-39%
Le deal à ne pas rater :
Ordinateur portable ASUS Chromebook Vibe CX34 Flip
399 € 649 €
Voir le deal

Partagez
 

 ÉPISODE #1

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
Aller à la page : 1, 2, 3  Suivant
AuteurMessage


Préfet & Président du club de duels
Anton V. Lawliet


Messages : 839

Date d'inscription : 08/09/2015

Anton V. Lawliet





ÉPISODE #1
20.03.16 18:06



broken barrier


« 20 MARS 2016; 8h. Les vacances de Pâques touchent à leur fin, et il est l'heure pour tous les élèves rentrés chez eux lors de l'évènement de retourner à Poudlard. Aussi se retrouvent-ils tous à la gare de King Cross afin de se rendre sur le quai 9 3/4 où ils pourront prendre le train qui les conduira à l'école de magie. Encore peu réveillés, ils courent vers la barrière qui sépare le monde des moldus à celui des sorciers. Et c'est le drame.
Des douleurs et la stupéfaction, voilà ce qui les fige. Le mur ne s'ouvre pas. La barrière est cassée. Ils ne peuvent pas se rendre sur la voie 9 3/4, ils ne peuvent pas prendre le Poudlard Express. C'est la cata.

EXPLICATIONS; ce topic est un topic commun ouvert à tous. Il est recommandé de participer à ce premier épisode en répondant à la suite de ce message de petits RP. Sachez que les PNJ peuvent intervenir à n'importe quel moment afin de mettre de l'animation.  

CONDITIONS; votre personnage était rentré chez lui pour les vacances de Pâques. Cela peut être un professeur comme un élève.
Essayez de respecter un ordre de RP. De nouveaux élèves peuvent s'incruster à n'importe quel moment. Les interactions entre les élèves sont vivement conseillées.

Revenir en haut Aller en bas


Perceval


Anonymous





Re: ÉPISODE #1
22.03.16 13:59



   
« Broken Barrier »
feat. everyone


   

   
Il avait pas prévu de commencer la journée en se mangeant un mur. Genre. Littéralement.

Déjà, il détestait les retours de vacances. Enfin, il détestait les vacances tout court même. Parce que bon, rentrer dans sa famille ou même les plantes vertes avaient droit à plus d'attention que lui, merci bien. Mais bon, pas le choix, sa mère n'était pas très enthousiaste quand il avait suggéré au téléphone avant de rentrer de rester passer Pâques à Poudlard. Il pouvait presque l'imaginer, pinçant les lèvres et s’essoufflant d'indignation. « Blaise Perceval McDonald, tu vas poser ce bâton de bois que tu joues à agiter dans tous les sens le reste de l'année tout de suite, et tu vas ramener tes fesses pâles d'écossais à la maison ! » avait-elle piaillé à travers l'appareil, manquant de lui vriller les tympans s'il n'avait eu le réflexe, affuté par l'habitude, d'éloigner le combiné de son oreille.

Au final, ça s'était pas si mal passé. On l'avait ignoré, à l'exception de sa mère qui ne comprenait toujours pas pourquoi il tenait à retourner là-bas poursuivre ses études “fantaisistes” maintenant qu'il avait son Brevet, alors qu'il pourrait « rentrer en Écosse et faire de vraies études pour trouver un travail décent », comme elle le disait si bien. Il n'y avait bien que Tante Margarett pour le soutenir dans son désir de pousser ses études de sorcellerie plus loin. C'est elle d'ailleurs qui l'avait conduit hier pour aller prendre le train de nuit qui l’emmènerait jusqu'à Londres à temps pour enchaîner avec le voyage vers l'école de magie.

Il avait un peu la tête à l'envers et les yeux encore bouffis de sommeil une fois arrivé, s'orientant plus à ses souvenirs qu''en faisant vraiment attention dans la gare de King Cross. Il avait mal dormi le peu d'heures de sommeil qu'il eut, les couchettes du train étant affreusement dures. Ce qui explique pourquoi Perceval n'a pas plus accordé d'attention que ça au moment de franchir la barrière magique, tirant sa lourde valise derrière lui.

Mais ça n'explique pas pourquoi il s'est écrasé le nez contre le mur.

« Bordel de... » l'adolescent s'étouffa dans son injure grognée, relevant les yeux tout en se couvrant son visage rouge de la main pour vérifier. Le numéro des voies, des fois qu'il aurait choisi le mauvais mur. Mais non. C'était là. Alors quoi ? C'était cassé ? – est-ce qu'un sort magique pouvait seulement se casser ? Là tout de suite il savait plus. Perceval renversa la tête en arrière en sentant un peu de sang couler de son nez – évidemment, il s'était pas loupé hein.

Il tendit la main. Tâtonna le mur. Rien. La panique commença à s'insinuer en lui, lentement, comme un poison. Lâchant son nez, il frappa de ses deux mains sur le mur, se fichant bien que les passants le regardaient comme s'il avait perdu l'esprit. « Eh oh ! Eh que quelqu'un ouvre ce truc ! Non non non, tu peux pas me faire ça p'tain ! »

Ok. La journée commençait vraiment mal.

HRP:
   
Revenir en haut Aller en bas


Maav


Anonymous





Re: ÉPISODE #1
22.03.16 17:49

Episode 1

Broken Barrier.


