( étoile filante ) ; yasha | e n d

Uncrowned King ♕ MATIÈRES OPTIONNELLES CHOISIES Les sortilèges&leurs secrets ; Traque en terrain dangereux ; Vol. NIVEAU SCOLAIRE Si en cours Yasha se comporte comme le clown de service, il n'en est pas moins un travailleur acharné qui désire atteindre le sommet. APPRÉCIATIONS "De bons voir très bons résultats malgré un comportement à revoir en classe." "Les résultats ne sont pas le reflet de l'attitude en classe, Yasha reçoit mes félicitations mais devrait cependant mieux se tenir pendant les cours." REDOUBLEMENT aucun. MÉTIER ENVISAGÉ : Auror LES B.U.S.E : {x} Obtenu {} Recalé {} Trop jeune BREVET DE TRANSPLANAGE : {x} Obtenu {} Recalé {} Trop jeune

tête brûlée ; grande gueule ; ambitieux ; désireux d'atteindre le sommet ; arrive toujours à faire parler de lui ; se met constamment en compétition ; cherche à dépasser son frère aîné ; extrêmement fier d'être russe et le crie partout ; dès qu'il se met en colère il pousse des insultes dans sa langue maternelle ; passionné de quidditch ; mais également de volley grâce à sa mère ; d'ailleurs tout le monde se moque de lui à ce sujet ; cherche constamment à se faire de l'argent ; est bon en affaires ; très intelligent ; mais fait l'idiot en classe ; se retrouve régulièrement en colle ; préfère qu'on l'appelle yasha parce que c'est plus original que dimitris ; ya' est le surnom qu'on lui donne constamment ; loyal ; franc ; ne connaît pas la signification du mot tact ; prend tout trop à cœur ; excellent en duel ; sorcier qu'on juge plutôt rapide ; très susceptible sur sa taille ; parle fort ; et rit fort ; saute souvent ; c'est comme un reflex pour compenser avec sa taille ; possède une dépigmentation naturelle ; jalouse son frère qui possède tous les traits de caractères typiques russes (grand, blond, yeux bleus) ; superstitieux ; blagueur ; aime jouer des mauvais tours ; veut à tout prix devenir auror ; a appelé son chat icare parce qu'il voulait un hibou à la base et il a voulu lui lancer un sort pour lui octroyer des ailes ; et il a lamentablement échoué ; très intéressé par le monde moldu grâce à sa mère ; claustrophobe ; on le compare souvent à un félin car il grogne et sort les griffes facilement ; enclin aux courses poursuites dans les couloirs ; est du genre rapide en terme de sprint cette fois ; surtout lorsque les cuisiniers le poursuivent pour avoir volé de la nourriture Hello Beauty

Vous vous retrouvez face à un épouvantard, et vous vous rendez compte que vous avez oublié votre baguette — heureusement, vous avez votre cerveau et vos jambes. Que faites-vous ? Yasha, il ne garde pas la tête froide ; il laisse l'adrénaline lui monter à la tête et se sert de sa peur comme de sa meilleure arme. Ses premiers gestes seront sûrement inutiles, futiles ; il poussera des cris de bêtes en poussant de ses mains et de ses jambes les murs, se mettra dans diverses positions afin de les empêcher de le tuer. Et puis se rendant compte qu'il n'y a rien à faire, il va commencer à sérieusement réfléchir, non sans continuer d'essayer de faire reculer les murs, et pensera très fort à la deuxième chose le terrorisant le plus : sa mère qui s'énerverait contre lui si jamais il devait mourir d'un simple épouvantard.

Vous avez déçu votre baguette qui a décidé de ne plus vous obéir et qui n'en fait plus qu'à sa tête. Que faites-vous ? Sa baguette, c'est sa plus fidèle alliée. Il la considère comme une amie et on le retrouve régulièrement à lui parler. Seulement, elle n'a jamais eu bon caractère d'après lui, faire acte de grandeur ne pourra que la rendre fière d'être sa baguette et pas à quelqu'un d'autre.

C'est enfin les vacances d'été ! Vous êtes prêt à partir dans le sud de la France avec vos amis, mais votre père s'est cassé une jambe et vous demande de travailler pour lui à sa boutique de balais magiques. Quelle est votre réaction ? Le brun râlera, pestera, fera tout pour faire culpabiliser son père mais acceptera tout de même de l'aider. Sauf que son père est auror et ne travaille pas dans une boutique de balais magique, sorrey.

