'Lut ! Moi c'est
EDEN -parce que personne m'appelle Hypollite à part mes parents - ; j'ai
22 ANS, je suis
ANGLAIS - gallois, plus précisément - et
MES PARENTS SONT TOUS DEUX SORCIERS. J'suis en
7E ANNÉE D'ÉTUDE afin d'obtenir un
ASPIC en
DROIT MAGIQUE - et comme j'suis maso, j'ai pris les options
RHÉTORIQUE DES SORCIERS AU XXIE SIECLE ET ÉTUDE DES MOLDUS. J'fais partie des
TÉMÉRAIRES et j'ai pour maison
[UC]. Et j'ai rien à ajouter, votre horreur.
//SURRENDER THE THRONE
MON ÉPOUVANTARD, c'est mon père, grand, puissant, impressionnant,
inégalable (du coup c'est énorme
ridikulus parce qu'il finit sapé comme m'man, et c'est juste magique quoi).
L'ODEUR DE L'AMORTENCIA ça sent le chocolat chaud, les brownies, la fleur d'oranger et l'odeur du feu de cheminée.
MA BAGUETTE EST FAITE DE 27cm de bois de vigne, plume de phénix pour cœur, assez souple.
MON PATRONUS est un rottweiler.
MA MATIÈRE FAVORITE EST bah ptn ça serait dur à dire. autant j'adore l'étude des moldus -ils sont trop bizarres c'est énorme- autant j'adore l'occultisme en détails, et défense contre les forces du mal... j'dirais occultisme en détails, si j'devais décider.
JE SUIS DOTÉ du
problème don de métamorphage, yo !
ET J'AI un humour de merde, un irrespect total, des bottes pleine de boue sur ton parquet et j'suis jamais coiffé. tu vois l'mec qui ressemble à rien, c'est moi. globalement.
MON MEILLEUR AMI EST un
caniche chat à pelage écaille de tortue répondant au doux nom de Grumpy (avoir honte ?).
Hypollite Eden O'Donoghue
Percy Jackson ++ PJ/hoo
i don't care what you think as long as it's about me
c'un galérien + curieux + surprotect- eur + loyal + à l'écoute + rancunier + adore la bouffe + vraiment + random + dort partout + même dans des toilettes + raconte souvent de la merde + a un humour nul + juste nul
On s'en fout – de tout – de vous ;
on s'en fout, on est jeune on est fous ;
ô Eden s'en moque bien, tant qu'il a le rire aux lèvres.
Eden c'un rire, un haussement d'épaules ; Eden c'est la musique qui t'pète les tympans, les jeans pleins de dessins et d'agrafes – ils sont faits pour s'entendre – Eden c'est des lunettes de soleil en intérieur et les bottes pleines de terre sur l'parquet d'maman.
Eden c'est dire merde au respect, peut être.
Eden ça mange ses mots – Eden on s'demande encore si c'est humain sur les bords, c'truc là. Eden ça s'tient pas très droit, on l'aura compris – Eden, ça s'en fout.
Eden ça vit.
Ça rit fort, ça tourne sur son siège et se bascule en arrière ; Eden ça bouscule et ça agrippe, Eden c'est sans tabou – ou presque. Eden ça a le sourire en permanence, le regard fouteur de trouble, le regard rieur – Eden ça a le faciès du mec joyeux, du mec pas commode, du mec intimidant, du mec amical. Eden c'est p't'être un peu compliqué – ou étonnement simple. Lui demandez pas à Eden, il en sait rien.
Demandez lui de prendre l'air, demandez lui d'vous aider ; Eden il débarque à minuit dans votre piaule par la fenêtre, Eden ça vous défonce une porte pour vous apporter un sourire ou deux. Eden c'est con mais on l'aime comme ça, pas vrai ? On l'aime loyal l'Eden, on l'aime toujours présent et fidèle. On l'aime pour son boucan, on l'aime pour son bordel ; on l'aime pour son indélicatesse et sa présence, on l'aime pour ses avions en papier en plein cours et ses références moldues à tout va ; on l'aime pour sa désinvolture, l'aime pour sa rébellion.
Ou on l'déteste pour ça.
On l'aime on le méprise – il s'en fout, de ça aussi ! Les visages sont interchangeables et les regards curieux, amusés, courroucés, mais jamais perplexes qui sait ; Eden connaît pas vraiment la surprise, juste le ravissement.
Mais Eden connaît la colère.
C'est un truc bruyant et colérique, Eden ; c'est une espèce étrangement calme la plupart du temps, quoiqu'il gueule fort pour s'faire entendre.
Surtout quand il est pas content.
Il a souvent ses règles l'Eden.
Puis quand il trouve un truc amusant – il aime partager les trucs amusants.
L'Eden est bizarre mais on s'y habitue – on s'y attache, on crache dessus.
Puis Eden on l'voit à la bibliothèque des fois, aussi.
On le salut – on continue d'avancer – on recule – on réalise.
Eden c'est pas un branleur – même si on dirait pas, quand on l'voit arriver.
