité. Si Bo possède une carapace épaisse comme le pouce, alors il n'y a pas de raison que les autres s'en passent. Et si jamais ils veulent vivre leur petite vie en toute tranquillité ça ne la dérange pas, tant qu'ils ne viennent pas mettre le bordel dans la sienne. On la dit je-m'en-foutiste, elle se dit réaliste. Son univers tourne autour d'elle-même et elle est loin de s'en excuser ; après tout, si elle n'est pas au centre de son monde alors, au centre de celui de qui elle pourrait bien se trouver hein ? Bo ne s'excusera jamais de son profond égoïsme, c'est plutôt aux autres de se mordre les doigts de ne pas l'être un peu plus.

C'est peut être pour cette raison qu'elle n'aime pas les enfants. Trop doux, trop tendres, des étoiles plein les yeux, des questions idiotes plein la bouche. Ont-ils vraiment besoin d'elle pour les aider à se retrouver ? Ne peuvent-ils donc pas se débrouiller tous seuls comme elle l'a toujours fait ? Bo prend un malin plaisir à lire la terreur dans le regard des premières années quand ils la croisent pour la première fois et que toutes les histoires entendues à son sujet leurs reviennent à l'esprit. Elle aime ce petit déglutissement quand elle laisse entendre qu'elle enlève des points aux élèves qui l'emmerdent le plus et, plus que tout, elle aime qu'on lui foute la paix. S'asseoir derrière son bureau et lire des livres toute la journée, dans le silence et la tranquillité. Un bol de chocolat chaud plein de marshmallow à la main, des chaussettes roses et duveteuses aux pieds, des bigoudis dans les chev– euh non elle veut dire, à fumer des clopes à la fenêtre avec une bouteille de whisky sous le bras, tout en regardant en ricanant des magazines de bécanes et de nanas à poil. Voilà, c'est ça son après-midi rêvé. Avant d'aller faire une course de balais illégale et de parier sur des duels de couloir.

La vérité, c'est que Bo s'adoucit avec les années et que ça la rend malade. Elle qui s'est toujours vantée de ne faire que ce qu'elle voulait, quitte à se retrouver en marge pour cela, la voilà qui glisse inexorablement dans tous les clichés qu'elle a toujours détesté. Elle se refuse à s’assagir, à se poser – la rage et le défi sont ce qui la portait jusqu'ici et l'idée de ne plus en avoir besoin l'effraie. Bo est habituée au rôle de la méchante, elle ne sait pas comment se comporter avec celui de la gentille. Jusqu'ici elle était celle qui martyrisait ses bouc-émissaires (mais ne supportait pas que quelqu'un d'autre touche à l'un de leurs cheveux), qui faisait traîner la paperasse si longtemps qu'elle arrivait à tirer des larmes aux plus endurcis (mais qui miraculeusement les rendait toujours à temps), qui passait ses soirées au bar ou enfermée chez elle (à lire des romans dans son bain à bulles), qui terrorisait tous ses voisins (et se transformait soudain en agneau quand ils lui montraient un jeu intéressant).

Bo ne s'assume pas, Bo ne sait pas quoi faire. Elle ne sait pas quoi faire si tout le monde réalise que, en fait, elle n'a jamais été la vilaine sorcière qui change les moldus en crapaud au début de l'histoire.


Histoire.

Les bruits de couloir disent que les parents de Bo étaient au moins mangemorts ou récolteurs des impôts pour élever une fille aussi méchante que la leur. Sauf que, comme souvent, les bruits de couloirs se trompent. Les parents de Bo étaient des idéalistes et de la pire espèce ; c'étaient des artistes.

Gaston et Hermine Leroy s'étaient rencontrés à la fête foraine, un été. Il faisait des caricatures pour les vacanciers et elle mangeait une barbe-à-papa plus grande que son visage. Elle en avait d'ailleurs encore un peu dans les cheveux quand il l'a dessinée, et c'est à ce petit détail sans importance qu'il sut qu'il l'aimerait toute sa vie.

Isabeau, car c'était toujours ainsi qu'on l'appelait à l'époque, avait quatre ans quand ses parents déménagèrent de l'autre côté de la manche. Aujourd'hui encore elle se demande quelle fantaisie absurde ils avaient bien pu voir miroiter dans ce petit pays gris pour croire que l'avenir y serait plus radieux, puisque de toute évidence il ne le fut pas.

Ils achetèrent une petite maison dans un quartier entre deux tranches sociales, dans une petite ville plantée sur un caillou au milieu de l'eau appelé Wight – comme si changer de pays ne suffisait pas. Les voisins étaient sorciers et tous plus ou moins fortunés en fonction des familles, mais le caractère insulaire fit que la leur fut rapidement celle que l'on montrait du doigt. Contrairement à tous les espoirs de son père la peinture animée ne revint jamais à la mode, à l'exception de quelques commandes lors des décès et les romans de gare de sa mère furent leur seul et maigre moyen de subsistance pendant un moment. Les Leroy n'étaient pas dans la misère, mais leur toit commençait un peu à s'affaisser, la peinture de la façade à se ternir, les vêtements de la petite Isabeau à être rapiécés de partout.