Vous êtes en cours de potion, et la potion du jour explose à la moindre maladresse. Vous avez soudainement un trou de mémoire vis à vis du prochain ingrédient, que faites-vous ? Petit coup d'oeil discret sur la potion du voisin, tentative de communiquer avec ce dernier...Tout est bon pour arriver à ses fins et être le meilleur dans toutes les matières confondues. Quitte à échanger sa potion avec la deuxième meilleure de la classe.




Yasha ardeur, Yasha stupeur ; il est cette pierre brute qu’on a oublié de polir, placé à la base du gigantesque édifice qu’il a bâti. Il s’est usé les doigts, écorché les genoux ; il s’est brisé sous les bourrasques russes auxquelles l’exposaient ses parents. Il a vu ; la douleur chatoyante qui brise les os et encrasse les cœurs, le mensonge qui noircit, les pleurs qu’on camoufle. Il connait beaucoup trop les travers de la société, le mal humain dans sa plus profonde complexité. Dix-neuf ans et une jeunesse déjà bouffée, grignotée de tout part par les vices qu’on n’arrive pas à masquer. On croit que c’était facile, on croit que son avenir était déjà tout tracé – on préfère oublier et se dire que tout n’a été que simplicité pour soulager sa propre conscience. Oh oui il a de la chance Yasha. Le sort était de son côté dès la naissance à cause d’un nom possédant des reliures dorées.
De l’or dans le sang, voilà ce que c’était ; une gloire qui ne lui appartient pas mais pourtant qui est bien là. Oh voleur – il a rien demandé lui, il voulait simplement briller de lui-même mais on lui en a pas laissé l’occasion. On l’a fait grimper sur la première marche du podium encore toute tâchée du sang de son aîné ; on a recouvert son trophée d’argent d’une jolie teinte dorée. C’est pareil qu’on lui dit – t’as la renommée, le fric et t’es content. Mais il voulait plus Yasha, il a toujours voulu plus.

C’est un enragé, un acharné. Il s’est toujours battu, il s’est toujours révolté ; réclamant son dû, sa récompense, tout ce qu’il a tant mérité. Il a travaillé, plus dur et plus assidûment que n’importe qui ; le talent ce n’était pas suffisant, ça ne l’a jamais été. Alors il a cherché à multiplier la mise, multiplier les résultats. Il s’est placé à la tête du classement parce qu’il savait que c’était ce qu’on attendait de lui, espérant secrètement un regard de sa mère, un mot de son père. Quelque chose de plus que ce silence pesant qui l’écrase, qui lui torture l’esprit ; il voulait arracher cette étiquette d’enfant raté qui semblait s’accrocher à sa peau. Baigner dans ce monde élitiste l’a fait grandir ; sûrement trop, beaucoup trop. Il a vite compris comment le monde tournait, comment l’argent circulait. Il se devait d’être un peu tout à la fois, le blagueur qu’on appréciait, le négociateur qui parvenait toujours à faire affaire.

Hypocrisie qui le guette alors qu’il s’efforce d’être cette personne s’approchant le plus de la perfection rêvée qu’il cible tant. Parfois il s’oublie un peu – il efface les principes qui l’enchaînent pour ne pas avoir à détourner le regard alors qu’il ment. Parce que c’est un peu ça aussi Yasha. Il sourit, il plaisante, il ramasse de l’argent, parce que c’est ce qu’il sait faire de mieux. Mais dès qu’on lui demande de tricher, d’être ce mec un peu trop détestable il n’y arrive pas, terrorisé parce que ses proches sont devenus. Vieux cauchemar qui le hante sans cesse ; il panique, il s’enlise dans ses problèmes et va rire de manière gênée, se frottant vivement la nuque avant de déguerpir loin de cette réalité qu’il fuit.
Parce que Yasha c’est un volcan, quelqu’un qui ne contrôle pas ses émotions et qui finit par tout faire foirer. On l’aime pour sa sincérité dans ses sentiments, pour sa franchise envers les autres, pour sa manière si naturelle de mettre les gens à l’aise. On ne se doute pas qu’il y a toujours cette façade constante qu’il a appris à constituer, qui se brise sans cesse alors qu’on appuie là où ça fait mal. Il est trop émotif et il se le reproche souvent ; parce qu’il veut devenir fort, plus fort que tous ceux qui l’ont écrasés durant toute son enfance.

Part d'enfance qu'il tente de manifester ; téméraire aux milles révoltes qui essaye de respirer. Yasha s'est un peu perdu lui même - enfant modèle devant papa, catastrophe devant les autres. Bah après tout, on verra qui apprendra à bien le connaître.

© SIAL

C’est l’histoire d’un gamin un peu écrasé, un peu petit pour se dévoiler au monde un peu trop grand  pour lui. C’est l’histoire de rêves éclatés et d’une mauvaise herbe destinée à pousser dans l’ombre des chênes centenaires qui l’entouraient. De quelqu’un qui n’avait jamais eu les cartes en main pour réussir et qui s’est démené pour ne pas se laisser engloutir dans les limbes de la réussite familiale. Garçon rieur au joli minois ; né dans la fraîcheur de Moscou sous le regard attendrissant d’une jeune femme portant le joli nom de Silvia – épouse d’un sorcier du nom d'Edvard aux cernes creusées et à la vie un peu trop bouffée. Les vents de Russie emportèrent dans ce rude hiver les premiers cris du nouveau-né – un pied dans la magie éclatante du monde sorcier un pied dans la réalité terne du reste humain, si bien qu’il n’était pas certain de distinguer les deux.


Il grandissait des étoiles plein les yeux ; papa légende, grand frère prodige, maman beauté. Allures de famille parfaite aux bijoux un peu trop dorés, aux parures un peu trop colorées. C’était trop beau. C’était trop idyllique. Mais de ses prunelles d’enfant il ne voyait  rien ; aveuglé par la lumière bien trop forte des projecteurs. Oh oui que c’était splendide – mille et une fioritures dans les paroles et dans les relations. Hypocrisie qui se cachait, partout, s’infiltrait dans toutes les fissures qu’ils tentaient tous de désespérément cacher. Le père à qui on n’osait rien dire parce que sa réputation était trop écrasante, la mère qui portait tous ces masques à la perfection, menteuse jusqu’au bout de ses ongles vernis. Frère populaire, adulé de par son seul nom – il était beau lui aussi,  il était fort. Terriblement fort, terriblement brillant. Il était le soleil et l’autre était la lune, mais le pauvre n’en avait rien à faire. Il était son idole, il était son modèle. Plus que la réputation de son père, plus que la beauté de sa mère. Il les dépassait tous, il les surplombait de par sa vaillance, son intelligence, sa vivacité d’esprit. Il était la représentation parfaite  de ce qu’on pouvait attendre d’un super-héros. Le grand frère idéal.



Et comme si la raison les avaient quitté, maman n’était plus à la maison et papa était toujours enfermé au bureau. Il ne restait que Vassili – le grand Vassili, le grand roi ; roi de son cœur, roi de ses rêves. Pourtant lui aussi il a grandi, lui aussi il l’a laissé. Le cadet faisait tâche avec sa petite taille et sa mèche décolorée. Il était doué lui aussi, mais l’ombre était déjà bien trop grande, bien trop dense. Yasha il se perdait, il s’écorchait les pieds sur des bouts de verre semés sur le chemin qu’on lui avait tracé. Il pensait pouvoir réussir, lui aussi. Il ramenait les bonnes notes à la maison pour que papa il soit content, pour que maman daigne enfin poser les yeux sur lui. Et pourtant même lorsqu’il croisait leurs prunelles colorées il les trouvait ternes, il les trouvait vides. Des coquilles creuses où plus rien n’allait. Bah ce n’était pas si grave, il fallait simplement travailler plus dur Yasha – pour raviver la flamme, pour secouer la luciole qui s’était presque éteinte. Mais ça ne suffisait pas. Le temps passait et les attentes montaient. De petit génie on attendait un grand prodige. Vassili par-ci, Vassili par-là. Héros trop gros ; héros trop grand. Il ne fallait pas pleurer, il fallait garder la tête haute. Oublier les regards dégoûtés et devenir meilleur. Il n’avait plus personne Yasha, son frère l’avait déjà laissé et il ne pouvait plus que compter sur lui-même. Alors il a redoublé d’efforts, il s’est abîmé les doigts jusqu'au sang à force d’étaler de l’encre sur la papier, il a couru plus vite, sauté plus haut. Il a crié plus fort pour qu’on puisse l’entendre un peu mieux.