Eden c'un mec qui s'démène, un mec qui en chie putain, mais il déchire tout à l'arrivée et c'est ce qui est magique avec Eden. C'est p't'être pas une tronche de base, mais c'est un acharné, et tant qu'il a pas réussi ce qu'il avait en tête, il baisse jamais les bras – le boss final des têtus, l'Eden. C'est pour ça qu'il en est là ; c'pas un branleur Eden, c'pas le mec tiré à quatre épingles mais c'est un bosseur. C'est de l'ambition plus qu'on ne pourrait l'imaginer – oh vachement plus ! Eden c'est fini d'être le « fils de », Eden c'est un futur ministre ou que sais-je, mais bientôt, c'est son père qui sera le « père de » ; et ce jour là p'tain, il aura réussi sa vie.
Eden c'est un môme bourré de rancune qui veut s'venger sur la vie, tu vois. Eden c'est le fils qui grandit dans l'ombre paternelle, le gamin qui s'emmêle dans ses pas, parce qu'il sera jamais assez bien ; alors il sera mieux.
Et qu'on s'souvienne de lui, Eden, du gamin sur lequel on a craché, qu'on a moqué – parce que bientôt, il sera fantastique et il s'en souviendra. C'est une promesse.
Même si en attendant, Eden ça respecte pas grand chose – et ça adore ça.
Eden ça vit, à s'en brûler les ailes.« t'sais, j'considère la vie c'est une piñata. Faut shooter d'dans pour avoir les surprises. »
Et sur cette note profondément philosophique, il continue d'bouffer.
L'Eden est tellement philosophe, grand penseur de son temps – homme extraordinaire.
L'Eden fera de l'ombre à son paternel c'est certain – l'inquiétant, c'est de savoir comment.
Parce que l'Eden, il a grandi dans l'ombre de son paternel ; rien de plus qu'un gamin qui s'casse la gueule, bouffe ses mots, regarde avec admiration et envie ce personnage en couleurs qui font briller les yeux de certains.
C'est ça, quand son père est un grand écrivain. Quand son père fait rêver le monde sorcier, quand son père est un ancien auror – quoi de plus cliché ?
Son père c'est qu'un cliché.
Comme lui, mais dans un genre différent.
Il va pas dire qu'il l'aime pas, son daron ; il le kiffe, c'son père. Mais il est tellement loin. Il brillait trop pour le gamin largué qu'il était, trop pour le p'tit raté, le p'tit paumé.
Il l'aimait son fils ; c'était son môme, son p'tit mec. C'était pas même l'ombre d'une déception – non, tout ça, ça n'a toujours été que dans sa tête et il le sait.
Eden, c'pas à son père qu'il en veut, c'pas contre lui qu'il a une dent. C'est contre tous ces cons qui s'exclamaient « ah mais t'es son fils ! » comme si cette simple phrase, non, le simple mot « enfant », cette simple filiation pouvait le définir.
Son fils.
Juste son fils.
Eden était le fils de
et il savait pas comment être Eden.
Eden il avait d'la rancune ; contre son père, contre cette innocence, contre tous ces abrutis.
Contre les attentes, contre la déception.
Contre le fait qu'il ne serait jamais assez bien, jamais aussi bien.
Mais son père a toujours été un sommet inatteignable.
Et ça le bouffe, ça le bouffe, ça le bouffe.
L'ambition et la rage gonflaient dans ses veines à l'Eden. Et il avait beau être nul, il en serait autrement plus tard ; son obsession. C'est son obsession – sa promesse – il serait exceptionnel.
Alors il a tout fait pour s'démarquer, pour ne plus être le fils de ; il a fait l'con, il bossait pour être l'premier à l'école – la logique a toujours échappé à sa daronne, mais elle s'en est jamais plaint –, il a décidé de s'intéresser aux moldus – parler comme eux, regarder les mêmes trucs qu'eux.
Ça déroutait son paternel.
Ça l'amusait.
Puis Eden est devenu lui-même, un jour ; il a su qu'il était lui et personne. Il avait tous ces visages, et son miroir était chaque jour une peinture différente – ou souvent.
C'était perturbant.
C'était un signe -
celui qu'il attendait.
Eden il avait trop d'ambition au fond ; mais il s'en foutait -fout toujours- ; et quand bien même il a pas la dégaine, il a décidé qu'il tafferait au ministère de la magie plus tard -ce serait son rêve, plus que d'être lui-même. Alors quand bien même cela sera difficile, il s'obstinera.
Afin que Eden ne se résume plus à « fils de », afin que son parcours ne se résume plus à son paternel, afin qu'il ait quelque chose à raconter, enfin.
I can work a miracle, work a miracle
et là y a moi. genre moi derrière l'ordi. et du coup, bah, j'suis kingyo. ou audrey irl. at choice. j'suis aussi connue comme brioche ou oreo mais voilà. j'sais jamais quoi dire dans les parties libres c'fou eurgh. donc, euh, j'suis étudiante en l3 en droit et (je vous aime) du coup niveau dispo c'moyennement ça mais j'vais faire un effort. promis. même si j'ai genre mes partiels dans un mois et que j'm'inscris au bon moment -remarque au moins c'pas la veille des partiels HAHAHA. (lol j'aurais pas eu la patiente d'attendre)(vous m'faites de l'œil depuis trop longtemps)(en plus Avalon m'a torturée en me parlant du fo je)(tapez la)(méchante)(qwwq)(comment ça j'me démerde ? maiiiis)(et j'vous connais d'un parto sinon)(wala)(love)
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