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 Si tu as une batte, pose-la avant de faire du drama ♛ Adlona

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Orion P. R.-Machiavel


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Orion P. R.-Machiavel





Si tu as une batte, pose-la avant de faire du drama ♛ Adlona
03.01.17 21:45


T'étais là grinçant des dents. Grimaçant. Qu'est-ce-que tu foutais exactement ? T'étais pourtant tiré à quatre épingles, au du moins on pouvait relever un léger effort vestimentaire par rapport à l'habituel. Pour la vérité tu avais simplement repris les vêtements utilisés lors de ton année d'absentéisme. Comme quoi, tout finissais par être utile dans la vie. Alors tu portais une chemise blanche aux manches doucement retroussées jusqu'aux coudes, se qui laissait visible ce serpent magique qui se baladait librement sur ton bras gauche. Un pantalon noir, dès plus simple, accompagné d'un gilet sans manche de même couleur, qui ne cachait malheureusement pas totalement le fait que ta chemise était dès plus chiffonnée. Le gilet grand ouvert tout comme les deux premiers boutons de la chemise, à croire qu'il ne fallait jamais trop te demander. Surtout qu'en cherchant plus loin, on aurait sans doute pu trouver le veston qui accompagnait ce costume trois pièces. Mais, tu t'y trouvais trop serré. Trop étroit. Trop piégé. Alors tu n'avais même pas pensé à la prendre.

Parce que c'était bien trop difficile à porter.

Orion Prince Rosier-Machiavel, représentant de Poudlard qu'il avait dit. Et tes dents avaient claquées. Une fois. Deux fois. Parfaitement blanche. Clairement alignées. Un sourire froid qui était la seule partie de ton visage qui passait à travers ce masque idiot. Menton baissé, se rapprochant de la trachée tout en inclinant délicatement ta tête sur cette gauche si attrayante. Puis comme une jeune enfant tristement gâté, t'avais fini par libérer la porte en trottinant jusqu'au centre de la salle. Tourner lentement sur toi même, sans bouger d'emplacement pour observer. Tout. Savoir ce que tu voulais savoir. Voir qu'il n'y avait rien d’intéressant. Que cette soirée allait être aussi nul à chier qu'un cours à Poudlard. Ou qu'un instant global de ta vie.

Mais elle apparut. Celle qui alluma ton regard. Brillant. Étoilé. Cette demoiselle à la longue chevelure rose que tu pouvais reconnaître même masquée. Cette robe volumineuse remplie de superflue. Celle demoiselle que jamais tu ne quitterais de la soirée. Celle qui deviendrait ton trompe-temps. Qu'importe cette année qui vous séparait, qu'importe les répercutions que cela pouvait t'apporter. Après tout, tu étais persuadé que tu ne craindrais rien ce soir. Ce n'était pas pour lui, ce genre de chose. Bien que tu étais toi même présent. Peut-être était-il finalement comme toi, mais dans le cas contraire tu aurais le temps de t'amuser un peu avant de perdre la vie. « Mdr c'est quoi ce tutu. »

Fier. Droit. Face à elle. Devant cette sang-pur. Adlona Koga et sa chevelure rosée. La lèvre remontée, le coude du bras plié, la main droite présenté comme si tu lui offrais un présent. Ton nez ronchonne comme celui d'un cochon qui se moque misérablement. « Tu l'as trouvé dans une décharge ? » Et de ta chaussure, comme une vengeance. Une vengeance d'un cours commun, tu joues légèrement avec le bas de cette robe violette. De cette robe de princesse qui semblait tout droit sortie d'un conte de fée.  « T'attends quoi exactement à part faire la poussière ? »

De cette robe que tu ne pourrais sans doute jamais rembourser même en comptabilisant les faibles heures qu'ils te restaient à vivre.
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Re: Si tu as une batte, pose-la avant de faire du drama ♛ Adlona
04.01.17 15:04



[...] Avant de faire du drama


CHAPTER I : Princess of the day.



Merkelovà-Koga Adlona Céleste, Représentante de Poudlard.

A ses yeux, la formule était bien trop exagérée, d’autant plus que la majorité des personnes ici ne la connaissait simplement que sous le nom d’Adlona Koga, pourtant la demoiselle ne pouvait se laisser distraire et portait sur son faciès un sourire léger et agréable qu’on ne pouvait lui soupçonner. Démarche droite et digne sous une robe mauve étincellante, ce genre de robe qui n’existait que pour ces occasions et que son père lui avait offert sur un caprice. De la dentelle, des bijoux et des froufrous agrémenté d’un collier surchargé tout pour oublier sa chevelure rosée lâchée et ses yeux si particuliers dissimulés derrière un masque dentelé lila. Que d’artifices. Elle ne se voyait pas différente ni extravagante, elle était simplement elle parmi une belle bande de faux-cul, une bande de bras-cassés qui n’osaient point jouer le jeu, ou alors était-ce là leur manière d’être eux-même. Des demoiselles aux robes anodines, des hommes identiques sous leurs vestons noirs ou colorés, ce genre d’évènement semblait être un calvaire pour la Serpentard.

Adlona s’arrêta peu avant le centre de la pièce où dansaient des robes volantes et des chignons parfaits, les enjambées méticuleuses et la grâce peu connue de la valse ne rayonnait pas actuellement. De ses iris carmin, elle guettait l’arriver de son prince. Pourquoi n’était-il pas venu ? Avait-il honte d’elle ? Aucune panique ne s’affichait bien qu’elle n’aurait désirer que s’enfuir, entourée de monstres et d’inconnus. Décidément, elle aurait mieux fait de rester chez elle mais à quoi bon si elle ne pouvait porter cette robe ? Malgré ce masque collé à ses yeux, elle savait pertinemment que passer inaperçu était chose ardue de par ses mèches couleur de l’aurore. Soupir, devait-elle se résigner à quitter la réception au plus tôt ?

Elle entama une marche vers l’entrée, déviant l’allée principale pour ne pas gêner les arrivants quand une voix s’éleva en sa direction. Malhabile de la part du jeune homme. En se tournant elle l’aperçu, le fameux Prince, cas de le dire. Il n’était certainement pas celui auquel elle s’attendait mais un rictus moqueur apparut sur le minois de la douce. Un rictus odieux. Ils se faisaient face, la différence de taille se ressentait que peu grâce aux talons de la Koga, de même pour la maturité. Elle ne pouvait fuir et dans une légère révérence elle lui agrippa fermement la main présentée. Pour peu, elle lui écraserait le pied, il salissait sa délicieuse robe ce qui avait le don de l’agacer au plus haut point.

Elle n’y répondait pas, elle n’allait pas s’abaisser à son petit jeu misérable, si bien qu’elle colla son buste à celui du Poufsouffle, la main libre sur son épaule et approchant ses lèvres teintées de son oreille. « Avec ta sale gueule, j’en dirais pas plus. Tu sais, c’est pas un masque qui t’embelliras. » Les corps se séparèrent sous un souffle d’air, d’une main courtoise elle le guida jusqu’au centre de la salle de réception, avec ce regard soutenu et menaçant, s’arrêtant sans prévenir pour lui faire manquer de chuter. « Pour ta gouverne, ce n’est pas un tutu mais une robe. Je ne te demande pas ce qu’est le chiffon que tu portes. » lui souffla-t-elle. Ils n’avaient pas encore attirer les regards, pas assez du moins. De nouveau face à face, elle tendit son bras pour faire plier le sien. Saleté de Prince, comment osait-il se montrer si vulgaire. Il était clair qu’il n’était pas un professionnel, ce qui la réjouissait d’autant plus. De toute part on pouvait entendre des formules de politesses pour inviter l’être cher à l'instar de m'accorderez-vous cette danse, mais pour ce qui était d’Adlona, on ne pouvait qu’ouïr une minable suggestion.

« Pour le peu dont tu puisses profiter de cette soirée, fais mine de savoir danser. »

La robe de princesse.:

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Orion P. R.-Machiavel


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Re: Si tu as une batte, pose-la avant de faire du drama ♛ Adlona
06.01.17 13:25


Lorsque vos deux corps c'étaient rapprochés, lorsque sa poitrine se colla a ton torse, tu restais toujours aussi simple. Imperturbable. Ta tête légèrement baissée pour pouvoir la regarder droit dans les yeux au travers de ces masques qui vous recouvrait réciproquement vos faces. Lorsqu'elle c'était rapproché significativement, montrant le désire de divulguer au creux de ton oreille, tu avais eu cette soudainement bonté de courber quelque peu ton dos. Te courber pour qu'elle puisse t'atteindre, pour combler cette bonne dizaine de centimètre que ses talons ne pourraient jamais rattraper. Un geste simple. Qui pourrait sembler des plus gentleman et pourtant. Et pourtant ce n'était que moquerie et raillerie. Signifiant que qu'importe, elle n'était rien face à ta personne.

Et alors tu avais ris. Un rire frais mais peu fort pour ne pas paraître tant dérangeant. Mais tu ne l'avais pas lâché, lorsque vos corps avaient voulu se séparer ta main était venu se poser sur le haut de ses haches pour la ramener à tes côtés. « Mais je préfère assumer cette sale gueule plutôt que de supplier papounet pour qu'il me paye de la chirurgie. » Puis cette fois, tu l'avais laissé partir. Ta main glissant pour retourner dans cette liberté qu'elle possédait. Ainsi, enfin séparé tu l'avais pourtant suivit. Ne voulant pas la quitter. Pas maintenant. Pas de suite. Ou peut-être pas ce soir. Tu l'avais suivit, accepté d'être guidé, d'être tiré par sa main de princesse pourrie gâtée. C'était étrange, inconfortable. Et pourtant, tu ne pensais pas t'en éloigner. Sans doute que cette vision de bal masqué t'étais étranger, incohérente. Jamais tu n'en trouvais de raison, de divertissement. Parce que le divertissement était ailleurs, dans ce que tu ne pouvais pas avoir. Dans ces gens qui ne t'acceptaient pas, te refusaient ou te fuyaient. Mais Adlona. Adlona, elle. Elle et sa chevelure rose. Elle et sa personnalité. Elle et sa réputation. Elle était ce divertissement, ce répondant, cette nécessité. Tu pouvais être celui que tu disais être, ta face couverte ou bien même habituelle. Jamais elle ne serait de ce genre à fuir.

Parce qu'elle était de ce genre à ne pas avoir peur. Ou alors, à ne pas montrer sa peur. A y faire face, la vaincre. C'était tout cela qui t’intéressais. Le fait qu'elle te tire, qu'elle s’arrête. Qu'elle essaye de te faire tomber. Toi. Orion Prince Machiavel. Ne craignais donc-t-elle rien ? N'avait-elle pas peur de se prendre un coup ? Une violence immature ? Parce qu'il était certain, certain qu'elle répondait. Comme toujours, c'était pour cela qu'elle te paraissait intéressante. Dans ses idées, dans cette façon d'ouvrir sa gueule. Dans cette ressemblance avec ce que tu disais être. Parce qu'elle avait fini par te répondre, te prendre pour un imbécile. T'expliquer que ce tutu n'en est pas un. Que c'est une robe. Une robe de princesse évidemment, elle n'avait pas besoin de le dire. Parce que tous savait ce qu'elle était ; la petite princesse à son papa. Et finalement, c'était peut-être pour ça, pour ce statut qu'elle n'en avait strictement rien à faire.

Adlona.

Ce contre-foutait-elle vraiment de tous ? Danser avec toi. Danser au milieu de ces gens. De cette soirée inutile. N'avait-elle donc finalement, rien d'autre à fait ? Pourquoi au fond, cela ne t'étonnais pas tant que ça. Pourquoi le fait qu'elle te réponde, te cherche. Chacun votre tour. « Tu n'as pas d'amis avec qui danser ? » Cela te semblait-il si normal. Vous étiez toujours là. L'un et l'autre, à vous chercher mortellement comme des enfants immatures. Attaquant, répondant. Jamais de réelle violence finalement. Juste des répliques, des piques qui sont pourtant si violents.

« Penses-tu vraiment qu'un Prince ne sache pas valser ? » Un rictus déçu. Semblant presque blessé, tu n'avais pas besoin de danser pour pouvoir profiter de cette soirée. Tant qu'elle était là, à tes côtés. Mais pourtant vos doigts s'entremêlent, avant que tu te décides d'attraper parfaitement cette fine main de femme. Ton autre main, elle glisse vers le haut de son dos. Le positionnement était bon, droit, parfait. Et ton pied gauche avance d'un pas. C'était en quelque sorte le lancement.

Le lancement qui n'irait pas loin. Car tu ne l'imaginais pas savoir danser correctement une valse avec toi. Tes pieds allaient très certainement en pâtir. Tout autant que cette assurance pourtant injustifié.

Tu es un Prince qui ne sait pas vraiment danser.
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Re: Si tu as une batte, pose-la avant de faire du drama ♛ Adlona
12.01.17 12:47



[...] Avant de faire du drama


CHAPTER II : Princess Pride.



Adlona avait toujours été bonne, elle avait toujours privilégier la grâce au ridicule et n’osait mettre en péril ce doux moment. A de nombreuses reprises elle aurait pu lui mettre une tarte, sa main pâle venant rougir la joue du Poufsouffle, aussi simple que cela. Pourtant, jamais le geste n’avait été commis. Ce jeu perpétuel, malsain et pervers, ne pouvait lui donner un moment de répit dans lequel elle se lâcherait, non rien. Des avances, viles et sournoises. Des chuchotements, loin des roueries féminines dansantes, paraissant cependant délicats et sensibles à l’égard de tous. La vérité ? Des moqueries incessantes, des mots crachés tel du venin pour que cette soirée n’en devienne que plus divertissante. Des critiques qui s’élançaient comme bon leur semblait, des critiques qu’elle ne prenait point à coeur, car bien que ses propos furent raisonnables, jamais elle ne l’admettrait. C’était une pourrie gâtée. Une princesse. Et nul n’avait à en juger.

la Koga et le Machiavel n’étaient en réalité que chien et chat. Ils se détestaient et s’attiraient car ils étaient seule source de distraction dans ce monde si paisible et mesquin. La valse avait commencé en apothéose, les robes volant au rythme des enjambées et les têtes maquillées gracieuses, virevoltantes en arrière. Tout était magique, sauf pour la jeune Serpentarde qui n’arrivait à suivre son cavalier. Un cavalier pitoyable, dont elle ne connaissait finalement presque rien. Rien de plus que des rumeurs, des murmures, des visions. Qu’elle ne connaissait pas plus loin que les chamailleries. A première vue, elle aurait souhaité le mettre en échec et le faire chuter, néanmoins il ne fallut que quelques pas de danse de sa part pour qu’elle se rende compte qu’il se débrouillait trop bien seul. Des pieds loin d’une synchronisation parfaite, des corps raides et peu détendus, et peu à peu la rose voyait les jupons de sa robe se faire écraser sous les jambes du brun. « Mes amis ne sont point distrayants. » lui chuchota-t-elle frustrée. Ses doigts vernis venaient se serrer plus amplement dans la main du jeune homme, tentant de lui relever le bras comme il se devait dans une valse, celui-ci s’étant légèrement assoupi depuis le lancement. Soupirant, elle planta ses yeux dans les siens. « Je pense qu’un Prince sans éducation ne vaut rien. »

Son faciès décoré de ce masque vint alors se repositionner, tombant légèrement vers la gauche et effectuant de lents mouvements en se laissant guider par le cavalier. On pouvait la surprendre à sourire, la Koga. On pouvait la surprendre à apprécier ce moment, elle qui avait cette fâcheuse habitude de s’énerver et de montrer sa colère au monde, elle qui était si désorientée face à cette école de moins-que-rien. Alors pourquoi diable Orion arrivait-il à lui apporter cela ? Cette touche de bonheur palpable dans ses lèvres, dans ses iris. Pourtant, il était de ces hommes qui pouvaient facilement la mettre en rogne, mais qui finalement était bien plus que compréhensible. Il était aussi compréhensif. Peut-être l’enviait-elle, car si les gens le connaissaient c’était pour sa façon d’être, pour sa personne, pour ce qu’il était réellement et non pas pour sa filiation quelconque avec un Directeur de maison. Une chance inouïe qu’il ne pouvait certainement pas comprendre.

Son positionnement avait beau être parfaitement droit, sa main droite au niveau des omoplates de la jeune fille, son autre bras maintenant bien relevé, il n’en restait pas moins bredouille dans ses actes. « T’as beau être en apparence parfait, tu nous fous quand même la honte ». Elle commençait enfin à perdre patience, la demoiselle. Les caprices refaisaient surface sans crier garde et son visage s’empourprait de peu. Sa prise en pince de l’épaule du brun se faisait plus forte, agacée. Vitale. Un rictus moqueur se niche dans son sourire. « Ah, mais j’oubliais, t’as pas de fierté ça te dérange pas. » lui lança-t-elle sur un ton désobligeant. La foule s’accumulait autour d’eux, ne les laissant qu’à l’état de simple poussière. Des êtres lambdas dans ce Château d’Hiver tant renommé. Elle avait espéré, longuement attendu une amélioration, mais sans mettre du sien et forcément, rien n’allait pour le mieux. De pire en pire. Ou presque. Délibérément, elle appuya le talon de sa chaussure sur celle de son partenaire. Elle n’avait pas à y regarder, un coup de talon n’était jamais très agréable, mais la punition était à la hauteur, pensait-elle.

« Pour le moment contente toi de sourire. - elle effectue une pause le temps de refaire un tour sur elle-même. - Tu ne voudrais pas que cela vire au drame, si ? » Bizarrement elle adulait cette danse autant qu’elle la méprisait. D’une part, elle aurait tant voulu se volatiliser sous cette catastrophe dansante qu’elle n’attendait que la fin de cette douce mélodie, mais d’une autre être en la compagnie de Machiavel ne pouvait que lui seoir. Le masque qu’il portait ne le rendait en rien plus agréable ou charmant, toutefois elle n’apercevait plus cet être ignoble qui se tapait la tête en vue de s’assumer pendant les cours, ces traits abominables et forcés qui lui donnaient cet aspect féroce. Comme si sa présence, à la rose, pouvait rendre toute personne meilleure. Illusion de princesse qu’elle se contentait bonnement de croire. Sous son inexpressivité, elle ne put s’en empêcher, et en souriant gentiment, dans cette voix si mielleuse qui hantait chacun de nous elle lui offrit ce conseil, qui apparaissait plus être un ordre. « Tu devrais d’abord penser à ta Princesse. »


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