Et puis la nouvelle tomba alors qu’il avait treize ans. Vassili est tombé, l’aigle royal s’est effondré, ses ailes ont brûlé. Les rêves de papa et de maman se sont brisés ; ils ont beaucoup pleuré. Fini le fils adoré, il est cassé, il ne s’est pas relevé. Famille sans avenir, famille sans héritier – bah va falloir léguer la fortune au petite dernier, le raté, celui sur lequel on ne peut pas compter. Il y avait plus que ça pourtant ; plus que le titre, plus que cette foutue réputation sur laquelle tous ont tant misé. Ça lui fait mal au cœur, à Yasha, de voir qu’on ne voit que ça. Ils ont perdu un fils pourtant. Ils ont perdu une étoile qui brillait dans le ciel ; elle brillait tellement qu’elle a implosé. Et maintenant c’est la nuit, et maintenant c’est la lune qui illumine faiblement le monde. Il aurait voulu mériter sa place, le bonhomme, mais finalement on lui a juste donné par dépit. Parce que le héros n’était plus là.



Ils ne pouvaient plus, ils ne supportaient plus. Tant d’argent ailleurs, tant de promesses aussi. Oasis désiré au milieu de cet océan glacial. C’était le paradis. C’était le plus beau présent jamais offert à leurs yeux. Mais toi tu aimais bien ta vie ici – mais on s’en fichait de ce que Yasha pouvait bien vouloir, de ce que Yasha pouvait bien demander. Ça n’avait pas d’importance. Plus rien n’avait d’importance. Ce qu’on savait, c’était qu’on avait besoin de papa auror en Angleterre, et que maman ferait un plus gros chiffre d’affaire à Londres. Yasha c’est un bagage de trop qu’on est obligé de trimbaler. Au revoir petite Russie, au revoir jolie patrie. Toi au moins, tu ne tomberas jamais dans l’oubli.





Rentrée à Poudlard. Moment inespéré, moment tant attendu. Il voulait être fort. Fort comme le héros raté. Comme le héros tué. Il voulait le dépasser, s’élever, l’écraser. C’était la rançon de la gloire – c’était ce que Yasha se disait lorsqu’il culpabilisait de vouloir ainsi profiter du décès de son frère. Mais après tout il l’avait abandonné. Le nom Ioslov était moins réputé par ici. On connaissait papa, parfois un peu maman, mais Vassili tombait à son tour dans les trésors perdus du passé. Mais il ne souhaitait pas ça. Il souhaitait qu’on sache – qu’on sache qu‘il représentait ce nom désormais, qu’on sache qu’il en ferait la fierté. De la taille de maman, de la couleur de cheveux de papa, et de l’esprit rieur que personne n’avait vraiment réussi à lui arracher. Yasha avait fait ses armes, prêt à se battre, prêt à brandir sa baguette. Devenir plus puissant encore que son père, que son frère, que sa mère. Devenir celui que personne n’espérait qu’il soit. Rusé, malin, un peu tête brûlée aussi. Un cocktail explosif qu’il comptait bien élaborer jusqu’au moment où il atteindrait enfin le moment critique : faire de ta vocation son métier.

Bjr, ici Sial qui débarque sur votre forum de cinglés et ça va encore très bien pour le moment. J'ai actuellement 17 ans et je suis une fille même si je parle toujours en fonction du sexe de mon perso (comment ça yasha est une fille ? ;c) J'ai trouvé ce forum un peu par hasard en allant de partenariat en partenariat, et j'ai tout de suite accroché parce que le forum est super coloré ozghgh. Sur l'avatar vous aurez tous reconnu le grand, le magnifique Yuu Nishinoya d'Haikyuu!! & cette fiche a été entièrement codée par mes petites mains hihi (copyright : sial) Sinon rien de plus à ajouter hormis que vous êtes les + bo ♥

SIAL

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