Isabeau, qui détestait ce que sa vie était devenue. Elle ne se souvenait pas de la France, mais elle avait comme un goût d'espoirs bafoués dans la bouche à chaque fois qu'elle devait pousser le portillon branlant de sa maison. Quelques enfants du voisinage avaient tenté de se moquer d'elle, au tout début, avant qu'elle ne décide rapidement de prendre les choses en mains. Bo commença à traîner avec les petites brutes de son quartier, puis avec quelques moldus du village voisin. Elle s'imposa en tyran avant que quiconque ne puisse la traiter en victime, rôle dont les avantages lui plurent et qu'elle décida de conserver toute sa vie.

C'est la maîtresse de l'école moldue qui leur parla pour la première fois de l'aide sociale. Ses parents, sorciers et descendants de sorciers, ouvrirent de grand yeux ronds quand l'institutrice les initia au monde merveilleux du chômage. Les épreuves administratives pour le toucher, elles, furent un enfer. Un enfer de paperasse, de coups de téléphone, d'attentes interminables et d'incompréhensions profondes. Tandis que ses parents s'arrachaient les cheveux Bo, elle, trouvait cela fascinant.

Sa répartition à serdaigle fut une surprise de taille pour sa famille. On la pensait serpentard, on pouvait l'imaginer gryffondor, on supposait que pourquoi pas poufsouffle, mais serdaigle ? La maison des sages et des érudis ? Qu'à cela ne tienne, Bo se fit rapidement une aussi mauvaise réputation au sein de la tour que dans son quartier et bientôt les premières années apprirent à s'écarter à son approche. On murmurait qu'elle n'avait rien à faire chez les serdaigles, qu'elle ne s'intéressait à rien sinon elle-même, qu'on ne comprenait même pas comment elle faisait pour rentrer dans la salle commune dont le mot de passe changeait avec chaque nouvelle énigme. Mais ils avaient tord car une chose était sûre : Bo adorait apprendre. Enfant elle avait pu dévorer la bibliothèque de sa mère dans la tranquillité de sa chambre, ici, les bibliothèques semblaient ne pas avoir de fin. Bo réussit chacune de ses années, une à une, sans obtenir de notes mirobolantes mais en se plaçant souvent dans la moitié haute de sa promotion.

Son diplôme aussi, elle l'obtint sans surprise. Tous ses camarades avaient de grands rêves pour leur futur, des métiers inaccessibles qu'ils souhaitaient embrasser, et Bo se contenta de les regarder avec un sourire suffisant aux lèvres. Si l'histoire de ses parents lui avaient bien appris une chose c'est que lorsque l'on vise trop haut la chute n'en était que plus rude, et il était hors de question qu'elle fasse la même erreur qu'eux. D'ailleurs, elle avait déjà déposé sa candidature dans le bureau du directeur il y a quelques semaines de cela. Il lui avait semblé entendre qu'un poste de secrétaire se serait libéré récemment.  


jeliel

Du coup salut tout le monde, moi c'est jeliel, jel, vingt-deux piges bien tassées, et j'ai été traînée avec force et amour sur votre beau forum par personne d'autre que le professeur marvelous lui-même (pour toutes vos plaintes et requêtes, merci de vous adresser directement à son bureau notme). Je n'ai pas tellement grand chose à dire sur ma personne, sinon que je erre souvent comme un fantôme quand je m'ennuie, que j'ai une addiction un poil maladive au coca et que la beauté de votre graphisme m'a rendue aveugle une fraction de seconde. swag Je sais que tout le monde déteste Elsa (la pauvre, qu'est-ce qu'elle a bien pu vous faire d'ailleurs?) mais j'espère que Bo vous donnera un regard neuf sur la princesse disney et que la secrétaire ne vous fera pas trop chier. dangerous
Chocolat et marshmallows, j'vous aime putain. ♥️

#teamGiveElsaAGirlfriend  rpz (oui c'était juste pour avoir l'occasion d'utiliser cet emot psk jlm ptn)



Revenir en haut Aller en bas


Personnel
Marvel J. Solberg


Messages : 254

Date d'inscription : 30/08/2016

Feat : Robert Lutece / Cameron Monaghan

Crédits : AVALTOUT. ♥

Double Compte : C. Parfait Jdanov

Marvel J. Solberg





Re: The truth is life just ins't that hard ♦ Bo
09.09.16 22:52

The truth is life just ins't that hard ♦ Bo Tumblr_nu1389AXmy1ux2jboo1_500

... JE T'AIME. Je suis trop contente de t'avoir convaincue. Et même si on déteste tous Elsa (et toi aussi), je suis sûre que tu vas réussir à nous la faire aimer avec ta façon parfaite d'écrire. En vrai, j'aime déjà Bo. love

