● Blue Queen - Zelda

Fawkes Zelda Asling

POURQUOI ÊTRE DEVENU PROFESSEUR ? Elle a voulu faire vivre le rêve de sa sœur décédés en devant professeur, puis à la suite elle c'est prit de passion pour continuerCURRICULUM VITAE :Elle a fait de la pâtisserie à domicile pour un peu d'argent de côté RECETTE SECRÈTE: La voix perçante et le livre volant.MANUEL OU PRATIQUE ? La pratique c'est mieux

histoire

Tes épaules sont fortes, elles peuvent porter tout le poids de ta bêtise, bien que chaque jour rajoute un poids. Est-ce qu’un jour tu vas craquer c’est sûr. Quand ce jour va arriver ? Tu ne sais pas du tout. Chaque jour tu empoigne le fusée de ton épée, chaque jour tu empoignes la poignée de ta baguette, chaque jour est un nouveau jour où tu fais vivre ce rêve qui n’est pas le tient, chaque jour n’est qu’une pierre de plus pour t’enfoncer au plus profond dans ton crime.

Et chaque jour, tu trembles de peur de t’effondrer.

Tu es née d’un père sorcier et d’une mère humaine, ils n’avaient rien de particulièrement original, maman était un médecin réputé et père un éleveur de créature magique. Tu n’avais rien de particulier à part que tu as combiné la couleur de père et mère, il est sûr que si tu n’aimais pas le bleu, tu aurais été servie. Zelda, c’est le nom original qu’ils t’ont donné, peut être que c’était voulu que tu sois unique ? Pourtant, tu es née en seconde, tu avais une ainée du prénom de Flore. Vous avez une assez grande différence en vrai, presque de 10 ans pour dire. Vos parents ont bien pris le temps de te faire. Bien que malgré la différence, c’était ta grande sœur, ta déesse, elle était tout ce que tu voulais être en vrai.

Flore c’est la tête blonde souriante, Flore c’est la fille polie, Flore c’est la fille travailleuse… Bref c’était ton opposé total de toi qui dormais en cours avec juste espoir que cela se termine plus vite. Pourtant, tu t’es découverte des passions, bien que tu fusses un peu trop imaginatif en vrai. Manier l’épée c’est bien, mais vouloir faire des gâteaux avec était un concept plutôt extravertie. Ton père lui-même essayait tant bien que mal de comprendre ton délire de : Pâtissière escrimeuse. Certes, il faut couper parfois, mais on ne sort pas d’épée pour trancher un gâteau ou des fruits… Cela le faisait souvent éclater de rire de te voir galérer à combiner les deux quand tu fais des gâteaux avec ta mère.

Ta mère était souvent absente pour aller au travail, donc ton père s’occuper souvent de toi. C’est sûr que ce n’est pas avec lui que tu vas gagner en féminité. Pourtant, il t’a montré son amour pour les bêtes, tu adores les animaux, ils sont curieux et drôles. Tu adorais le suivre en secouant un bâton dans tous les sens pour t’entrainer soi-disant. Tu t’amusais du mieux que tu pouvais avec ton père, ta sœur était souvent entrain de réviser, déjà le nez dans les bouquins si jeune. Bien que Flore avait déjà des idées plutôt optimistes d’avenir. Elle voulait être professeur à Poudlard, ce n’est pas non plus n’importe quoi. Zelda était tout le temps entrain de lui demander si elle la favorisera à l’école, c’était souvent un non camouflé derrière un rit, on avait de l’espoir comme on pouvait enfant.

Pourtant quand on est enfant, on est idiot.

Chaque fois que tu revois ce jour arriver, tu t’en veux terriblement d’avoir été comme ça. Tu revois chaque parole de ce fameux jour, il est gravé dans ta peau. C’était dans les beaux jours d’été. Des jours parfait qui semble ne jamais pouvoir se terminer, il faisait très chaud. Vous étiez toutes les deux chez vous entrain de mourir par la chaleur. Tes parents était absent pour leur travails, tu ne pouvais pas vraiment leur en vouloir, il faut bien ramener de l’argent à la maison. Bien que malgré la chaleur, tu avais toujours envie de sortir, chose qui dépasser totalement ma sœur en vrai. Bien sûr, la pauvre devait supporter tes crises continues, ce qui l’insupportait au bout d’un moment. Tu te souviens qu’elle t’a mit dans ta chambre pour te punir, te faire comprendre que malgré le beau temps, il fait chaud pour sortir, puis elle devait travailler, encore. Tu l’as trouvé parfois ennuyante ta sœur, car elle avait toujours le nez dans les bouquins. Pourtant, tu n’as pas pu t’empêcher de désobéir à ta grande sœur. Tu es sortie par ta fenêtre et tu es allé dehors.

C’était l’histoire juste de quelques minutes ? Juste courir dehors comme une folle malgré la chaleur et l’absence de surveillance, tu étais ce genre d’enfant insupportable qui voulait en faire qu’à leur tête. Tu regardais le paysage bien vert de ta terre natal, bien sûr vous viviez loin de la grande ville, ce qui ne te dérange pas du tout, tu préfères la nature à la ville pollué. Prenant un peu d’air bien frais pour laver tes poumons, tu entends alors des cries. Ta sœur qui t’a retrouvé. Tu lui tiras la langue et tu courras comme une folle pour la fuir, une sorte de loup improvisé. Tu riais beaucoup, bien que ta sœur te hurlait dessus. Tu tentas de la semer par pure innocence de jeu. Ce que tu as réussis à faire. Alors, tu marches tranquillement toute contente de ton œuvre. C’est alors qu’au bruit des vagues qui se fracassent contre le sol. Tu t’es penché en toute curiosité pour regarder le bas de la falaise, bien sûr tu ne pouvais pas deviner que cette partie était fragile. Comment tu aurais pu le deviner ? Ta sœur te cria dessus, épuisé. Ton sourire était dessiné sur ton visage, tu pointas les oiseaux qui pêchent, bien qu’elle soupire en te regardant faire.

Pourtant, ce moment dit joyeux se termina bien rapidement.

Le craquement, la terre était trop sèche. Tu sentis le sol s’affaissait sous tes pieds, ton sourire se transforma en un regard surpris. Celui de ta sœur en un regard effrayé. Par chance, elle a saisit ta main, mais tu bougeais trop dans la panique, elle te hurlait dessus de te calmer, mais tu n’y arrivais pas du tout, tu n’étais qu’une enfant. Elle continuait de te supplier de stopper ta panique, elle avait tout aussi peur que toi. Elle hurlait de l’aide, elle criait si fort que tu pleurais encore plus fort, elle n’arrivait pas à te calmer. Mais, tu n’eu pas le temps de ne serais-ce te calmer. La suite de la falaise à suivit le reste, c’était juste un petit affaissement. Vous avez fait une chute pourtant pas si haute que ça. Tu as finis dans l’eau, ton dos à griffé par les rocher dans le liquide aqueux. Tu hurlé de douleur dans l’eau, avec le sel qui piqué tout le long. Tu remontais comme tu pouvais, malgré que tu fusses désorientée, mais tu es allée vers la lumière. Bien que t’avais du mal à gardé la tête hors de l’eau avec les vagues. Au moins, tu as pu profiter de la force de celle-ci pour grimper tremblante et épuisé sur un endroit un peu plat et sécurisé. Tu gémissais, tu pleurais, tu souffrais. Regardant un peu partout, tu appelais Flore, tu criais son nom. Jusqu'à croisé une chevelure blonde teinté de rouge. Tes yeux se sont grossis. Ses yeux étaient livides, son regard grossi, un filet de sang qui glissait le long, sa position n’était pas naturel sur ce rocher. Elle n’a pas eu la même chance insolente que toi Zelda.

Puis c’est le noir qui s’empara de toi.

Quand tu as ouvert les yeux, quand la lumière blanche te transperce la rétine, tu remarque le doux visage de ta mère qui a fait de gros yeux en te voyant bouger, avant d’être rassuré et te serrer doucement. Tu avais terriblement mal au dos, comme la dernière fois. Tu regardas un peu partout, tu n’étais ni dans ta chambre, ni chez toi. Tu n’arrivais pas à t’assoir, tu restais donc couché en regardant tes parents. Ils semblaient assez inquiets, mais tu souriais. Pourtant, il y avait une note qui n’allait pas du tout dans l’ambiance. Tu regardes un peu partout, puis cette demande qui glissa un froid.

« Elle est où Flore ? »

Un lourd silence qui devient de plus en plus gênant ainsi que stressant. Clignant des yeux, tu ne compris pas de suite le pourquoi ce silence si pesant. Bien qu’il fallait qu’on te le dise un moment où un autre, ton père affichait ce visage si triste, ta mère gardait ce visage de femme forte et sérieuse, ils étaient opposé chacun à l’autre. Ton géniteur sorti de la pièce, alors que ta mère s’assoit sur le lit. Sur le coup, tu as cru que tu allais te faire disputer, mais c’était tout autre.

Elle t’a avoué la vérité – bien que tu le savais déjà en vrai- Tu portes sur tes épaules la mort de ta grande sœur vénéré. Comment ? En voulant te sauver de ta bêtise. Par ta propre faute, par ta propre naïveté. Flore est décédée pour payer ton idiotie. Tu as dormi pendant un très long moment, quelques jours, tu n’as pas vu le temps passer. Pourtant, Zelda aurait voulu dormir encore que d’assister à l’enterrement de son propre crime. Personne ne l’a accusé, pourtant chaque regard était un coup de poignard pour toi, tu voulais disparaitre, tu voulais que Flore soit vivante et que toi tu sois dans ce cercueil blanc.

Pendant un très long moment, les rires, les sourires, les idioties de celle-ci n’était plus présent dans cette maison, ton père était tiraillé par la perte de son ainée, tout comme ta mère, mais elle le montrait peu, voulant rester en soutient. Tu t’en voulais tellement, tu restais souvent un peu dans sa chambre pour pleurer, revoir vos souvenirs ensemble était douloureux. Tu aurais voulu encore une fois inverser vos places. Puis, un jour il fallait ranger la chambre de ta sœur, c’était le moment le plus douloureux, des membres proches de la famille ont un peu aidé. Mais, vider ce lieu plein de souvenir était comme arracher une dent. Tu gardas quelques éléments de ta grande sœur, bien que ce ne fût pas grand-chose.

Pourtant, tu as gardé ses cahiers de brouillon, là où elle écrivait un peu n’importe quoi. Tout comme elle prenait des notes pour son avenir, plein d’idées pour réaliser son rêve de Professeur pour Poudlard. C’est fou comme son objectif était ce qui la motivait en cours, elle voulait tellement être prof… Et tu lui as empêché de faire ce rêve presque trop pur et trop innocent, un rêve d’enfant qui n’aura jamais lieu. Cela fait encore mal.

Alors, pour te faire pardonner ou pour tout simplement chercher le pardon. Tu as jeté ton rêve à la poubelle, et tu as fait celui de ta sœur le tient. La petite fille qui passait son temps à dormir en cours, ne rien faire d’autre que regarder par la fenêtre est devenue l’élève la plus assidue et la plus sérieuse. Tu étais devenue une Flore. Tu voulais faire son rêve pour le pardon. Peu importe le prix que cela coutera, ton rêve ne valait rien à tes yeux. Tu feras des gâteaux pour toi toute seule. C’était dur de remonter la pente dans les études, mais tu as réussis à déjà reprendre le fil des cours.

Bien que tu fusses devenue sérieuse et très assidu, tu n’étais pas Flore. Cette demoiselle était douce et gentille, toi t’es froide et hyper asocial. Tu ne sais pas parler aux «humanoïde » les animaux c’est beaucoup mieux. Tu n’étais pas populaire comme elle, t’étais l’intello dans son coin qui ruminait ses livres. Bien que quand on te cherche, on te trouvait facilement avec ton caractère de garçon. Taper la première, c’était ton « nindo ». Mais, cela te permet de te faire pas du tout d’ami, ce n’est pas super ça. Pourtant, tu faisais avec, ce n’est pas comme ci tu étais douée pour en faire. Puis la solitude te va bien de toute façon.

Puis Poudlard arriva à grand pas. Tu étais très stressée, bien que ton père ait retrouvé un peu le sourire. Allait t’offrir ton animal de compagnie, cette bête qui sera toujours avec toi, peu importe les soucis. Il le présenta comme terreur de tous les animaux, la bête qu’il faut craindre. Jusqu’à ce qu’il te présente un panda Roux. Tu parles d’une bête terrifiante. T’aurais voulu un lion ou autre chose beaucoup plus flippant qu’un truc tout mignon à papouiller. Pyroli, oui c’est le prénom que tu lui as donné, peut être que le manque de console se ressent un peu dans ton esprit ou que tout simplement, t’as aucune imagination.

La rentré est enfin arrivée, tu étais stressée du choix de ta maison, des gens, des profs, de te perdre, bref les stress normal d’une élève normale. Bien que tu détestes le principe de porter une jupe, tu déteste cet uniforme. Mais, tu n’en restas pas pour le moins rebelle, tu mettais cette jupe, tu étais très assidu en cour. Pourtant la Zelda que tu voulais cacher c’est réveillé d’un coup, tu n’étais pas Flore, tu étais toi et une personne la fait sortie cette fille que tu voulais ne pas être. Il était blond, il avait les yeux verts. Vous n’étiez pas dans la même maison pourtant. Il était Serdaigle, tu étais Griffondor. Il s’appelait Rhys. Tu n’allais clairement pas oublier un prénom pareil. Tu as eu un énorme coup de foudre juste en l’entendant rire, fallait le faire non ? Tu ne te contrôle pas devant lui, tu lui hurles dessus, tu passes ton temps à lui faire un sermon et après toi tu passes ton temps la tête contre le mur en disant que ce n’est pas comme ça qu’on parle à un « homme ». Le pire, il avait une puissance sur toi digne d’un dieu. Au moindre compliment, il stoppait la boule d’énergie pour te faire faire un demi-tour et aller gagater dans ton lit toute content.

Tu étais parfaitement ridicule, pourtant cela était toi-même.

Bien que durant ses longues années à tenter en vain de lui courir après, de juste lui dire quelques chose sur tes sentiments qui n’ont fait que te couler chaque années en le voyant. Comment il a fait pour ne pas les remarquer ? Le jour de la remise de diplôme tu t’étais donné le courage de lui dire, pourtant tu es resté en poteau devant lui qui était content avec ses amis… Tu n’as pas eu le courage de lui dire, alors tu as serré le poing et tu as rejoins tes parents le cœur lourd. Tu le regrettes encore et encore de ne l’avoir pas dit… Mais tu avais si peur de te faire rejeter que tu vivais une pauvre Idylle digne d’une collégienne.

Tu as continué tes études. La bleue se donnait vraiment à fond, oubliant toute vie de jeune fille, oubliant tout plaisir digne d’une fille de son âge. C’était boulot, étude et parfois détente avec maniant de l’épée, vous parlez d’une vie « génial ».
Puis tu y es enfin devant les grandes portes de ton passe, les portes de Poudlard. Serrant un peu ta valise, tu as enfin réussis à faire le rêve de ta sœur, ton rêve ? Tu l’as remis à la poubelle, tu affiches un sourire content, tu peux enfin poser tes valises et ton stress, tu es enfin professeur, bien que les débuts sont toujours les plus durs. Il fallait rester calme et surtout ne pas tuer les élèves.

Bien qu’au fond tu ne sais pas si tu dois être satisfaite de ta « vie ».

Lyria - Kanon

COMMENT ÇA VA ? J'ai plus de coca donc fin du monde QwQ
C'EST QUI SUR TON BEL AVATAR ? Lucina de Fire emblem
ET TU AS QUEL ÂGE ?   22 ans dans quelques jours
COMMENT AS-TU TROUVÉ FW ? Le coupable est un chat avec un Facebook D=
FILLE, GARÇON OU ESCARGOT ? Mon ordi =D
CRÉDIT Moi même ♥
UN COMMENTAIRE ? Gorillaz ♥