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 les danseurs d'autrefois, égorgeurs d'à présent,

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Hibou
Amaelio Arwystl


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Date d'inscription : 22/12/2016

Feat : vivian; demian ashes

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Amaelio Arwystl





les danseurs d'autrefois, égorgeurs d'à présent,
22.12.16 22:16


amaelio
ceitho
arwystl
20 ans
gallois et letton
sang-mêlé
parents sorciers
6ème année
llcm
toutes les options (+ êtres de l'eau)
hiboux
ÉPOUVANTARD, lui, sans bras ni jambes
ODEUR DE L'AMORTENCIA, résine de pin, bois de santal, thé chaï
BAGUETTE MAGIQUE, pin, cheveu de vélane, 29,7, souple
PATRONUS, mante religieuse
MATIÈRE FAVORITE, histoire du pinceau, astronomie
DON MAGIQUE, aucun
PARTICULARITÉS, couvert de grains de beauté, trois trous à chaque oreille, auriculaire gauche un peu de travers
ANIMAL DE COMPAGNIE, aucun
well i'm walking down the highway with my suitcase in my hand
lord i really miss my baby, she's in some far-off land. well, your streets are getting empty, lord your highway's getting filled ; and your streets are getting empty and your highway's getting filled. well the way i love that woman, i swear it's bound to get me killed
Au pas de sa nuque craquelante, à la frontière des nerfs et des muscles, Amaelio est la grandeur, la majuscule, la dorure du mot Passion et le paroxysme difficile qui en fait son chef-d'œuvre. Derrière ses lèvres de femmes, sous la saccade écœurante de son souffle, dans le fil membraneux de son gosier sanglant, Amaelio est finalement une démesure effrayante, un vertige à vomir au-dessus d'une nuit toute entière ; sans lit de diamants pour vous rattraper.

Amaelio n'a pas le miel douceur de son prénom, il n'a pas le médullaire des consonnes amollies qui en ponctuent les effets — car Amaelio est la férocité d'une envie, il est sa gueule avide et son entraille bestiale. Il n'y a rien de plus violent que le désir d'Amaelio, il n'est rien au monde de plus inhumain que ce qu'il éprouve pour vous. Si les hommes sont les ressacs d'émotions, Amaelio les surpasse tous ; il se fait couronner par sa propre espèce, là où il est plus animal qu'homme. L'aorte de son cœur l'a arrimé à une faim intarissable, un besoin inaffranchi — celui, impérieux, d'avoir quelque chose à aimer.

Amaelio s'est d'avance paré de la pâleur du jour de sa fin, et il ne serait plus que le clair-obscur de son air maladif, il ne serait plus que la langueur passée de quelques baisers oubliés ; mais il est, fatalement, au bout des péninsules muqueuses de ses organes comme au détroit de ses veines, une ivresse délirante ; Amaelio vous aime — vous hait — plus que de raison. Il ne connaît que l'extase immense du sentiment, et toute sa passion balaye les jours sans nuances et le juste milieu ; il s'enrage de jour en jour. Si on le reconnaît humain, sa peau effilée doit être le manteau d'une chose inhéremment différente sur laquelle on ne pose aucun nom.

Le sentiment démesuré d'Amaelio, il s'imagine et se ressent ; et il n'y a nul besoin de le voir sangloter, exploser de rire, il n'y a nul besoin de ses dents dans votre cou, de la voracité de ses baisers. Le sentiment démesuré d'Amaelio est dit dans le sourire de travers qui vient plisser sa joue maigre et dans sa poitrine qui sursaute, dans sa voix flottante et un peu cassée — et ils disent tous à quel point Amaelio, les lèvres obscènes d'Amaelio et le corps incisif d'Amaelio ; ils disent tous à quel point Amaelio vous veut. Ils disent bien sa langueur d'été, et puis ils chuchotent son horreur de l'ennui ; Amaelio a travaillé comme un orfèvre à l'édifice du long témoignage de sa propre vie, et il le murmure à votre oreille avec l'ardeur des tragédies antiques.

Il n'y a qu'à voir la veine noire et grasse qui enfle sur sa tempe, la lame de son œil qui passe sur votre peau, vous dénude et vous désosse. L'alanguissement orgueilleux qui émaille le garçon est un nœud gordien qui ne se tranche pas ; on lui trancherait la gorge du même coup. Alors Amaelio, dans une dévotion agonisante, s'est ouvragé jusqu'à devenir sa plus exacte définition ; il recherchait cette chose, dénominatrice de ses plus noirs sommeils, il recherchait cet amour. Il a voulu le faire sien ; il est devenu son chef-d'œuvre.

Amaelio a d'artiste l'ample mouvement brusque au travers de ses bras, les manières rapides et théâtrales, les longs doigts acharnés et le regard amoureux. Amaelio donnera votre nom aux longs poèmes griffonnés dans la marge de ses parchemins, il pensera à la forme de vos mains en ébauchant quelque femme sur les murs de sa chambre, il imaginera votre voix sous le trémolo de son violoncelle. Tapissée dans le myocarde d'Amaelio existe une sensibilité qui est l'apologie d'un silence nouveau et le panégyrique de vous tout entier.

Cette sensibilité a un nom : c'est l'Art incontesté de la personne, profondément humaniste.
well i been gambling so long, yes i been gambling so long, lord i ain't got much more to lose ; right now i'm having trouble please don't take away my highway shoes
Il passa un temps effrayant à contempler le rachitisme de ses mains.
Il en suivait toutes les lignes, tous les aspects, il repliait ses doigts blafards pour en faire un petit poing ; c'est à cet instant où le trou se creusait dans sa chair au milieu du poignet, un trou profond comme un abysse, et les veines avaient bondi comme des vers monstrueux, bleues et grouillantes d'un sang de malade.

Il chercha infiniment le contour maigre de son torse.
Il fouilla des doigts entre les côtes qui distendaient toute sa peau pour faire un peu de place à ses poumons d'enfant ; Amaelio respirait toujours très vite, et dans un sifflement étrange qui ressemblait à une agonie. Il sentait, sous sa paume, le rythme de frappe étonnamment rapide qui faisait gonfler son cœur, toujours le même ; et une cage thoracique étroite qui prenait des allures de geôle.

Son corps était une chose qu'il n'avait jamais vraiment compris. Il était, dans tout son contrepoint de chair, une fresque qui n'était agréable pour personne, alors il attendait la nuit pour descendre à pas de loup jusqu'à la chambre de ses parents. Il était trop petit pour le miroir de la salle de bain, et Madame Arwystl en avait un où on se voyait des pieds à la tête, un joli miroir à côté de la fenêtre, avec un cadre en bois vernis où festonnaient des oiseaux. Cela se faisait toujours dans le plus grand silence possible, et lorsqu'il refermait la porte d'ouvrages exhudants propres aux grandes demeures bourgeoises, quelque chose, immanquablement — l'appréhension — le prenait à l'estomac. Non pas celle que Monsieur et Madame Arwystl se réveillent, car Amaelio avait le pas léger que lui permettait son sous-poids. C'était l'appréhension de son propre corps, celui qui était si maigre, celui qui tombait si souvent malade et celui qui ne semblait pouvoir survivre à rien ; celui qui, parfois, lui faisait si peur et si mal.

Il entreprenait de se dévêtir, d'une main fébrile ; il s'observait alors d'un œil arrondi, détaillant tout le grain de sa peau et les points noirs qui le piquaient d'étoiles. Il aimait alors à penser que sa main faisait l'astronome au milieu de tout son torse, lorsqu'il soulignait chaque relief, creusé par la lumière de la lune : il caressait sa laideur. Et il avait toujours les mêmes tranchées au bord des yeux, à la courbe de sourires, qui devenaient son khôl sanglant.
Ça, c'était lorsque la lune était là — et pour le reste du temps, tant pis. Il venait toutes les nuits et commençait à bien l'imaginer, son corps, cette machine traître. Alors il touchait partout sur sa peau, à se chercher encore une fois, il cherchait cette maladie. S'il était malade, il devait bien pouvoir prendre la maladie avec ses petites mains et la jeter au loin, par la fenêtre de la chambre !

Il avait, en grattant son épiderme, en suivant tous les plis de sa carcasse d'enfant, la minutie d'un archéologue ; il ne comprenait donc pas pourquoi ces méticuleuses recherches étaient incessamment couronnée d'un insuccès si amer. Pourtant c'était en ce lieu, sous une chute de fleurons à l'or de papier peint, contre le pied d'une console bondée par les flacons de parfum et les papiers encrés de bilans, d'administrations, de modes défraîchies, dans le suintement liquoreux d'un baroque suranné, qu'il avait la mordante impression de se découvrir.

Ce qu'il découvrait était l'anastylose du mort, le cadavre nouveau : l'enfant faible et chétif, sans cesse malade et faiseur de carences — il remontait alors bien vite dans sa chambre, ses vêtements renfilés à la hâte fiévreuse que lui permettaient ses bras osseux.

« – Que fais-tu encore, Amaelio ?

Les talons de Madame Arwystl éclataient sur le parquet ajusté du salon comme un rire qui n'emplirait jamais sa bouche, et la taille de guêpe engoncée dans son tailleur vert ne démentait en rien la force martiale de ses yeux sombres, et l'allure officielle de tous ceux qui ordonnent, dont se parait sa personne. Sa main se posa brièvement sur son épaule comme pour prouver son statut de mère, mais elle avait la pression d'une sentence.
Amaelio ne tressaillit qu'un instant ; il lâcha son crayon et se détourna de la console nappée où s'esquissaient trois mille rêves — ceux que face au monde un gamin a bien le droit d'avoir.

Il ne comprenait bien qu'une chose, c'était ce qui changeait chez sa mère. Madame Arwystl regardait son fils de moins en moins, ou pour s'assurer qu'il ne faisait rien d’embarrassant ; elle embrassait son fils de moins en moins, ou elle l'effleurait des doigts en se voulant maternelle : mais sa main était d'un fer qui ne s'oxydait pas, et qui du tranchant de ses ongles granitiques a déchiré le velours en même temps que la bassesse.
Elle lui retourna un petit sourire pour adoucir toute son attitude, toute la froideur édifiante de sa prestance de femme d'importance.
Elle avait cette habitude, aussi, de fuir par la porte du fond.

Prends du papier et fais ça dans ta chambre, veux-tu.

Et Dieu ce qu'il la comprenait ! Il ne plait pas à grand monde de toucher un cadavre, un mort-né. Madame Arwystl est, naturellement, au-dessus hiératique des colères, du dégoût, du mépris ; mais elle est trop haute pour que l'atteigne celui qui n'a pas sa beauté.
Il doutait qu'un garçon comme lui puisse un jour être beau, mais sur l'instant il aurait voulu de de joues qu'elles se colorent, de son teint qu'il s'enhardisse, de ses mains qu'elles se désossent ; il aurait voulu que la grâce lui touche le front.

Maman, attends ! il s'était exclamé avant qu'elle ne disparaisse tout à fait, puis il bafouille avec un sourire timide, je vais bien aujourd'hui... On peut aller quelque part, si tu...

Madame Arwystl lui renvoya du fond de la salle un regard qui percuta tout sur son passage, le vase de fleurs, le cuir du divan, le dossier gravé des chaises ; un regard plus acéré qu'un glaive qui sembla lui trancher la gorge, et du même revers son enhardissement à lui formuler pareille demande, bien qu'elle ne fut que de moitié. Elle tira du doigt sur le rebord très-sobre de sa chemise, puis il ne vit plus que son dos, et la chute féminine des mèches bouclées de son chignon.

J'ai à faire, malheureusement. Nous irons demain.

Amaelio avait laissé la maladie ordonner sa vie au rythme endeuillé des visites à l'hôpital, qui tombaient chaque semaine comme un couperet, comme pour le tuer autant de fois ; le rythme des prises de sang, des perfusions de fluides troubles à la saignée de ses coudes, des somnifères au goût de cendre — il s'endormait les yeux ouverts. Il traitait par le mépris qu'elle mérite la brûlure qui venait aux piqûres des seringues.
Il haïssait l'hôpital. Il haïssait les femmes en blouse blanche qui posaient leurs mains à l'odeur de javel sur son visage décharné, pour prendre sa température. L'endroit était bondé de vomissures, de protubérances fiévreuses et gonflait de son antisepsie malade ; les draps se gavaient de sa sueur et devenaient huileux. Et, rampante le long des murs et des couloirs blancs, sous son lit de fer, sur son ventre et sa poitrine : la nausée visqueuse, la peur fermentée d'Amaelio.

Les visites n'étaient pas une habitude, elles ne le seraient jamais ; mais elles s'espaçaient, puis retombaient, puis s'absentaient encore, en même temps que la santé revenait — arrivaient du même coup les premiers signes de magie. Pour l'occasion, Monsieur Arwystl était rentré plus tôt du travail, s'était même déclaquemuré pour une soirée de son bureau du premier étage — une pièce ronde comme un boudoir, amollie de lourds rideaux lamés : avec un secrétaire voluptueux de ses dorures et un meuble à tiroirs où roulaient des parchemins ficelés, où se conduisent dans de hautes bibliothèques des livres de mille ans, comme pour la vallonner de secret. Monsieur était très probablement le seul être humain sur terre apte à s'y sentir à l'aise.

Amaelio n'avait que rarement vu Monsieur Arwystl sous un jour autre que terriblement occupé ; sa présence dans la maison se faisait si discrète qu'on aurait vraiment su s'il était là ou pas. Monsieur Arwystl n'avait pas la froideur ni l'allure austère de son épouse, mais ils devaient le baroque et les tendances désuètes de la maison à son côté outrageusement conservateur, en plus du goût prononcé pour le luxe que ses parents, des sang-purs, avaient distillé plus efficacement qu'un virus sur toute la famille Arwystl.

Ce soir-là, Monsieur Arwystl avait prit son fils dans ses bras et embrassé sur les deux joues. Amaelio détailla les cheveux blonds et épais, les yeux bleus centrifuges et le complet noir à la coupure élégante. Le temps ne semblait exercer aucun ascendant sur son visage ; il ne brusquait jamais ses pores, ne faisait rien descendre. Il ne bousculait pas non plus le savoir qui transparaissait au pli de chacun de ses traits : ce visage, cénotaphe de l'ignorance, n'abritait rien d'autre qu'une effrayante intelligence, mâchée et remâchée entre la cornure d'un livre, entre un papier et une plume.
Madame Arwystl était heureuse aussi, souriait très sereinement, chose étonnante. Madame n'était en vérité pas mauvaise, et si Amaelio l'avait toujours su, il se prit à la surprise. Il fallait en effet comparer l'aspect du sourire sur ses lèvres païennes avec la lame de son regard, mordante comme le fil d'un coupe-gorge.

Est-ce qu'il y aura encore des visites à l'hôpital ?
La dernière du mois. Il y en a de moins en moins, c'est de bon augure.

En grandissant, on voyait en lui une chose comme un brouillon, un hasard de rires et de passions, de romances silencieuses décoincées d'entre la gorge et l'ourlet, pour la musique, pour la danse, pour la littérature, pour le théâtre et le dessin. Le souvenir le plus éloquent d'Amaelio résidait très probablement en la première fois où ses doigts touchèrent la première touche blanche, la première corde, où il huma la colophane et le papier de la partition.
Il y eut alors Mademoiselle Carteret à l'anglais vacillant, pour poser ses doigts, relever son archet ; il y eut Mademoiselle Carteret qui était à la maison Mademoiselle la professeur. Il joua d'abord de tout, puis seulement du piano, du violoncelle ; il ne connaissait rien de plus noble. Il y brûlait ses jours comme des petits papiers. Il fallait alors que sa mère lui ordonne d'arrêter — il n'y avait rien à répliquer à l'ordre direct de Madame Arwystl —, inquiète du sang qui coulait de sous ses ongles.

Les aubades à la tristesse, les concertos à quatre mains, les sonates, les oratorios et les sérénades n'avaient pas la même résonance sous les doigts arqués d'Amaelio. Il faisait entrer par la bouche quelque chose qui avait décanté dans tout son air : il faisait entrer une étrange verve d'acharnement, une étrange passion qui soulevait dans son poumon des axiomes qui s'appelaient la vie, et y semait une avidité, douleur afférente, qu'on ne bridait pas.
La passion est fatale ; elle ébranla en Amaelio un amour, un désir, qu'il aurait fallu ferrer, mais il avait été laissé libre, dans une fibre immense qui était tout son corps, et s'était enorgueilli. Il y avait toujours eu cette curieuse façon dont le sourire seyait à Amaelio, avec son tranchant de vin de cerise ; désormais il était salé à la langueur de son souffle, confit au miel de ses lèvres — il avait fallu réapprendre à rêver.

Un matin de septembre nouveau, Amaelio quitta sa chambre aux murs crayonnés, de croquis et d'alexandrins, de mots absurdes qui n'existaient pas pour parler ; il camoufla les vieilles cicatrices de l'hôpital, les anciens bleus qui devenaient jaunes, il abaissa le siège du piano, replia le pupitre et le support de pique, il embrassa sa mère en atténuant au possible le sentiment traître qui crénelait sa voix, lorsque le mot débordait de sa bouche, un au revoir timide.
Un matin de septembre nouveau, Amaelio s'en alla, la soif au bout des lèvres, les yeux dans le vertige, embrasser le monde entier.
Il riait de sa futilité.
well i'm bound to get lucky baby, lord lord i'm a-bound to die trying. well meet me in the middle of the ocean and we'll leave this ol' highway behind. well, the ocean took my baby, my baby stole my heart from me, yes the ocean took my baby, my baby took my heart from me. she packed it all up in a suitcase, lord she took it away to italy, italy
so i'm a-walking down your highway just as far as my poor eyes can see ; yes i'm a-walking down your highway just as far as my eyes can see
(ft oc vivian de demian ashes) faut que j'arrête de m'auto niquer h24 en enchaînant les forums alors que j'en assume aucun mdrrrr si une idée de dc pointe son nez une fois ou une autre je compte sur vous pour me passer à tabac
j'ai l'impression d'avoir puissamment taclé le perso tlmt j'ai déconné sur le caractère si y'a le moindre truc suspect n'hésitez pas. bon sinon appelez moi osbwrn, je m'étais promis de m'inscrire seulement après les partiels de musique mais le forum m'a fauché plus aisément qu'un épi de blé à la force de la déraison. du coup ils sont dans une semaine. j'espère que vous faîtes aussi assurance décès
(html) osbwrn;

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Neutre
Iris De Saint-Exupéry


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Iris De Saint-Exupéry





Re: les danseurs d'autrefois, égorgeurs d'à présent,
22.12.16 22:30

JTM BB
CONTENTE QUE TU SOIS LA
TON PERSO GERE
J'te réserve de beaux liens bien complexes comme on sait faire chérie ♥♥
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Invité


Anonymous





Re: les danseurs d'autrefois, égorgeurs d'à présent,
22.12.16 22:34

C'est divin.
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Hibou
Amaelio Arwystl


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Amaelio Arwystl





Re: les danseurs d'autrefois, égorgeurs d'à présent,
22.12.16 23:51

oh non vous me laissez tellement dans mon émotion bande de
pfff
iris les danseurs d'autrefois, égorgeurs d'à présent, 1482446191-688665207 ♥♥♥♥♥♥
thea pa autt ke toi c: merci bb tu es amour et tendresse ♥♥
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Personnel
Shasta Mathesson


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Shasta Mathesson





Re: les danseurs d'autrefois, égorgeurs d'à présent,
23.12.16 8:53

HOMANDIEU. Ce combo ava+fiche+caractère est simplement magique. Je suis fan, j'attends l'histoire. Bienvenue par ici !

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Duelliste illégal
Vega A. Hingsley


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Vega A. Hingsley





Re: les danseurs d'autrefois, égorgeurs d'à présent,
23.12.16 13:21

love Bienvenue
On va pouvoir fonder un club travestis huh
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Hibou
Amaelio Arwystl


Messages : 46

Date d'inscription : 22/12/2016

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Amaelio Arwystl





Re: les danseurs d'autrefois, égorgeurs d'à présent,
23.12.16 17:56

shasta hhhhhaa MERCI INFINIMENT ♥♥ vous me rendez faible c'est horrible
vega franchement pas mal les danseurs d'autrefois, égorgeurs d'à présent, 1482526342-1 (merci t'es cool ♥♥)
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Personnel
Serge Bosart


Messages : 78

Date d'inscription : 05/11/2016

Serge Bosart





Re: les danseurs d'autrefois, égorgeurs d'à présent,
23.12.16 18:23

bienvenue
j'aime ton style d'écriture
et la beauté de ce perso
et la beauté du codage de cette fiche je
les danseurs d'autrefois, égorgeurs d'à présent, 3143780387
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Téméraire
D. Yasha Ioslov


Messages : 68

Date d'inscription : 18/06/2016

Feat : Yuu Nishinoya | Haikyuu!! { irl : dylan sprayberry

Crédits : Avalon (avatar) ♥♥♥ | signa code perso

D. Yasha Ioslov





Re: les danseurs d'autrefois, égorgeurs d'à présent,
23.12.16 18:47

pk c si bo
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Duelliste illégal
Adélice Bellerose


Messages : 42

Date d'inscription : 23/09/2016

Localisation : londres i guess ?? (poudlard)

Feat : yuyka nekota (hnr) & barbara palvin

Crédits : avatar par oim

Double Compte : nope

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Re: les danseurs d'autrefois, égorgeurs d'à présent,
25.12.16 1:15

ce code et ce perso sont tres tres frais
et ce style d'écriture pourrait me faire passer pour une analphabète wsh
bienvenue love
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Hibou
Amaelio Arwystl


Messages : 46

Date d'inscription : 22/12/2016

Feat : vivian; demian ashes

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Amaelio Arwystl





Re: les danseurs d'autrefois, égorgeurs d'à présent,
26.12.16 19:57

SERGE les danseurs d'autrefois, égorgeurs d'à présent, 1482527378-2 SERGE SERGE SERGE OH NON TON PERSO EST TLMT PRECIEUX JPP merci infiniment ♥♥
yasha oh shit ce prénom ce feat cette classe en toi je suis en amour profond en plus t'es un ange unissons nous par les liens du mariage c'est le destin sais tu MERCI SINON JE T'AIME
adélice tu m'arraches les mots de la bouche doux jésus merci pour ces mots doux tu as mon corps mon coeur et mon âme :///// ♥♥

j'oubliais mais pardon de ma réponse tardive les longs repas dominicaux m'ont assassiné sur place bisous
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Neutre
Cassidy A. Hingsley


Messages : 170

Date d'inscription : 23/11/2016

Feat : Chrollo Lucifer de Hunter x Hunter et Timur Simakov

Double Compte : Seth & Sidney Hedger

Cassidy A. Hingsley





Re: les danseurs d'autrefois, égorgeurs d'à présent,
27.12.16 14:23

OH. MON.

coucou. c tro bo omg (je fais dans l'originalité hein ?)

+ sérieusement on est obligé de s'incliner devant tant de talent. parfois je trouve honnête de dire que les artifices d'une jolie fiche sont souvent pour combler un manque total d'originalité et une écriture lambda. Mais j'ai juste adoré. c'est le genre d'écriture qui me touche.
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Re: les danseurs d'autrefois, égorgeurs d'à présent,

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