Ton épouvantard m'a fait rire. Idem pour le "mais j'aime faire croire aux gamins que c'était la lutte contre les forces du mal, juste pour qu'ils mouillent un peu leur pantalon en songeant à ce qui pourrait leur arriver s'ils m'emmerdent". Elle est presque cute. :sad:

Sérieusement, je suis en train de sauter de joie derrière mon ordi avec un sourire BN. Finis vite ta partie, que je puisse dévorer ta fiche.  heart
Revenir en haut Aller en bas


Personnel
Shasta Mathesson


Messages : 87

Date d'inscription : 10/09/2016

Localisation : Poudlard

Feat : XII - dCTb

Crédits : moi même

Double Compte : /

Shasta Mathesson





Re: The truth is life just ins't that hard ♦ Bo
10.09.16 19:15

Je suis newbie mais je poste quand même j'aime trop le début de fiche que tu proposes c:
Revenir en haut Aller en bas


Téméraire
B. Perceval Mcdonald


Messages : 750

Date d'inscription : 28/03/2016

Feat : Akaashi Keiji — HAIKYUU!!!

B. Perceval Mcdonald





Re: The truth is life just ins't that hard ♦ Bo
10.09.16 19:44

cette fiche dépote ♥
j'ai hâte de voir l'histoire omg CETTE SECRETAIRE TELLEMENT BADASS ♥♥
Bienvenue du coup si tu as besoin d'aide le staff est ici pour répondre à tes questions !
Revenir en haut Aller en bas


Invité


Anonymous





Re: The truth is life just ins't that hard ♦ Bo
10.09.16 20:07

Ok, j'admet, je deteste frozen, mais ce PERSO DE FOU OH MON DIEU
C'est genre, une tuerie? Alerte badass quoi!
Sérieusement, Bo a la classe, ou mieux, Bo est la classe.
Enorme bienvenue et tas d'applaudissement. boom
Revenir en haut Aller en bas


Personnel
Isabeau Leroy


Messages : 91

Date d'inscription : 09/09/2016

Feat : Elsa, Frozen

Crédits : yasha, ava, sha & nounours ♥♥

Double Compte : Sisi la maudite

Isabeau Leroy





Re: The truth is life just ins't that hard ♦ Bo
11.09.16 0:12

aaaaaw vous êtes tous super adorable love

marv; moi aussi jtm mais tu le sais, on va faire un grand duo tu vas voir ! Manque plus qu'une Mint se rajoute à l'équation et ce sera absolument parfait drool

shasta;
on s'en fiche de l'ancienneté c'est l'intention qui compte et je suis vraiment contente que Bo te plaise, entre gens cool et anciennes serdaigles il FAUDRA qu'on se fasse un lien swag

percy; j'avoue avoir eu peur que le poste de secrétaire ne marche pas et de devoir tout réécrire, mais au final je suis trop contente que ça passe et qu'en plus TU LA TROUVES BADASS. En espérant que l'histoire te plaise autant que le reste heart

kenji; je sais pas pourquoi personne aime Elsa ELLE A RIEN FAIT LA PAUVRE mais si Bo te plait alors tout va bien. Si Bo est la classe alors Kenji est le swag et ensemble ils seront la tuerie absolue fab

MERCI A VOUS TOUS ♥️
Revenir en haut Aller en bas


Téméraire
B. Perceval Mcdonald


Messages : 750

Date d'inscription : 28/03/2016

Feat : Akaashi Keiji — HAIKYUU!!!

B. Perceval Mcdonald





Re: The truth is life just ins't that hard ♦ Bo
11.09.16 19:32

alors ouais l'histoire a juste confirmé le tout BO EST TROP COOL j'aime cette secrétaire elle est terrible j'me suis marrée en lisant son caractère ♥️ et perso j'adore frozen même si je préfère Anna mais j'ai rien contre Elsa et je trouve que c'est un très bon choix de feat voilà.
j'ai hâte de te voir évoluer en rp en tout cas heart





Personnel !


Félicitations ! Le directeur t'accueille officiellement en tant que secrétaire à Poudlard ! Tu peux maintenant finir ta fiche tranquillement. Nous te conseillons de suivre Être un sorcier pour les nuls qui te guidera pour faire des premiers pas sur le forum !
Revenir en haut Aller en bas


Contenu sponsorisé







Re: The truth is life just ins't that hard ♦ Bo

Revenir en haut Aller en bas
 Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Antonin - 'Cause I need freedom now, and I need to know how to live my life as it's meant to be.
» When life gives you lemons, squeeze them in peoples eyes - Anselm
» Story of my life | Rps de Kieran
» Let's dance like life is no big deal - Coralyne
» Sugar is life || Sidney Hedger

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Firewhisky :: Administration :: Je suis... :: Dragonborn-
Sauter vers: