Bon à rien et fier de l'être - Theodore H. Dewitte

Theodore «Teddy» Henry Stuart Grant

FEAT Ookurikara

On le connait sous le gentil nom de Theodore Henry Stuart Dewitte. Les gens s'en tiennent à Teddy ou Theo. Sauf ses parents. Eux, ils aiment bien Henry Stuart car le prénom «Theodore» leur fut imposé par la grand-mère paternelle.IL A 25 ans IL EST un fier représentant du Chemin de Traverse ET SES PARENTS SONT des pompeux de sang pur (il les aime pareil) IL EST heureux et fier d'être l'assistant de Karl, le concierge IL ENSEIGNE comment récurer les toilettes aux élèves en retenue DEPUIS 2 ans  SA MAISON ÉTAIT Poufsouffle IL AIMERAIT RAJOUTER QUE ce n'est pas drôle d'ensorceler les toilettes des filles pour qu'elles explosent.

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Caractère.

Description du caractère de votre personnage. Il n'y a aucune base de mots, cependant nous aimerions que vous le développiez assez afin que nous puissions répartir votre personnage sans trop de difficulté. Merci ! Description du caractère de votre personnage. Il n'y a aucune base de mots, cependant nous aimerions que vous le développiez assez afin que nous puissions répartir votre personnage sans trop de difficulté. Merci ! Description du caractère de votre personnage. Il n'y a aucune base de mots, cependant nous aimerions que vous le développiez assez afin que nous puissions répartir votre personnage sans trop de difficulté. Merci ! Description du caractère de votre personnage. Il n'y a aucune base de mots, cependant nous aimerions que vous le développiez assez afin que nous puissions répartir votre personnage sans trop de difficulté. Merci !

Histoire.

« Vous êtes sérieux ? » Theodore regarda ses parents, bouche bée. La surprise passée, il se mit à rire jusqu’à en perdre le souffle. « Je ne vais pas épouser ma cousine. »
« Oh mais tu vas l’épouser. »

Sa mère posa ses mains sur la table dans un geste lent, calculé. Elle n’appréciait visiblement pas la réaction de son fils et le lui témoignait par ses lèvres pincées et son regard froid. De son côté, son père le fixait, blasé, comme si son fils faisait, encore une fois, une autre de ses crises d’adolescent.

« C’est pas possible. Elle est comme ma grande sœur. Faut vous réveiller. On est en 2014, les mariages entre cousins, c’est complètement dépassé. C’est pas parce que Grand-mère a obligé Papa à t’épouser que je dois me coltiner la même chose. J’ai rien dit jusque-là, mais vous abusez sérieux. Faut être timbré pour croire que je vais la marier. »
« Henri Stuart. Tu vas me faire plaisir de surveiller ton langage. Retourne dans ta chambre, on en discutera à nouveau quand tu te seras calmé. »
« Mais non, on en discute maintenant. » Il tapa du doigt la table parfaitement vernis. «Vous allez pas me chasser comme si j’étais un gamin. J’ai 23 ans, je peux choisir seul avec qui je vais me marier. Et ce ne sera certainement pas ma cousine. Votre histoire de Sang pur, c’est de la merde. La consanguinité, c’est de la merde. J’ai supporté toutes ces conversations sur la séparation des mondes, l’héritage d’un sang parfait, les tares des moldus. Je suis pas Benjamin. Ben, il est mort. Lui, il vous obéissait. Il aurait épousé notre cousine sans dire un mot. Pas parce qu’il en avait envie, juste pour vous faire plaisir. Ben, le fils parfait, le prodige, une merveille de ce monde. Mais il est mort, il y a dix ans en voulant me protéger d’un loup-garou. Il a décidé de se sacrifier pour son petit frère. Pour que je vive. Vous avez été déçu et vous voudriez m’échanger contre lui. Pas de chance, c’est moi qu’il vous reste. Alors comprenez-moi bien. Si vous désirez conserver votre deuxième fils, vous allez vous sortir le balai que vous avez dans le derrière et commencer à me laisser vivre. Parce que Ben, il reviendra pas. Et moi, une fois partie, je reviendrai pas. »

Lentement, son père se cala bien confortable dans sa chaise et se croisa les bras. Theodore et lui se regardèrent longuement.

« Il a fait le mauvais choix. »

Ce fut la goûte qui fit déborder le vase. Theodore se leva, réajusta sa veste de cuir et s’en alla laissant derrière lui ses parents un peu trop parfait. Il rassembla ses effets en moins d’une quinzaine de minutes les fourrant dans son sac magique. Ses parents voulaient jouer à ce jeu ? Ils apprendraient qu’il ne fallait pas pousser à bout le jeune homme.
Le lendemain, il abandonnait son stage à Ste-Mangouste et se trouvait un nouvel emploi : assistant-concierge à Poudlard.

PSEUDO.

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