« Ft Everybody. »
Les vacances de Pâques touchent enfin à leur fin. Si pour beaucoup les vacances sont synonymes de repos ou pour d'autres d'ennuis. Pour toi, jeune Maav, elles se résument à se lever en même temps que les poules pour s'occuper des tâches quotidiennes qui incombe aux agriculteurs entre la traite des vaches et la cueillette des récoltes sans pouvoir utiliser une once de magie. Tout ceci t'empêche d'avoir une minute à toi pour pouvoir lire ne serait-ce que deux lignes d'un des bouquins de cours que tu as ramené de ton école. Malgré le fait que tu sois au courant que chacune de tes journées de vacances vont être plus exténuante que tes semaines de cours, Maav, tu te sens obliger de rentrer chaque vacances parmi les tiens en Irlande.

Petite rousse, une fois que l'heure de la rentrée sonne tu es plus qu'heureuse de reprendre la direction du château de Poudlard, toute seule n'ayant personne pour te conduire jusqu'au quai. C'est parfaitement réveillé que tu te rends à la gare de King Cross dans laquelle tu te diriges dans les allées sans regarder devant toi bien trop absorber par le bouquin que tu as commencé dans l'avion, qui t'a conduit à Londres , et dont tu as beaucoup de mal à quitter des yeux. Cela va faire trois ans que tu arpentes la gare, Maav, tu te penses être parfaitement capable de t'orienter pour rejoindre la voie de ton départ.  Il t'arrive tout de même de percuter par moment des enfants se jetant dans tes jambes, mais malgré tout tu restes absorbé par la lecture du dernier livre que ta mère t'a offert pour ton anniversaire.

Si seulement tu avais levé les yeux de ce livre tu aurais pu voir le grand brun se trouvant à quelques pas devant toi se voir refuser l'accès à ta destination en se prenant le mur en brique en plein dans le nez. N'ayant pas pu voir la scène, tu continues de tirer ta lourde valise pourpre jusqu'à ce que, par inadvertance, tu rencontres le dos du pauvre homme, qui n'a décidément pas beaucoup de chance aujourd'hui. L'homme est en train de demander qu'on lui ouvre comme s'il était possible que la barrière magique qui cache aux yeux de tous les moldus travaillant et fréquentant la gare l'existence de voies secrètes utilisé par les trains magiques.

En tout cas, la rencontre du dos d'une autre personne avec ta tête, Maav,  te fait enfin lever le nez de ton bouquin ainsi que rapidement te reculer. Tu te sens gêné d'avoir ainsi percuté une personne alors que tu connaissais parfaitement les conséquences de marcher sans faire attention. Quand tu vois que l'homme ne se décide pas de bouger, tu finis par ouvrir la bouche, pensant que tout ce qu'il attend pour bouger et que tu t'excuses.

« Excuse-moi de t'avoir bousculé, mais est-ce que tu pourrais avancer ? Tu es en train de faire bouchon en empêchant les autres de passer. Surtout que pas mal de moldu se demande ce qu'on fait à attendre devant un mur.»

Pauvre Maav, si tu étais réellement au courant de ce qui était en train de passer tu ne serais pas aussi calme dans tes propos. Tu serais plutôt en pleine crise d'angoisse sûrement face à la peur de retourner à la ferme familiale. Hâte qu'on t'apprenne la vérité.

code by ORICYA.

Revenir en haut Aller en bas


Perceval


Anonymous





Re: ÉPISODE #1
23.03.16 16:18



 
« Broken Barrier »
feat. everyone


 

 
Pourquoi pourquoi pourquoi pourquoi

C'est ce que Perceval se répétait continuellement en boucle depuis quatre bonnes minutes. Il avait tout essayé. Il avait tâté le mur dans tous les sens, il avait demandé poliment s'il voulait bien s'ouvrir parce que ça serait aimable quand même de sa part. Il avait même hurlé un « Sésame ouvres-toi ! » qui l'avait laissé sans résultat autre qu'une honte intense en sentant le regard de plus en plus en inquiet pour sa santé mentale des passants. Mais rien à faire. Le mur ne s'ouvrait pas. Le quai 9 ¾ était inaccessible. Il allait louper son train, louper la rentrée, louper sa carrière de sorcier et finir sa vie comme un vulgaire moldu.
Au secours.

Il en était là, à ses lamentations internes, les deux poings crispés sur la pierre et la tête basse, quand il sentit quelque chose le pousser brusquement en avant et bim. De nouveau son nez vint retrouver son tendre amant le mur pour la seconde fois en l'espace de quelques minutes. Heureusement le choc fut moins violent cette fois, mais mince ! Sa journée était assez pourrie comme ça, pas la peine d'en rajouter. Perceval se tourna pour darder un regard un peu rancunier à la personne derrière lui qui manifestement, n'avait pas vu que l'entrée de la voie menant au Poudlard Express bouchonnait.  

C'était une fille. Rousse, plutôt mignonne si on s'en fit aux critères de beauté actuels et qui tirait une valise qui semblait peser le double de son poids. Est-ce qu'il l'avait déjà vu à l'école ? Peut-être. Là tout de suite, franchement, il avait autre chose à penser. Sa remarque fit légèrement tiquer Perceval, dont le stress ne faisait que monter en puissance actuellement. « Je peux pas avancer j'te signale ! Tu crois que je me suis arrêté pour admirer la vue ou quoi ? C'est bloqué. On est bloqué, et je sais pas pourquoi alors si t'as une explication, je t'en pris ! »

Sa voix était montée dans les aigus, comme à chaque fois qu'il s'énervait. Ce qui l'agaçait encore plus généralement parce que niveau virilité, on faisait mieux tout de même. Se frottant le nez qui s'était remit à saigner et commençait à goûter sur son sweat-shirt – génial, il était propre de ce matin pourtant et le sang ça part mal à la machine –, Perceval se décala légèrement et tapa sur le mur pour prouver à la jeune fille que rien ne se passait.

« Voilà, » souffla-t-il d'un air théâtrale « on est dans la merde. »

 
Revenir en haut Aller en bas


Préfet & Président du club de duels
Anton V. Lawliet


Messages : 839

Date d'inscription : 08/09/2015

Anton V. Lawliet





Re: ÉPISODE #1
23.03.16 18:26

    Fou rire.

    C’est la première réaction qu’il avait eu, Anton. Anton le garçon, Anton le sorcier — alors qu’il est là à manger son beignet payé 4 livres dans un Starbuck du coin. Ils se font pas chier. Il est assis sur la chaise, une cheville posée sur son genou, et il observe la foule, les gens, les moldus, les passants. L’échange d’arrivées et de départs, de pleurs de joie et de tristesse; les gares sont le début et la fin. Il attend le temps, le temps d’y aller; de retourner à Poudlard après ce qu’ils appellent des vacances. À côté d’Anton, un vieil homme avec des cheveux blancs, le dos chargé d’un long et éprouvant passé, se décide à rigoler — la scène qu’il a vu a quelque chose de bien particulier. En face d’eux — la voie 10, la voie 9, et un garçon qui bien décidé, fonce dans le mur de pierres rouges. “Où va le monde ?” sa voix est dynamique, sa voie est amusée. Anton reprend une bouchée. Un nouveau rire, roque de soixante dix années d’un long passé épuisant et rempli de fumée, une tête qui acquiesce. “Il parait que ce sont les jeux vidéos qui les rendent fous.” Le sorcier tourne un regard intrigué. “Les quoi ?” Une dernière bouchée, il enlève les quelques miettes restées en tapant ses mains l’une contre l’autre — et il se lève. “Peu importe — je dois y aller. Bonne journée.” Un dernier sourire à cet étranger, au revoir à un morceau de vie qu’il ne reverra jamais.

    Il attrape son sac délaissé à ses pieds, accroche un lanière à son épaule et se dirige vers le mur magique. Ce mordu se mêlait — non, ces mordus. Une jeune fille était arrivée, elle devait être sorcière, l’arrêter ou quelque chose d’autre — elle lui parler. Il fronce les sourcils; vraiment, ce mordu se faisait bien remarquer. Il arrive à leur niveau, il est le plus grand. Un regard, une observation rapide, et un sourire qui s’affiche. “Bonjour !”.

    Un regard discret sur le bouquin; elle aime lire. La lecture est un moyen de voyager, de s’échapper — de quoi, d’une vie trop remplie, d’une vie trop vide — ou de problèmes sans fin. Enfin. Il remonte ses lunettes et il voit le sang du blessé, juste en dessous de son nez. Le rire moqueur s’échappe sans même qu’il ne puisse le contrôler, et il s’approche pour mieux observer une source de douleur anodine. “Tu t’es bien amoché ahahah”. Et c’est tellement drôle qu’il sent les larmes lui monter, mais voyons, on ne pleure pas devant des inconnus; alors il se contente de se reculer, une main venant attraper la lanière de son sac à dos pendant lourdement dans le vide. “Les moldus ont besoin d’une autorisation spéciale pour passer.” il ne sait pas ce que sont les moldus, tant pis. Il n’a pas à savoir, il n’a pas à comprendre, juste à écouter et à encaisser. “Qui que ce soit qui t’en ait parlé, je suis désolé mais —.” Une valise et il se rend compte qu’il va à Poudlard, il est rentré pendant les vacances, comme lui. Il assume que la jeune fille est aussi sorcière. Ils ne sont pas moldus; sa théorie tombe à l’eau. “Attends — tu peux vraiment pas passer ?”  

    Anton n’est pas sujet à la panique — il n’est pas du genre à se ridiculiser comme ce— non, c’était trop tard, il était déjà contre le mur à le tater. “Genre VRAIMENT ?!”. Il y avait forcément une raison logique et expliquée. Peut-être était-il trop tôt — non, le Poudlard express était censé partir très prochainement. C’était étrange, comme soudain tout semblait s’écrouler. Il ne voulait pas retourner chez sa grand-mère, surtout pas; une semaine était bien assez de soupes pour l’année. Il laisse glisser la lanière de son sac — et il s’écrase sur le sol, bien plus lourd et rempli que ce qu’il ne le paraissait. Anton répéta les mêmes gestes de son prédécesseur: tater, taper, il tenta même de pousser le mur avec son épaule. Mais rien n’y faisait, ça ne bougeait pas. “Mais qu’est-ce qu’on va faire ?!” Ses mains attrapent ses cheveux — tout fraichement coupés par mamie magie. La merde, il avait dit. Ouais, c'était surement le mot. Fermer les yeux, réfléchir. S’éloigner du bruit — de la foule de la gare, penser. Les moyens pour se rendre à Poudlard étaient restreints, voire inexistants. Transplaner était impossible. La poudre de cheminette, peut-être ? Il lui semblait que c’était impossible. Vraiment, il y avait un problème. Doigts sur les tempes, silence aux lèvres, il semblait méditer. Mais non, il pensait.


Spoiler:
Revenir en haut Aller en bas


Maav


Anonymous





Re: ÉPISODE #1
23.03.16 20:10

Episode 1.

Broken Barrier


« ft Everybody »
Ton monde s’écroule. Tu n’arrives pas à y croire. Après avoir bousculé ce grand brun, tu t’excuses, tout ce qu’il y a de plus normal, mais l’homme pour seul remerciement brise tes rêves. Il t’apprend que la barrière qui empêche toute personne non magique de passer ne laisse même plus passer les sorciers. Tu mets un petit moment avant de vraiment comprendre ce que ça signifie, mais quand enfin l’information grimpe jusqu’à ton cerveau une boule d’angoisse se forme au creux de ta gorge.

Lors de ta première année à Poudlard tu priais tous les dieux pour que quelqu’un ou quelques choses t’empêche d’aller à l’école des sorciers la plus réputée. Mais là maintenant, non. Pas quand tu commences à apprécier ta vie à Poudlard. Tu n’arrives pas à y croire. Une question tourne en boucle dans ta caboche qui ose t’empêcher te retourner dans ton royaume de liberté ?
 
Des tremblements de colère finissent par apparaitre sur ton corps et tu sens que des larmes sont à deux doigts de couler le long de tes joues. Tu te sens perdre le contrôle. Tu ne peux pas t’empêcher de penser que tout ce qui se passe n’est qu’un rêve et que si tu te pinces tu te réveilleras dans ton lit à la ferme. Tu attrapes un morceau de peau près de ton genou visible grâce à la robe que tu portes. Mais rien ne se produit. Quand la voix du brun résonne une nouvelle fois dans tes oreilles, tu retrouves l’usage de la parole.

« Non, non ! Ce n’est pas vrai ! On est en train de nous faire une blague ! Où sont les caméras ? »  

Tu cherches les dites caméras utiles pour faire une farce aux élèves de Poudlard, mais malheureusement pour toi tu n’en trouves pas. Tu ne remarques personnes avec un comportement louche qui pourrait te faire douter. La seule chose qui se trouve autour de toi est des moldus qui se demandent bien pourquoi deux jeunes font tout un cinéma devant un pilier de brique. Tu entends même quelques personnes rires. Etre ainsi mise en avant te met mal à l’aise.

Ton attention porté sur les personnes en train de se moquer, tu ne fais pas attention qu’un géant, il est vachement grand ce mec, vient de se joindre à vous. Il réussit à te faire sursauter, Maav, rien qu’en vous saluant. Mais la venue de cet homme  te permet de remarquer que le premier brun que tu as rencontré à le nez en sang, fluide qui commence à tâché le sweat qu’il porte. Dommage pour lui, ce sera très difficile de rattraper la tache s’il ne tapote pas la tâche avec un peu d’eau froide, vieille technique de mamie.  

Maav, tu trouves ce géant impoli. Ça façon de rigoler alors que l’autre homme est blessé t’horripile. Tu te dépêches donc de sortir un paquet de mouchoir en papier de la poche de ta veste en jean avant de le tendre au blessé.

« Tiens prend ça. Ne tache pas plus ton pull tu vas jamais réussir à le reprendre.»

Maav, tu ne fais plus trop attention au nouveau venu jusqu’au moment où il capte qu’il se trouve dans la même situation que vous et que vous n’êtes pas des moldus.

D’avoir pensé deux minutes à autres chose à réussi à faire passer ta crise d’angoisse. Tu es donc plus calme et tu peux ainsi mieux penser, ce que fait visiblement l’autre ou il est peut-être en pleine méditation difficile à dire. Tu essaies de trouver quoi faire, mais rien te viens.

« Je ne vois pas ce qu’on pourrait faire sauf y aller en balais ou piquer une voiture volante, ce qui est assez difficile à trouver.  Ou il nous reste la possibilité de trouver ce qui bloque le passage. »

Pour toi, Maav, la barrière ne peut pas être cassée. Ça n’est jamais arrivé avant alors pourquoi ça se passerait aujourd’hui ?


code by ORICYA.

Revenir en haut Aller en bas


Perceval


Anonymous





Re: ÉPISODE #1
24.03.16 22:38



 
« Broken Barrier »
feat. everyone


 

 
Ah. Enfin. Enfin, la jeune fille avait une réaction décente et comprenait son propre désarroi. Perceval se sentait un peu mieux de la voir paniquer à son tour — merde, pas de raison qu'il soit le seul à se taper une crise sur ce vieux mur décrépi à la noix. Puis il repère les tremblements, les poings qui se serrent et s'ouvrent rapidement et les yeux brouillés par des larmes qui menacent de déborder d'un instant à l'autre. Ah non. Les filles qui pleurent, c'est casse-pied. Il aime pas gérer les crises de larmes et les reniflements sans élégance, et on parle même pas de la morve qui coule. « Eh. Euh. Chiales pas on va trouver — » Une solution ? La blague, il avait aucune idée de comment faire. Et puis pas sûr que la fille l'écoute de toutes manières.

Un rire. Derrière lui. Quoi encore ? Perceval renverse la tête. Le mec est plus grand. Il porte des lunettes et rigoles un peu devant son nez ensanglanté et rêves-t-il ou bien — non, le mec vient bien de le traiter de moldu. Il serre les dents. Ne pas s'énerver, ne pas s'énerver... Non, c'est bon. Le mec à capter. Soupir. Il avait l'impression que la discussion tournait un peu en rond là, à répêter les mêmes choses. « Non, je peux pas. Viens voir par toi-même, mais me prendre des murs c'est pas mon éclate habituelle, ça s'ouvre pas et j'sais pas pourquoi. »

Le mec commence à s'agiter aussi, à reproduire les gestes de Perceval. Tâtonner, frapper. Rien n'y fit. Pendant qu'il regarde du coin de l’œil avec la satisfaction de ne plus être seul à vivre ce problème plus qu'épineux, il se tourne aussi vers la fille. Elle lui tends un paquet de mouchoirs. Ah oui. Éviter de tâcher le pull, pas bête. Perceval hoche la tête. « Merci. » Il presse un carré de tissu sur ses narines, la tête un peu en arrière. Bon. Maintenant qu'ils étaient à peu près calmes et tous bien conscients du problème — trouver une solution.

L'autre mec, le grand là, semble réfléchir. La fille aussi. Ils étaient là, comme trois idiots devant leur mur et ils sont dans la même galère. Youhou. « Si tu connais quelqu'un avec une voiture volante. Parce que moi, non. » raille-t-il en glissant un regard à la fille. Il croise les bras. « Y a pas un service d'aide sorcier, un truc — n'importe qui, qu'on pourrait contacter ? Faut bien signaler que la barrière est cassée qu'on est bloqué, histoire que quelqu'un fasse quelque chose. » Il allait s'arracher les cheveux. Il vrilla son regard sur les deux autres. « Dîtes-moi que vous avez une idée ou quoi. Parce qu'il est hors de question que je rentre chez moi perso. En train, en dragon ou en carrosse-citrouille, je dois retourner à Poudlard. »

Rien que l'idée de se retrouver à faire demi-tour en traînant des pieds jusqu'en Écosse le faisait frisonner de déplaisir. Non mais c'était pas possible. Y avait forcément une solution. Perceval fit le tour du mur, tâtonnant toujours, au cas ou un malin aurait crû drôle de déplacer l'entrée — on sait jamais. Mais non. Rien ne bougeait, rien ne s'ouvrait. Il fallait trouver autre chose.

 
Revenir en haut Aller en bas


Pifou!


Anonymous





Re: ÉPISODE #1
25.03.16 18:29



broken barrier


Tu es assise sur ta valise depuis plusieurs minutes maintenant. Tu les regardes parler, et la seule chose que tu te demandes Leo, c’est qu’a fait le monde pour créer une équipe pareille. Une pleurnicharde, un mec paniqué et un autre complètement perché… En vérité, tu n’arrives même pas à déterminer si c’est une mise en scène ou bien réel; on aurait pu croire à une pièce de théâtre, à un canular pour sorcière-hebdo que tu t'amuses parfois à feuilleter pour faire passer le temps. Tu hésites même entre le sourire et le désespoir avec une telle comédie sous les yeux. Il n’y a pas besoin d’intervenir, ils ne te connaissent pas et ils ne savent pas qui tu es, ils ne peuvent pas te penser, tu es invisible (une parmi tant d’autres au milieu de ce quai rempli de gens parmi tant d’autres qui se croient uniques et complets). On retrouve ce vieil homme qui boit un café, les moldus qui s'arrêtent pour observer, les trains qui arrivent et qui partent dans un bruit sourd, les annonces futiles de la gare: jusqu'à ce que tu accroches un regard, une vague de lumière et de chaleur te submerge: partout dans les coulisses de ce quai, il y a des entrées dans le monde réel, des cachettes, des espaces à part. Tu le reconnais tout de suite, même si tu ne le connais pas, même s'il n'est qu'un étranger qui se cache derrière des lunettes et des cheveux trop longs; comme toi, il est élève de Poudlard et c'est au travers d'un couloir, un jour de printemps trop chaud, que vous vous êtes croisés (pas même salués, un simple regard échangé sous le soleil de plomb, un regard qui t'avait marqué, comme les autres que tu reconnais, toujours). Tu jures intérieurement, ne lui adresses pas la parole, dois te retenir intérieurement pour ne pas te lever et lui offrir une claque à l'arrière de la tête, lui ordonner de regarder ailleurs (ne serait-ce pas suspect, le sorcier à côté des autres lève déjà les yeux vers toi). Tu hésites à t'adonner aux politesses enseignées, saluer cordialement, te présenter amicalement; comme n'importe qui le ferait (mais les politesses ne sont qu'accoutumance à la société, et qui fait partie de la société si ce n'est que la populace un peu mal-menée, un peu manipulée). "Vous êtes une belle bande d'idiots." Tes lèvres se distordent, et ce sourire est là pour que le message passe un peu mieux que ce qu'il ne le devrait; pour adoucir tes paroles qui ont brûlé ta gorge trop longtemps pour les retenir; tu t'étonnes même de l'impact qu'il a sur le brouhaha de la gare, comme si ces paroles avaient submergé le monde et la vie qui t'entoure, un peu trop vraies et dérangeantes pour être totalement ignorées. Mais tu le sais, il est un peu tard pour s'excuser alors tu choisis de te lever et d'attraper la hanse de ta valise; tu est décidée à aller au ministère et de la cabine téléphonique, tu sais que tu trouveras une réponse, une solution pour te rendre au château. Tu peux déjà sentir le regard inquiet de ton père qui se pose sur toi alors que tu avances dans son bureau qui sent le vieux bois et la forêt; entendre les questions qui vont grandir jusqu'à devenir une peur; tu connaitras toi-même cette nervosité, cette peur, tu l'assumeras (comme si cette blessure était essentielle au rôle d'un parent: tu aurais juste le choix entre nervosité et peur). Ton regard se relève et rattrape l'un de ceux devant toi, et tu cherches à briser le lien, à t'échapper et ne plus jamais les revoir; oublier l'instant comme les souvenirs distants et vivre, vivre jusqu'à ne plus avoir de souffle, jusqu'à ce que les rides déforment ton visage et s'emparent de ta jeunesse. Mais tu ne brises pas le lien, tu interroges, tu demandes avec les yeux s'il y a quelque chose, un problème ou un commentaire; tu ne brises pas le lien et tes talons sont déjà tournés et prêts à s'éloigner: ils n'attendent qu'un signal resté silencieux.


© TITANIA
Revenir en haut Aller en bas


Préfet & Président du club de duels
Anton V. Lawliet


Messages : 839

Date d'inscription : 08/09/2015

Anton V. Lawliet





Re: ÉPISODE #1
25.03.16 20:15

    “Mais bien sûr !”

    Et la main droite du garçon était venue rencontrer sa gauche, comme un sursaut — elle avait trouvé la solution ! “Tu es brillante ! On pourrait utiliser des balais !” C’était tellement évident qu’il aurait pu le trouver tout seul, quand même. Enfin — Anton a retrouvé le sourire et ses yeux pétillent d’un nouvel espoir : ils pouvaient retourner à Poudlard, et tout ça grâce à cette lectrice rousse qui leur avait sauvé la vie grâce à son intelligence exceptionnelle ! Il lui en était réellement reconnaissant; que les gens pouvaient se révéler surprenants, quand ils le voulaient. Il pose une main sur l’épaule du garçon, compatissant à ses paroles. Il semblait réellement détester les vacances. Une famille ennuyante peut-être ? Ou bien — enfin, ce n'était pas très important, mais ça semblait bien le contrarier, de ne pas retourner à Poudlard. En y réfléchissant, Anton n'était pas tout à fait sûr de vouloir retourner chez sa grand-mère non plus; Poudlard semblait une bien meilleure option. “Je te rassure, je refuse de rester ici aussi — je veux dire, attends, on ne peut pas louper autant de cours, j’ai un concours en fin d’année. Mais enfin, à part le directeur, je ne vois pas qui pourrait nous aider. Et on a aucun moyen de lui envoyer un message, on ne peut tout de même pas utiliser un Patronus ici, pas vrai ?” Il considère toutes les options du garçon. Un dragon, un carrosse citrouille — attendez, un quoi ? Pourquoi une citrouille ? Enfin, ce n'était pas la question.

    Il y avait bien plus important pour se pencher sur une telle question à cet instant précis. Car le garçon avait suggéré un dragon — un dragon. Déjà, il fallait le trouver: celui de Gringotts ? Enfin, c'était impossible; ils se feraient tous envoyer à Azkaban avant même d'avoir dit le mot "Poudlard". ”Je sais qu’il y  a un dragon à Gringotts, mais il faudrait pour ça le leur voler, et — je crois que sur une échelle de 100, nos chances de nous en sortir sont de 3,8%, magie utilisée incluse. Mais je dois avoir de vieux balais à la maison — je ne suis pas sûr qu'ils soient tous en état de marcher, mais si l'un d'entre nous peut se rendre à Poudlard comme ça, on pourrait prévenir le directeur et faire quelque chose !” s'était-il exclamé en laissant son dos s'appuyer contre le mur de briques rouges. Anton avait croisé ses bras, et ne voyait pas d'autre solution potable. Le magicobus ne sortait pas de Londres, mais il y avait un gros problème à leur — sa — solution : l'emplacement de Poudlard était tenu secret depuis sa création. ”Enfin — quelqu’un sait comment se rendre à Poudlard par les airs ? Oubliez cette idée, c’est impossible. On pourrait contacter la radio magique ? Je ne sais pas comment; je ne sais même pas où sont leurs bureaux. ” C'est le désespoir le plus total. ”Tu trouves quelque chose, là derrière ? ” demande-t-il, espérant soudain une exclamation de joie, espérant que le garçon trouve quelque chose qui peut-être les aiderait.

    C'est alors qu'il commence à regarder dans le vide, et qu'il se rend compte qu'on les observe — et de pas si loin que ça, il est presque sûr qu'elle est même trop près pour ne pas les espionner. Elle est assise sur sa valise et ils ne l'avaient même pas encore remarquée, une rousse un peu flippante. Hey, pourquoi elles étaient toutes rousses, ici ? C’était un rassemblement ? ”Ah — Salut ?” dit-il, mais seul le silence semble émaner de la jeune fille. Enfin, cela aurait été carrément mieux si elle avait laissé le silence planer, parce que sa remarque avait directement fait réagir Anton qui s'était redressé, prêt à mordre, prêt à montrer les dents. ”T'as un problème ?!” Enfin — il ne réfléchissait pas vraiment. Il ne voulait pas voir qu'ils avaient réellement l'air d'idiots, ici à déblatérer des solutions sans queue ni tête. Mais même, ce n'était pas des manières ! Même s'il pouvait parler en vue de son introduction aux deux autres, il ne se laisserait pas faire comme ça. Qui était-elle pour parler de cette façon ? Il est prêt à lui sauter dessus, à lui sauter à la gorge alors qu'elle semble déjà vouloir s’éloigner. Car vous savez — Anton détestait ces moments où il se sentait impuissant et stupide — c’était presque de l’humiliation.

    Et elle ose — elle ose ! — sourire — essayer de se montrer gentille ?! Quel genre d’être humain était aussi désagréable ? Lui, peut-être, mais il l’était avec les autres, alors il ne s’en rendait pas vraiment compte. Enfin, ce n’était pas lui, de s’énerver comme ça, de monter sur ses grands chevaux si rapidement. Il était bien censé être réfléchi, c’est comme ça qu’on le voyait. Alors Anton s’était mis à respirer un peu plus fort, il avait lâché sa baguette à contre coeur qu’il avait attrapé inconsciemment dans sa poche. Il voulait lui faire la peau, mais il y avait des moyens bien plus intelligents pour le faire. Elle allait voir, une fois qu’ils seraient arrivés à Poudlard. Enfin, tout cela était bien moche et désagréable, mais leur problème n’était toujours pas résolu — et il était en réalité bien loin des pensées d’Anton qui maintenant, imaginait la rousse mourir sous ses sortilèges. Anton se retourne vers l’autre fille, parce qu’entre filles elles sont peut-être plus douées pour communiquer. “Tu devrais lui demander si elle a une solution, elle te répondra peut-être un peu plus gentiment, à toi. T'as l'air mignonne.” Il se retenait fortement d'insulter la nouvelle venue de tous les noms. Enfin — il ne doutait pas des pouvoirs de la petite rousse toute mignonne — il l'aimait soudainement beaucoup, la lectrice assidue. Et elle était définitivement beaucoup plus mignonne que l'autre harpie arrogante.
Revenir en haut Aller en bas


Maav


Anonymous





Re: ÉPISODE #1
26.03.16 10:05

Episode 1

Broken Barrier.


« ft. Everybody »
Tu es contente que ton idée des balais semble plaire, même si personne n’a de balais caché dans sa poche ou sa valise. Tes joues se colorent en rouge, Maav, suit à ce compliment. Le premier brun que tu as bousculé donne l’impression de toujours autant paniqué, faut le comprendre, mais dans sa panique il donne lui aussi de bonnes idées qui ne sont, elles aussi, pas facile à réaliser.

«  Je ne pense pas qu’ils ont prévu un service d’aide au cas où la barrière ne lâche. Les créateurs devaient penser qu’elle tiendrait tout le temps. Ce qui est bien dommage parce qu’on en aurait bien besoin.»

Tu sers ton livre contre ta poitrine. Essayant de trouver d’autre idée parce que voler sur des balais qui ne tiendront peut-être pas tout le voyage ne t’emballes pas vraiment, elle ne fait même un peu peur, tout comme l’idée d’aller emprunter le dragon de Gringotts c’était sans toi d’ailleurs le géant était bien généreux d’évaluer vos chances à 3,8%, pour ta part, Maav, tu l’aurais évalué à 0,1%. C’est déjà pas mal.

Comme les deux garçons tu veux à tout prix retourner à Poudlard. Tu ne le diras pas à voix haute car ça ne va pas faire n’apporterai rien de constructif à la conversation. Mais vous êtes tous les trois habité par la même envie de retourner à l’école des sorcier pour vous bourrez la crâne de leçons, enfin pour la dernière partie c’est surtout toi qui le désire. Cependant, tu trouves l’idée du géant, d’envoyer un message très intéressante. Envoyer un patronus n’est pas possible le règlement interdit aux élèves d’utiliser la magie en dehors des frontières de Poudlard et même si dans cette situation tu n’enfreindras pas le règlement. Mais il reste la possibilité d’envoyer un hibou. Tes lentilles jaunes se tournent vers le géant avant que tu ne prennes la parole.

« Ton idée d’envoyer un message est très intéressante. On pourrait envoyer un hibou à Poudlard. »Tu regardes autour de toi personne n’a d’hibou sur lui. «  Bon personne n’en a là, maintenant, mais on peut se rendre au chemin de traverse et aller demander au vendre de hibou s’il peut nous en prêter un après lui avoir expliqué la situation. S’il refuse on peut toujours le louer ou l’acheter. »

Les récoltes ont été assez bonnes cette année ce qui fait que ton père t’a donné un bon salaire, car oui même si tu travailles pour les aider ton père te donne tout de même quelques choses. Tu peux donc te permettre une telle dépense, même si ce n’était pas ton premier choix d’achat, mais pour rejoindre Poudlard tu serais prête à tout. En espérant que ta chauve-souris Bruce ne t'en veuille pas.

Les idées continuent de fuser du côté du grand brun, annulant tout de suite l’idée que tu as eu avec les balais. Il a raison personne ne sait réellement où se trouve le château. Même si la possibilité de suivre les rails du train. Mais là encore ce n’est pas une idée sûre. Sur le coup tu ne sais pas vraiment ce que pourrait faire la radio magique, on n’est même pas sûr que les profs ou le directeur l’écoute.

« Le mieux c’est de carrément tout de suite prévenir le ministère de la magie. Là encore il faut aussi savoir comment si rendre, mais les sorciers du ministère seront plus amène à nous aider que la radio, enfin je pense. »

Une nouvelle personne fait irruption dans la conversation, tu te doutais bien Maav, qui vous n’êtes pas que trois à galérer, mais les élèves de Poudlard sont-ils tous impolis ? Tu te poses la question parce que tu n’as pas vraiment l’habitude de traîner avec des personnes préférant la compagnie le plus souvent silencieuse des livres. Le géant à dû mal prendre ce que vient de dire la rousse, ce qui est paradoxal. Un sourire apparaît sur tes lèvres parce qu’il a débarqué pratiquement de la même manière.  Ayant passé une bonne partie de ton enfance à observer les autres Maav, tu lis facilement la colère dans les traits du brun. Tu te tiens, même, prête à intervenir si jamais il dérape. Les passants vous regards déjà bizarrement il ne faut pas les alerter encore plus. Mais il a l’air de se calmer tout seul et il finit même par te demander de t’en occuper.

« Euh … » Tu ne sais pas bien ce que tu pourrais lui dire. Maav, tu n’es pas la plus forte pour ce qui est de la communication avec un autre membre de l’espèce humaine. Mais tu vas tout de même faire un effort, un cerveau supplémentaire serait le bienvenu. Tu te tournes donc vers la nouvelle venue. Un sourire se dessine sur tes lèvres comme pour amadouer la demoiselle. « Salut, je m’appelle Maav »Tu ne sais pas s’il fallait que tu lui dises ton prénom dans la doute tu as préféré le faire pour la mettre en confiance. « La barrière ne nous laisse pas passer » Elle le sait sûrement déjà au vu de sa remarque, mais continue Maav. «  Tu n’aurais pas une idée pour qu’on puisse tous rejoindre Poudlard ? Nos idées sont un peu confuse tu pourrais nous aider. »

Pendant toute ta petite tirade, ta voix tremblait, ce qui montre à tout le monde que tu n’es pas du tout à l’aise pour faire le premier pas vers quelqu’un même s’il s’agit d’une fille. Le pire c’est que la rousse qui se tient devant toi n’est peut-être pas une sorcière et qu’elle va finir par se tirer pour aller dans le premier hôpital psychiatrique qu’elle va trouver pour les avertir que des malades se sont échappés et que maintenant ils essaient de passer un mur qu’ils dissent bloquer pour pouvoir s’enfuir.


code by ORICYA.

Revenir en haut Aller en bas


Personnel
Bogeyman


Messages : 1424

Date d'inscription : 03/09/2015

Bogeyman





Re: ÉPISODE #1
27.03.16 16:24



broken barrier


« 20 MARS 2016; 10h. Alors que vous discutez (vous disputez), un petit bruit commence à attirer votre attention — après que vous ayez frappé comme des barbares sur ce pauvre mur qui n'avait rien demandé, des fissures sont apparues sur la barrière ! Elles sont pour le moment petites et presque invisible, mais plus le temps passe, plus elles risquent de s'agrandir... Enfin, ce n'est que supposition.

Revenir en haut Aller en bas
https://firewhisky.forumactif.com


Invité


Anonymous





Re: ÉPISODE #1
28.03.16 19:34





Tu fis appelle à toute ton énergie et ta patience quasi inexistante pour ne pas gueuler. Bien sur tu lâches un mauvais juron comme à ton habitude. Non tu ne t'étais pas cogner au mur, un jeune homme brun l'avait fait avant toi et tu pouvais voir que le passage, à votre véritable gare, refusait de s'ouvrir. Il y a avait un gros problème, te voilà avec ta grosse valise rouge assise sur un des bancs du quai. Tu ne pouvais rien faire alors tu t'étais assise en réfléchissant, tandis que deux jeunes forçaient leur méninges, bien que tu n'y faisais pas attention plus que ça. Tu te decide de bouger avec tout ton matos pour allez voir ces deux autres. La petite rousse te remarque d'abord, se présente elle ainsi que les faits.

-" Tu n’aurais pas une idée pour qu’on puisse tous rejoindre Poudlard ? Nos idées sont un peu confuse tu pourrais nous aider."

-"Pas vraiment, avertir le ministère prendrait trop de temps, je peux suggérer de trouver un autre moyen d'y aller mais... ça me perturbe que ce tas de pierre refuse d’obéir pour une fois. Je peux sortir ma baguette dans le pire des cas mais..."

Un bruit sourd se tient non loin de nous, tu fixes le mur et t'y approches doucement. Quelque chose sentait mauvais tien, et tu parles pas d'odeur mais ressenti. Tu as beau toucher le mur rien à faire ! mais... il y avait un mais. TU recules un peu et fait signe aux autres d'en faire de même. Honnêtement tu ne savais pas quoi faire. C'était bien la première fois.

It doesn't hurt, I do it all the time.






Revenir en haut Aller en bas


Contenu sponsorisé







Re: ÉPISODE #1

Revenir en haut Aller en bas
 Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 3Aller à la page : 1, 2, 3  Suivant
 Sujets similaires
-
» ÉPISODE #3
» Épisode #4
» Episode #5
» ÉPISODE #2
» ÉPISODE #6 — Summertime !

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Firewhisky :: Ailleurs :: Londres :: King's Cross-
Sauter vers: