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 [COURS DCFM] Quatrième & Cinquième années - Maléfices.

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Préfet
Joyce Fitzgerald


Messages : 362

Date d'inscription : 27/03/2016

Double Compte : Sakutarō & Prince

Joyce Fitzgerald





Re: [COURS DCFM] Quatrième & Cinquième années - Maléfices.
28.05.16 17:48

Cours DCFM - Maléfices

4ème & 5ème année

Joyce Fitzgerald

Joyce n'avait pas réagit immédiatement quant à la présence de Rosabel dans les cours de Défense contre les forces du mal. Après tout, elles avaient toute les deux compris comment cela devrait fonctionner entre elles, étant donné qu'elles partageaient maintenant leur chambre depuis cinq longues années. Alors elle n'avait rien dit, avait juste choisit d'ignorer ses propos comme si sa simple présence était inexistante. Déjà qu'elle se rendait à un cours qu'elle n'avait pas dans son programme, la L.L.C.M se permettait de l'ouvrir. En fait, la préfète ne savait même pas pourquoi elle était « surprise ». C'était Rosabel, aucune logique, aucun respect, un existence pour le moins inutile pour le bon fonctionnement d'autrui. Une verte par excellence en soit.

Et la Fitzgerald savait que son action n'allait pas être ignorée par le professeur. Joyce connaissait son grand-frère, évidemment qu'il n'allait pas se gêner pour casser tous les autres élèves de cette classe. Bien que Joyce tiqua sur la réflexion sur Rosabel, même si il s'agissait d'un brin de vérité, un professeur ne pouvait pas parler ainsi à un étudiant, non ? Après, étant donné que Rosabel n'était pas vraiment l'une de ses élèves… Au fond, elle s'inquiétait plus sur les potentiels répercutions que cela pouvait entraîner sur son fraternel, dans le sens où tout cela était en partit de sa faute. Lorsque ce fut son tour, l'Anglaise ne pouvait que regarder son frère dans les yeux en acquiesçant. C'était la seule chose qu'elle pouvait faire pour lui dire qu'elle était désolée, même si bon. Elle ne l'était pas vraiment. Demeter n'avait tout simplement pas à parler ainsi de Kenji.

Mais Joyce ne comprenait pas où voulait en venir Ethan lorsqu'il l'attrapa, Kenji et elle pour les amener au devant de la salle. Et encore moins lorsqu'ils plaça en face Demeter et Argus. Pratiquer sur eux ? Sérieusement ? Il était logique de lancer un cours de pratique, après tout on ne pouvait pas juste comprendre via la théorique. Mais étrangement cela sonnait plutôt comme une sorte de vengeance compte tenu des personnes qu'ils avaient amener. Étrangement, ça lui plaisait. Même si elle n'était tristement pas devant le serpent et qu'au fond, le rouge n'avait rien fait qui nécessitait un maléfice. Bien qu'il eu rigolé des propos de son ami.

La préfète n'était pas étonnée par la panique du jaune. Après tout, ce n'était clairement pas son genre de lancer des maléfices sur quelqu'un. Voir même des sortilèges basiques. Alors, elle avait simplement haussé les épaules avant de lui donner le premier maléfice qui lui passait par la tête. Maléfice cuisant. Lorsque l'on y pensait, l'humour était clairement présent étant donné que Demeter n'avait que sa belle gueule pour lui. Lorsque se fut son tour, Joyce hésita un long moment sur ce qu'elle pouvait lancer sur Argus. Si elle avait échangé de personne avec Kenji, la verte n'aurait certainement pas manqué cet idiot.

Elle lança un soupir face à la tirade de Gryffondor, lançant un Episkey pour soigner seulement le nez cassé du serpent. Elle n'allait pas s'occuper de l'entaille réalisé par le sort raté de la personne qu'elle aimait. Au final, ce sort de soin était sans doute celui qu'elle avait le plus lancé depuis cette année. A croire qu'elle tombait toujours sur des personnes blessées ou bien même qu'elle avait elle même mit dans cet état. Même si elle ne pouvait pas ignorer les paroles de Demeter, même si elle n'avait qu'une envie et que celle-ci était de lui relancer un livre dans la tête. Il fallait bien faire face à ses problèmes de temps en temps.

Revenant sur sa « victime », elle opta finalement pour un maléfice du bloque-jambe histoire qu'il perde totalement son équilibre pour tomber au sol comme une misérable larve. Ce n'était certes pas grand-chose, mais il ne fallait pas cacher le fait qu'elle avait longuement hésité avec le maléfice de chauve-furie. Puis, légèrement et dans la discrétion la plus totale. Joyce murmura un colloshoo à l'encontre de Demeter. Histoire qu'on est l'impression que Kenji avait au moins réussi un maléfice. Même si on ne s'en rendrait pas compte immédiatement.

Elle croisa les bras avant de lâcher un dernier soupir. Vraiment, qu'est-ce-qu'elle aimerait choisir les personnes avec qui suivre ses cours.
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Militant contre les Dragons à Poudlard & Préfète & Sigma
Rosabel Northrop


Messages : 234

Date d'inscription : 19/04/2016

Rosabel Northrop





Re: [COURS DCFM] Quatrième & Cinquième années - Maléfices.
01.06.16 21:11



A Nightmare dressed like a daydream
Rosabel & cie
Traînée.  
C’était donc là l’image qu’elle reflétait, au-delà de celle qu’elle renvoyait à l’ensemble de ces sous-sorciers, les professeurs s’accordaient donc à leur tour sur le terme. Piètre façon de venir en aide à la plus jeune des Fitzgerald. Le sens de la famille, ce que cela lui semblait écœurant. Ignorait-il donc que ce n’était là qu’une mince affaire, quant on savait qu’elle et Joyce partageaient la même chambre depuis des années, et que les disputes avaient déjà éclaté de tout leur content ? Vous êtes en retard, professeur Fitzgerald.
Peu importait de la manière dont on la regardait, Rosabel n’avait pas l’air d’une traînée. Abusivement soignée, exagérément maniérée, d’un raffinement pompeux et excessif, certes. Elle était d’une arrogance  méprisante, avait l’air détestable, le port altier, d’une démesure orgueilleuse. Elle était l’héritière d’une noble et vieille famille, cela se sentait. Mais elle n’était certainement pas de ce genre à vous courir les trottoirs accoutrée comme la dernière des gourgandines. N’en déplaise à monsieur Fitzgerald qui ne devait avoir aucun goût pour différencier un pur-sang d’un vulgaire canasson.

_ Mais naturellement, monsieur Fitzgerald, puisque vous le demandez avec tant… D’amabilité.

Et les lèvres s’étaient forcées à sourire, au moins pour donner l’illusion de ne pas être contrariée, ce qu’elle n’était pas tant, dans le fond. L’insulte était désespérée et basse, et Rosabel ne faisait pas grands cas de ceux qui cédaient à ce type de mesquineries médiocres. Les injures n’étaient que vulgarité et petitesses faciles ; Rosabel n’était ni grossière ni petite. Northrop préférait donc  pour cette fois au moins l’indifférence à l’indignation.

Elle avait alors observé en silence le courroux de monsieur Fitzgerald s’abattre sur d’autres têtes.
Belle pédagogie ; souhaiter la mort de ses élèves.
Car il apparaissait très clairement qu’elle ne fut pas la seule à être mésestimée.
Belle pédagogie ; la pratique comme sanction.

Et elle avait à peine réagi. Et la demoiselle Northrop n’était toute à personne. Voilà qui était bien une certitude. Et c’était bien là un type de sanction dont elle osait bien se défier. De quelle autorité croyait-il bénéficier ? Visiblement, celle de Poudlard qu’il incarnait ne semblait manifestement pas lui suffire. Ou alors l’avait-il tout simplement perdu dès le moment où il avait osé l’insulter.

Elle fixa quelques longues secondes le dit monsieur Lawliet, méconnu, auquel elle était censée toute appartenir. Et outre cette voix qui la hantait de trop par ses sonorités familières, c’était comme s’il semblait si bien la connaître alors qu’elle ne se souvenait pas lui avoir adressé la parole. Alors son regard avait dévié sur Fitzgerald, un rictus proprement mesquin plus tard et elle rouvrait son magazine.

_ Non. Ce ne sera pas nécessaire.

La traînée qu’elle était ne s’en sentait manifestement pas l’envie.

Une vague rébellion avait éclaté au centre de la salle, et son sourire n’avait pas daigné s’effacer, insolent, devant le maléfice raté du poufsouffle, comme elle se délectait aussi de la tirade du Gryffondor, la pointe de sa langue passant furtivement sur ses lèvres. Car si elle connaissait assez peu Argus, quoiqu’elle le vit souvent en compagnie de Demeter, elle devait bien lui reconnaître une certaine éloquence, une ironie délicieusement mordante en totale harmonie avec la figure défiante, sanguinolente de Green.

Alors elle avait de nouveau porté son minois vers un autre profil, s’intéressant brièvement à celui qu’elle avait une nuit connu mais dont elle ne gardait aucun souvenir physique. Et elle avait tout observé de lui, l’avait jaugé sans ciller comme son regard sévère plongeait volontiers dans le sien. Alors le toisant, elle aurait pu paraître éloquente, de ce dédain si perceptible qu’elle affichait si ostensiblement. Mais il n’en fut rien, car la vérité était bien différente. Lawliet la laissait perplexe pour une raison qu’elle ne s’expliquait pas. Et les courbes de ses lèvres s’étaient étirées un peu plus dans un charmant sourire dont il était évidemment l’unique destinataire. Familier. Lawliet. Elle trouverait.

Alors seulement sa fine silhouette s’était fièrement dressée sur un fond de raclement de chaise, le magazine serré sous un bras, le serpent qui revenait naturellement autour de sa maîtresse, s’enroulant autour de sa cuisse sans qu’elle n’en paraisse le moins du monde concernée.

_ Bien, je m’en vais.

Et la Duchesse Northrop parcourait déjà de la démarche élégance de ses longues jambes les quelques marches qui la séparaient de la sortie.

[Je voulais faire plus court mais dès qu’il faut intégrer plus de deux personnes, je deviens incapable de raccourcir o/ Libre à Fitzgerald de la laisser partir ou de la punir 8D]   
 

Codage par Emi Burton
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Invité


Anonymous





Re: [COURS DCFM] Quatrième & Cinquième années - Maléfices.
21.09.16 19:00



DCFM #1


#3 : Practice.


Il était là, face au blond aux traits ironiques, la baguette en main et la panique collée au visage. Ce fut indéniable, tu admirais le Poufsouffle avec insistance, d’une manière si noire que tu pensais qu’il allait au moins réussir a jeter un foutu maléfice. Mais il n’en était rien, même pour que tu le quittes des yeux c’était un incapable. Tu pris une chaise et la racla sur le plancher, ta tasse de café était apparue soudainement dans tes mains comme une chose collée éternellement à ta chair puis ton fessier s’était posé sur ladite chaise, en l’attente de la pratique, qu’ils voyaient tous comme une horrible punition. Intérieurement, tu te réjouissais de cette attitude, quoi de mieux que la haine pour les forcer à jeter des maléfices ?

Le blond ne fit rien d’autre que de demander de l’aide à ta précieuse soeur, et même de cette façon, il n’arriva à rien. Simplement une trace brune sur le nez de Demeter en signe de maléfice. Pauvre maléfice. Toutefois, là n’était pas le pire : non, le pire résidait dans l’attitude du jaune quant à son camarade, il s’excusait. Tu frottas ta bouche pour étouffer un commentaire, laissant le garçon à sa médiocrité. D’un autre côté, la demoiselle Fitzgerald qu’était ta frangine lui avait bien sauvé la mise, pour quelques instants du moins. Premièrement, la brune avait eu l’audace ou l’amabilité -tout dépend des avis- de réparer le Serpentard mais aussi de masquer comme elle le put le méfait de Kenji, pour au passage lancer un bloque-jambe un peu maladroit au Gryffon.

Ce fameux Argus Jones qui avait la voix bien forgée pour débiter dans de commentaires inutiles en si peu d’un cours. La moquerie était à son apogée quand on voyait que lui, le rouge aux agissements déplorables, se permettait de critiquer l’ancien Gryffondor que tu étais. Remettre en cause, avec habilité soit dit en passant, son cours peu réglementaire. Tu faisais mine de ne pas l’entendre, buvant par petites gorgées bien grinçantes ton café noir. Après tout, il n’était pas mieux mais il avait raison de te juger, tout en son honneur. Pourtant, tu ne sourcillas pas non plus quand il évoqua les sortilèges impardonnables et l’école de Durmstrang. Indirectement, cela sonnait comme une insulte à son établissement et mieux valait ne rien rajouter, en revanche, les sortilèges ne te faisaient plus d’effet. Trop habitué. Trop familiers. C’est seulement une fois qu’il fut à terre que tu te décidas à lui répondre, par simple politesse. « Les seuls aptes à gagner des points, Monsieur Jones, sont ceux qui ne participent pas à ce cours ».

Ce cours était une réussite qui s’annonçait. Tous remontés comme il fallait, agacé par ta conduite exécrable et tes manières non-conventionnelles. Néanmoins, le jeune Serdaigle perturbait dans ce chaos. Insensible, trop apaisé et en contradiction avec l’ensemble du groupe. Il avait fixé la demoiselle Rosabel quelques instants avant de se retourner vers toi, demandant ton avis auquel tu n’avais rien répondu, en fermant simplement les yeux pour exprimer ton ignorance. De tous, il semblait être le pire. De tous, c’était le seul à s’être permis de s’allonger sur sa chaise, se croyant à la plage. Tu n’avais rien dit, après tout ils étaient tous ignobles.

Pour ce qui était de la Northrop, tu commençais à penser qu’au final, elle n’était pas si mal. Pleine de sarcasme et d’une dignité sans pareil, mais honnête et juste. Elle avait tout bonnement refusé l’invitation à la pratique, mais rien ne lui obligeait, vu qu’elle n’était pas de ce cours. Elle rejoint Monsieur Lawliet pour l’attitude décontractée, magazine sous les mains. A eux deux, ils étaient au paroxysme de l’insolence. Les deux seuls logiques. Finalement, Rosabel se décida à se relever et, calant son journal sous son bras, elle se dirigea vers la sortie, balançant ses deux jambes avec aisance et élégance.  

Tu frappas ta tasse sur la table, sans pour autant laisser une seule goutte sortir de celle-ci. Ta masse se releva et balaya d’un geste le devant de la salle, le bureau se retrouvant alors contre les parois. Tout avait fonctionné. Tu avais pu remarquer les impulsifs, les touristes et le paniqué. L’atmosphère tendue contre toi te donnait bonne mine, si bonne que la plupart te regarda avec cet air ahuri. Fourbe que tu étais. « Maintenant que vous êtes tous assez remontés contre moi. Je pense que nous pouvons commencer ». Tu parlais fermement et sincèrement. « Nous commencerons donc l’année par le maléfice du bloque-jambe, étant donné que ce fut le seul correctement lancé. » Ta baguette trônait dans tes doigts imposant et tu fis une seule fois et très scolairement la gestuelle nécessaire pour le maléfice en question. « Et pour ceux qui ne s’en souvienne pas ». Tu posas la baguette pour éviter un incident. « Locomotor Mortis ».

Personne ne bougeait, tels des imbéciles ne comprennant pas. « Et bien qu’attendez-vous ? » Tu ricanas. « Je ne vous demande pas de vous exercer sur vos camarades, sauf si l’envie vous prend. » Dans un dernier élan tu interpellas la Serpentard fuyant. « Je pense qu’un peu d’entraînement ne peux pas vous faire de mal, mademoiselle Northrop. Après tout, nous sommes ici pour apprendre. »


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