[ÉPREUVE #3] Bande de femelettes !

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'ÉPREUVE #3' :

Pourvu qu'il se casse la gueule, avait-elle songé un peu mauvaise, ne sachant plus très bien qui des deux avaient commencé cette guéguerre ridicule, comme il lui passait devant d'une saleté de coup dans l'épaule.
Et elle s'était redressée un peu droite, un peu hautaine, juste à côté d'Arthur. Et le jaugeant enfin, comme depuis le début du séjour elle n'avait fait que très peu attention à lui, voir l'avait ignoré parfaitement, elle décréta seule qu'il était trop petit pour cette épreuve. Aussi s'empara-t-elle soudain de sa main. « Tu donnes la main et tu te tais » ; exigea-t-elle encore, tandis qu'il n'avait rien dit, tandis qu'elle le traitait soudain comme un enfant de trois ans dont elle se sentait soudain concernée par la sécurité, dans un élan maternel.
Puis elle avait senti soudain les bras d'Anton la stoppant, et s'apprêtant sans doute à protester, un râle s'était néanmoins étouffé dans sa gorge tandis que le regard fixe d'Anton ne lui disait rien qui vaille. Et se penchant, curieuse, elle le vit. Et elle se figea, et son autre main se glissa sous le bras d'Anton, crispée, le souffle accéléré, tandis qu'elle n'osait plus ouvrir la bouche devant cette apparition qui ne faisait que passer, tandis qu'elle n'osait même plus marcher, tandis qu'elle osait à peine respirer, tandis qu'elle se cachait imperceptiblement derrière la silhouette plus rassurante de Lawliet. Elle resta tétanisée sur place, blême, soudain faible, et les jambes flageolantes ; « Je. Je ne fais pas un pas de plus dans ce labyrinthe. » et elle s'était reculée, visiblement bien décidée à ne pas suivre le même chemin que cet homme inquiétant vêtu de noir. Et reculant toujours plus, elle sentit soudain une vague de froid. Se retournant, elle croisa le regard d'un sociopathe déjà mort ; les dents grinçantes « Hors de ma vue ectoplasme » et elle dirigea le faisceau lumineux vers l'apparition, comme rien, absolument rien ne la convaincrait de faire un pas de plus en avant.

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'ÉPREUVE #3' :

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'ÉPREUVE #3' :

Je comprend même pas qu'on ai laissé cette chouette décidé de la prochaine épreuve. Les cocos, les méduses, c'était amusant, un peu galère et carrément foireux de temps en temps, mais amusant. Avec lux, on pouvait certain qu'on allait atterrir directe dans le cimetière de l'ennuie. Peut être qu'elle avait prévus de nous faire récurer des toilettes ou trier des papier. Franchement, on pouvait s'attendre à tout. Ou presque. Un portoloin plus tard, et on était en plein labyrinthe, comme ça.. seule, en pleine nuit. Flippant, mais vachement trop excitant pour être totalement désagréable. J'essayais quand même de pas avoir l'air trop ravie de la situation. Mais vraiment, là on ce croirait carrément plongé en plein bouquin de SF débordant d’aventure de drame et de créature dégelasses qui veulent nous bouffer. Mais on va pas croiser de truc pareil quand même. Je sais que le dirlo essai d'en tuer un ou deux mais là ce serait un peu trop flagrant quand même.

Alors je suis Anton avec les autres et me retiens de rire à sa chute. Ça commençait plutôt bien en faite. On était seul dans le noir, éclairait par nos lumos à chercher comment sortir de là. Mais personne avait l'air de vraiment vouloir réfléchir vus que Rosie fonçait déjà tête baissé à en marcher sur les nids d'insectes. Je suis pas certain qu'on réussisse à sortir d'ici finalement. Arthy semblait résigner à suivre sans rien dire, je l'imitais avec plaisir en laissant vagabonder mon regard tout autour de moi jusqu'à ce qu'une silhouette face frémir tout le groupe d'un même frisson effrayé.

Ok. Qui a lâché les tueurs en série là ? Je m'étais maté bien trop de fois Vendredi 13 et les Griffes de la nuit pour ne pas me sentir légèrement flippé par la situation. Heureusement j'étais pas le seul, Rosie qui avait décidé de traité Arthy comme un gamin de 10 ans s'agrippa quasiment à Anton. Les deux avaient passé la soirée à se chamailler avec une tel maturité que c'était presque mignon de les voir stresser ensemble. Faudra remercier le dégénéré a la tronçonneuse quand on le reverra passé. Mais à la place, c'est un fantôme qui ce pointa devant nous. J'en sursautais un coup, une mains sur le cœur alors que la belle le chassait déjà d'un coup de baguette même si elle semblait décider à reculer pour de bon. Insectes, fantômes, stalkeur des bois flippant.. je crois que la soirée s'annonce compliqué mine de rien, surtout vus l'ambiance, ambiance qui fallait bien détendre un peu.

« Personne veux me donner là main à moi ? Avouer que vous vouliez me sacrifier en premier bande de trouillards. »

Je fis mine d'être offusquer et voulu les titiller un peu en faisant remarquer qu'en générale dans les filmes d'horreur c'était la pimbêche agaçante qui mourait en premier suivie du gringalet du groupe. Mais je crois que ce serait assez mal venue. Et surtout. Y'avait un truc qui approchait de nous. Une lumière là bas, sorti de nul part et étrangement fascinante.

« Qu'est ce que c'est que.... »

Une forme. Ça avance jusqu'à nous, ça nous attaque même. Cette petite créature bondissante et sa lanterne. On pouvait voir un marécage boueux tout autour de nous grâce à nous baguettes, baguettes qu'il fallait maintenant utiliser pour se débarrasser de ce truc avant qu'il essai d'en mordre un.

« Repulso !»

C'était sorti tout seul à la vue du gremlin magique qui semblait vouloir nous agresser pour avoir piétiner son jolie par terre de plante pourrie. Vraiment. Le sadisme de cette chouette n'avait pas de limite, qui sais ce qu'on allait trouver d'autre ici maintenant. La bête vola plus loin dans un « plouf » discret mais il ne fallait pas baisser sa garde pour autant. Un autre bruit se fit entendre. Plus gros cette fois. Je pouvais pas m’empêcher de repenser à cette arcomentule dans la foret et de suffoquer une seconde. Quand même. Ils allaient pas nous coller des créatures pareille ce serait complètement absurde. Mais c'était sans compter sur Lux et son sadisme.. Maintenant je suis certain qu'elle, elle essai de nous tuer.

« Oh putain... »

Un son rauque m'avait pétrifié sur place. c'était pas tellement rassurant, la silhouette d'une tête de lion qui se dessine dans l'obscurité me fait rapidement tourner les talons pour pousser tout ce jolie monde précipitamment et partir en courant sans même prendre le temps de se retourner. Ces bestioles là étaient du genre sacrément coriace, ceux qui ont réussit à les vaincre on peu facilement les compter sur les doigts de la main. Alors un groupe d'ados en tongue. On fait un apéritif parfait. Si j'avais su que j'allais devoir m'enfuir face à une chimère j'aurais fait l'effort de mettre un truc plus confortable qu'un vague short en tissu et un t-shirt débile. Mais c'était mieux qu'une jupe.

« Vous arrêtez pas surtout faut la semer! »

Le noir et le labyrinthe c'était notre seul chance d'espérer ne pas finir en casse croûte et je crois que personne avait envie de prendre le risque de blesser cette chose, ce serait simplement pire.

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'ÉPREUVE #3' :

Il avait coupé sa respiration en attendant sque l'homme à la cape noire soit passé; l'avait suivi du regard. Qui était-il — sa machoire s'était contractée. Peut-être que sans Bogeyman, peut-être que sous le joug de Lux la Chouette, ils n'étaient pas si en sécurité qu'ils le croyaient. Anton s'était un instant demandé ce qu'était ce labyrinthe, réellement. Quel genre de personnes étaient ici et pourquoi. Poupées vaudous, potions étranges; l'île lui avait de toute façon semblée bizarre depuis le début, tout comme la raison inconnue de leur présence ici plutôt qu'ailleurs. Il s'était relâché en voyant l'homme continuer son chemin, et s'était apprêté à parler à Rosabel mais voilà qu'elle s'éloignait déjà; semblait terrifiée. Vraiment ? Tous l'étaient un peu — se serait-il avoué. Il avait ri à la remarque de Kieran. "Bien joué !" avait-il dit à son encontre quand il s'était débarrassé de l'oiseau qui avait décidé de les manger. Mais une ombre avait attiré son attention, et le regard curieux, les yeux plisses et la tête penchée, il s'était approché à côté de Kieran pour observer la créature. Oh putain - s'il n'y avait que Ca à dire. une chimère ; c'était une chimère - Anton n'en revenait pas, se sentait soudain passionne par la créature qui leur faisait face, c'est le bras de Kieran le poussant à courir qui l'avait reveille, et alors qu'il se retournait; il avait couru.

Jetait des regards derrière lui en même temps que des sortilèges informulés pour tenter de la tenir éloignée. Il avait rattrape Rosabel et posait un bras violemment dans son dos "Bouge, Bouge !!" s'était-il exclamé en la faisant accélérer par la force de son bras; la retenant de tomber en avant, aussi. Surement y laisserait-elle ses talons. "Deprimo ! avait-il lancé sur les murs de feuilles qui les entourait, et alors ces derniers se détruisaient, tombaient, se refermaient sur eux. Ils prenaient un autre tournant, laissant l'affaissement derrière eux et continuaient à s'enfoncer dans le labyrinthe en courant, plus, toujours plus.

Silence.

Mais Anton savait que ce n'était pas fini - car les chimères étaient invincibles. Il avait repris son souffle quelque seconde. "On devrait se faire plus discret." avait-il dit à voix presque basse, s'apprêtant à éteindre son lumos.

cependant, alors qu'il s'apprêtait à éteindre la lumière de sa baguette, il avait vu cette forme noire s'approcher vers eux - et c'est l'horreur qui s'était affichée dans ses yeux. Et comme les de traqueur, il aurait reconnu cette créature entre toute; parce qu'il n'aurait jamais rien pu faire contre. Anton était incapable de produire un Patronus. Impuissance. Échec. Il avait serré la mâchoire, restait la baguette en alerte devant lui. Comptait sur quelqu'un; s'il vous plaît

Le membre 'Anton V. Lawliet' a effectué l'action suivante : Lancer de dés !

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'ÉPREUVE #3' :

Ils se retournèrent et tombèrent sur trois types en pagne. Avec la surprise, Edern hurla en faisant un bond en arrière, mais Mellan eut heureusement le réflexe de stupefixier tout ce beau monde. Edern s'accrochait à sa baguette en tremblant. Il était à bout de nerfs, et l'épreuve venait à peine de commencer. Ils continuèrent ensemble, et il resta sagement au milieu de ses camarades, peinant à mettre un pied devant l'autre sans avoir l'impression qu'il allait bientôt mourir de frayeur. Il entendait des bruits, et ils semblaient enchainer les culs-de-sac.

« V-vous êtes surs qu'on risque pas de mourir pendant cette épreuve ? Parce que là... je sais pas vous... mais moi je suis vraiment pas bien... »

Et pour cause, il était littéralement livide. Comment est-ce que les autres équipes s'en sortaient ? A vrai dire, il ne voulait pas le savoir. Et puis en plus, celles qui comptaient des professeurs étaient quand même largement avantagées, c'était absolument injuste ! Quelque chose fit crac sous son pied, et il baissa les yeux pour voir une multitude de petites araignées grimper sur sa jambe. Il hurla encore et eut le seul réflexe stupide de partir en courant, complètement paniqué.

Le membre 'Edern Carter-Owlman' a effectué l'action suivante : Lancer de dés !

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'ÉPREUVE #3' :