only fools ▬ hyacinthe

o’connor hyacinthe.

FEAT ashley park ; siobhan chiffon

JE SUIS o’connor hyacinthe J'AI 25 ans JE SUIS anglais, origines thaïlandaises ET MES PARENTS SONT son père est sorcier, sa mère moldue JE SUIS bibliothécaire DEPUIS deux ans  MA MAISON ÉTAIT gryffondor J'AIMERAIS RAJOUTER QUE asiatique // métisse // 160cm // écoute souvent de la musique  

❝ les fleurs méprisent lorsque les saisons divorcent ❞

Caractère.

L’allure pimpante dans le regard, quelques étoiles parfois, amoureux de la vie, amoureux des livres, des mots, t’aimerais épouser la poésie. T’aimes à penser que tu puisses faire parti de l’histoire, c’est un rêve enfantin, plus qu’une utopie en soit, parce que t’es trop simple. Un fond de tableau, timide, que seul l'œil de l'artiste ne serait discerner. A l’écart, par hasard, le monde et les autres sont pour toi pourtant le moins pire des affres. Pris de passion pour le monde, t’es toujours un peu plus en quête de réponse, car t’as l’esprit archéologue, car t'éprends pour le moindre mystère, car t’es romantique envers trop de secrets. Notamment ceux de l’univers.


Perdu entre deux époques, possédé à jamais du charme de l'adolescent qui devient adulte. T’aimerais pouvoir te montrer plus rebel, plus poignant, avec des discours semblables aux ouragans. Cela dit y’a une certaine maladresse dans tes paroles, des balbutiements comme des échos, des murmures en quête de réponses. Et t’as ces tendances à chavirer, à épouser les sols, à perdre tes pas car les connaissances te séduisent. Et ça te creuse, et ça te creuse.


Alors tu tentes à chercher cette maturité, cette prestance qui ne saurait t’appartenir. Celle que t’envie jalousement, car tes airs sont trop candides. T’essaies, t’essaies durement, pourtant les reproches sonnent comme des réquisitoires à tes oreilles, tes sourires se fanent et t’esquives les regards. Un  jour Hyacinthe sera grand, on t’a fait croire. Et t’y crois toujours parfois. Parce que t’es tout plein d’espoir, a voir plus de blanc que de noir.


Un surplus de sourire, sans aucun desseins dissimulé, aucune avidité, si ce n’est celle du savoir. Mais y’a le temps qui passe et toi qui ne grandit pas. Peut-être c’est mieux comme ça. Car tes maladresses égaient plus qu’elles ne désespèrent, que t’as encore le droit à l’erreur, que t’es loin d’être incapable surtout. Malgré tes discours ambigus, de ces mots qu’on croirait inventé, de tes syllogismes parfois aberrants. Paradoxalement, tu donnes envie à la parole, toi et tes airs juvéniles, car tu sembles accessibles avec tes beaux sourires. Presque à la manière d’un enfant, car t’as trop de connaissance, parfois barbant t’en demeures pas du moins touchant, à ta façon, car les fleurs semblent  naître au coin de tes lèvres et que dans tes yeux, les pétales explosent, surréalistes prête à conquérir les cœurs idéalistes.


tête-en-l’air - rêveur - maladroit - susceptible dans un sens (il n’aime pas qu’on lui fasse des remarques) - optimiste - rat de bibliothèque - réservé - ouvert d’esprit - peu bavard - pas très clair dans ses propos - soigné du mieux qu’il peut - pas crédible - passionné dans le sens où il aime trop de chose - calme

Histoire.

Famille métisse dans tous les sens du terme. Élevé entre deux cultures, celle de l’irréalisme pur, l’autre de la littérature. Et quand la magie n’est pas abracadabrantesque, elle devient rimbaldienne ; ce couple, cette addition, ça a donné naissance à une fleur. Hyacinthe, c’est toi, enfant timide, le nez plongé dans des livres, une poignée d’ami, des petits sourires. Des parents adorables, l’intelligence sur le bout des doigts. Une enfance paisible à Britghton avant d'emménager à Londres. Une vie peu intéressante sans pour le moins ne pas être touchante.


Des mains qui s’enlacent, des mots d’amour qui dépassent toute magie, un enfant aimant et aimé en retour. Un enfant qui s’en fout du reste, même si parfois ça t’apporte quelques misères. Arrivé à Poudlard, assigné à une maison qui - tu penses - ne te convient pas, souvent embêté par tes camarades. Car Hyacinthe ne parle pas trop, car tu préfères lires ou arroser les plantes, car t’es petit, car t’es timide. Et t’es jeune, trop jeune. Mais t’en souffre pas, c’est pas méchant, au final - tu crois - car y’a pire dans la vie et que t’es déjà comblé.


Elève modèle, gracié de bonne notes, tu restes cela dit à l’écart d’un succès brillant, celui de la scène, celui qu’on acclame, celui des génies. Ca te convient pas, ça te ressemble et tu continues discrètement les études, te penchant parfois sur les cursus moldu.  Tu t’abandonnes auprès des livres attendant une opportunité.


Un jour. Tu reçois un courrier. Celui du vieux bibliothécaire de l’école, une recommandation, une proposition. Tu l’avais toujours apprécié, cet homme et lui te connaissait que trop bien.Tu vois ça comme une occasion de débuter une vie,  tu sers d’abord d’assistant, de débutant.  Et la confiance prend forme en même temps que l’expérience.


Te voilà, tel que tu es aujourd’hui. C’est tout aussi simple, quelques obstacles sur la route dont tu serais te rappeler, quelques moments de difficulté dont tu n’oses te remémorer, y’a toi, y’a le parchemin, l’encre, l’odeur du bois, des brochures de cuirs et de papiers jaunis.  

heiwa

appelez moi comme bon vous semble ihfreior, j’ai 18 ans et ma vie est un véritable échec, des fois j'écris