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 When life gives you lemons, squeeze them in peoples eyes - Anselm

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Anselm C. Wright


Messages : 65

Date d'inscription : 10/11/2016

Anselm C. Wright





When life gives you lemons, squeeze them in peoples eyes - Anselm
13.11.16 21:22

What doesn't kill me better run



Je collectionne le moindre penny. Je fais les fonds de tiroir, les fonds de poches, les fonds de tout, tout ce que je peux trouver. Les poches de maman. Celle du papa du moment. Parce que ça lui arrive trop souvent de jouer à la maman et au papa, avec différent gars, mais moi je me cache quelque part et j’attends qu’ils se cassent ou qu’ils restent. S’enferment et me laisse. Oui je me cache. Dans l’armoire, sous la table, sous le lit, dans la salle de bain et je cherche. Je cherche des pennies, parce que ce sont mes trésors. Et alors je sors. Même quand il pleut, ou qu’il neige ou qu’il vente. Parfois il fait noir aussi et je me dis : « Allez Anselm, c’est comme l’aventure de ta vie » et je sors, même si j’ai un peu peur. Je sors toujours au même endroit. Ce n’est pas très loin. Descendre la rue, tourner à droite, descendre encore et puis tourner et là, à gauche, c’est le paradis, un temple, un refuge anti-solitude. J’ouvre la porte de la cabine téléphonique et j’insère mes pièces.

La première fois je ne savais pas quoi composer.

La deuxième fois il a fallu que j’aille chercher le bottin à la maison.

La troisième fois j’ai commencé à me dire que c’était lourd.

La quatrième fois j’ai arraché des pages.
La cinquième fois j’ai pris un coup de poing sur la joue et un « putain de gosse » alors j’ai arrêté de déchirer les pages.

J’ai décidé d’apprendre par cœur tous les noms et les numéros. De a à z j’ai lu encore et encore, répété silencieusement, avec une lampe poche. Ce n’est pas très difficile, c’est comme si les pages finissaient par s’imprimer dans ma tête. La trois cent quarantième fois je n’avais plus besoin de bottin.
***
J’ai toujours le cœur qui bat quand je tiens le combiné entre mes mains. Je ferme les yeux très fort et je compose, après avoir entassé des cartons, des caisses, des choses qui traînent toujours derrière l’épicerie, mais dont personne ne veut jamais. Je choisi un nom et je compose. Ma tête dodeline un peu quand j’imagine ce que je pourrai dire.

Quand c’est une grand-mère je dis toujours la vérité.

Quand c’est une dame à la voix plus jeune je l’appelle toujours : Maman. Et elles me donnent des noms différents et on discute longtemps de ce qu’elles feront à manger. De ce qu’on fera au demain au parc. Et parfois elles demandent : « Quand rentreras-tu ? » et ça me donne le courage de revenir dans ma propre maison.

Quand c’est un papy je raccroche toujours parce que le mien détestait ma mère suffisamment pour la jeter dehors.

Quand c’est un homme moins âgé je finis toujours par demander : « Pourquoi tu es parti ? Pourquoi tu m’as laissé ? » et je finis toujours par repenser aux coups de ceux qui le remplacent, mais ne se substituent à rien jamais très longtemps. Parce que de toute façon, maman change toutes les semaines, parfois tous les trois mois. On fini par s’y habituer.

Aux coups aussi quand c’est maman qui ne sait plus et qui se demande encore si quelqu’un a besoin d’elle ici. Elle frappe, brûle, déchire. Ma chair, toujours ma chair. Elle prend mon visage entre ses deux mains et me soigne finalement. Je sais qu’elle va mal et que c’est comme ça qu’elle va bien.



***

Parfois les inconnus me racontent des histoires. Mille histoires qui finissent toujours par nourrir ma propre histoire et je mens encore plus. Je mens parce qu’il n’y a rien de glorieux à dire : « Je suis de ceux que la vie a oublié. » Je mens quand ils veulent raccrocher et j’essaie de deviner ce qu’ils veulent entendre pour le leur dire. Parfois ils raccrochent quand même et ça me rend triste. D’autres fois ils restent et là je me sens fier.

Un jour ma mère m’a demandé à quoi je passais mon temps, l’après-midi. Je lui ai raconté que je parlais à mes amis. Elle a eu l’air rassuré. Je n’ai pas eu le courage de lui dire qui ils étaient en réalité.

***


Et puis une fois quelqu’un m’a appelé. À la cabine. Moi et moi seul. Je connaissais pas le numéro, ça n’avait pas d’importance, c’était la première fois qu’on m’appelait moi. La voix appartenait à une dame. Un peu âgée. Elle ne connaissait pas mon nom et je ne connaissais pas le sien. Elle m’a demandé comment je m’appelais, ce qui m’a surpris parce qu’ils ne demandent jamais comment je m’appelle. Comment je vais aussi, ça, ça n’intéresse pas grand monde. On a commencé à parler des choses et d’autres et puis de ma famille. Des choses qui allaient et qui n’allaient pas. Elle s’y intéressait vraiment et j’étais trop content de pouvoir parler. Alors à chaque fois on se donnait une heure. Puis deux. C’était un rendez-vous constant que je n’ai jamais manqué pas une seule fois.


***

J’avais l’habitude de porter des pulls trop longs. De cacher dans les manches mes doigts. Je les comptais : Un, deux, trois, quatre, cinq, six, sept, huit, neuf, dix. Tant qu’il me restait mes doigts pour compter, ça n’était pas grave d’avoir la peau marquée. Des traces de cigarette sur les avant-bras. J’ai toujours eu des cheveux un peu trop épais et bruns. Trop facile à attraper, tordre, tirer, frotter aussi, j’ai toujours détesté qu’on se permette de les toucher. J’étais le petit garçon aux pulls trop longs qui parle jamais. Sauf que les coup on m’a toujours appris à en recevoir. Alors quand c’est à l’école qu’ils ont voulu se la jouer, moi j’ai rien pu faire d’autre qu’en donner. Et recevoir encore.

On disait : « Dieu t’a offert une mémoire fantastique, tu te rends compte ? Et toi, que fais-tu ? Tu passes ton temps à te battre ? » Ou alors « Serres les dents, tu verras ça va passer. » Et puis un jour j’ai donné un coup de phalange dans son nez et ça c’est mal passé. Alors j’ai fini par apprendre une leçon importante. On ne frappe pas les adultes. Les adultes peuvent te frapper et tu ne dois rien dire. C’était injuste, alors je me suis demandé pourquoi les adultes le faisaient ? J’en suis venu à la conclusion que c’était parce que je semblais trop faible. Trop petit. Que je serrai trop les dents et les phalanges.

Alors après ça j’ai commencé à me bagarrer à la maison aussi. Souvent les papas. Parfois Maman, même si après ça je vomissais.

Mais je pensais : « Maman n’a jamais vomi en écrasant ses mégots sur mes bras. »

***

Retenir. C’était facile, ça l’a toujours été. Quand j’étais plus petit je lisais beaucoup et je n’ai jamais cessé de lire. Il me suffisait d’emprunter un livre et de le planquer sous mon t-shirt et mon pantalon, quand je rentrai. Il y avait toujours un sale con qui faisait le malin et qui me disait : « Alors comme ça tu sais lire ? Et des bouquins sacrément ennuyeux… Putain tu cherches à te la péter ? » Et qui déchirait les pages. Alors je rendais jamais les livres, mais ça n’était pas grave parce que je me souvenais des pages. Des mots, avec une précision extrême. C’était là, dans mon cerveau.  C’est comme un souvenir vivant. Il suffisait que je ferme les yeux et je me rappelais. Tout ce que je vois et tout ce que j’entends je le retiens. Surtout les choses absurdes. Je sais par exemple que je suis né avec trois cent huit os et que je n’en aurait plus que deux cent neuf os une fois adulte, d’ailleurs, un quart de mes os se trouvent dans mes pieds. Je sais aussi que mon fémur est plus solide que le béton. Je sais aussi que c’est rassurant de savoir des choses que personne ne connaît. Comme je sais que ça fait franchement chier mes pères de substitution de savoir que l’anus se forme avant la bouche et que oui, un jour ils ont été littéralement des trous du cul.


***
J’ai commencé trop tôt la cigarette parce qu’à force de fouiller les tiroirs et les poches, les armoires et les chemises je trouvais plus de cigarettes que de pennies. Parce que j’ai bien l’impression d’avoir besoin de nicotine. De beaucoup de nicotine. Pour faire passer les coups et la pluie d’un Londres qui s’ennuie. J’ai toussé comme un fou quand j’ai commencé. Et parfois ça me fait encore tousser et dégueuler. Parfois je me dis que je sens le vieux tabac et que mes poumons aussi. Ils disent que je me prends pour un caïd. Même quand je porte des pulls trop longs et que j’ai encore des cheveux trop long. Que je fais plus minet que mauvais, mais qu’est-ce que j’y peux si mon père avait une trop jolie gueule pour que ma mère puisse se méfier ?

D’ailleurs, elle, je sais même plus si elle est belle. Même quand elle s’occupe de moi et qu’elle essaie de soigner les ravages qu’elle fait parfois pour me couper, me fracasser, me brûler. Elle sourit encore et dit : « Maman va s’occuper de tout. » Mais je sais qu’elle ne s’occupe de rien. Pas vraiment de moi. Elle cultive juste son besoin. Je pense qu’elle est heureuse quand je vais mal et que ça lui donne vraiment l’impression d’être mon besoin à moi. Mon absolu nécessité.

Un jour j’ai expliqué à la dame du téléphone que je finirai par la tuer et que je finirai ma vie dans un centre juvénile. Que j’ai vraiment envie parfois du lui éclater la tête et de fuir, de hurler, de tout casser.  Elle, elle me dit que ça va aller et elle me laisse toujours des bouquins pour m’évader, des livres qu’elle cache dans des énigmes qui me donnent parfois du fil à retordre. Et même si elle m’engueule quand je jure, je crois que je l’aime bien. Mais je crois qu’elle est trop perspicace quand elle me dit et que je sais qu’elle sait : « Il ne t’arrive rien d’inexplicable, Anselm ? ». Ma mère flipperait si elle savait que parfois il m’arrivait de faire exploser des choses juste en le pensant. Surtout les parcmètres qui crachent leur pennies devant moi. Je récupère toutes les pièces avant de me casser en courant, mais dans ma tête je me demande toujours : « Qu’est-ce qu’elle fera quand elle saura? »


***

Elle l’a su. Juste parce qu’un enfoiré de hibou est passé par la fenêtre et a déposé une stupide lettre pour dire : « Blablablablabla Sorcier. Blablablabla Poudlard. » Des conneries tout ça. Je lui ai dit, j’ai même promi : « Je suis normal, je te jure !» Mais elle ne voulait même pas me regarder. Elle me disait : « T’es comme ton père. T’es comme ton père je le savais ! » Elle m’a demandé de faire ma valise et de me tirer. J’ai pas compris. Et je comprends toujours pas. Elle m’a dit : « Félicitations Anselm, t’es comme eux, pas comme ta cracmol de mère. » Avant de me jeter sa chaussure à la figure. Alors je suis parti. J’ai fait mon sac, enfilé mon blouson en cuir. J’ai rassemblé toutes mes affaires, mes livres, tout ce qui comptait, avant de me rendre compte que tout ce que j’avais tenais dans un sac. Toute ma vie.


***

J’ai passé des heures à attendre, dans la cabine téléphonique. J’ai attendu qu’il soit l’heure qu’elle m’appelle. Et puis, alors qu’il faisait noir et que le téléphone n’était pas censé sonner j’ai entendu la sonnerie alors je me suis réveillé. J’ai attrapé le téléphone et je l’ai tenu contre mon oreille. J’ai entendu : « Anselm, tout va bien ? » et j’ai été rassuré. Elle était la seule personne qui se souciait de moi. Je lui ai raconté comme tout allait mal à cause d’un putain de hibou. Je lui ai raconté aussi comme je comprenais rien. Que tout ça allait finir par me rendre dingue et que j’avais même pas eu le temps de récupérer assez de cigarettes pour réussir à me calmer. Elle m’a dit : « Tout va bien, je viens te chercher. » J’ai pas eu le temps de me dire qu’elle ne pouvait pas réellement savoir où j’étais qu’elle disait ça pour me rassurer.

Et puis quand ils sont vraiment arrivés de nulle part pour m’emmener, j’ai fini par me demander : « Mais qu’est-ce qui peut bien se passer putain ? »


***
Moi dans une jolie maison bien tranquille ou presque. Avec des portraits qui parlent partout et qui essaient de faire connaissance avec moi. Surréaliste ? Peut-être que je suis fou, peut-être que je suis dans le coma et que je vais jamais réveiller, que c’est un rêve qui me donne encore l’impression d’exister. Des rêves particulièrement louches où les hommes portent des robes et où les femmes portent des chapeaux qui vont essayer de me bouffer si j’approche mes doigts.

J’ai appris que la magie existait ce qui à mes yeux était aussi crédible que:  « le père noël existe et en plus c’est ton voisin. » Mais j’ai du me rendre à l’évidence quand une tante m’a suspendu au plafond parce que j’ai dit trop de fois : « allez vous faire foutre. » Comme quoi la patience c’était pas un truc de famille. Ce n’était pas là le plus difficile à accepter.

J’ai appris que la femme avec qui je conversais depuis gosse, par téléphone, était ma grand-mère maternelle et qu’elle a toujours veillé sur moi, discrètement. J’ai aussi appris que ma mère était une sans magie.Et qu’elle avait jamais vraiment été accepté par son grand-père et ses sœurs. Qu’à 16 ans elle a rien trouvé de mieux à faire qu’aller draguer un « sang pur » (peu importe ce que ça veux dire) et que c’est comme ça que moi je suis né et qu’elle, elle a été déshérité. J’ai appris aussi que j’étais l’héritier désigné par ma grand-mère elle-même et que quoi qu’il arrive, je finirai par diriger l’une des plus luxueuses maison de création de vêtements sorciers.

Il faut dire que tout ça, ça me fait une belle jambe, parce que je comprends pas encore dans quoi je me suis fourré. Que j’y connais rien en robe pour homme et en chapeau de pétasses magiques. Que j’en ai marre de devoir leur donner un penny à chaque fois ma langue dit un foutu juron alors qu’ils passent leur temps à chercher des noises au slip d’un certain merlin. Que mes pieds sont toujours composés d’un quart des os du corps humain. Que les tableaux me font toujours aussi flipper à murmurer des trucs incompréhensibles la nuit et que sérieux, je vais finir par les déchirer, un de ces jours.

***

J’ai de plus en plus de mal à vivre ici. C’est pas comme si je me sentais à ma place ou qu’ils faisaient des efforts sincères pour me mettre à l’aise. Tout ce qui leur importait était de savoir que ma grand-mère m’avait désigné moi comme successeur. Qu’il fallait qu’ils me conforment au plus vite avant de pouvoir me présenter. Ils me disent parfois quand Ambrosia n’écoute pas qu’il me suffit de me rétracter, de leur dire que j’ai pas envie de toutes ces conneries pour que le testament change. Qu’ils me laisseront jurer en paix.

Sauf que même si je suis d’accord avec eux, il y a des petites choses qui me trottent dans la tête. Des idées de vengeances aussi. Parce que parfois je me demande où j’en serai s’ils n’avaient pas ignoré ma mère. Si mon père n’avait pas foutu le camps au lieu d’assumer sa paternité. Si mon grand-père n’avait pas été un enfoiré. Si je me retrouverai avec des tatouages sur les bras et le torse pour masquer les brûlures et les cicatrices, les trucs un peu crade qu’ils voudraient que j’aille faire enlever d’un coup de baguette magique. Mais c’est qu’ils me connaissent mal. Ils ne savent pas comme je déteste faire ce qu’on attend de moi et qu’on m’a appris à rendre les coups. Tous les coups. Et si mes tatouages peuvent être un outrage à leur yeux alors parfait. Je vais tout laisser. Même pas faire l’effort d’être un brun moins con, de toute façon.


J’ai décidé que je les frapperai eux aussi jusqu’à ce que j’en soi satisfait et qu’ils regretteront amèrement le jour où ils nous ont abandonné.
WRIGHT CASIUS ANSELM

FEAT Craig Tucker//South Park


JE SUIS Wright Casius, Anselm J'AI 18 ans JE SUIS anglais (probablement)  ET MES PARENTS SONT Cracmol//Sang pur ce qui fait de moi un ?? j’en sais rien, c’est trop Hitlerien pour moi.  JE SUIS EN 4e année d’étude  ET J'ÉTUDIE Coopération magique pour apprendre à gérer une entreprise qui fabrique des robes pour messieurs & dames. Tu sens la joie? Et Occultisme parce que ça gère sa mèreOPTION Vol et les cours de soin aux créatures magiques (parce que soigner un dragon ça a l’air fort sympa) JE FAIS PARTIE DES gens trop cool pour faire des trucs de groupes ET MA MAISON EST attendre la répartition. J'AIMERAIS RAJOUTER QUE J’en ai marre de plus pouvoir fumer, envoyez vos dons dans notre nouveau dortoir, côté garçon, cinquième rangée en partant de la gauche, lit n°4 en partant du haut. Merci.
Les trucs indiscrets (amortencia etc)


MON ÉPOUVANTARDFaudrait m’expliquer à quoi ça sert un putain d’épouvantard à part, te faire flipper ta race? Moi je me vois invisible et délaissé. Tu penseras ce que tu voudras. Mais parfois c'est juste le noir (et alors ça te fait quoi si j'ai besoin de dormir la baguette allumée?)
L'ODEUR DE L'AMORTENCIA Du cuir et de l’essence.
 MA BAGUETTE EST FAITE DE Houx, cheveux de vélane 23,5 cm  
MON PATRONUS …  N’est pas encore apparu  (Mais c’est une girafe)
MA MATIÈRE FAVORITE EST RIEN DU TOUT, bon ok, j’aime peut-être partiellement la botanique, mais si on te demande tu sais pas, tu sais rien.
JE SUIS DOTÉ D’une très bonne mémoire et d'une voix de tombeur (du coup je pourrai toujours bosser dans le téléphone rose magique plus tard si j'échoue slt)
ET J'AI J’ai beaucoup trop de tatouage sur les mains, la nuque, le torse, les avant-bras, la cheville et à l’intérieur de ma cuisse gauche. J’ai les oreilles percées et des petits écarteurs. Toujours des pennies dans la poche. Une aversion pour les robes de sorcier. Des cicatrices, des marques de brûlures, des trucs chouettes bien planqués dans mes tatouages. Pas beaucoup de poils sauf aux aisselles et plus bas toi-même tu sais, mais sinon ça manque salement sur ma tronche. Un grain de beauté à côté de l’oeil gauche. Des cheveux que tu peux même pas toucher, jamais. Souvent des bleus. La langue bien pendue, toi-même tu sais, là encore.
MON MEILLEUR AMI ESTUn tableau magique du nom de Colette qui m’aide parce qu’elle est trop à fond sur moi, pour une représentation magique d’une personne décédée.

I don't know what i'm doing - #thumbs up

Détruire ;

Parangon, avatar de vengeance. Anselm est. Anselm a les yeux qui brillent quand il se prépare à éclater en million d’écorchures. Car c’est ce qu’il est, purement, sincèrement. Destructeur des autres et de lui. C’est qu’il a trop accumulé de coup sur la peau et qu’il compte encore ses doigts pour se rappeler que s’il les a toujours ce n’est pas pour rien. C’est parce qu’il a toujours défendu tout chèrement (chairement ; parce qu’elle a trop saigné et qu’elle a trop été blessé pour qu’il puisse même se soucier du mal qu’il fait aux autres ; il a oublié) de sa fierté à son corps en passant par son existence toute entière, alors oui. Il te détruira, ou du moins il essaiera. Surtout si tu es un ennemi, ou même un ami. Et si tu as trop d’amour pour lui, il te faudra fuir, loin très loin, avant qu’il ne t’éclates toi et qu’il ne reste plus que tes jolies yeux pour pleurer. C’est qu’il ne se rend pas compte quand il égratigne ou déchire, on lui a jamais appris à étreindre sans mordre ou blesser.

Combattre ;

Parce qu’il se bat toujours, chaque seconde, chaque minutes. Pour exister un peu plus librement et éclater avec un grand sourire sur les lèvres. Il ne se rendra jamais, ou alors pas vivant. Alors il a un peu de mal à respecter l’autorité, à ne pas défier et tenter le destin une fois de trop. Trop de fois de trop. Il provoque le mal et la mort, la colère et les coups de sang pour vérifier, qu’après, il se tiendra toujours là. Droit, même blessé, même souffrant. Juste vivant. Alors il défit du regard, ne réfléchit jamais. Lance des paris idiots dans lesquelles tu risqueras ta vie et dans lesquelles il risquera la tienne et la sienne. Anselm ne réfléchit pas, ne veut pas, de toute façon. Il veut penser à ce qu’il fera dans l’heure et combien il ne regrettera pas s’il venait à crever cette fois.

Être Aimé ;

Non, pas aimer. Anselm n’aime pas. Il n’affectionne que salement, arsenic sur sa bouche. Poison de ta vie qui s’accroche à tes basques. Le gars qui s’accroche plus tu le repousses. Il n’a jamais l’intention de s’attacher, juste de te faire tomber toi, tu sais ? Alors il tente, essaie de trouver la faille, il drague sans le moindre remord, il est même près à arracher une jolie rose à main nue pour te l’offrir, les dents ostentatoirement esquissées en un sourire insolent. Et tant pis si tu saignes. Il aime ton sang et le sien suffisamment pour en rire. C’est comme ça qu’il empoisonne l’esprit. Il est plutôt du genre mauvaise fréquentation, (plutôt du genre à te promettre le paradis et te montrer l’enfer, à te faire sombrer, parce que lui-même est noyé) que tes parents t’interdiraient de côtoyer. Surtout qu’il reste jamais très longtemps. Il s’ennuie vite … Et ensuite il passe, ou même avant. Il n’est pas très difficile, tu sais ? Il lui suffit d’un penny pour aller embrasser ou cogner. Une dizaine d’autres pour aller s’enflammer ailleurs, sans toi. Il est pas regardant non plus, les moches, les moins moches, les beautés, les filles, les garçons, les moins beaux, les laissés pour compte ou les cool kids. Il s’en fout, il prend de tout, parce que ce qu’il aime vraiment c’est se sentir bien et nécessaire, aimé, détesté, il s’en fout. Il  veut juste voir et être vu. Toucher et être toucher. Exister. Rien de plus, rien de moins. C’est comme ça qu’il chasse la solitude, parce qu’elle lui fait peur, tellement peur qu’il a besoin de se glisser dans différent bras pour la chasser.


Jurer ;

Anselm jure des jurons moldus, qui pourrait te faire rougir de honte si tu l’entendais. Et il essaie de se soigner, mais c’est difficile d’oublier quatorze années à entendre hurler des insanités. Il ne te le dira pas, mais il a une boîte à juron et à chaque fois qu’il jure il met une pièce dans cette boîte là. Et il fait le compte. Bon grès, malgré. Il l’a promis à sa grand-mère alors il le fait. Et c’est ce qui dérange un peu le tableau du parfait badboy qu’il essaie de te faire voir et croire. C’est qu’il est un bon garçon, (un bon garçon capable d’agiter la queue et les oreilles pour être aimé, d’oublier sa putain de fierté, tu saisies un peu ? ) à sa façon tordue d’être et de respecter, d’offrir et de tenir ses promesses, mais ça compte, toutes ses attentions. C’est qu’il est du genre à vouloir attirer l’attention. À crever littéralement pour un peu d’affection. Alors il fait des trucs parfois cons pour l’avoir, quitte à se prendre une raclée. Mieux encore, à travailler durement pour être félicité. Contradictoire quand il dit qu’il s’en fout, mais qu’il esquisse un sourire et qu’il se sent fier. C’est parce qu’il a jamais oublié ces années passées à quémander des amis et une famille par téléphone interposé et qu’il crève d’être seul à jamais.

Pleurer ;

Ou de rage ou de tristesse. Anselm hurle et quémande encore avec plus de violence que les mille soubresauts de ses phalanges. Anselm s’énerve par jalousie ou par désintérêt. Anselm ne sait pas trop où il en est. Il comprend pas encore grand-chose au monde des sorciers. Même si ça fait quatre ans il a toujours pas intégré certaines notions magiques et parfois il en a juste marre de pas sentir à son aise. À sa place. Il refuse toujours d’appeler un moldu un moldu. Il déteste aussi le mot cracmol parce que ça lui fait penser à sa défunte mère. Il déteste aussi la notion de sang et ça, ça le dépasse complètement quand des mecs avec des jolis masques dorés viennent se la péter pour dénigrer les êtres humains. Alors il est le premier boulet à essayer de les deffindo quand ils dressent leur boucliers magiques. Et on lui dit qu’il est trop impétueux et il le sait. Mais seulement voilà, il peut pas faire autrement que de se sentir insulté. Insulté par tout ce qui n’est pas purement humain. Insulté par la différenciation sorciers – moldus. Parfois il en a juste marre de pas comprendre et dans ces moment-là il redevient destruction et il casse, cogne, jusqu’à ce qu’il en ait marre. Mais il sait que ça s’arrêtera jamais.

Parler ;

Ou provoquer, on ne sait jamais avec lui, tu sais. C’est le genre de gars à te sortir des faits divers dont tu te foutais il y a cinq secondes et qui maintenant, t’offense ou te fait éclater de rire. C’est qu’il a toujours la sale manie de retenir et d’apprendre toutes les choses débiles qu’il peut entendre. Alors un jour, il te dira certainement que c’est très dangereux d’éternuer, parce que ton cœur s’arrête de battre une mili-seconde et que tu peux même te fracturer une côte, si tu ne fais pas attention. (Parler ; pour faire fuir le silence aussi et la gêne, il déteste ça, il déteste ça quand le silence s’installe et il a l’impression qu’il peut l’engloutir, alors il parle jusqu’à ce qu’on lui dise « ta gueule Anselm ») Et le problème c’est qu’il a une trop bonne mémoire pour ton propre bien. Oui, il est aussi un peu trop chiant pour ton propre bien. Et d’ailleurs il a toujours besoin d’argumenter et de contester ce que tu dis et il ne lâche pas l’affaire. Surtout si tu as tord et malheureusement, tu as souvent tord.

Briller ;

Pas en société malheureusement, parce qu’il n’a pas de très bonnes manières. Ça ne l’empêche pas d’être un mordu de littérature, alors oui, là encore ça casse avec l’image un peu brutale qu’il essaie de donner, mais il n’est pas rare de le croiser avec un bouquin. Parce qu’il s’emmerde, il dira, mais en réalité il adore ça. Il est aussi … Oui, attention, ça risque de te choquer un peu, studieux. Même s’il ne le fait pas réellement exprès. Anselm fait parti de ces gens qui retiennent vraiment très facilement les choses, en réalité il lui suffit de relire quelque chose pour le fixer dans son cerveau. Alors les QCM pour lui, ce n’est qu’une formalité et, si sa fierté n’était pas en jeu il ne se casserait même pas la tête à faire ses dissertations. Sauf qu’il a beaucoup de chose à prouver au monde. Alors il vise toujours hauts, à toujours trop d’attente vis-à-vis de lui-même et déprime un peu de colère quand il obtient un simple Acceptable. (Débilité qu’il feint : Bon, par contre il te demande de ne pas répéter tout ça sur tous les toits, il est encore en train de prétendre qu’il a eu ses buses de justesses, alors qu’il les a obtenu sans se fouler. Même pas un neurone, non.) Bon par contre, il est un peu médiocre avec une baguette magique, mais ça non plus tu ne peux pas le savoir, il fait de son mieux et cinquante fois plus d’effort pour tenter un sortilège. C’est à se demander pourquoi il a choisi l’occultisme…

Désirer ;

Parce qu’il est plus jaloux qu’un poux et que forcément, tu possèdes tellement de choses qu’il n’a pas. Comme des parents aimants. Et bien sûr que ce n’est pas de ta faute, bien sûr que t’es pas responsable de son malheur, mais il n’y peut rien. Il n’aime pas qu’on lui rappelle d’où il vient. Ou qu’on lui pose des questions sur son passé. Il dira en rigolant que c’est pour être mystérieux et cool, ténébreux, mais au fond, c’est parce qu’il a des blessures qu’il n’a jamais voulu exposer et partager. Alors il faudra te contenter parfois de sautes d’humeurs incompréhensibles et d’autres fois où il t’abandonnera, comme ça. Pour préparer des mauvais coup, forcément, parce qu’il est toujours fourré dans magouilles pas possible. Malheureusement  il aime trop le risque pour faire preuve d’une once de prudence. Par contre, s’il t’entraîne là-dedans, ne t’attend pas à ce qu’il te vienne en aide le moment venu. Non. Il est du genre à te dire, avant de se tirer : « Aides-toi et le ciel t’aidera. » En t’abandonnant là. Il s’attend pas non plus à ce que tu lui viennes en aide, non. Il sait se débrouiller, seul, forcément et même si ça n’était pas le cas il cracherait sur tes efforts pour te hurler dessus qu’il n’a besoin de rien, ni personne, alors qu’en réalité il crève d’être aidé. Cherches pas à comprendre. Lui il ne cherche plus. Il a fini par se faire à l’idée qu’il sait pas trop où il en est.

(Rira bien qui rira le dernier ; parce que c’est ce qui le fait tenir, serrer les dents, il a de l’ambition, mais ça tu ne le sais pas, personne ne le sait, ne peut le deviner, mais il a déjà planifié son avenir et ce qu’il fera plus tard c’est destructeur de vie, de code, de tout, il finira par complètement changer l’entreprise familiale, pour en faire ce qu’il lui plaît, même un tas de cendre, mais en attendant il rit et fait l’idiot, mais dans le secret, oui dans le secret, Anselm hait et se prépare à tout embraser) (donc en vrai un jour il ira à Azkaban, donc prépare tes oranges pour fêter ça et oublie de lui en rapporter deux trois à noël)

Les anecdotes


• Est du genre à faire des paris débiles
• est du genre à te mettre la honte et se mettre la honte sans sentir forcément qu’il devrait avoir honte
•  a peur du noir et dort avec sa baguette allumée
•  il est souvent en manque de cigarette et donc désagréable
•  on dit qu’il vend sa vertu pour quelques pennies
•  le mot vertu le fait rire (comme une baleine asthmatique)
•  il est pas du tout du genre prince charmant
•  il est pas du tout du genre BFF
•  il déteste les robes et les chapeaux de sorciers
•  Met des casquettes/des bonnets de kékés
•  il déteste les brocolis
•  il complexe grave sur les individus barbus
•  il aime dire des insanités à tout le monde
•  provoque beaucoup et répond toujours présent, même pour se prendre des coups dans la tronche
•  se retrouve souvent avec des bleus et des blessures (en même temps quand on est con… ON EST CON)
• il utilise jamais le mot moldu et te regardes méchamment si tu le fais
•  a encore envie de fumer sérieux, t’as pas une cigarette steuplé t charmant(e) tu c ?
•  parle comme un gars des bas quartiers wsh wsh yakoi
•  fait des sous-entendus graveleux pour essayer d’inspirer la pitié à ses profs (ou pécho dans ses rêves)
• ne vit que pour le jour où il arrivera à pécho un membre du personnel et qu’il pourra s’en vanter
•  il aime beaucoup la secrétaire d’ailleurs, si tu m’entends, ne lui adresse jamais la parole
•  est un peu con quand il s’y met
• en fait il est grave con quand il s’y met
•  est un peu beauf, ouais, surtout quand il te demande si t’as un 06 et que toi tu sais pas quoi répondre parce que tu sais pas ce que c’est et qu’il t’entraîne dans le coin pour « t’expliquer »
•  finira un jour par se faire gauler en train d’essayer de voler ton sous-vêtement
• c’est son pari préféré (malheureusement)
•  est grave nul en sortilège en fait, aide-le stp sinon il va louper son année en occultisme et il va pas assumer
•  fait genre il est un badboy avec ses vestes en cuir et tout, mais bon, il est pas crédible, tmtc
• Relou des mauvais quartiers
• fait genre il a peur de rien, mais heureusement qu’il a plus a subir de coupure de courant parce qu’il est grave flippé de ça
•  Chante super bien avec sa voix de demi dieu grec (seul truc appréciable, si tu fermes les yeux et que tu lui demandes de lire à haute voix de la littérature)
• danse tellement mal que sérieux tes grands-parents lui mettent une branlé à just dance
• flippe devant toutes les créatures magiques en SACM (mais aime ça, étrangement)
• a un grain de beauté à côté de l'œil à gauche
• déteste viscéralement qu'on lui touche les cheveux
• déteste le thé
• préfère le chocolat chaud et généralement touts les trucs ultra chocolatés
• essaie de prendre du muscle, mais est un échec de bodybuildeur
• aime bien mettre le feu aux trucs et a déjà été collé parce qu’il s’amusait avec un briquet un peu trop joyeusement
• ET C’EST TOUT POUR LE MOMENT

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Lynch D. Czerny


Messages : 90

Date d'inscription : 29/10/2016

Feat : Luke Powell (art de chouette-e)

Crédits : Lynch, Ava ♥

Lynch D. Czerny





Re: When life gives you lemons, squeeze them in peoples eyes - Anselm
13.11.16 22:32

oh OH. J'aime. J'adore ce genre de plume ; on a l'impression d'être dans une chasse au trésor quand on te lit. j'aime la précision avec laquelle tu soupèses les mots, on voit que tu ne les gaspilles pas. Et c'est tellement précis qu'on reconnaît les mots manquants sans que t'ais à les prononcer - MAGIE.
Bref, moi fan love

Bienvenue à toi Anslem :D
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Personnel
Serge Bosart


Messages : 78

Date d'inscription : 05/11/2016

Serge Bosart





Re: When life gives you lemons, squeeze them in peoples eyes - Anselm
13.11.16 22:57

j'ai tellement aimé lire cette partie de ta fiche d'autant plus ça se lit hyper facilement & qu'on se laisse très vite entraîné, j'aime vraiment ton style, ce que pense/ressent ton personnage et ce qu'il est tout simplement
j'attends la suite avec IMPATIENCE
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Neutre
'Daisy' L. Burke


Messages : 65

Date d'inscription : 13/10/2016

Feat : Kenny McCormick

'Daisy' L. Burke





Re: When life gives you lemons, squeeze them in peoples eyes - Anselm
13.11.16 23:40

Cette fiche est très très cool. (Ce titre aussi. Daisy approuve) J'ai envie de faire un câlin à Anselm mais je risque de me prendre une baffe alors je vais éviter. J'ai adoré la révélation sur la dame de la cabine téléphonique !
Bienvenue et bon courage pour la suite **
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Personnel
Cyrian Aefferden


Messages : 108

Date d'inscription : 28/09/2016

Feat : Saitō Hajime - Hakuouki shinsengumi kitan

Crédits : Kieran

Double Compte : Cecil Manor

Cyrian Aefferden





Re: When life gives you lemons, squeeze them in peoples eyes - Anselm
14.11.16 0:49

Cette fiche est adorable ... °°

J'aime beaucoup le mélange de candeur, de logique et de cruauté qui finit par déteindre sur le perso!

Bienvenue à Anselm love
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Neutre
Anselm C. Wright


Messages : 65

Date d'inscription : 10/11/2016

Anselm C. Wright





Re: When life gives you lemons, squeeze them in peoples eyes - Anselm
15.11.16 21:22

Lynch •• Krrkrr ♥ je t'aime, merci pour les compliments (et désolé pour les mots manquant je déteste ME RELIRE) (mettez-moi en prison yakoiii je vous attends D:) je préfère avoir des amis plutôt que des fans, soyons amis :meurt:

Serge •• Merci à toi, tes compliments me font pimper le cœur, du coup mon perso viendra à ton cours juste pour le plaisir de l'entendre parler de Black M ou casser les oreilles en chantant des chansons fr qu'il aura appris exprès pour emmerder son monde.

Daisy •• (damn ce prénom est trop joli) contrairement aux apparences, Anselm est très open et accepte bien volontiers les câlins, donc faut pas avoir peur (bon par contre tu sais pas, parfois ça lui prend de frapper quelqu'un comme ça, mauvaise journée, tout çaaa)

Cyrian •• Merci à toi également, je voulais justement commencer par l'histoire pour ensuite terminer par le cara (genre pour montrer qu'avant d'être un cassos c'était quelqu'un de bien)

Merci à vous tous en tout cas et sur ce, j'ai terminé
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Neutre
Demeter H. Green


Messages : 323

Date d'inscription : 25/04/2016

Crédits : YAYA LE PLUS BO ♥♥

Double Compte : Joan PARKER

Demeter H. Green





Re: When life gives you lemons, squeeze them in peoples eyes - Anselm
15.11.16 23:36

Anselm bienvenue officiellement sur Firewhisky ♥♥
Alors que j'avais hâte de voir ta fichette car dans ma superficialité j'aimais beaucoup ton visu, pcq craig et la veste en cuir, ahhhhhhhh. Et boom c'était un plaisir à lire ! J'aime beaucoup Anselm et son côté sanguin, il y a du feu dans ce garçon en plus il a une histoire très touchante argh. Bref j'adhère totalement. Tout ça est super bien écrit en plus et j'approuve totalement l'avis de mes VDDS.
J'espère que tu te plairas sur FW, bon jeu !




gryffondor !


Félicitations ! Le choixpeau a bien lu dans ton esprit et t'as réparti dans la maison des malins qui arrivent toujours à leur fin. Tu peux maintenant te balader sur le forum comme tu le désires. Nous te conseillons de suivre Être un sorcier pour les nuls qui te guidera pour faire des premiers pas sur le forum !

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Neutre
Austreberthe Blacksmith


Messages : 33

Date d'inscription : 14/10/2016

Austreberthe Blacksmith





Re: When life gives you lemons, squeeze them in peoples eyes - Anselm
16.11.16 12:12

Maaaais il a une vie trop affreeeeeeeeeuse...Il faut retourner dans le passé et le kidnapper t____T

Il faut le sauveeeeerrrrrrrrrrrrrr

-mais ça se lit avec tant de plaisir! -
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Re: When life gives you lemons, squeeze them in peoples eyes - Anselm

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